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L&D : Quelles tendances learning en 2023 ? 

 

On vous l’a déjà répété 100 fois… Bonne année ! En 2023, on vous souhaite ce qui consiste en l’habituel cocktail du bonheur – santé, succès avec un zeste de chance –  mais ce qu’on souhaite aussi pour vous… c’est une année riche en apprentissage. 

Pour vous accompagner efficacement dans votre stratégie de formation tout au long de l’année, nous vous avons concocté un Ebook complet sur la question : “Digital Learning 2023 : Défis et tendances RH” a télécharger ici.

Quelles en sont les principales conclusions ? On vous résume l’essentiel dans cet article, sous forme de bonnes résolutions pour bien commencer l’année.  

 

Bonne résolution n°1 : le blended learning, tu adopteras. 

La crise sanitaire a drastiquement fait évoluer les usages. Le travail à distance, les réunions Zoom et la formation en ligne en sont les preuves les plus flagrantes. Le blended learning, qui propose à la fois la formation en ligne et la formation en présentiel, est donc de plus en plus plébiscité.

En effet, les entreprises ont compris les avantages du travail à distance et du travail hybride. De ce fait, elles constatent également que le blended learning est un moyen efficace de former les employés.

Au niveau mondial, 93 % des entreprises comptent adopter l’apprentissage en ligne (FindStack, 2022) et 64 % des responsables formation estiment que la formation est passée de “nice to have” à “must have” (Empowill, 2021).

Pour en apprendre davantage sur le blended learning, cliquez ici.

 

Bonne résolution n°2 : Sur la RSE, tu formeras.

S’il y a quelque chose que l’on peut bien prédire, c’est l’intérêt croissant des collaborateurs pour les sujets de transition écologique. Selon les données récoltées sur nos plateformes clientes, la compétence “Sustainable thinking” fait son entrée en 2022 dans le top 5 des compétences les plus suivies de notre catalogue. 

Les sondages en témoignent : 84 % des Français pensent que le développement durable devrait constituer un enseignement obligatoire dans l’ensemble des formations professionnelles et supérieures (IPSOS). Et la montée en compétences de l’ensemble des parties prenantes est crucial : 77 % des investisseurs disent avoir un problème de compétence sur les sujets ESG (environnement, social et gouvernance) dans leur organisation.

Cet enjeu est clair, il est primordial de former les équipes pour développer les compétences nécessaires sur la transition écologique. Allez plus loin et découvrez 5 bonnes pratiques RSE à retenir.

 

Bonne résolution n°3 : Tes collaborateurs, tu engageras.

30 % des Français déclarent être moins motivés qu’avant (Fondation Jean Jaurès, novembre 2022). Grande démission, quiet quitting, l’année 2022 a été ponctuée d’expressions plus ou moins pertinentes pour parler du même enjeu : l’engagement des collaborateurs et l’affirmation de leurs besoins.

S’il y a bien une chose à retenir pour l’année prochaine, c’est l’importance de l’équilibre vies professionnelle et personnelle. En effet, les symptômes de la démission silencieuse proviennent de nouvelles exigences de collaborateurs qui ont revu leurs priorités.

La balle est donc dans le camp des managers, qui devront parvenir à conjuguer avec ces nouvelles attentes pour ré-engager les collaborateurs. 

Découvrez “Flemme et fatigue générales : et si on remotivait par le jeu ?” pour aller plus loin. 

 

Bonne résolution n°4 : Les talents, tu attireras.

Le salaire n’est plus l’alpha et l’oméga des avantages sociaux. 56 % des employés déclarent que l’évolution et les possibilités de carrière sont plus importantes que le salaire, ce qui en fait l’un des avantages les plus importants que vous puissiez offrir. 

Au-delà d’attirer les talents, la formation permet également de les pérenniser. Selon une enquête Linkedin, 94 % des collaborateurs resteraient plus longtemps dans une entreprise si celle-ci investissait dans leur carrière. Proposer un programme de formation aux employés est de fait au cœur de la stratégie de leur employabilité et de leur engagement renouvelé dans l’entreprise. 

En 2023, la formation n’est pas une option ou une activité ponctuelle, c’est un élément indispensable de l’équation des avantages sociaux. 

Pour aller plus loin : “Pourquoi la formation est un élément essentiel de l’expérience collaborateur

 

Bonne résolution n°5 : Des datas, tu t’inspireras

Chaque année, les datas récoltées sur nos plateformes apprenantes nous donnent d’importants indices sur les tendances d’apprentissage à suivre de près. 

Dès lors, quelles sont les évolutions de compétences les plus notoires en 2022 ? 

  • Apprendre à apprendre – +72 %

Récemment ajoutée au catalogue, cette compétence a rapidement progressé et rejoint le classement des skills populaires. Un signal faible à prendre en compte pour développer une vraie culture apprenante dans votre entreprise. 

  • Sensitivité culturelle, diversité et inclusion – +48 %

Un sujet de plus en plus plébiscité par les apprenants, qui connaît une forte augmentation. En effet, les enjeux sociaux prennent de plus en plus d’importance en entreprise, et le besoin en formation sur ces sujets parfois sensibles à aborder est indispensable. 

  • Culture data – +57 %

Cette compétence qui diminuait en nombre de consultations l’an dernier revient en grande pompe dans le classement. Devenir une entreprise “culture data-driven” permet de donner les moyens à son entreprise de s’adapter et de modifier ses circuits de prise de décision pour capitaliser au maximum sur l’intelligence de la donnée. En bref, un sujet qui demande un changement en profondeur et donc, de former les collaborateurs.

Au cœur des enjeux identifiés pour l’année se trouvent les nouvelles attentes et les besoins des collaborateurs. Se montrer authentiquement à leur écoute fera toute la différence pour la marque employeur des organisations. Les équipes les plus engagées sont celles qui bénéficient de la meilleure solution de formation, en cohérence avec les valeurs et les priorités des entreprises.

 

Pour en savoir plus sur les enjeux à venir, téléchargez le ebook “Digital Learning 2023 : Défis et tendances RH”

 

Semaine du Développement Durable : moment crucial pour acculturer vos collaborateurs à la transition écologique 

 

Du 18 septembre au 8 octobre se tient la Semaine européenne du développement durable. Cette année 2022 a pour fil rouge : « Agir au quotidien ». Le motto : toutes les actions comptent, y compris les gestes du quotidien, pour transformer en profondeur nos sociétés. 

En entreprise, c’est le même constat. C’est en plantant des petites graines que l’on arrive à transformer une organisation. C’est pourquoi nos clients ont pu proposer à leurs apprenants de s’acculturer à la transition écologique à travers une playlist de 5 cours, pour devenir acteur du développement durable. Et si l’on vous parle de planter des graines, c’est aussi parce qu’à l’issue de cette animation, un arbre sera planté toutes les 1000 questions répondues sur chaque plateforme. On vous explique ci-dessous.

 

« La Terre est désormais le seul et unique actionnaire de Patagonia ». Mercredi 14 septembre, Yvon Chouinard, le fondateur de la marque américaine de vêtements de plein air Patagonia, a annoncé avoir transmis 100 % du capital de son entreprise et de ses droits de vote à deux structures chargées de « protéger la planète », mission endossée par la société depuis 2018. Les dividendes de l’entreprise financent désormais les actions destinées à lutter contre le réchauffement climatique, à hauteur de 100 millions de dollars par an.

