Vous avez des collaborateurs en chômage partiel ? Découvrez le dispositif exceptionnel FNE Formation. En savoir plus

Semaine du Développement Durable : l’importance de la formation pour transformer l’entreprise

 

La Semaine du Développement Durable est l’occasion idéale pour mettre en lumière les compétences vertes et la nécessité de les développer au sein de votre entreprise. Chez Coorpacademy by Go1, nous avons créé un ebook essentiel intitulé « Engager les salariés sur les Green Skills : mode d’emploi » pour favoriser le développement des compétences vertes. Dans cet article, nous explorerons pourquoi ces compétences sont cruciales, comment les développer, et comment notre ebook peut vous aider à relever ce défi.

 

Les Green Skills : fondements de la durabilité

Les Green Skills, ou compétences vertes, jouent un rôle essentiel pour accompagner la transition écologique des entreprises. Ces compétences douces englobent des capacités telles que la pensée durable et la résolution de problèmes orientée vers la durabilité. Penser à long terme est impératif pour l’avenir d’une entreprise, et indispensable pour transformer notre économie. En cultivant la pensée durable chez vos collaborateurs, vous créez un socle solide pour la durabilité de votre entreprise et de l’environnement. 

Les compétences vertes ne sont pas que des compétences liées directement à la transition durable. Elles englobent notamment la pensée critique, la résolution de problèmes ou encore la capacité d’innovation, car ce sont des compétences indispensables pour repenser nos façons de penser et d’agir.

 

 

La crise écologique et le bien-être des collaborateurs

Outre les considérations politiques et économiques, la crise écologique a un impact sur l’aspect humain des entreprises. Les humains, c’est quand même la première ressource de l’entreprise, il faut alors en prendre soin. 

 

Les bouleversements environnementaux suscitent des émotions, parfois négatives, chez les collaborateurs. Selon un sondage Ifop, 67 % des Français ressentent de la peur face à l’avenir, et 34 % estiment que leurs « éco-émotions » affectent leur santé mentale. Il est donc essentiel d’accompagner vos collaborateurs dans la compréhension et l’acceptation de ces changements.

 

 

Au-delà de ça, il faut également investir dans la transition durable pour indiquer une vraie prise de conscience de l’entreprise. Les collaborateurs sont à la recherche d’entreprise engagée, qui savent se remettre en question et se transformer pour faire mieux. En effet, 78% des salariés choisiraient, à offres équivalentes, de rejoindre une entreprise engagée pour la transition écologique.

 

La formation en action : La Semaine du Développement Durable

La Semaine du Développement Durable est l’occasion parfaite pour sensibiliser et former vos collaborateurs aux enjeux environnementaux. Si cette thématique doit être abordée tout au long de l’année, cette semaine peut faire l’objet d’une événementialisation particulière.  Chez Coorpacademy by Go1, nous sommes engagés à accompagner nos clients lors de cette semaine dédiée et d’autres moments clés de l’année. Découvrez en plus dans notre ebook « Engager les salariés sur les Green Skills : mode d’emploi » ! 

 

Comment encourager la formation au sein de votre organisation ?

La sensibilisation et la formation à la transition écologique doivent être au cœur de votre stratégie. Voici quelques conseils pratiques pour encourager vos collaborateurs à se former :

1- Proposez des formations dédiées : Mettez en place des formations en ligne sur les sujets environnementaux, adaptées à différents niveaux hiérarchiques de l’entreprise.

2- Impliquez toute l’organisation : La transition écologique ne concerne pas seulement un département spécifique. Impliquez tous les collaborateurs pour créer une culture d’entreprise axée sur la durabilité.

 

 

3- Donnez l’exemple : La direction doit montrer la voie en adoptant des pratiques respectueuses de l’environnement et en se formant aux thématiques du développement durable. Cela renforcera la crédibilité de vos efforts et motivera les collaborateurs.

4- Reconnaissance et Récompenses : Encouragez les efforts individuels et collectifs en faveur de la durabilité. Des récompenses symboliques ou des avantages spécifiques peuvent créer une dynamique positive au sein de l’entreprise.

 

Pour aller plus loin dans le développement des compétences vertes au sein de votre entreprise, téléchargez notre ebook « Engager les salariés sur les Green Skills : mode d’emploi ». Il regorge de conseils pratiques pour former vos collaborateurs et les impliquer dans la transition durable !

La stratégie du poulpe® : s’inspirer du vivant pour repenser nos organisations avec le nouveau cours co-édité avec les Éditions Eyrolles

 

 

 

Vous l’aurez compris, la bio-inspiration est une approche créative basée sur l’observation des systèmes vivants, des micro-organismes aux écosystèmes. Et c’est aussi le cœur du sujet de notre nouveau cours co-édité avec les Éditions Eyrolles.

 

Face à la complexité des enjeux de notre époque, comment la bio-inspiration peut-elle améliorer nos organisations ? Ce cours vous propose d’explorer les modèles vertueux de la nature, aptes à nous guider pour repenser nos habitudes et notre rapport au temps, aux émotions ou encore à l’apprentissage. Le but étant de s’inspirer des mécanismes du vivant pour transformer durablement les organisations !

 

Ce cours s’appuie d’ailleurs sur le livre “La stratégie du poulpe®” écrit par Emmanuelle Joseph-Dailly.

 

Pourquoi ce cours ?

La bio-inspiration est bien plus qu’une simple tendance. C’est une approche qui nous invite à apprendre de la nature et des écosystèmes pour résoudre des problèmes complexes, réinventer nos processus et cultiver des organisations plus efficaces et résilientes. Notre cours vous montrera comment les modèles vertueux de la nature peuvent être appliqués pour repenser vos habitudes et votre approche des affaires.

 

 

Il est urgent de repenser nos modèles pour transformer les entreprises vers la durabilité. La bio-inspiration est un des piliers qui permet d’inventer de nouveaux modèles, de changer pour le mieux ! 

 

Développez l’art de l’apprentissage continu

La nature est un maître de l’adaptabilité. Dans La Stratégie du Poulpe®, vous apprendrez à embrasser le changement, à vous adapter rapidement aux nouvelles circonstances et à tirer parti des opportunités qui se présentent. Explorez des techniques d’apprentissage continu qui permettent à votre entreprise de rester agile dans un monde en constante mutation.

 

Pourquoi suivre ce cours ?

