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Le top des soft skills à développer d’ici à 2027 : “Future of Jobs”, rapport 2023 du World Economic Forum 

 

Le World Economic Forum (WEF) a publié le 30 avril 2023 le “Future of Jobs Report 2023”. Cette quatrième édition poursuit l’analyse des tendances de l’avenir de l’emploi et fournit des informations essentielles pour guider et préparer les employeurs et les collaborateurs aux évolutions en cours. 

 

En effet, le monde du travail évolue rapidement et les compétences requises pour réussir et favoriser son employabilité changent également. Les employeurs recherchent des personnes qui possèdent non seulement des compétences techniques, mais aussi des compétences comportementales ou des « soft skills ». 

 

Vous pouvez découvrir le rapport en intégralité, sinon restez sur cette page, on vous résume le rapport en 5 points clés :

 

1- Les soft skills, un atout de taille humaine face à l’Intelligence Artificielle (IA)

Selon le rapport du WEF, l’adoption des technologies restera un moteur essentiel de la transformation des entreprises au cours des cinq prochaines années. Alors que les machines et les algorithmes peuvent automatiser de nombreuses tâches répétitives, les emplois qui nécessitent des compétences humaines comme la créativité, la collaboration, la communication, la résolution de problèmes et l’empathie continueront leur croissance. Les compétences douces sont des compétences qui nous différencient radicalement de l’Intelligence Artificielle, c’est pourquoi à mesure que ces technologies de pointe évoluent, la demande en soft skills augmente (de 53% selon la dernière enquête de Coorpacademy by Go1 avec Féfaur, publiée en avril 2023). 

 

Les technologies émergentes telles que l’IA générative redéfinissent les demandes de main-d’œuvre, et les employeurs mettent davantage l’accent sur les compétences « non techniques ». Ces compétences permettent aux entreprises de réagir au changement et à l’automatisation. Les compétences socio-émotionnelles ont pris une place de plus en plus importante entre 2017 à 2023, à l’exception d’une brève remontée vers les compétences techniques pendant les périodes de ralentissement sur le marché du travail qui étaient dûes au Covid-19 pendant l’année 2020.

 

Les technologies les plus susceptibles d’être adoptées sont le big data, le cloud computing, les technologies de l’éducation et l’IA. Plus de 75 % des entreprises envisagent d’adopter ces technologies au cours des cinq prochaines années. Les technologies les plus susceptibles de perturber les emplois sont les plateformes numériques et les applications, l’e-commerce et le commerce numérique, ainsi que l’IA. 

 

 

2- Les soft skills deviennent des leviers clés pour s’adapter aux changements 

Dans un monde en constante évolution, il est important de pouvoir s’adapter rapidement aux changements. Le monde évolue si vite qu’on le qualifie même d’environnement “VUCA” : acronyme pour décrire la volatilité, l’incertitude, la complexité et l’ambiguïté d’une situation. Ce n’est donc pas que dans nos têtes ! Mais bien un phénomène réel, en accélération. Les personnes ayant de bonnes compétences en matière de résolution de problèmes, de pensée critique et de prise de décision seront en mesure de faire face aux défis et aux opportunités qui se présentent à elles. 

 

Depuis la crise sanitaire et l’avènement du travail à distance, les entreprises demandent à leurs talents de savoir collaborer à distance, que ce soit avec des collègues, des partenaires commerciaux et des clients. Les employeurs recherchent des personnes capables de travailler en équipe, de communiquer clairement et d’écouter les autres. 

 

Enfin, les employeurs recherchent des personnes capables de diriger des équipes et de guider les autres. Pour cela, les compétences en matière de leadership, telles que la capacité de communiquer efficacement, de motiver les autres et de résoudre les conflits, sont de plus en plus recherchées.

 

3- Les soft skills améliorent la satisfaction et la productivité des collaborateurs

Les collaborateurs qui possèdent de bonnes compétences comportementales sont souvent plus heureux et plus productifs dans leur travail. Cela peut aider à améliorer l’efficacité de l’entreprise et à réduire le taux de rotation du personnel. 