Records de température, sécheresse, méga-feux : au terme de l’été,  le besoin d’inventer de nouveaux modèles s’impose plus que jamais comme une évidence. Les choix de Patagonia sont pionniers, mais partout les attentes des salariés évoluent drastiquement. En effet, selon une étude CSA, à offre équivalente, 78 % des salariés préfèrent rejoindre une entreprise engagée pour la transition écologique. 

 

La même étude rapporte que 68 % des collaborateurs ont déjà exprimé le souhait d’être mieux formés aux questions relatives à la transition écologique. Pourtant, seuls 17% des salariés soutiennent que leur entreprise propose des formations sur les enjeux relatifs à la transition écologique. Proposer des formations autour des sujets environnementaux se trouve au cœur de la stratégie des  entreprises, qui ressentent le devoir de sensibiliser les collaborateurs et de les former à la transition écologique et surtout, impliquer l’ensemble de l’organisation dans une démarche environnementale. 

C’est pourquoi nos clients ont souhaité saisir le moment de la Semaine du Développement Durable pour renforcer la montée en compétences de leurs collaborateurs autour de la transition écologique, en lançant une animation sur les plateformes Coorpacademy by Go1 ! 

 

Comprendre, Imaginer, Agir

Si l’on devait retenir 3 mots pour comprendre pourquoi la formation est essentielle pour transformer l’entreprise, nous pourrions retenir les suivants : Comprendre, Imaginer, Agir. En effet, la compréhension des enjeux est clé pour ensuite pouvoir imaginer les actions à mettre en place au sein de sa propre entreprise ou industrie, et ces deux étapes sont cruciales pour passer à l’action. 

C’est dans ce contexte que nous avons proposé à nos clients l’animation “Devenez acteur du Développement Durable”. Cette animation propose aux apprenants de se former à travers une playlist de 5 cours permettant de développer des compétences dites “vertes”, qui pourront les aider à agir au quotidien en faveur de l’environnement. 

L’objectif étant que le plus grand nombre de collaborateurs joue les cours de la playlist, plusieurs mails ont été envoyés aux apprenants tout au long de la Semaine du Développement Durable. 

À l’issue de cette animation, des arbres seront plantés en l’honneur des utilisateurs qui auront participé. Dès lors, 1 arbre sera planté pour chaque palier de 1000 questions répondues, pour encourager les collaborateurs à compléter l’ensemble des cours de la playlist ! 

Ces arbres que nous allons planter font partie d’un projet global de reboisement de la forêt française, en partenariat avec l’entreprise Naudet. Créée en 1876, ses activités principales sont la production et la plantation de jeunes plants forestiers, et la production de sapins de Noël. Plus de 4000 ha sont reboisés chaque année chez des propriétaires publics et privés et plus de 20 millions de jeunes plants produits. Les projets de Naudet Reboisement sont maîtrisés de la production du plant jusqu’à la plantation, le suivi et l’entretien de cette plantation. 

 

Pourquoi planter ?

Dans les années 1990, 110 millions d’arbres étaient plantés par an, aujourd’hui c’est moins de 30 millions (Ministère de l’agriculture). Les forêts françaises sont soumises à des incendies, qu’ils soient de sources naturelles ou criminelles. L’impact environnemental d’un feu peut également être considérable. Et comme nous avons pu en être témoin au cours de ces derniers mois, les feux de forêts sont de plus en plus nombreux et ravageurs. 

Aux modifications de paysage, s’ajoutent la destruction de milieux qui s’accompagnent de pertes biologiques (faune et flore habituelles des zones boisées), la perte de qualité des sols et le risque important d’érosion, consécutif à l’augmentation du ruissellement sur un sol dénudé. Suite à ces incendies, des essences vont se régénérer naturellement et venir dominer le milieu ouvert. Il est important de réintroduire des variétés forestières améliorées par plantation pour restaurer la capacité de production. D’importantes surfaces doivent donc être régulièrement replantées suite à ces sinistres.

 

Avec notre partenaire, nous sommes fiers de pouvoir participer à notre échelle au reboisement de nos forêts, tout en augmentant l’impact de la formation pour changer durablement nos comportements ! 

 

Vous souhaitez initier la transition écologique de votre entreprise ? Parlons-nous.

 

5 bonnes pratiques RSE à retenir

 

Selon une étude IFOP publiée en 2021, 84% des répondants sont d’avis que le développement durable devrait constituer un enseignement obligatoire dans l’ensemble des formations professionnelles et supérieures. 

Aujourd’hui, la  Responsabilité Sociale des Entreprises (RSE) est un sujet stratégique pour les entreprises. Ingrédient crucial dans la recette d’une entreprise engagée et soucieuse de son impact environnemental, social et économique, cet ingrédient est pourtant souvent relayé au second plan. Dans cet article, nous vous proposons un plan d’action en 5 points clé pour engager efficacement vos collaborateurs dans une démarche environnementale !

 

Sensibiliser vos collaborateurs aux enjeux environnementaux 

La question environnementale est aujourd’hui au cœur des préoccupations des individus. Vos collaborateurs sont donc de plus en plus sensibles à ces problématiques.  Néanmoins, la question du dérèglement climatique ne date pas d’hier, et s’il est si difficile de changer les choses, c’est notamment car le chantier est vertigineux : on peut se sentir vite dépassé. Ainsi, une des clés pour mettre en place une stratégie RSE efficace est avant tout de sensibiliser les collaborateurs aux enjeux complexes de la question environnementale. Comment ? Un des moyens qui a récemment vu le jour et qui prend de plus en plus d’ampleur est celui de La Fresque du Climat. “Pour agir face au changement climatique, il faut d’abord le comprendre”. Voici la conviction qu’affiche l’association créée en 2018. Elle propose alors un atelier coopératif et ludique qui a pour objectif de sensibiliser le public au changement climatique. Pouvant se réaliser sur site ou à distance, la Fresque du Climat repose sur un jeu de cartes proposant des causes et des conséquences, et dont les joueurs doivent relier entre elles. Cela permet à chacun de faire le lien entre les causes et les conséquences du changement climatique et donc, de mieux comprendre l’ampleur du problème.

 

Développer les compétences des équipes sur les solutions à mettre en œuvre

Une fois sensibilisés et prêts à lutter face au changement climatique, il est nécessaire d’approfondir les connaissances des collaborateurs, notamment sur la recherche de solutions. Ainsi, la montée en compétence des collaborateurs sur les sujets environnementaux est cruciale pour mettre en place des solutions à court terme et esquisser d’ores et déjà le long terme. Cela peut prendre plusieurs formes. Tout d’abord, vous pouvez prolonger la phase de sensibilisation  par  des ateliers de brainstorming et de mises en situation pour la recherche de solutions. Cela permet d’appliquer les connaissances apprises et d’identifier les processus à transformer. De plus, chaque industrie, chaque département, doit trouver des solutions adaptées, et cela ne peut se faire qu’à travers les premiers concernés : les collaborateurs. Enfin, pour que votre démarche engagée pour l’environnement ne se cantonne pas à une seule journée, il est important de garantir une formation continue sur ces sujets, qui évoluent à une vitesse fulgurante. C’est pourquoi nous recommandons également d’intégrer une solution de formation en ligne qui vous permettra de former vos collaborateurs sur ces problématiques, au quotidien. Si le digital learning est un outil indispensable pour former massivement et rapidement tous les collaborateurs, il est aussi plus engageant et ludique, favorisant ainsi l’intérêt des salariés pour la formation.