À la fin de ce module, vous serez capable d’identifier les enjeux profonds qui se cachent derrière la bio-inspiration. Vous comprendrez comment cette approche peut résoudre les défis complexes auxquels votre entreprise est confrontée.

 

Vous saurez, entre autres : 

– Identifier les enjeux qui se cachent derrière la bio-inspiration

– Saisir l’importance du lâcher-prise et du vagabondage mental

– Nommer les 4 piliers de l’apprentissage

– Définir le principe de stigmergie

– Saisir l’importance de la justice organisationnelle

– Œuvrer pour la mise en place de modèles plus durables au sein de nos organisations 

 

Préparez-vous à explorer les mécanismes de la nature et à découvrir la bio-inspiration avec La Stratégie du Poulpe® : s’inspirer du vivant pour repenser nos organisations. Ce cours vous aidera à repenser fondamentalement votre entreprise en puisant dans les mécanismes du vivant. La nature vous attend, prête à vous enseigner ses précieuses leçons !

 

2050 : L’Odyssée RH – Épisode 7 : La série fiction sur le futur du travail

 

Quelque part dans le monde, à une date dont vous n’avez pas l’utilité, nous avons localisé une technologie poussée permettant de nous immiscer dans le quotidien des salariés. Ce voyage fantastique à travers les expériences de différents collaborateurs vous entraînera jusqu’aux confins du Future of Work et vous permettra de percer les enjeux de transformation des entreprises. Aujourd’hui dans notre odyssée, découvrez le quotidien de Eleri…

 

Je m’appelle Eleri, et si je devais vous raconter ma vie en cette année 2050, je vous dirais une chose : elle est très différente de la vie que je menais il y a 30 ans. Alors cadre dans une entreprise de fast fashion, la prise de conscience n’a pas été immédiate. Pourtant animée par un sentiment d’urgence, il a fallu que je me forme, ou plutôt que je m’informe, pour passer à l’action et accompagner mon entreprise dans sa transformation durable. Les compétences vertes ont été un déclencheur pour réinventer nos pratiques. 

 

Ces compétences constituent un ensemble de connaissances, capacités et attitudes indispensables pour répondre aux défis environnementaux et sociaux. Si aujourd’hui, en 2050, ces compétences font partie du socle commun d’apprentissage enseigné dès le plus jeune âge. Cependant, il y a 30 ans, alors que tous les experts alertaient sur l’urgence climatique, la formation aux compétences durables n’en était alors qu’à ses débuts. 

 

Ainsi, il a été indispensable de réinventer mon métier. 

 

Gestion durable des ressources, efficacité énergétique, résolution de problèmes environnementaux, pensée systémique… Chaque métier et chaque industrie a dû passer par là. Mais ce dont je parlerai le mieux reste ma propre expérience.

 

 

Alors Responsable de l’approvisionnement dans une grande marque de prêt-à-porter, j’étais témoin de l’impact négatif de mon industrie et du modèle de production que nous adoptions. J’étais persuadée des avantages de l’économie circulaire et de la nécessité de repenser notre business model. Je me suis donc d’abord rapprochée de notre département formation afin d’instaurer une vraie stratégie de développement des compétences vertes, et notamment un cours sur l’économie circulaire. 

 

Petit à petit, le marché du prêt-à-porter n’a plus eu le choix. Alors que toutes les marques concurrentes mettaient la clé sous la porte, les plus en avance sur l’avenir et sur les attentes des consommateurs s’étaient déjà lancées dans une offre durable. Étant directement concernée par les questions éthiques et environnementales liées à l’approvisionnement, je me suis lancée comme mission de faire évoluer notre entreprise vers un modèle circulaire. 

 

En effet, les prévisions étaient catastrophiques. L’empreinte carbone du secteur de la mode était estimée à 1,2 milliard de tonnes de CO2 en 2017 , soit environ 2 % des émissions de gaz à effet de serre mondiales. Sans changement radical des tendances de consommation mais également sans transformation de l’industrie, cette part aurait pu atteindre 26 % en 2050 ! 

 

S’il y a bien une chose qui a pu me marquer dans notre évolution, c’est la prise de conscience. Sans accompagnement pour comprendre l’ampleur de la tâche à accomplir, nous ne serions peut-être plus rentables aujourd’hui. Pour ça, il a fallu que tous et toutes se forment, comprennent sincèrement l’impact environnemental de chaque métier, repense intégralement leurs processus et deviennent de vrais ambassadeurs des compétences vertes. Le chemin est long lorsqu’il s’agit de transition aussi importante, mais c’est pour cette raison qu’il est essentiel d’être accompagné. 

 

Ainsi, je continue encore de me former aujourd’hui. Au vu de l’impact que la formation en ligne a pu avoir sur un projet aussi complexe que la transition environnementale, nous étions tous convaincus de son efficacité. 

 

 

État des lieux 

 

Suite à ce récit fictif qui nous plonge dans le monde idéal de 2050 à travers les yeux d’Eleri, prenons un moment pour réfléchir à la façon dont nous pouvons contribuer dès aujourd’hui à créer le monde durable dans lequel elle évolue.

1- Apprentissage et sensibilisation :

Le chemin vers un monde durable commence par l’éducation. Il est essentiel de sensibiliser les individus aux enjeux écologiques et aux pratiques durables. Encourageons des initiatives locales et mondiales pour informer et inspirer les gens à agir. 

Comprendre la crise écologique

 

2- Investir dans les compétences vertes :

Les entreprises devraient mettre en place des programmes de formation pour développer des compétences vertes chez leurs collaborateurs. Les compétences en durabilité, en technologie verte et en gestion énergétique sont des atouts clés pour façonner un avenir durable.

La transformation durable en 20 questions

 

3- Adoption de pratiques écoresponsables :

Les entreprises doivent intégrer des pratiques écoresponsables dans leurs opérations quotidiennes. Cela peut inclure la réduction des déchets, l’utilisation efficace des ressources et l’adoption de sources d’énergie renouvelable.

Écogestes : réduire son impact environnemental au quotidien

 

4- Collaboration et innovation :

Les solutions pour un avenir plus vert émergeront de la collaboration entre les secteurs public et privé, ainsi que de l’innovation continue. Encourageons les partenariats qui favorisent la recherche et le développement de technologies durables. Cependant,  l’innovation n’est pas seulement technologique, elle touche aussi à nos métiers, en quête de sens et d’engagement. 