 

Les plus de 800 entreprises interrogées dans le rapport indiquent que l’investissement dans l’apprentissage et la formation professionnelle est une stratégie courante pour atteindre les objectifs commerciaux de leur organisation. Quatre répondants sur cinq prévoient de mettre en œuvre cette stratégie au cours des cinq prochaines années. Le développement des compétences est le plus souvent considéré comme relevant de la responsabilité des collaborateurs et des cadres, or, pour multiplier l’impact de la formation, celle-ci doit s’inscrire dans la stratégie de l’entreprise au plus haut niveau. 

 

4- Le temps presse : formez-vous avant qu’il ne soit trop tard

Six collaborateurs sur dix auront besoin d’une formation avant 2027, mais seule la moitié d’entre eux semble avoir accès à des possibilités de formation adéquates aujourd’hui. Entre 2023 et 2027, la priorité absolue en matière de formation est l’esprit d’analyse, qui devrait représenter 10 % des initiatives de formation en moyenne. La deuxième priorité est de promouvoir la pensée créative, qui fera l’objet de 8 % des initiatives de formation. La formation à l’utilisation de l’IA et du big data se classe au troisième rang des priorités des entreprises en matière de montée en compétences au cours des cinq prochaines années et sera privilégiée par 42 % des entreprises interrogées. Les employeurs prévoient également de se concentrer sur le développement des compétences “douces” des collaborateurs, c’est à dire en matière de leadership et d’influence sociale (40 % des entreprises), de résilience, de flexibilité et d’agilité (32 %), ainsi que de curiosité et d’apprentissage tout au long de la vie (30 %). Deux tiers des entreprises s’attendent à un retour sur investissement de la formation professionnelle dans l’année qui suit l’investissement, que ce soit sous la forme d’une mobilité accrue entre les rôles, d’une plus grande satisfaction des collaborateurs ou d’une amélioration de leur productivité.

 

 

Les entreprises prévoient également que l’investissement dans la transition écologique et l’adaptation au changement climatique auront un impact sur l’emploi. Il demanderont notamment aux collaborateurs de développer de nouvelles compétences en matière de développement durable, ce qu’on appelle les Green skills. Le rapport “Global Green Skills Report 2022” de LinkedIn paru en 2022 en donne la définition suivante : « Les compétences vertes sont celles qui assurent la durabilité environnementale des activités économiques ». Le même rapport nous indique aussi que la part des talents “verts” dans la main-d’œuvre est passée de 9,6 % en 2015 à 13,3 % en 2022 (soit un taux de croissance de 38,5 %).

5- On rebat les cartes des compétences 

Les employeurs estiment que 44 % des compétences des collaborateurs seront perturbées au cours des cinq prochaines années. Les compétences cognitives sont celles dont l’importance croît le plus rapidement, ce qui vient confirmer l’ampleur du besoin en résolution de problèmes complexes sur le lieu de travail.

 

Selon le rapport, plusieurs compétences voient leur importance boostée de façon considérable. Les entreprises interrogées indiquent que la pensée créative gagne en importance un peu plus rapidement que la pensée analytique. La maîtrise des technologies est la troisième compétence de base dont l’importance croît le plus rapidement. Les compétences en matière d’auto-efficacité se classent avant le travail en équipe lorsqu’il s’agit du classement des compétences évoluant le plus rapidement. Les attitudes socio-émotionnelles dont l’importance croît le plus rapidement selon les entreprises sont la curiosité et l’apprentissage tout au long de la vie, la résilience, la flexibilité et l’agilité, ainsi que la motivation et la conscience de soi. La pensée systémique, l’IA et le big data, la gestion des talents, ainsi que le service à la clientèle complètent le top des compétences en croissance. Alors que les répondants ne jugent aucune compétence en net déclin, une minorité d’entreprises mais significative quand même, estime que la lecture, l’écriture et les mathématiques ; la capacité à garder son sang froid ; la dextérité manuelle, l’endurance et la précision sont de moins en moins prioritaires pour leurs collaborateurs.