 

Définir un collectif de salariés engagés pour promouvoir la culture RSE de l’entreprise et impliquer tous les collaborateurs

Pour imaginer une autre manière de faire les choses et transformer l’entreprise, il est nécessaire de répandre la culture RSE au sein de l’entreprise, au cœur de chaque métier. La multiplicité des actions à mener est telle que l’ensemble des salariés doit s’impliquer dans cette démarche. Ainsi, le management des parties prenantes est essentiel pour mener à bien cette mission. À un niveau plus global, on remarque que des réseaux d’entreprises engagées dans la transformation sociale et écologique de l’économie se forment de plus en plus. Ces initiatives, telles que le réseau Impact France qui a récemment participé à la Cop26 ou l’organisation Makesense qui crée des outils et des programmes de mobilisation collective pour permettre de passer à l’action et de construire une société inclusive et durable, donnent à chacun le pouvoir d’agir. Ainsi, au sein de l’entreprise, il est également utile de créer des collectifs de salariés qui souhaitent s’engager dans la transition écologique de leur entreprise. Piliers de la stratégie RSE, ils permettront de mobiliser les équipes autour d’objectifs communs pour insuffler le changement et développer une dynamique collective. 

 

Faire de la stratégie RSE un élément indissociable de la stratégie globale de l’entreprise

Une stratégie RSE efficace ne peut fonctionner qu’en s’inscrivant sur le long terme à l’ensemble de l’entreprise. Alors qu’auparavant, une fondation ou un don pouvait suffire pour montrer patte blanche, il est aujourd’hui indispensable pour les entreprises de s’adapter aux nouvelles législations telles que l’objectif bas-carbone proposé par les Accords de Paris. Dès lors, il est primordial de penser la stratégie RSE comme élément indissociable de la stratégie globale. Cela est nécessaire pour que l’entreprise puisse s’adapter en amont et relever les grands défis de demain, au lieu de réagir à chaud (au sens propre et figuré), une fois qu’il sera trop tard. L’idée est de bannir le greenwashing et d’accélérer une transformation profonde des activités des entreprises. Dès lors, la stratégie RSE doit être soutenue et promue par l’ensemble de l’entreprise, à commencer par les dirigeants. Concrètement, l’ensemble de l’entreprise doit être impliquée car chaque prise de décision et chaque plan d’action devront être pensés en incluant les objectifs RSE et en établissant des mesures sur les impacts qui en découlent.

 

Objectif : la certification BCORP

Le label «B Corp» est une certification octroyée par l’ONG indépendante B-Lab. Ce label est accordé aux entreprises qui se fixent des objectifs extra financiers sociaux ou environnementaux et qui répondent à des critères exigeants en matière de responsabilité et de transparence. Pour obtenir cette certification, il faut répondre à 200 questions sur cinq domaines : la gouvernance, les collaborateurs, les communautés, l’environnement et les clients. Si vous dépassez les 80 points, vous pouvez demander à être certifié. Pourquoi c’est important ? Le label «B Corp» est un mouvement international qui fédère déjà plus de 4000 entreprises de toutes tailles et tous secteurs dans 74 pays, dont plus de 145 en France. Gage d’une entreprise engagée, qui souhaite vraiment faire bouger les lignes.

 

Envie d’aller plus loin ? Découvrez notre article sur les compétences à acquérir pour se réinventer !

Et pour développer ces compétences indispensables, découvrez 3 cours qui développe la pensée durable : 

Écogestes : réduire son impact environnemental au quotidien

Protection de la biodiversité : un atout pour les entreprises

Transformation durable : success stories et business cases

 

2050 : L’Odyssée RH – Épisode 2

 

Quelque part dans le monde, à une date dont vous n’avez toujours pas l’utilité, nous avons localisé une technologie poussée permettant de nous immiscer dans le quotidien des salariés. Ce voyage fantastique à travers les expériences de différents collaborateurs vous entraînera jusqu’aux confins du Future of Work et vous permettra de percer les enjeux de transformation des entreprises. Aujourd’hui dans notre odyssée, découvrez le quotidien d’Hélix…

 

“Le verdict est tombé mardi soir. Une grande entreprise leader du secteur industriel en France vient d’être jugée pour inaction climatique due à l’utilisation de charbon dans sa production. Pour rappel, depuis le 28 janvier 2037, l’ensemble de la production d’énergie et de chaleur, y compris industrielle, ne doit plus utiliser de charbon. En effet, depuis déjà 15 ans, de moins en moins de Français se chauffent au charbon. Ainsi, tous les industriels devaient sortir du charbon avant 2035. Suite à la loi de 2037, les entreprises n’ayant pas organisé cette transition devront répondre aux sanctions prévues. Au total, l’entreprise devra payer…” 

Hélix éteignit son casque de réalité virtuelle où il regardait les informations du jour. Il était 19h et son temps quotidien était atteint. Au-delà, sa consommation aurait  enfreint la loi sur la sobriété numérique. Hélix pensait à cette histoire de charbon. Lui-même référent écologique au sein d’une grande entreprise financière, il avait dû se battre dans les années 2030 pour faire reconnaître de manière large et uniformisée les impacts sur le climat et sur la biodiversité des projets financés. En effet, à cette époque, alors que son poste venait d’être créé, il avait initié un large programme de sensibilisation et d’information autour de ce sujet, pour accélérer la transition écologique de son entreprise. Le projet avait connu un grand succès grâce à son organisation. Il avait d’abord lancé le projet sur des petites communautés au sein de l’entreprise, pour finalement atteindre tout le groupe, jusqu’aux décideurs cruciaux qu’il était essentiel de convaincre. 

 

En y repensant, son entreprise avait bien failli y passer s’il n’avait pas entamé ce projet de transformation, et il regretta même longtemps de ne pas avoir entamé ce projet plus tôt. Heureusement, son action avait abouti. Certes il avait fallu du temps, faire preuve de beaucoup de persuasion, et investir – peut-être perdre – de l’argent, mais le jeu en valait la chandelle. 

 

Car aujourd’hui, tous les acteurs privés et publics prennent systématiquement en compte les risques liés au climat (anticipations des effets du changement climatique, perte de valeur d’un actif après son achat du fait des politiques climatiques telle que les actifs liés aux énergies fossiles) et les opportunités associées (investissements devenant rentables du fait de politiques climatiques comme le prix du carbone). 