Transformer l’entreprise pour la transition écologique

 

5- Adoption de modes de vie durables :

En tant qu’individus, nous pouvons adopter des modes de vie plus durables en réduisant notre consommation d’énergie, en optant pour des moyens de transport écologiques et en privilégiant des produits respectueux de l’environnement.

CoorpCast – épisode 4 – Transition écologique : les entreprises s’acclimatent

 

Suite à l’Odyssée d’Eleri, gardons à l’esprit que le monde qu’elle décrit n’est pas seulement une vision lointaine ou utopique. C’est un avenir que nous pouvons aider à façonner dès aujourd’hui, en prenant des mesures concrètes pour un monde plus vert et durable pour les générations futures. Chaque jour compte et nous sommes déjà en retard ! 

 

Pour agir dès maintenant, vous pouvez contacter notre équipe commerciale pour une demande de démo de notre solution de formation en ligne : https://info.coorpacademy.com/contact-fr 

 

Semaine du Développement Durable : moment crucial pour acculturer vos collaborateurs à la transition écologique 

 

Du 18 septembre au 8 octobre se tient la Semaine européenne du développement durable. Cette année 2022 a pour fil rouge : « Agir au quotidien ». Le motto : toutes les actions comptent, y compris les gestes du quotidien, pour transformer en profondeur nos sociétés. 

En entreprise, c’est le même constat. C’est en plantant des petites graines que l’on arrive à transformer une organisation. C’est pourquoi nos clients ont pu proposer à leurs apprenants de s’acculturer à la transition écologique à travers une playlist de 5 cours, pour devenir acteur du développement durable. Et si l’on vous parle de planter des graines, c’est aussi parce qu’à l’issue de cette animation, un arbre sera planté toutes les 1000 questions répondues sur chaque plateforme. On vous explique ci-dessous.

 

« La Terre est désormais le seul et unique actionnaire de Patagonia ». Mercredi 14 septembre, Yvon Chouinard, le fondateur de la marque américaine de vêtements de plein air Patagonia, a annoncé avoir transmis 100 % du capital de son entreprise et de ses droits de vote à deux structures chargées de « protéger la planète », mission endossée par la société depuis 2018. Les dividendes de l’entreprise financent désormais les actions destinées à lutter contre le réchauffement climatique, à hauteur de 100 millions de dollars par an.

Records de température, sécheresse, méga-feux : au terme de l’été,  le besoin d’inventer de nouveaux modèles s’impose plus que jamais comme une évidence. Les choix de Patagonia sont pionniers, mais partout les attentes des salariés évoluent drastiquement. En effet, selon une étude CSA, à offre équivalente, 78 % des salariés préfèrent rejoindre une entreprise engagée pour la transition écologique. 

 

La même étude rapporte que 68 % des collaborateurs ont déjà exprimé le souhait d’être mieux formés aux questions relatives à la transition écologique. Pourtant, seuls 17% des salariés soutiennent que leur entreprise propose des formations sur les enjeux relatifs à la transition écologique. Proposer des formations autour des sujets environnementaux se trouve au cœur de la stratégie des  entreprises, qui ressentent le devoir de sensibiliser les collaborateurs et de les former à la transition écologique et surtout, impliquer l’ensemble de l’organisation dans une démarche environnementale. 

C’est pourquoi nos clients ont souhaité saisir le moment de la Semaine du Développement Durable pour renforcer la montée en compétences de leurs collaborateurs autour de la transition écologique, en lançant une animation sur les plateformes Coorpacademy by Go1 ! 

 

Comprendre, Imaginer, Agir

Si l’on devait retenir 3 mots pour comprendre pourquoi la formation est essentielle pour transformer l’entreprise, nous pourrions retenir les suivants : Comprendre, Imaginer, Agir. En effet, la compréhension des enjeux est clé pour ensuite pouvoir imaginer les actions à mettre en place au sein de sa propre entreprise ou industrie, et ces deux étapes sont cruciales pour passer à l’action. 

C’est dans ce contexte que nous avons proposé à nos clients l’animation “Devenez acteur du Développement Durable”. Cette animation propose aux apprenants de se former à travers une playlist de 5 cours permettant de développer des compétences dites “vertes”, qui pourront les aider à agir au quotidien en faveur de l’environnement. 

L’objectif étant que le plus grand nombre de collaborateurs joue les cours de la playlist, plusieurs mails ont été envoyés aux apprenants tout au long de la Semaine du Développement Durable. 

À l’issue de cette animation, des arbres seront plantés en l’honneur des utilisateurs qui auront participé. Dès lors, 1 arbre sera planté pour chaque palier de 1000 questions répondues, pour encourager les collaborateurs à compléter l’ensemble des cours de la playlist ! 

Ces arbres que nous allons planter font partie d’un projet global de reboisement de la forêt française, en partenariat avec l’entreprise Naudet. Créée en 1876, ses activités principales sont la production et la plantation de jeunes plants forestiers, et la production de sapins de Noël. Plus de 4000 ha sont reboisés chaque année chez des propriétaires publics et privés et plus de 20 millions de jeunes plants produits. Les projets de Naudet Reboisement sont maîtrisés de la production du plant jusqu’à la plantation, le suivi et l’entretien de cette plantation. 

 

Pourquoi planter ?

Dans les années 1990, 110 millions d’arbres étaient plantés par an, aujourd’hui c’est moins de 30 millions (Ministère de l’agriculture). Les forêts françaises sont soumises à des incendies, qu’ils soient de sources naturelles ou criminelles. L’impact environnemental d’un feu peut également être considérable. Et comme nous avons pu en être témoin au cours de ces derniers mois, les feux de forêts sont de plus en plus nombreux et ravageurs. 

Aux modifications de paysage, s’ajoutent la destruction de milieux qui s’accompagnent de pertes biologiques (faune et flore habituelles des zones boisées), la perte de qualité des sols et le risque important d’érosion, consécutif à l’augmentation du ruissellement sur un sol dénudé. Suite à ces incendies, des essences vont se régénérer naturellement et venir dominer le milieu ouvert. Il est important de réintroduire des variétés forestières améliorées par plantation pour restaurer la capacité de production. D’importantes surfaces doivent donc être régulièrement replantées suite à ces sinistres.

 

Avec notre partenaire, nous sommes fiers de pouvoir participer à notre échelle au reboisement de nos forêts, tout en augmentant l’impact de la formation pour changer durablement nos comportements ! 

 

Vous souhaitez initier la transition écologique de votre entreprise ? Parlons-nous.