 

45 % des entreprises considèrent qu’investir dans le développement des compétences est efficace pour relier les talents à l’emploi. Parmis les actions que le gouvernement peut mettre en place pour favoriser l’emploi, le financement de la formation professionnelle se classe devant la flexibilité des pratiques d’embauche et de licenciement (33 %), les incitations fiscales et autres pour que les entreprises améliorent les salaires (33 %), l’amélioration des systèmes scolaires (31 %) et la modification des lois sur l’immigration des talents étrangers (28 %). 

 

 

En conclusion, les soft skills sont de plus en plus importantes dans le futur du travail. Les employeurs recherchent des personnes qui possèdent des compétences comportementales telles que la collaboration, la communication, la résolution de problèmes et le leadership. Les personnes possédant ces compétences sont mieux préparées pour faire face aux défis et aux opportunités dans un monde en constante évolution.

 

Mais alors, quels sont les 10 soft skills à développer d’ici 2027 ?

Talents, attrapez-les tous : le pouvoir de la formation aux soft skills

 

“Un jour je serai le meilleur manager
Je me battrai sans répit
Je ferai tout pour être leader
Et gagner tous les défis
Je parcourrai la terre entière
Traquant avec espoir
Les talents et leurs mystères
Le secret de leurs pouvoirs

Talents !
Attrapez les tous…”

Selon “Pokepedia”, l’encyclopédie relative à la série japonaise culte, “pour réussir à capturer un Pokémon sauvage, il faut lui lancer une Poké Ball, après l’avoir épuisé lors d’un combat Pokémon.”

Bon, on vous déconseille de lancer une Poke Ball sur vos collègues ou de les épuiser à la tâche. On ne vous recommande pas non plus de changer votre organigramme pour un Pokedex, ni d’assimiler vos concurrents à la Team Rocket. En revanche, comme dans la série, les Pokémons, s’ils sont épanouis, vont connaître des évolutions et gagner en compétences. Vous voyez où on veut en venir ?

Allez, mettons fin à notre métaphore alambiquée et rentrons dans le vif du sujet. Dans cet article nous allons parler de rétention des talents.

 

Les entreprises sont confrontées à une pénurie de talents qualifiés, ce qui rend la rétention des talents plus importante que jamais. Selon notre récente enquête menée conjointement avec Féfaur auprès de 250 directeurs de la formation, 50% des directions RH considèrent que la formation aux soft skills est essentielle pour surmonter cette pénurie.

 

Les soft skills sont des compétences comportementales qui sont de plus en plus recherchées par les employeurs, notamment la capacité à travailler en équipe, résoudre des problèmes et prendre des initiatives. Les collaborateurs ayant ces compétences sont des atouts précieux pour les entreprises, et la formation aux soft skills est donc essentielle pour les retenir, leur permettre de monter en compétences et ainsi évoluer dans leur poste et au sein même de l’entreprise. 

Le Digital Learning est un outil de formation particulièrement adapté pour apprendre les soft skills. Il est flexible, accessible et personnalisable, ce qui permet aux employés de se former à leur propre rythme et selon leurs propres besoins. Selon l’enquête, 64% des répondants saluent le potentiel du Digital Learning de massification à l’accès aux formations en soft skills, brisant les barrières traditionnelles pour former davantage d’employés.

 

 

De plus, la formation est un levier important pour l’engagement et la fidélisation des employés. Selon une enquête menée par OpinionWay pour l’Observatoire de l’Engagement, 68% des employés considèrent que la politique de formation et de développement est la plus importante de leur entreprise (ClearCompany). Les collaborateurs souhaitent effectivement que leur entreprise les accompagne dans leur développement professionnel. 81% d’entre eux demandent des programmes de formation pour maintenir leurs compétences (France Compétences). Il est donc stratégique pour les entreprises de proposer à leurs collaborateurs un programme de formation aux soft skills accessible et engageant. 

 

En somme, la formation aux soft skills est essentielle pour retenir les talents et assurer le succès des entreprises. Le Digital Learning est un outil de formation efficace et accessible qui permet de répondre aux besoins de formation en soft skills des employés. Si vous êtes intéressés par les résultats complets de cette enquête, n’hésitez pas à la télécharger pour en savoir plus.