 

Historiquement, le milieu de la finance investissait massivement dans  des secteurs adossés aux énergies fossiles et donc néfastes pour l’environnement. En bref, il a fallu se battre pour réinvestir dans des activités plus respectueuses du climat. Aussi, une grande campagne de sensibilisation des risques financiers liés au climat avait réussi à faire pencher les investisseurs encore réticents. Ces risques financiers d’origine climatique étaient multiples. Tout d’abord les risques physiques qui pouvaient prendre la forme d’une destruction de stock d’actifs suite à des évènements météorologiques extrêmes favorisés par le réchauffement climatique. En témoigne l’année 2021 : feux de forêt géants, inondations, cyclones dévastateurs etc. Ces évènements ont un impact sur les populations, sur les économies et sur les revenus d’investissements. Mais ces risques impactaient aussi de nombreux secteurs et ainsi, détériorer les flux de revenus : récoltes plus faibles du fait de canicule, recettes du tourisme taries s’il n’y a plus de neige dans les stations de ski etc. 

 

Enfin, si cela avait pris du temps, c’était néanmoins possible. Il restait des retardataires, mais c’était maintenant eux que l’on pointait du doigt. À l’époque, ce n’était pas la norme. D’ailleurs, il avait lui-même poussé le projet suite à un rendez-vous avec son banquier, un jour de novembre 2029, qui lui avait recommandé de nouveaux produits d’investissements responsables. 

 

“Tiens, tu te rappelles quand j’ai entamé le projet Green or Nothing ?” dit-il à son compagnon qui préparait le repas. “C’était quand même un moment important de ma carrière. J’y repense et je me dis que l’investissement était énorme, mais il a été si bénéfique. Si nous n’avions pas anticipé les évolutions du marché et les réglementations, nous aurions dû nous transformer dans l’urgence et finalement, cela nous aurait coûté plus cher. Peut-être même la pérennité de l’entreprise”

 

“Oui c’est vrai. En fait, c’est comme quand on part en vacances et que j’oublie de faire ma valise en fonction de la météo. On se retrouve à faire toutes les friperies de la ville pour trouver des vêtements adaptés sur place. Ça nous coûte plus cher et peut-être même la pérennité de notre couple !”

 

“T’es bête” répondit Hélix en rigolant. Il repartit dans ses pensées. Demain était un jour important pour lui. On serait le 7 novembre 2050, et se tiendrait alors la COP 56. Il allait y participer avec un collectif de salariés, de dirigeants, de référents écologiques et avocats de la biodiversité pour participer aux questions autour de la transition écologique. Ces collectifs, apparus dès la COP26 de 2021 et qui comptaient une trentaine de personnes, sont aujourd’hui indispensables et représentent des milliers de salariés dans le monde. 

À l’époque, le credo était “Il suffit de 10 % des collaborateurs pour changer toute l’entreprise », aujourd’hui, nous sommes très fiers de pouvoir dire “c’est grâce à 10% des entreprises que le monde change”.

 

État des lieux

D’ici à 2050, les entreprises auront été bouleversées par la transition écologique. Suite aux conséquences du dérèglement climatique, elles n’auront pas eu le choix que de se conformer à de nouvelles réglementations, notamment dans les secteurs les plus influents. La neutralité carbone est atteinte pour la majorité des entreprises.

 

De nouveaux métiers auront été créés pour répondre à ces nouvelles exigences, comme par exemple le rôle d’un référent écologique, qui assurerait la prise en compte des impacts sur le climat et sur la biodiversité lors de chaque projets. 

 

Enfin, la prise en compte des questions environnementales ne sera plus isolée ou portée par quelques individus. Priorité mondiale, les rassemblements autour des solutions à apporter pour préserver l’environnement et lutter contre le dérèglement climatique seront au cœur du débat et invitera le plus grand nombre à y participer. Organisations non gouvernementales, institutions publiques, secteur privé et société civile trouvent des voies de coopération pragmatique qui permettent de trouver des solutions globales.

2050 : L’Odyssée RH

 

Quelque part dans le monde, à une date dont vous n’avez pas l’utilité, nous avons localisé une technologie poussée permettant de nous immiscer dans le quotidien des salariés. Ce voyage fantastique à travers les expériences de différents collaborateurs vous entraînera jusqu’aux confins du Future of Work et vous permettra de percer les enjeux de transformation des entreprises. Aujourd’hui dans notre odyssée, découvrez le quotidien de Xoe…

 

“Bonjour Xoe, bienvenue chez Coorpacademy ! Je suis Onboard, ton assistant virtuel qui t’accompagnera lors de ton onboarding pour le poste de Customer Success Manager Junior. Je vois d’après ta fiche collaborateur que tu n’as encore jamais visité nos locaux physiques. J’espère que ce sera bientôt le cas mais avant toute chose, laisse-moi te guider dans nos métabureaux !”

 

Une icône de chargement apparaît sur ma gauche. Je réajuste mon casque.

Une fois bien positionné, la voix d’Onboard reprend : 

 

“Le métabureau est un espace de travail virtuel dans lequel toute l’équipe peut se retrouver, même à distance. Comme tu peux le voir, la reconstitution 3D de nos locaux te permet de découvrir ton espace de travail comme si tu y étais ! Si tu souhaites une visite guidée, appuie sur…” 

 

Je décide de couper le mode tutoriel. Je suis plutôt bien habituée à la réalité virtuelle, je me rappelle même avoir passé mon épreuve orale du bac de français à distance lors de la canicule de 2042. Je me déplace dans les bureaux virtuels et découvre des locaux lumineux et très ergonomiques, avec une cuisine toute équipée, allant du plan de travail de permaculture au bac de compost intégré à la cuisinière ! Dans l’open-space, les espaces de travail sont à la fois communs, mais on retrouve des petites cabines permettant à chacun de s’isoler si besoin, ce qui me plait car étant parfois un peu anxieuse, j’aime pouvoir me retrouver seule dans un endroit calme. 

 

Une nouvelle notification apparaît.

 

“Pour réserver votre poste de travail en amont, pensez à télécharger l’application “Coorpers Portal”, qui vous permettra d’effectuer toutes vos démarches en rapport à votre lieu de travail, contrat et autres demandes administratives”. Je remarque en effet que les espaces de travail ne sont pas assignés, et que des casiers connectés sont mis à disposition afin de stocker les effets personnels de chacun. Je comprends que l’application Coorpers Portal me permettra de réserver un bureau ou une salle de réunion, de louer gratuitement un casier connecté ou encore de poser mes demandes d’absences. 

 

La voix d’Onboard reprend alors que je finis la visite : “Comment se sont passés tes premiers pas dans nos bureaux ?”, un écran me demandant de noter ma visite entre 1 et 5 apparaît et alors que je renseigne ma note, la voix étonnamment humaine de cette intelligence artificielle me précise : “Pour ton information, toutes les datas recueillies à travers les questions posées sont anonymisées et nous permettent d’améliorer l’expérience collaborateur en continu ! Pour continuer ton onboarding, si tu rencontrais les équipes ?” 

 

Je confirme et suis alors propulsée dans une salle de réunion colorée et accueillante où s’affiche sur mon écran les témoignages en vidéo de plusieurs collaborateurs. Je peux faire défiler les vidéos et choisir d’en lancer une. C’est ainsi que je découvre les rôles de chacun. À la fin de chaque témoignage, Onboard me demande si j’ai des questions, et si c’est le cas, envoie directement un message à la personne concernée pour fixer un entretien afin d’approfondir mes questions.