 

5 bonnes pratiques RSE à retenir

 

Selon une étude IFOP publiée en 2021, 84% des répondants sont d’avis que le développement durable devrait constituer un enseignement obligatoire dans l’ensemble des formations professionnelles et supérieures. 

Aujourd’hui, la  Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE) est un sujet stratégique pour les entreprises. Ingrédient crucial dans la recette d’une entreprise engagée et soucieuse de son impact environnemental, social et économique, cet ingrédient est pourtant souvent relayé au second plan. Dans cet article, nous vous proposons un plan d’action en 5 points clé pour engager efficacement vos collaborateurs dans une démarche environnementale !

 

Sensibiliser vos collaborateurs aux enjeux environnementaux 

La question environnementale est aujourd’hui au cœur des préoccupations des individus. Vos collaborateurs sont donc de plus en plus sensibles à ces problématiques.  Néanmoins, la question du dérèglement climatique ne date pas d’hier, et s’il est si difficile de changer les choses, c’est notamment car le chantier est vertigineux : on peut se sentir vite dépassé. Ainsi, une des clés pour mettre en place une stratégie RSE efficace est avant tout de sensibiliser les collaborateurs aux enjeux complexes de la question environnementale. Comment ? Un des moyens qui a récemment vu le jour et qui prend de plus en plus d’ampleur est celui de La Fresque du Climat. “Pour agir face au changement climatique, il faut d’abord le comprendre”. Voici la conviction qu’affiche l’association créée en 2018. Elle propose alors un atelier coopératif et ludique qui a pour objectif de sensibiliser le public au changement climatique. Pouvant se réaliser sur site ou à distance, la Fresque du Climat repose sur un jeu de cartes proposant des causes et des conséquences, et dont les joueurs doivent relier entre elles. Cela permet à chacun de faire le lien entre les causes et les conséquences du changement climatique et donc, de mieux comprendre l’ampleur du problème.

 

Développer les compétences des équipes sur les solutions à mettre en œuvre

Une fois sensibilisés et prêts à lutter face au changement climatique, il est nécessaire d’approfondir les connaissances des collaborateurs, notamment sur la recherche de solutions. Ainsi, la montée en compétence des collaborateurs sur les sujets environnementaux est cruciale pour mettre en place des solutions à court terme et esquisser d’ores et déjà le long terme. Cela peut prendre plusieurs formes. Tout d’abord, vous pouvez prolonger la phase de sensibilisation  par  des ateliers de brainstorming et de mises en situation pour la recherche de solutions. Cela permet d’appliquer les connaissances apprises et d’identifier les processus à transformer. De plus, chaque industrie, chaque département, doit trouver des solutions adaptées, et cela ne peut se faire qu’à travers les premiers concernés : les collaborateurs. Enfin, pour que votre démarche engagée pour l’environnement ne se cantonne pas à une seule journée, il est important de garantir une formation continue sur ces sujets, qui évoluent à une vitesse fulgurante. C’est pourquoi nous recommandons également d’intégrer une solution de formation en ligne qui vous permettra de former vos collaborateurs sur ces problématiques, au quotidien. Si le digital learning est un outil indispensable pour former massivement et rapidement tous les collaborateurs, il est aussi plus engageant et ludique, favorisant ainsi l’intérêt des salariés pour la formation.

 

Définir un collectif de salariés engagés pour promouvoir la culture RSE de l’entreprise et impliquer tous les collaborateurs

Pour imaginer une autre manière de faire les choses et transformer l’entreprise, il est nécessaire de répandre la culture RSE au sein de l’entreprise, au cœur de chaque métier. La multiplicité des actions à mener est telle que l’ensemble des salariés doit s’impliquer dans cette démarche. Ainsi, le management des parties prenantes est essentiel pour mener à bien cette mission. À un niveau plus global, on remarque que des réseaux d’entreprises engagées dans la transformation sociale et écologique de l’économie se forment de plus en plus. Ces initiatives, telles que le réseau Impact France qui a récemment participé à la Cop26 ou l’organisation Makesense qui crée des outils et des programmes de mobilisation collective pour permettre de passer à l’action et de construire une société inclusive et durable, donnent à chacun le pouvoir d’agir. Ainsi, au sein de l’entreprise, il est également utile de créer des collectifs de salariés qui souhaitent s’engager dans la transition écologique de leur entreprise. Piliers de la stratégie RSE, ils permettront de mobiliser les équipes autour d’objectifs communs pour insuffler le changement et développer une dynamique collective. 

 

Faire de la stratégie RSE un élément indissociable de la stratégie globale de l’entreprise

Une stratégie RSE efficace ne peut fonctionner qu’en s’inscrivant sur le long terme à l’ensemble de l’entreprise. Alors qu’auparavant, une fondation ou un don pouvait suffire pour montrer patte blanche, il est aujourd’hui indispensable pour les entreprises de s’adapter aux nouvelles législations telles que l’objectif bas-carbone proposé par les Accords de Paris. Dès lors, il est primordial de penser la stratégie RSE comme élément indissociable de la stratégie globale. Cela est nécessaire pour que l’entreprise puisse s’adapter en amont et relever les grands défis de demain, au lieu de réagir à chaud (au sens propre et figuré), une fois qu’il sera trop tard. L’idée est de bannir le greenwashing et d’accélérer une transformation profonde des activités des entreprises. Dès lors, la stratégie RSE doit être soutenue et promue par l’ensemble de l’entreprise, à commencer par les dirigeants. Concrètement, l’ensemble de l’entreprise doit être impliquée car chaque prise de décision et chaque plan d’action devront être pensés en incluant les objectifs RSE et en établissant des mesures sur les impacts qui en découlent.

 

Objectif : la certification BCORP

Le label «B Corp» est une certification octroyée par l’ONG indépendante B-Lab. Ce label est accordé aux entreprises qui se fixent des objectifs extra financiers sociaux ou environnementaux et qui répondent à des critères exigeants en matière de responsabilité et de transparence. Pour obtenir cette certification, il faut répondre à 200 questions sur cinq domaines : la gouvernance, les collaborateurs, les communautés, l’environnement et les clients. Si vous dépassez les 80 points, vous pouvez demander à être certifié. Pourquoi c’est important ? Le label «B Corp» est un mouvement international qui fédère déjà plus de 4000 entreprises de toutes tailles et tous secteurs dans 74 pays, dont plus de 145 en France. Gage d’une entreprise engagée, qui souhaite vraiment faire bouger les lignes.

 

Envie d’aller plus loin ? Découvrez notre article sur les compétences à acquérir pour se réinventer !