 

Découvrez l’intégralité de notre enquête dans notre ebook “Soft skills : question de survie pour l’entreprise ?” : cliquez ici !

Soft skills : le secret mal gardé d’un management efficace

 

Les soft skills, ces compétences non techniques liées à la personnalité, aux relations interpersonnelles et à la communication, sont de plus en plus reconnues comme un facteur clé de succès pour les entreprises. Et cela est particulièrement vrai pour les managers.  

 

Dans une enquête récente menée conjointement par Coorpacademy by Go1 et Féfaur auprès de plus de 250 directions Learning & Development d’entreprises françaises, 65 % des interrogés estiment que les soft skills sont absolument incontournables lorsqu’il s’agit de recruter ou de promouvoir un manager.

 

 

Cela n’est pas surprenant, car les qualités personnelles et relationnelles telles que la gestion d’équipe, la communication et le travail à distance sont essentielles pour une communication fluide et une collaboration efficace au sein des équipes encadrées. En tant que manager, se former au soft skills est donc un levier incontournable pour s’améliorer en continu. 

 

Mais ce ne sont pas seulement les managers qui ont besoin de développer ces compétences. En réalité, tous les collaborateurs, quel que soit leur niveau hiérarchique au sein de l’organisation, en ont besoin.  Les soft skills sont de plus en plus demandées sur le marché du travail : selon une étude du cabinet McKinsey, la demande en compétences physiques et manuelles devrait chuter de 16 % d’ici 2030 en Europe. Les collaborateurs dotés des meilleures soft skills seront de plus en plus recherchés pour assurer le bon fonctionnement du monde du travail de demain. Et si vous avez du mal à vous projeter, le réseau social LinkedIn a constaté que 92 % des entreprises s’accordent déjà à dire que les soft skills sont déjà aussi importantes que les hard skills. Nous n’avons pas fini d’en apprendre sur les soft skills… et d’apprendre tout court.

 

Si cela est évident pour les managers, les directions formation interrogées commencent à y voir des atouts pour les équipes dans leur ensemble, en faveur de la croissance de l’organisation. Selon notre étude “Former au soft skills, question de survie pour l’entreprise ?”, près de la moitié des entreprises – 49 % – privilégient le développement des compétences non techniques pour tous leurs employés, quel que soit leur poste.

La bonne nouvelle, c’est qu’avec le Digital Learning, tous les collaborateurs peuvent monter en compétences. Les entreprises ont également un rôle à jouer en permettant l’accès à ces formations ciblées sur les soft skills. La majorité des directeurs formation – 64 % – saluent le potentiel du Digital Learning pour massifier l’accès aux formations en soft skills, brisant ainsi les barrières traditionnelles pour former davantage d’employés.

 

 

En conclusion, les soft skills sont essentielles pour le succès de toute entreprise, quelle que soit sa taille et quel que soit son secteur. Les managers en particulier ont besoin de ces compétences pour réussir dans leur rôle, mais tout le monde peut en bénéficier. Les entreprises doivent donc s’efforcer de démocratiser l’accès aux formations en soft skills pour tous leurs employés, ce qui peut être réalisé grâce au potentiel du Digital Learning. Si vous êtes intéressés par les résultats complets de cette enquête, n’hésitez pas à la télécharger pour en savoir plus.

 

Pour aller plus loin, découvrez l’intégralité de notre enquête dans notre ebook “Soft skills : question de survie pour l’entreprise ?” : c’est par ici !

Le top des soft skills à développer en complémentarité avec l’IA

Arrivée de nouvelles IA, digitalisation et nouvelles formes de travail hybride… Comment les métiers sont-ils impactés face à ces évolutions ? Notre dernière enquête auprès de plus de 200 directions et responsables formation-RH en partenariat avec Féfaur (avril 2023) vient nous rassurer sur le fait que les humains ne sont pas devenus obsolètes en entreprise, bien au contraire. 