 

“Il est temps de te faire rencontrer ton manager ! Un appel visio est programmé pour dans 10 minutes avec Clément M., Customer Success Manager Senior.” me précise Onboard, que je décide de mettre en mute dans les paramètres de mon casque virtuel. Je préfère les sous-titres, et c’est assez rigolo de pouvoir changer la langue dans laquelle Onbaord me parle. En effet, j’ai la possibilité de modifier les paramètres pour renseigner la langue dans laquelle Onboard est configuré. Cela me permettra de réviser mon anglais !

 

L’entretien avec Clément se passe très bien. Après m’avoir présenté le fonctionnement de l’équipe et les missions du poste, il enchaîne sur une partie de l’entretien plus personnelle. Je peux lui préciser que le pronom que j’utilise est bien le pronom elle, que je suis de nature anxieuse et que dans mon travail, je tire une grande satisfaction à avoir un vrai impact sur la société. 

 

“Super, tu as donc un mode de rapport au travail plutôt axé Impact. Je t’enverrai une notification pour remplir tes informations personnelles dans Coorpers Portal, ton pronom utilisé, tes passions, tes aspirations au travail, etc. L’intelligence artificielle de cette application nous permet d’identifier les projets qui te correspondent et aussi la meilleure façon de communiquer avec chacun des collaborateurs ! 

 

D’ailleurs en parlant d’application, nous avons également une version pour nos comptes clients. Outil central de notre équipe, l’application Coorp & Vous nous permet de centraliser des données sur la relation avec nos clients, de mieux les connaître en tant qu’individus, mais aussi en tant que qu’entreprise. Ils renseignent leurs enjeux, les niveaux de priorités,  les projets à venir, les axes d’amélioration, etc. Cet outil est très complet, il va falloir que tu apprennes à le prendre en main, car il te permettra de connaître ton client par cœur, pour mieux l’accompagner. J’ai déjà indiqué à Onboard de télécharger ces applications afin que tu puisses y jeter un œil aujourd’hui pour te familiariser et noter si tu as des questions !”

 

Une fois l’entretien terminé, je regarde la progression du chargement de l’application Coorp & Vous sur le casque virtuel. Je réfléchis à cet onboarding et pense à mes parents, qui parlaient de comment eux, ont vu les entreprises se transformer. Ce monde de demain, comme ils l’appelaient, ils ont participé à sa construction et aujourd’hui, c’est le monde dans lequel je vais devoir faire mes preuves.

 

État des lieux

En 2050, la digitalisation des entreprises aura bouleversé les modes d’organisations que nous connaissons, sur tous les niveaux.

Outil pour faciliter et automatiser certains process, le digital pourra remplacer le mentor lors d’un onboarding et permettra un gain de temps pour les managers

L’espace de travail sera également repensé pour créer un environnement sain, respectueux de l’environnement, et flexible : les bureaux ne seront plus assignés à un employé mais seront des espaces de travail que les employés pourront réserver à la journée, la cuisine sera équipée pour permettre aux employés de retrouver le même confort qu’à la maison, et l’entreprise pourra repenser ses espaces de travail en impliquant les questions de biodiversité et de respect de l’environnement. 

Enfin, les relations intergénérationnelles et les questions de prise en compte de la personnalité des collaborateurs seront primordiales. De plus, la data que les managers pourront collecter grâce à la digitalisation des process leur permettra de mieux connaître chaque employé, pour individualiser son mode de management et ainsi, engager les collaborateurs.

Eco-anxiété : comment la crise climatique peut déjà impacter votre entreprise

 

En 2020, la dégradation de l’environnement serait devenue la quatrième préoccupation des Français. Aujourd’hui plus que jamais, ce sentiment de préoccupation s’intensifie, tirant sa source des bouleversements environnementaux, politiques et sociaux actuels. S’il est impossible désormais de faire abstraction de la crise climatique, il n’en est pas moins légitime de ressentir de l’anxiété quant à la dégradation de notre environnement, qui est constamment menacé par l’activité humaine. 

Le GIEC a récemment publié sa synthèse de plus de 34 000 papiers scientifiques autour du dérèglement climatique. Ce sixième rapport, publié le 1er mars 2022, aborde les effets du changement climatique sur les sociétés humaines et les écosystèmes. Il révèle qu’environ un milliard de personnes seront menacées par des aléas climatiques côtiers, à moyen terme, et dans tous les scénarios. Énième avertissement, ce rapport fait état d’une situation « terrible » pour l’avenir dont les prémisses impactent  déjà votre entreprise, en commençant par le cœur de cette dernière : l’Humain. 

  

Éco-anxiété quand tu nous tiens : un esprit préoccupé dans un monde VUCA

L’éco-anxiété est un concept qui ne connaît pas encore de définition en France. En effet, il n’existe pas de consensus, notamment d’un point de vue médical, sur ce que recouvre ce terme initialement apparu à l’étranger. D’après les définitions existantes, l’éco-anxiété réunit toujours deux caractéristiques : un sentiment de préoccupation, d’inquiétude, d’anxiété et d’angoisse ressenti par certains individus et qui est provoqué par des bouleversements actuels ou bien par des menaces qui pèsent sur l’environnement, liés en particulier au dérèglement climatique. 

 

Selon une enquête en ligne de Charline Schmerber, praticienne en psychothérapie, auprès de 1200 personnes (non-représentative de ce que pense l’ensemble de la population française), 90 % des répondants affirment que la dégradation de l’environnement crée chez eux un sentiment d’anxiété. Cette anxiété n’est pas uniquement liée à l’environnement ou au dérèglement climatique. C‘est une anxiété qualifiée de « systémique », liée également aux guerres, aux violences, aux risques économiques ou sanitaires et donc, du risque d’un « effondrement » de la société telle que nous la connaissons. L’enquête révèle également que 80 % des répondants estiment que les problèmes environnementaux ont diminué leur confiance en l’avenir. 

 

Si le dérèglement climatique n’a pas encore de conséquences visibles et directes sur votre entreprise, elle impacte directement ce qui la fait vivre, c’est-à-dire les collaborateurs qui la constituent. Si ces derniers souffrent d’ un sentiment d’anxiété et de préoccupation face au monde, ils peuvent rapidement perdre leur motivation et leur engagement dans leur travail. Beaucoup vont vouloir remettre en question leur place dans la société et le sens de leur emploi, et si les managers ne prennent pas rapidement conscience de ces enjeux pour les accompagner, les collaborateurs concernés peuvent rapidement se désengager au quotidien. 

 

 

À la recherche du sens perdu 

Selon un sondage IFOP pour Philonomist, 82% des salariés français considèrent que l’entreprise est responsable de leur bonheur. Cependant, 49% se disent parfois amenés à agir contre leurs valeurs et 37% seraient prêts à gagner moins en échange d’un travail qui ait un sens. Les attentes des salariés français évoluent et ainsi, la prise en compte des valeurs et de l’impact d’une entreprise sur la société est aujourd’hui un facteur crucial d’engagement. Les actifs mettent aujourd’hui un point d’honneur à rendre compte de l’impact de leurs actions. Les collaborateurs veulent pouvoir débattre de la finalité de leurs actions, et plus seulement à exécuter.