Et pour développer ces compétences indispensables, découvrez 3 cours qui développe la pensée durable : 

Écogestes : réduire son impact environnemental au quotidien

Protection de la biodiversité : un atout pour les entreprises

Transformation durable : success stories et business cases

 

2050 : L’Odyssée RH – Épisode 2

 

Quelque part dans le monde, à une date dont vous n’avez toujours pas l’utilité, nous avons localisé une technologie poussée permettant de nous immiscer dans le quotidien des salariés. Ce voyage fantastique à travers les expériences de différents collaborateurs vous entraînera jusqu’aux confins du Future of Work et vous permettra de percer les enjeux de transformation des entreprises. Aujourd’hui dans notre odyssée, découvrez le quotidien d’Hélix…

 

“Le verdict est tombé mardi soir. Une grande entreprise leader du secteur industriel en France vient d’être jugée pour inaction climatique due à l’utilisation de charbon dans sa production. Pour rappel, depuis le 28 janvier 2037, l’ensemble de la production d’énergie et de chaleur, y compris industrielle, ne doit plus utiliser de charbon. En effet, depuis déjà 15 ans, de moins en moins de Français se chauffent au charbon. Ainsi, tous les industriels devaient sortir du charbon avant 2035. Suite à la loi de 2037, les entreprises n’ayant pas organisé cette transition devront répondre aux sanctions prévues. Au total, l’entreprise devra payer…” 

Hélix éteignit son casque de réalité virtuelle où il regardait les informations du jour. Il était 19h et son temps quotidien était atteint. Au-delà, sa consommation aurait  enfreint la loi sur la sobriété numérique. Hélix pensait à cette histoire de charbon. Lui-même référent écologique au sein d’une grande entreprise financière, il avait dû se battre dans les années 2030 pour faire reconnaître de manière large et uniformisée les impacts sur le climat et sur la biodiversité des projets financés. En effet, à cette époque, alors que son poste venait d’être créé, il avait initié un large programme de sensibilisation et d’information autour de ce sujet, pour accélérer la transition écologique de son entreprise. Le projet avait connu un grand succès grâce à son organisation. Il avait d’abord lancé le projet sur des petites communautés au sein de l’entreprise, pour finalement atteindre tout le groupe, jusqu’aux décideurs cruciaux qu’il était essentiel de convaincre. 

 

En y repensant, son entreprise avait bien failli y passer s’il n’avait pas entamé ce projet de transformation, et il regretta même longtemps de ne pas avoir entamé ce projet plus tôt. Heureusement, son action avait abouti. Certes il avait fallu du temps, faire preuve de beaucoup de persuasion, et investir – peut-être perdre – de l’argent, mais le jeu en valait la chandelle. 

 

Car aujourd’hui, tous les acteurs privés et publics prennent systématiquement en compte les risques liés au climat (anticipations des effets du changement climatique, perte de valeur d’un actif après son achat du fait des politiques climatiques telle que les actifs liés aux énergies fossiles) et les opportunités associées (investissements devenant rentables du fait de politiques climatiques comme le prix du carbone). 

 

Historiquement, le milieu de la finance investissait massivement dans  des secteurs adossés aux énergies fossiles et donc néfastes pour l’environnement. En bref, il a fallu se battre pour réinvestir dans des activités plus respectueuses du climat. Aussi, une grande campagne de sensibilisation des risques financiers liés au climat avait réussi à faire pencher les investisseurs encore réticents. Ces risques financiers d’origine climatique étaient multiples. Tout d’abord les risques physiques qui pouvaient prendre la forme d’une destruction de stock d’actifs suite à des évènements météorologiques extrêmes favorisés par le réchauffement climatique. En témoigne l’année 2021 : feux de forêt géants, inondations, cyclones dévastateurs etc. Ces évènements ont un impact sur les populations, sur les économies et sur les revenus d’investissements. Mais ces risques impactaient aussi de nombreux secteurs et ainsi, détériorer les flux de revenus : récoltes plus faibles du fait de canicule, recettes du tourisme taries s’il n’y a plus de neige dans les stations de ski etc. 

 

Enfin, si cela avait pris du temps, c’était néanmoins possible. Il restait des retardataires, mais c’était maintenant eux que l’on pointait du doigt. À l’époque, ce n’était pas la norme. D’ailleurs, il avait lui-même poussé le projet suite à un rendez-vous avec son banquier, un jour de novembre 2029, qui lui avait recommandé de nouveaux produits d’investissements responsables. 

 

“Tiens, tu te rappelles quand j’ai entamé le projet Green or Nothing ?” dit-il à son compagnon qui préparait le repas. “C’était quand même un moment important de ma carrière. J’y repense et je me dis que l’investissement était énorme, mais il a été si bénéfique. Si nous n’avions pas anticipé les évolutions du marché et les réglementations, nous aurions dû nous transformer dans l’urgence et finalement, cela nous aurait coûté plus cher. Peut-être même la pérennité de l’entreprise”

 

“Oui c’est vrai. En fait, c’est comme quand on part en vacances et que j’oublie de faire ma valise en fonction de la météo. On se retrouve à faire toutes les friperies de la ville pour trouver des vêtements adaptés sur place. Ça nous coûte plus cher et peut-être même la pérennité de notre couple !”

 

“T’es bête” répondit Hélix en rigolant. Il repartit dans ses pensées. Demain était un jour important pour lui. On serait le 7 novembre 2050, et se tiendrait alors la COP 56. Il allait y participer avec un collectif de salariés, de dirigeants, de référents écologiques et avocats de la biodiversité pour participer aux questions autour de la transition écologique. Ces collectifs, apparus dès la COP26 de 2021 et qui comptaient une trentaine de personnes, sont aujourd’hui indispensables et représentent des milliers de salariés dans le monde. 

À l’époque, le credo était “Il suffit de 10 % des collaborateurs pour changer toute l’entreprise », aujourd’hui, nous sommes très fiers de pouvoir dire “c’est grâce à 10% des entreprises que le monde change”.

 

État des lieux

D’ici à 2050, les entreprises auront été bouleversées par la transition écologique. Suite aux conséquences du dérèglement climatique, elles n’auront pas eu le choix que de se conformer à de nouvelles réglementations, notamment dans les secteurs les plus influents. La neutralité carbone est atteinte pour la majorité des entreprises.