 

Les soft skills, propres à l’humain, sont devenues plus importantes que jamais pour se différencier des robots ! Mais par où commencer ?

 

-Je ne suis pas un robot 

Les soft skills, ou compétences comportementales, font référence aux qualités personnelles qui permettent aux individus de travailler efficacement avec les autres. Ces compétences sont liées aux qualités telles que la communication, la créativité, la résolution de problèmes, l’empathie, l’adaptabilité, la pensée critique, la collaboration ou le leadership.

 

L’IA est extrêmement utile pour effectuer des tâches répétitives et analyser des données en un temps record. Cependant, elle n’est pas capable d’égaler les compétences humaines qui sont nécessaires pour être performant et capable de travailler en équipe.

 

Les compétences comportementales sont bel et bien ce qui nous permet de faire preuve d’une chose que l’IA ne peut apprendre : le bon sens. Le cerveau humain a des subtilités que même la plus parfaite des IA ne pourrait égaler, comme par exemple : savoir communiquer efficacement, comprendre les émotions et être créatif.

 

-Les soft skills comme un outil pour utiliser l’IA 

Près de 45% des responsables formation-RH interrogés dans notre enquête identifient la transformation digitale comme leur principale préoccupation. Les collaborateurs doivent acquérir de nouvelles compétences et s’adapter rapidement aux outils technologiques. La capacité d’apprentissage rapide, la créativité, la gestion du temps et l’adaptabilité sont des compétences essentielles pour relever les défis de cette transition.

 

Avec l’accélération de la digitalisation et les nouvelles innovations en matière d’intelligence artificielle (GPT4, Midjourney, DALL-E), les entreprises doivent accompagner leurs collaborateurs dans la prise en main de ces outils. Pour le faire, les soft skills sont primordiales. Les compétences comme l’esprit critique permettront aux collaborateurs d’utiliser ces nouveaux outils avec parcimonie, vigilance et intelligence. 

 

S’adapter avec vigilance : c’est la recommandation de la majorité des experts en application des IA ces temps-ci, comme en témoignent les nombreuses retombées médiatiques à ce sujet. The Economist y a d’ailleurs consacré sa couverture européenne et un dossier décliné en plusieurs focus le 21 avril dernier.

 

– On met la main à la pâte ? 3 soft skills que l’IA nous envie

 

Les répondants à notre enquête ont énuméré plusieurs soft skills qu’ils considèrent comme prioritaires. Nous avons donc constaté que les responsables formation-RH voient se dessiner trois soft skills principales

 

-La capacité à travailler en équipe arrive en première place, avec pas moins de 82% des réponses. En effet, face aux nouvelles organisations hybrides, les besoins en matière de collaboration s’intensifient. 

-En deuxième position arrivent les compétences de communication (69%). En effet, pour travailler à distance notamment, savoir communiquer est un atout absolument majeur. 

-Enfin, l’intelligence émotionnelle ou l’empathie (64% des réponses). Elles sont des compétences de plus en plus identifiées comme cruciales dans la création et le maintien d’un environnement de travail sain et productif.

En conclusion, les entreprises doivent investir dans le développement de ces compétences chez leurs employés afin d’apprendre à utiliser et à tirer le meilleur parti de l’IA, ainsi que pour favoriser sa compétitivité et sa performance ! Les soft skills sont aussi un vrai levier d’attractivité. En effet, pour les jeunes actifs, la place que l’entreprise accorde à l’humain, aux valeurs, à la raison d’être, et par conséquent au développement des soft skills est crucial. La majorité des entreprises l’ont compris : accompagner leurs collaborateurs dans leur montée en compétences “douces” est un facteur différenciant ! Et même… incontournable. 

 

Pour aller plus loin, découvrez l’intégralité de notre enquête dans notre ebook “Soft skills : question de survie pour l’entreprise ?” : c’est par ici !

 

Enquête “Former aux soft skills, question de survie pour l’entreprise ?” – ce qu’en pensent les responsables RH-learning

 

Ces derniers mois, nous avons enfilé notre casquette d’enquêteur… Plusieurs centaines de directeurs et responsables RH et formation ont répondu à l’enquête de Coorpacademy by Go1 en partenariat avec le cabinet Féfaur sur les stratégies qu’ils mettent en place pour développer les soft skills dans leur entreprise. 