 

Une étude conduite par l’institut de sondage OpinionWay pour le compte de Factorial démontre également une profonde remise en question du rapport des actifs français au travail. Ainsi, 33% des Français ont annoncé avoir perdu tout sens dans leur activité professionnelle depuis le début de la crise. Ces derniers sont nombreux à considérer que le travail n’est pas une source de plaisir ou d’intérêt, mais plutôt, qu’il s’agit avant tout d’une nécessité alimentaire (68%) et que si cela leur était possible sur un plan financier, ils arrêteraient complètement toute activité professionnelle (62%).

 

Ainsi, il est crucial pour les entreprises de prendre en compte ces nouvelles attentes et de se transformer pour répondre aux aspirations des collaborateurs. L’entreprise et les humains qui la composent sont interdépendants et ne peuvent exister l’un sans l’autre. Si les collaborateurs ne retrouvent pas ce sens perdu, alors le désengagement augmentera et les entreprises n’auront plus d’autres choix que de se réinventer. Pourquoi attendre ce point de non-retour, lorsqu’il est possible d’initier le changement dès aujourd’hui ?

  

Rebattre les cartes ou perdre la partie

Nous l’évoquions dans l’introduction de cet article, le sixième rapport du GIEC est alarmant. En effet, pour les experts, il reste encore une chance d’améliorer la situation, qui se réduit d’années en années. Il faudrait atteindre la neutralité carbone et agir immédiatement.  

 

Les entreprises ont donc toutes les cartes en mains pour initier – ou accélérer – leur transition écologique, et elles ont toutes les raisons de le faire. À la fois pour préserver l’environnement, mais également pour assurer leur pérennité. En effet, les entreprises ne pourront survivre dans le monde décrit par le rapport du GIEC si les efforts ne sont pas fournis. Si elles ne le font pas pour elles, elles devront au moins le faire pour garantir la productivité de leurs équipes, pour préserver leurs talents et engager les collaborateurs. Avec la formation, nous voulons changer les règles du jeu, pour transformer durablement l’entreprise et ainsi jouer plus longtemps. 

 

 

En conclusion, le processus de prise de conscience par rapport à l’état de la planète est enclenché. Néanmoins, ce processus doit être encouragé et initié par les entreprises. Pour transformer l’entreprise, la formation à grande échelle est essentielle. Elle permet de former massivement les collaborateurs sur les sujets cruciaux en matière de développement durable, et de sensibiliser sur les conséquences que nos activités humaines peuvent engendrer sur les écosystèmes. Apprendre, c’est avant tout comprendre, ce qui permet d’agir. 

Pour aller plus loin, découvrez Coorpecology, la plateforme de formation en ligne dédiée à la transformation durable 👉 https://www.coorpacademy.com/formation-en-ligne/coorpecology/ 

 

Pourquoi être une marque engagée est un facteur essentiel de compétitivité

 

En 2020, 90% des consommateurs attendaient déjà des marques qu’elles s’engagent et les aident à mieux consommer (Oney et OpinionWay). Depuis déjà plusieurs années, les consommateurs sont de plus en plus soucieux de réduire leur impact environnemental et se montrent plus exigeants quant aux agissements des entreprises. 

 

Les consommateurs ne sont pas les seuls à changer leur comportement. Les marchés changent aussi et de nouvelles façons de penser l’entreprise, de sourcer ses matières premières, et de produire émergent. Dès lors, être une marque engagée est devenu un facteur essentiel de compétitivité. Mais pourquoi et comment passer le cap de la transition écologique ?

 

Des attentes provenant des consommateurs…

Alors que nous nous posons cette question, à Glasgow, la COP26 se termine. Selon une étude Accenture menée auprès de plus de 1.000 entreprises cotées en Europe, seule 5 % des entreprises seraient en passe d’atteindre leurs objectifs de neutralité carbone à la date cible prévue pour leurs propres opérations, si elles poursuivent le même rythme de réduction des émissions qu’elles ont atteint entre 2010 et 2019 ; et seulement 9% d’entre elles seront en passe d’atteindre la neutralité carbone d’ici à 2050. 

La transformation durable peine à prendre effet. Si ce n’est pas la première fois que les scientifiques nous alertent sur les catastrophes dues au changement climatique, nous en sommes pourtant bien plus conscients aujourd’hui que jamais. Ainsi en juin 2021, 61% de Français jugent la question environnementale « très préoccupante » selon l’Observatoire de la consommation responsable Citeo x l’ObSoCo. 

 

… Mais aussi des collaborateurs !

Le fort impact de la crise pandémique a favorisé une large prise de conscience du rôle central des entreprises dans la société et de leur vulnérabilité dans un contexte incertain. Pour les Français, la capacité des entreprises à soutenir la transition écologique est un facteur qui gagne de plus en plus d’importance. Un sondage de 2021 réalisé pour Linkedin et l’ADEME sur les salariés démontre que l’environnement est leur deuxième préoccupation principale (derrière la santé), et même la première pour les jeunes salariés de moins de 35 ans. Soucieux des enjeux environnementaux,  93% d’entre eux donnent à la transition écologique une place importante pour les entreprises et 43 % l’estiment même prioritaire !

 

Finalement, la transition écologique des entreprises est un outil crucial de compétitivité. Les collaborateurs attendent maintenant de leur entreprise qu’elle soit engagée et sincère dans sa démarche de transformation durable. Les enjeux sont nombreux : recrutement de nouveaux collaborateurs, rétention des talents existants, engagement des équipes et marque employeur, les entreprises ont intérêt à changer pour répondre aux nouvelles attentes des collaborateurs… Mais aussi des consommateurs ! Pilier du bon fonctionnement de son activité, les consommateurs – ou clients – sont les poumons d’une entreprise. Ces poumons s’essoufflent, car ils sont à la recherche d’un nouvel air, celui d’une consommation plus durable, plus éthique et plus soucieuse de l’environnement. En devenant une entreprise durable, qui agit concrètement contre le dérèglement climatique, vous assurez un avantage concurrentiel important face à d’autres entreprises qui n’auraient pas encore pris l’initiative de se transformer. De plus, les consommateurs seront plus engagés auprès de votre marque, permettant leur fidélisation.

 

Si les entreprises n’initient pas ce changement pour répondre aux nouvelles attentes du marché, elles risquent de se retrouver rapidement au pied du mur et en danger. Le monde change et le meilleur moyen de ne pas se retrouver perdu, c’est de prendre part au changement.

 

La sensibilité au sein de la population à ces sujets est en forte croissance, mais il reste encore à embarquer l’ensemble des collaborateurs sur la transformation durable spécifique à chaque groupe et secteur, première étape indispensable pour réussir cette transformation sans précédent. Pour initier la transformation durable de votre entreprise, la formation est donc essentielle. Découvrez comment sensibiliser et former vos collaborateurs aux enjeux du dérèglement climatique sur Coorpecology, la première plateforme de formation dédiée à la transition écologique.

 

Transition écologique : quelles compétences seront indispensables pour se réinventer ?

 

Le saviez-vous ? 70% des Français sont pessimistes pour l’avenir de la planète, et pour 93% d’entre eux, la protection de l’environnement est un sujet important, près de la moitié jugent même que c’est un sujet prioritaire. Le baromètre “Les Français et leur empreinte carbone” publié par Odoxa le 16 septembre 2021 ne nous étonne pas tant que ça. La crise climatique est le combat du siècle, et les entreprises s’emparent de plus en plus de ces sujets – et c’est tant mieux ! Pourtant, plus de la moitié des Français interrogés au sein de cette étude estiment que ni leurs entreprises (55%), ni l’Etat et les collectivités locales (60%), ni les habitants de leurs régions (61%) ne les encouragent à réduire leur empreinte carbone. 