 

De nouveaux métiers auront été créés pour répondre à ces nouvelles exigences, comme par exemple le rôle d’un référent écologique, qui assurerait la prise en compte des impacts sur le climat et sur la biodiversité lors de chaque projets. 

 

Enfin, la prise en compte des questions environnementales ne sera plus isolée ou portée par quelques individus. Priorité mondiale, les rassemblements autour des solutions à apporter pour préserver l’environnement et lutter contre le dérèglement climatique seront au cœur du débat et invitera le plus grand nombre à y participer. Organisations non gouvernementales, institutions publiques, secteur privé et société civile trouvent des voies de coopération pragmatique qui permettent de trouver des solutions globales.

Eco-anxiété : comment la crise climatique peut déjà impacter votre entreprise

 

En 2020, la dégradation de l’environnement serait devenue la quatrième préoccupation des Français. Aujourd’hui plus que jamais, ce sentiment de préoccupation s’intensifie, tirant sa source des bouleversements environnementaux, politiques et sociaux actuels. S’il est impossible désormais de faire abstraction de la crise climatique, il n’en est pas moins légitime de ressentir de l’anxiété quant à la dégradation de notre environnement, qui est constamment menacé par l’activité humaine. 

Le GIEC a récemment publié sa synthèse de plus de 34 000 papiers scientifiques autour du dérèglement climatique. Ce sixième rapport, publié le 1er mars 2022, aborde les effets du changement climatique sur les sociétés humaines et les écosystèmes. Il révèle qu’environ un milliard de personnes seront menacées par des aléas climatiques côtiers, à moyen terme, et dans tous les scénarios. Énième avertissement, ce rapport fait état d’une situation « terrible » pour l’avenir dont les prémisses impactent  déjà votre entreprise, en commençant par le cœur de cette dernière : l’Humain. 

  

Éco-anxiété quand tu nous tiens : un esprit préoccupé dans un monde VUCA

L’éco-anxiété est un concept qui ne connaît pas encore de définition en France. En effet, il n’existe pas de consensus, notamment d’un point de vue médical, sur ce que recouvre ce terme initialement apparu à l’étranger. D’après les définitions existantes, l’éco-anxiété réunit toujours deux caractéristiques : un sentiment de préoccupation, d’inquiétude, d’anxiété et d’angoisse ressenti par certains individus et qui est provoqué par des bouleversements actuels ou bien par des menaces qui pèsent sur l’environnement, liés en particulier au dérèglement climatique. 

 

Selon une enquête en ligne de Charline Schmerber, praticienne en psychothérapie, auprès de 1200 personnes (non-représentative de ce que pense l’ensemble de la population française), 90 % des répondants affirment que la dégradation de l’environnement crée chez eux un sentiment d’anxiété. Cette anxiété n’est pas uniquement liée à l’environnement ou au dérèglement climatique. C‘est une anxiété qualifiée de « systémique », liée également aux guerres, aux violences, aux risques économiques ou sanitaires et donc, du risque d’un « effondrement » de la société telle que nous la connaissons. L’enquête révèle également que 80 % des répondants estiment que les problèmes environnementaux ont diminué leur confiance en l’avenir. 

 

Si le dérèglement climatique n’a pas encore de conséquences visibles et directes sur votre entreprise, elle impacte directement ce qui la fait vivre, c’est-à-dire les collaborateurs qui la constituent. Si ces derniers souffrent d’ un sentiment d’anxiété et de préoccupation face au monde, ils peuvent rapidement perdre leur motivation et leur engagement dans leur travail. Beaucoup vont vouloir remettre en question leur place dans la société et le sens de leur emploi, et si les managers ne prennent pas rapidement conscience de ces enjeux pour les accompagner, les collaborateurs concernés peuvent rapidement se désengager au quotidien. 

 

 

À la recherche du sens perdu 

Selon un sondage IFOP pour Philonomist, 82% des salariés français considèrent que l’entreprise est responsable de leur bonheur. Cependant, 49% se disent parfois amenés à agir contre leurs valeurs et 37% seraient prêts à gagner moins en échange d’un travail qui ait un sens. Les attentes des salariés français évoluent et ainsi, la prise en compte des valeurs et de l’impact d’une entreprise sur la société est aujourd’hui un facteur crucial d’engagement. Les actifs mettent aujourd’hui un point d’honneur à rendre compte de l’impact de leurs actions. Les collaborateurs veulent pouvoir débattre de la finalité de leurs actions, et plus seulement à exécuter.

 

Une étude conduite par l’institut de sondage OpinionWay pour le compte de Factorial démontre également une profonde remise en question du rapport des actifs français au travail. Ainsi, 33% des Français ont annoncé avoir perdu tout sens dans leur activité professionnelle depuis le début de la crise. Ces derniers sont nombreux à considérer que le travail n’est pas une source de plaisir ou d’intérêt, mais plutôt, qu’il s’agit avant tout d’une nécessité alimentaire (68%) et que si cela leur était possible sur un plan financier, ils arrêteraient complètement toute activité professionnelle (62%).

 

Ainsi, il est crucial pour les entreprises de prendre en compte ces nouvelles attentes et de se transformer pour répondre aux aspirations des collaborateurs. L’entreprise et les humains qui la composent sont interdépendants et ne peuvent exister l’un sans l’autre. Si les collaborateurs ne retrouvent pas ce sens perdu, alors le désengagement augmentera et les entreprises n’auront plus d’autres choix que de se réinventer. Pourquoi attendre ce point de non-retour, lorsqu’il est possible d’initier le changement dès aujourd’hui ?

  

Rebattre les cartes ou perdre la partie

Nous l’évoquions dans l’introduction de cet article, le sixième rapport du GIEC est alarmant. En effet, pour les experts, il reste encore une chance d’améliorer la situation, qui se réduit d’années en années. Il faudrait atteindre la neutralité carbone et agir immédiatement.  

 

Les entreprises ont donc toutes les cartes en mains pour initier – ou accélérer – leur transition écologique, et elles ont toutes les raisons de le faire. À la fois pour préserver l’environnement, mais également pour assurer leur pérennité. En effet, les entreprises ne pourront survivre dans le monde décrit par le rapport du GIEC si les efforts ne sont pas fournis. Si elles ne le font pas pour elles, elles devront au moins le faire pour garantir la productivité de leurs équipes, pour préserver leurs talents et engager les collaborateurs. Avec la formation, nous voulons changer les règles du jeu, pour transformer durablement l’entreprise et ainsi jouer plus longtemps. 