 

Les entreprises françaises sont en pleine mutation (arrivée de nouvelles IA, digitalisation et nouvelles formes de travail hybride) et pour survivre dans ce nouvel environnement, les soft skills sont devenues incontournables. Dans cet article, nous vous livrons les 3 points clés à retenir de notre étude, et un lien de téléchargement pour la découvrir en intégralité ! 

 

1. Les soft skills : premier levier pour s’adapter aux nouvelles formes de travail hybride


Les soft skills sont cruciales pour les entreprises, qui les considèrent comme la clé pour affronter les transformations du monde du travail et attirer les talents nécessaires à leur succès. 83% des responsables formation-RH mentionnent les nouvelles organisations du travail comme étant leur principale préoccupation et raison de développer les soft skills. Les compétences en communication, la résolution de problèmes et la prise d’initiative sont des atouts précieux pour s’adapter aux changements qui opèrent dans l’entreprise. 

 

La pénurie des talents, en deuxième position (50%), est également une des raisons pour lesquelles les soft skills sont essentielles. Les entreprises ont du mal à recruter et fidéliser des employés dotés des compétences recherchées, en particulier les soft skills comme le travail en équipe, la résolution de problèmes et la prise d’initiative. Les compétences en communication sont également très recherchées. 

 

Enfin, pour près de 45% des responsables formation-RH interrogés, la transformation digitale est leur principale préoccupation. Les collaborateurs doivent acquérir de nouvelles compétences et s’adapter rapidement aux outils technologiques. La capacité d’apprentissage rapide, la créativité, la gestion du temps et l’adaptabilité sont des compétences essentielles pour relever les défis de cette transition.

 

2. Les soft skills : pas réservées aux seuls managers !

Selon l’enquête Coorpacademy by Go1 x Féfaur, près de la moitié des entreprises (soit 49%) privilégient désormais le développement des compétences non techniques pour tous leurs employés, quels que soient leur poste ou leur niveau hiérarchique. Cette tendance reflète une prise de conscience croissante des avantages des « soft skills », qui peuvent profiter à toute l’équipe et favoriser la croissance de l’entreprise dans son ensemble. Il reste encore à convaincre l’autre moitié des entreprises qu’elles bénéficieraient massivement de cette formation à tous les niveaux. Chaque employé peut bénéficier de l’apprentissage de ces compétences pour améliorer sa performance et son bien-être au travail. 

 

Au niveau managérial, comme le montre l’enquête à télécharger ici,  65% des entreprises pensent que les soft skills sont absolument incontournables lorsqu’il s’agit de recruter ou de promouvoir un manager. C’est effectivement clé de s’assurer que les managers aient les compétences nécessaires pour bien encadrer leurs équipes.

 

3. Le Digital Learning : levier clé pour développer les soft skills


Le Digital Learning est un outil apprécié pour l’apprentissage des soft skills, grâce à sa flexibilité, son accessibilité, sa personnalisation et son suivi des compétences. Les responsables formation-RH saluent le potentiel du Digital Learning dans la massification de l’accès aux formations en soft skills pour briser les barrières traditionnelles. La variété des formats proposés et l’adaptabilité de cet outil sont également appréciées par les professionnels du learning & development (L&D) interrogés. La personnalisation des formations en fonction des retours d’expérience et l’évolution des employés est jugée importante par 46% des répondants. La dimension sociale et collaborative du Digital Learning est également valorisée par 25% des sondés, favorisant l’échange de connaissances. Enfin, 20% des répondants soulignent la possibilité d’évaluer l’efficacité des formations et le transfert des compétences acquises dans le milieu professionnel grâce au suivi des soft skills en action. 