 

Pour transformer l’entreprise, éteindre la lumière derrière soi et faire de grands discours ne suffit plus, il faut se former aux nouveaux enjeux et comportements que la transition écologique implique, ainsi qu’en comprendre les mécanismes ! Alors, prêts à développer les compétences pour durer ? 

 

Pensée durable

Pour durer, encore faut-il pouvoir se projeter dans l’avenir et donc, penser durablement. Cette compétence encore non définie il y a quelques années, et qui vient d’intégrer le catalogue Coorpacademy, est indispensable pour réinventer un modèle d’entreprise qui prend en compte les enjeux et limites environnementaux qui encadrent les activités d’une entreprise. En développant la pensée durable de vos collaborateurs, vous assurez la durabilité de votre entreprise.

 

Pour initier la pensée durable de vos équipes, découvrez le cours sur “L’économie circulaire : de la ligne droite au cercle vertueux” co-édité avec MySezame 

L’économie circulaire : de la ligne droite au cercle vertueux

 

Adaptabilité et résilience

Selon le dernier rapport du GIEC, une hausse des températures moyennes mondiales de plus de 1,5°C aurait des conséquences désastreuses sur les écosystèmes et sur les systèmes terrestres naturels. Mégafeux, montée des eaux, espèces menacées, sécheresses, destruction des écosystèmes… Le monde de demain n’a rien à voir avec celui que nous connaissons actuellement. Dès lors, pour exister dans un monde qui nous est inconnu, et imprévisible, la force d’adaptation et de résilience sont des compétences cruciales. 

 

Préparez-vous pour le monde de demain en apprenant à évoluer dans un environnement VUCA à travers notre cours Coorpacademy ! 

Évoluer dans un environnement VUCA

 

Créativité et innovation

Les enjeux de la transition écologique sont nombreux, et surtout, nouveaux. Dès aujourd’hui, nous faisons face à des catastrophes écologiques sans précédent, et les solutions sont donc par essence innovantes. Dès lors, pour réinventer nos modes de pensée, nos comportements et notre économie, il faut être capable de créativité et d’innovation. Penser en dehors du cadre commun, pouvoir s’imaginer un monde totalement différent du nôtre et être capable de mettre en place de nouveaux processus sont des compétences essentielles pour accompagner la transition écologique. 

 

Découvrez le cours Créativité et innovation pour développer une atmosphère propice au brainstorming et favoriser une ambiance d’innovation !

Créativité et innovation

 

Parce que la transition écologique s’initie par la formation, nous avons récemment lancé une animation focus RSE sur l’ensemble de nos plateformes, afin d’assurer le développement des compétences en matière de lutte contre la crise climatique. Ainsi, tous les apprenants ont eu accès à 20 questions de transformation durable, pour tester leurs connaissances et se mettre à niveau sur les enjeux de la transition écologique !

 

5 cours indispensables pour transformer durablement l’entreprise à travers la formation

 

La transition écologique est un axe de transformation important pour nous, mais également pour le reste du monde. À l’occasion de la semaine du développement durable, qui s’est déroulée du 20 au 24 septembre 2021, découvrez les 5 cours indispensables pour initier la transformation durable de votre entreprise.

 

  • Apprendre c’est d’abord comprendre

Les causes de la crise écologique sont les premières bases à acquérir pour comprendre l’ampleur du problème. Climat, pollution, biodiversité : les écosystèmes planétaires sont en danger, et c’est en grande partie dû à notre système social et économique. La transformation durable d’une entreprise ne peut être efficace que si nous transformons également nos habitudes, personnelles ou professionnelles. Le cours Comprendre la crise écologique” co-édité avec le Collège des Directeurs du Développement Durable (C3D), a pour objectif de donner des clés de compréhension sur la crise écologique, afin de permettre aux professionnels de comprendre les mécanismes à l’origine de la crise écologique, leurs interactions et leurs conséquences.

Comprendre la crise écologique

 

  • La biodiversité, un capital naturel souvent négligé 

Après avoir compris l’ampleur de la crise écologique, il est important d’identifier ce que la crise écologique met en péril. Pour opérer leurs activités sereinement et de manière durable, les entreprises ont besoin de la biodiversité. Pourtant, les entreprises l’affectent autant qu’elles en dépendent. Essentielle au bon fonctionnement de tous les écosystèmes, la biodiversité est pourtant menacée par la crise écologique.  Il est donc temps d’agir pour la protéger. Ainsi, le cours Coorpacademy “​​Protection de la biodiversité : un atout pour les entreprisestransmet les meilleures pratiques pour préserver et valoriser ce capital naturel, et permet d’initier tous les collaborateurs aux enjeux de la transition écologique.

Protection de la biodiversité : un atout pour les entreprises

 

  • Transformer pour durer

Vous avez êtes à jour sur les origines de la crise écologique et son impact sur la biodiversité ? Il est temps de concrètement apprendre à transformer l’entreprise. Notre système économique contemporain qui repose sur un modèle de croissance infinie n’est plus viable. Dès lors, il est crucial de comprendre comment l’entreprise peut se réinventer pour devenir durable ? Grâce au cours Transformer l’entreprise pour la transition écologique” co-édité avec le Collège des Directeurs du Développement Durable (C3D), vous pourrez guider la transformation à travers des outils essentiels pour la transition et en adoptant les bons réflexes face aux changements. 

Transformer l’entreprise pour la transition écologique

 

  • D’une ligne droite à un cercle vertueux

Pour aller plus loin et réellement révolutionner le modèle économique actuel, nous recommandons le cours “L’économie circulaire : de la ligne droite au cercle vertueux” co-édité avec MySezame. En effet, si nous évoluons dans un monde de ressources finies, il en comporte des limites et nous commençons à apercevoir ces dernières. Dès lors, il est temps de repenser notre économie linéaire pour la transformer en un cercle vertueux et surtout, durable. 

L’économie circulaire : de la ligne droite au cercle vertueux

 

  • Et concrètement, ça donne quoi ?

Après avoir développé et testé vos connaissances théoriques sur la transformation durable, il est temps de s’intéresser aux démarches RSE. Entamer une démarche RSE dépend de chaque entreprise. Chaque entreprise peut agir à son échelle et avoir plus ou moins d’impact sur son secteur, mais alors, comment entamer ou transformer sa propre démarche RSE ? Pour vous orienter, découvrez à travers le cours Coorpacademy “Transformation durable : success stories et business cases 3 entreprises très différentes qui ont intégré la RSE dans leur stratégie en se basant sur les Objectifs de Développement Durable de l’ONU. Un cours pour vous donner les clés d’action pour impacter positivement la société.

Transformation durable : success stories et business cases

 

La formation à grande échelle est essentielle pour transformer l’entreprise. En formant massivement les collaborateurs sur des sujets cruciaux en matière de développement durable, et en sensibilisant sur les conséquences que nos activités humaines peuvent engendrer sur les écosystèmes, nous changeons peu à peu les règles du jeu ; et c’est en transformant durablement l’entreprise que nous pourrons jouer plus longtemps. Pour aller plus loin, découvrez Coorpecology, la plateforme de formation en ligne dédiée à la transformation durable !