 

 

En conclusion, le processus de prise de conscience par rapport à l’état de la planète est enclenché. Néanmoins, ce processus doit être encouragé et initié par les entreprises. Pour transformer l’entreprise, la formation à grande échelle est essentielle. Elle permet de former massivement les collaborateurs sur les sujets cruciaux en matière de développement durable, et de sensibiliser sur les conséquences que nos activités humaines peuvent engendrer sur les écosystèmes. Apprendre, c’est avant tout comprendre, ce qui permet d’agir. 

Pour aller plus loin, découvrez Coorpecology, la plateforme de formation en ligne dédiée à la transformation durable 👉 https://www.coorpacademy.com/formation-en-ligne/coorpecology/ 

 

Pourquoi être une marque engagée est un facteur essentiel de compétitivité

 

En 2020, 90% des consommateurs attendaient déjà des marques qu’elles s’engagent et les aident à mieux consommer (Oney et OpinionWay). Depuis déjà plusieurs années, les consommateurs sont de plus en plus soucieux de réduire leur impact environnemental et se montrent plus exigeants quant aux agissements des entreprises. 

 

Les consommateurs ne sont pas les seuls à changer leur comportement. Les marchés changent aussi et de nouvelles façons de penser l’entreprise, de sourcer ses matières premières, et de produire émergent. Dès lors, être une marque engagée est devenu un facteur essentiel de compétitivité. Mais pourquoi et comment passer le cap de la transition écologique ?

 

Des attentes provenant des consommateurs…

Alors que nous nous posons cette question, à Glasgow, la COP26 se termine. Selon une étude Accenture menée auprès de plus de 1.000 entreprises cotées en Europe, seule 5 % des entreprises seraient en passe d’atteindre leurs objectifs de neutralité carbone à la date cible prévue pour leurs propres opérations, si elles poursuivent le même rythme de réduction des émissions qu’elles ont atteint entre 2010 et 2019 ; et seulement 9% d’entre elles seront en passe d’atteindre la neutralité carbone d’ici à 2050. 

La transformation durable peine à prendre effet. Si ce n’est pas la première fois que les scientifiques nous alertent sur les catastrophes dues au changement climatique, nous en sommes pourtant bien plus conscients aujourd’hui que jamais. Ainsi en juin 2021, 61% de Français jugent la question environnementale « très préoccupante » selon l’Observatoire de la consommation responsable Citeo x l’ObSoCo. 

 

… Mais aussi des collaborateurs !

Le fort impact de la crise pandémique a favorisé une large prise de conscience du rôle central des entreprises dans la société et de leur vulnérabilité dans un contexte incertain. Pour les Français, la capacité des entreprises à soutenir la transition écologique est un facteur qui gagne de plus en plus d’importance. Un sondage de 2021 réalisé pour Linkedin et l’ADEME sur les salariés démontre que l’environnement est leur deuxième préoccupation principale (derrière la santé), et même la première pour les jeunes salariés de moins de 35 ans. Soucieux des enjeux environnementaux,  93% d’entre eux donnent à la transition écologique une place importante pour les entreprises et 43 % l’estiment même prioritaire !

 

Finalement, la transition écologique des entreprises est un outil crucial de compétitivité. Les collaborateurs attendent maintenant de leur entreprise qu’elle soit engagée et sincère dans sa démarche de transformation durable. Les enjeux sont nombreux : recrutement de nouveaux collaborateurs, rétention des talents existants, engagement des équipes et marque employeur, les entreprises ont intérêt à changer pour répondre aux nouvelles attentes des collaborateurs… Mais aussi des consommateurs ! Pilier du bon fonctionnement de son activité, les consommateurs – ou clients – sont les poumons d’une entreprise. Ces poumons s’essoufflent, car ils sont à la recherche d’un nouvel air, celui d’une consommation plus durable, plus éthique et plus soucieuse de l’environnement. En devenant une entreprise durable, qui agit concrètement contre le dérèglement climatique, vous assurez un avantage concurrentiel important face à d’autres entreprises qui n’auraient pas encore pris l’initiative de se transformer. De plus, les consommateurs seront plus engagés auprès de votre marque, permettant leur fidélisation.

 

Si les entreprises n’initient pas ce changement pour répondre aux nouvelles attentes du marché, elles risquent de se retrouver rapidement au pied du mur et en danger. Le monde change et le meilleur moyen de ne pas se retrouver perdu, c’est de prendre part au changement.

 

La sensibilité au sein de la population à ces sujets est en forte croissance, mais il reste encore à embarquer l’ensemble des collaborateurs sur la transformation durable spécifique à chaque groupe et secteur, première étape indispensable pour réussir cette transformation sans précédent. Pour initier la transformation durable de votre entreprise, la formation est donc essentielle. Découvrez comment sensibiliser et former vos collaborateurs aux enjeux du dérèglement climatique sur Coorpecology, la première plateforme de formation dédiée à la transition écologique.

 

Transition écologique : quelles compétences seront indispensables pour se réinventer ?

 

Le saviez-vous ? 70% des Français sont pessimistes pour l’avenir de la planète, et pour 93% d’entre eux, la protection de l’environnement est un sujet important, près de la moitié jugent même que c’est un sujet prioritaire. Le baromètre “Les Français et leur empreinte carbone” publié par Odoxa le 16 septembre 2021 ne nous étonne pas tant que ça. La crise climatique est le combat du siècle, et les entreprises s’emparent de plus en plus de ces sujets – et c’est tant mieux ! Pourtant, plus de la moitié des Français interrogés au sein de cette étude estiment que ni leurs entreprises (55%), ni l’Etat et les collectivités locales (60%), ni les habitants de leurs régions (61%) ne les encouragent à réduire leur empreinte carbone. 

 

Pour transformer l’entreprise, éteindre la lumière derrière soi et faire de grands discours ne suffit plus, il faut se former aux nouveaux enjeux et comportements que la transition écologique implique, ainsi qu’en comprendre les mécanismes ! Alors, prêts à développer les compétences pour durer ? 

 

Pensée durable

Pour durer, encore faut-il pouvoir se projeter dans l’avenir et donc, penser durablement. Cette compétence encore non définie il y a quelques années, et qui vient d’intégrer le catalogue Coorpacademy, est indispensable pour réinventer un modèle d’entreprise qui prend en compte les enjeux et limites environnementaux qui encadrent les activités d’une entreprise. En développant la pensée durable de vos collaborateurs, vous assurez la durabilité de votre entreprise.

 

Pour initier la pensée durable de vos équipes, découvrez le cours sur “L’économie circulaire : de la ligne droite au cercle vertueux” co-édité avec MySezame 

L’économie circulaire : de la ligne droite au cercle vertueux

 

Adaptabilité et résilience

Selon le dernier rapport du GIEC, une hausse des températures moyennes mondiales de plus de 1,5°C aurait des conséquences désastreuses sur les écosystèmes et sur les systèmes terrestres naturels. Mégafeux, montée des eaux, espèces menacées, sécheresses, destruction des écosystèmes… Le monde de demain n’a rien à voir avec celui que nous connaissons actuellement. Dès lors, pour exister dans un monde qui nous est inconnu, et imprévisible, la force d’adaptation et de résilience sont des compétences cruciales. 

 

Préparez-vous pour le monde de demain en apprenant à évoluer dans un environnement VUCA à travers notre cours Coorpacademy ! 

Évoluer dans un environnement VUCA

 

Créativité et innovation

Les enjeux de la transition écologique sont nombreux, et surtout, nouveaux. Dès aujourd’hui, nous faisons face à des catastrophes écologiques sans précédent, et les solutions sont donc par essence innovantes. Dès lors, pour réinventer nos modes de pensée, nos comportements et notre économie, il faut être capable de créativité et d’innovation. Penser en dehors du cadre commun, pouvoir s’imaginer un monde totalement différent du nôtre et être capable de mettre en place de nouveaux processus sont des compétences essentielles pour accompagner la transition écologique. 

 

Découvrez le cours Créativité et innovation pour développer une atmosphère propice au brainstorming et favoriser une ambiance d’innovation !

Créativité et innovation

 

Parce que la transition écologique s’initie par la formation, nous avons récemment lancé une animation focus RSE sur l’ensemble de nos plateformes, afin d’assurer le développement des compétences en matière de lutte contre la crise climatique. Ainsi, tous les apprenants ont eu accès à 20 questions de transformation durable, pour tester leurs connaissances et se mettre à niveau sur les enjeux de la transition écologique !

 

5 cours indispensables pour transformer durablement l’entreprise à travers la formation

 

La transition écologique est un axe de transformation important pour nous, mais également pour le reste du monde. À l’occasion de la semaine du développement durable, qui s’est déroulée du 20 au 24 septembre 2021, découvrez les 5 cours indispensables pour initier la transformation durable de votre entreprise.

 

  • Apprendre c’est d’abord comprendre

Les causes de la crise écologique sont les premières bases à acquérir pour comprendre l’ampleur du problème. Climat, pollution, biodiversité : les écosystèmes planétaires sont en danger, et c’est en grande partie dû à notre système social et économique. La transformation durable d’une entreprise ne peut être efficace que si nous transformons également nos habitudes, personnelles ou professionnelles. Le cours Comprendre la crise écologique” co-édité avec le Collège des Directeurs du Développement Durable (C3D), a pour objectif de donner des clés de compréhension sur la crise écologique, afin de permettre aux professionnels de comprendre les mécanismes à l’origine de la crise écologique, leurs interactions et leurs conséquences.

Comprendre la crise écologique

 

  • La biodiversité, un capital naturel souvent négligé 

Après avoir compris l’ampleur de la crise écologique, il est important d’identifier ce que la crise écologique met en péril. Pour opérer leurs activités sereinement et de manière durable, les entreprises ont besoin de la biodiversité. Pourtant, les entreprises l’affectent autant qu’elles en dépendent. Essentielle au bon fonctionnement de tous les écosystèmes, la biodiversité est pourtant menacée par la crise écologique.  Il est donc temps d’agir pour la protéger. Ainsi, le cours Coorpacademy “​​Protection de la biodiversité : un atout pour les entreprisestransmet les meilleures pratiques pour préserver et valoriser ce capital naturel, et permet d’initier tous les collaborateurs aux enjeux de la transition écologique.

Protection de la biodiversité : un atout pour les entreprises

 

  • Transformer pour durer

Vous avez êtes à jour sur les origines de la crise écologique et son impact sur la biodiversité ? Il est temps de concrètement apprendre à transformer l’entreprise. Notre système économique contemporain qui repose sur un modèle de croissance infinie n’est plus viable. Dès lors, il est crucial de comprendre comment l’entreprise peut se réinventer pour devenir durable ? Grâce au cours Transformer l’entreprise pour la transition écologique” co-édité avec le Collège des Directeurs du Développement Durable (C3D), vous pourrez guider la transformation à travers des outils essentiels pour la transition et en adoptant les bons réflexes face aux changements. 

Transformer l’entreprise pour la transition écologique

 

  • D’une ligne droite à un cercle vertueux

Pour aller plus loin et réellement révolutionner le modèle économique actuel, nous recommandons le cours “L’économie circulaire : de la ligne droite au cercle vertueux” co-édité avec MySezame. En effet, si nous évoluons dans un monde de ressources finies, il en comporte des limites et nous commençons à apercevoir ces dernières. Dès lors, il est temps de repenser notre économie linéaire pour la transformer en un cercle vertueux et surtout, durable. 

L’économie circulaire : de la ligne droite au cercle vertueux

 

  • Et concrètement, ça donne quoi ?

Après avoir développé et testé vos connaissances théoriques sur la transformation durable, il est temps de s’intéresser aux démarches RSE. Entamer une démarche RSE dépend de chaque entreprise. Chaque entreprise peut agir à son échelle et avoir plus ou moins d’impact sur son secteur, mais alors, comment entamer ou transformer sa propre démarche RSE ? Pour vous orienter, découvrez à travers le cours Coorpacademy “Transformation durable : success stories et business cases 3 entreprises très différentes qui ont intégré la RSE dans leur stratégie en se basant sur les Objectifs de Développement Durable de l’ONU. Un cours pour vous donner les clés d’action pour impacter positivement la société.

Transformation durable : success stories et business cases

 

La formation à grande échelle est essentielle pour transformer l’entreprise. En formant massivement les collaborateurs sur des sujets cruciaux en matière de développement durable, et en sensibilisant sur les conséquences que nos activités humaines peuvent engendrer sur les écosystèmes, nous changeons peu à peu les règles du jeu ; et c’est en transformant durablement l’entreprise que nous pourrons jouer plus longtemps. Pour aller plus loin, découvrez Coorpecology, la plateforme de formation en ligne dédiée à la transformation durable !

Voir l'étude de cas