10 idées à retenir de notre livre blanc « Les compétences indispensables pour transformer son organisation »

Si vous n’avez pas eu le temps de parcourir les 46 pages de notre livre blanc sur les compétences indispensables à acquérir pour assurer le futur des organisations que nous venons de publier, voici les 10 idées à retenir :

1 ) La formation est clé pour assurer la pérennité de votre organisation


Si la pandémie nous a rappelé que l’imprévu peut tout faire basculer, elle nous rappelle aussi que l’adaptation est une compétence clé pour y faire face. Alors que l’OCDE prévoit que 50% des salariés dans le monde devront revoir leurs compétences à travers le prisme du changement d’ici à 2025, la formation doit faire en sorte que les collaborateurs acquièrent rapidement et massivement les compétences identifiées comme transformatives. En les développant, les collaborateurs ne subiront plus les changements à l’œuvre, mais en seront les acteurs clés, garantissant ainsi aux entreprises un temps d’avance.

 

2 ) Le numérique à grande vitesse


Selon une étude du cabinet McKinsey, suite à la pandémie, nous aurions gagné entre 5 et 7 ans dans l’installation et la formation des équipes aux nouveaux outils et modes de collaboration à distance. La crise sanitaire a accéléré la transformation digitale des entreprises et à mesure que les solutions numériques prendront en charge les tâches répétitives, les collaborateurs devront faire preuve de nouvelles compétences tournées vers leur capacité à s’adapter et à inventer. Si la transition numérique est en marche, le défi reste de taille, notamment car la pandémie a permis de mettre en lumière les lacunes des organisations sur les autres axes de transformation.

 

3 ) Les compétences indispensables pour transformer son organisation


Alors qu’en 2021, 65% des PDG comptent investir plus dans la transformation ces 3 prochaines années qu’ils l’ont fait ces 3 dernières années (enquête EY), découvrons le top 10 des compétences douces à acquérir d’ici 2025 selon le World Economic Forum :

Les compétences phares

– L’esprit d’analyse et d’innovation
– L’apprentissage actif et les stratégies d’apprentissage
– La résolution de problèmes complexes
– Le leadership et l’influence sociale
– L’apprentissage actif et les stratégies d’apprentissage

Les compétences qui perdurent

– La pensée critique et l’analyse
– La résolution de problèmes complexes
– La créativité, l’originalité et l’initiative

Les compétences qui montent

– Le leadership et l’influence sociale
– La résilience, la tolérance au stress et la fléxibilité
– Le raisonnement, la résolution de problèmes et l’idéation

 

4 ) Un catalogue de formations pour vous préparer aux défis de l’avenir 


Le catalogue Coorpacademy s’enrichit de nouvelles compétences pour mieux guider les entreprises dans leurs transformations. Ainsi, 100% des compétences identifiées par le World Economic Forum sont couvertes par au moins 2h30 de formation et Coorpacademy propose en moyenne 3 formations complètes par compétence.

 

Dans un monde en plein changement, le catalogue de Coorpacademy est en perpétuelle évolution, et s’équilibre entre les différents axes de transformation :

 

 

 

5 ) Des cours qui donnent envie d’apprendre


Découvrons ensemble le top 5 des cours les plus joués en 2021 :

– Le cours “Communiquez de manière efficace pour mieux collaborer” co-édité avec  Dunod Formation, est en 1ère place cette année, soit 2 places de plus comparé au classement 2020.

– Le cours Coorpacademy “Big Data”, perd 1 place comparé au classement 2020, mais reste un incontournable en se plaçant à la 2ème place !

– Le cours “Adopter une culture agile” co-édité avec Numa, fait son entrée dans le Top 5 en étant à la 3ème place, soit 4 places gagnés comparé au classement 2020.

– Le cours “Résoudre des problèmes complexes avec la méthode 4S” co-édité avec Bernard Garrette et Olivier Sibony, fait également une entrée triomphante dans ce Top 5 2021, en se hissant à la 4ème place du classement soit 10 places de plus comparé au classement 2020.

– Le cours « 1h chrono pour arrêter de stresser et rester zen » co-édité par Dunod Formation, reste au Top 5 malgré une place de perdue comparé au classement 2020.


6) Un nouveau modèle d’entreprise

La pandémie ne laisse plus le choix aux entreprises : il faut penser à long terme pour réussir à traverser et surmonter les crises. De plus, la crise climatique oblige elle aussi à changer d’échelle de temps pour réfléchir, voire à changer de façon de réfléchir. Ainsi, selon une étude EY, dans les 5 prochaines années, 91% des personnes interrogées s’attendent à ce que les modèles d’entreprise intègrent de plus en plus l’économie circulaire et 87% des personnes interrogées s’accordent à dire que la création de valeur à long terme sera porteuse. 

 

7) La formation : levier de performance 

Les transformations durable et digitale sont les locomotives de la réorganisation des entreprises pour la prochaine décennie et modèlent les nouvelles compétences à acquérir pour l’ ensemble des collaborateurs. Ainsi, proposer des formations claires et globales, permettant d’accompagner et de soutenir les entreprises dans leur démarche de transformation, est un enjeu majeur. 

 

8 ) Le savoir à portée de main

Demain, la formation ne sera plus qu’à portée de clic grâce à l’apprentissage dans le « flow of work », c’est-à-dire apprendre tout en exerçant ses propres tâches, à travers des solutions comme MicrosoftTeams couplées à son outil de formation. Pour que la formation devienne alors un automatisme et une force d’attraction des talents pour les entreprises. 

 

9 ) Nos clients se transforment grâce au digital learning


Nos clients ont utilisé des formations engageantes et pertinentes auprès de leurs équipes, pour accompagner les transformations de leurs groupes. Par exemple, afin d’inciter les collaborateurs du groupe Michelin, leader en fabrication de pneumatiques, à monter en compétences sur une vaste sélection de sujets autour de la transformation digitale, 3 parcours d’apprentissage, « Digital Starter », « Digital Passport » & « Digital Transformer » ont été poussés à l’ensemble des collaborateurs de l’entreprise (siège). Ces trois “passeports digitaux” dont le niveau était croissant regroupent les fondamentaux et guide les apprenants parmis les plus de 1700 cours du catalogue. Ainsi, chaque collaborateur a suivi en moyenne 61 leçons en ligne en se connectant 2 fois et plus mensuellement. Découvrez comment nos clients ont su tirer parti du digital learning selon leur objectif de transformation dans le livre blanc complet.


10 ) Les compétences préférées des apprenants


C’est dès aujourd’hui que la formation joue un rôle crucial pour que vos
collaborateurs montent en compétences et s’adaptent aux nouvelles attentes du marché de l’emploi.

 

Au regard du top 5 des compétences consommées en 2021, nos apprenants
sont déjà prêts pour appréhender sereinement les incertitudes du monde de demain :

 

 

Alors, envie d’en savoir plus sur les compétences indispensables pour transformer son organisation ? Découvrez le livre blanc en intégralité ici.

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