 

En conclusion, les résultats de l’enquête Coorpacademy by Go1 x Féfaur mettent en évidence l’importance croissante accordée aux soft skills dans les entreprises et leur impact sur la performance globale de l’organisation. Les responsables formation-RH cherchent à intégrer ces compétences clés dans les parcours de formation continue comme à utiliser les outils de Digital Learning pour offrir des expériences d’apprentissage flexibles, personnalisées et adaptées aux besoins individuels. Cette approche de formation centrée sur l’apprenant favorise l’acquisition et le développement des soft skills indispensables pour réussir dans un monde professionnel en constante évolution. Allez… On repose notre casquette d’enquêteur pour reprendre notre cœur de métier : l’accompagnement dans la montée en compétence par le Digital Learning. 

 

 

Vous souhaitez télécharger l’enquête ? Cliquez ici ! 

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Se montrer busy : la règle d’or pour avoir une bonne image au travail ?

 

Attention à ne pas confondre le trop-plein d’activités avec de la productivité. On vous explique, grâce à cet article tiré de la Harvard Business Review. 

« Je suis sous l’eau », « je peux pas je suis dans le jus », « désolé mais je suis charrette » : nous avons tous déjà utilisé ou entendu l’une de ces expressions au travail (souvent à juste titre !). Mais depuis peu, il semblerait que la pression au travail à se montrer toujours surchargés soit devenue de plus en plus forte. Une étude de Gallup réalisée par Ashley Whillans, de la Harvard Business School, a révélé que le pourcentage de salariés américains déclarant n’avoir « jamais assez de temps » est passé de 70 % en 2011 à 80 % en 2018.

 

Au travail, cette pression peut se traduire par la nécessité de se montrer « busy » pour être perçu comme important, mais aussi comme productif. Dans cet article, nous allons analyser les effets négatifs que peuvent générer la culture de “la charrette” et la différence entre être productif et se montrer « busy ». 

 

Trop, c’est trop

L’article de la Harvard Business Review explique que la surcharge de travail peut entraîner des effets négatifs importants. Les travailleurs qui sont constamment débordés peuvent souffrir de stress, de burn-out, d’erreurs, de baisse de productivité et de mauvaise qualité de vie. Bien que la culture de la surcharge de travail soit souvent considérée comme productive, elle peut en réalité entraîner des coûts élevés en termes de santé mentale et physique des travailleurs. Des coûts qui se répercutent ensuite sur la performance de l’entreprise. 

 

Less is more

Être constamment occupé n’est pas gage de productivité réelle. Les collaborateurs qui se montrent productifs sont la plupart du temps organisés, savent prioriser les tâches importantes et sont efficaces dans leur travail. En revanche, se dire “sous l’eau” peut être motivé par la peur du jugement des collègues, l’effet de groupe (sous l’eau mais dans le même bateau), le besoin de reconnaissance ou encore l’incapacité à gérer son temps. Il est important de faire la distinction entre la productivité réelle et celle qui est imaginée : où le temps est rempli mais les tâches n’aboutissent pas de façon optimale…

 

Mieux gérer son temps, une compétence clé 

Comme manager pour ses équipes, ou pour soi-même, il est toujours utile de revoir ses notions afin d’améliorer en continu sa gestion du temps ! Avec à la clé : plus de productivité pendant les heures de travail, et donc plus de temps pour soi. 

Dans le cadre professionnel, avoir du temps est une chose, le gérer en est une autre. Mais alors, comment bien gérer son temps au travail pour être efficace ? C’est le sujet traité par le cours co-édité avec Dunod Formation et disponible dans notre bibliothèque de contenus. Composé de deux chapitres, ce cours est idéal pour apprendre à mieux gérer votre temps au travail et identifier vos priorités. 

 

3 points clés à retenir 

La loi de Pareto 

La loi de Pareto établit que 20 % de nos actions produisent 80 % de nos résultats. Nous perdons ainsi beaucoup de temps avec des tâches peu productives, qui apportent peu de valeur ajoutée à notre travail.

Cette loi ne s’applique pas uniquement à nos actions et résultats : elle établit par exemple aussi que 20 % des clients contribuent à 80 % du chiffre d’affaires, ou encore que 20 % des causes permettent de résoudre 80 % d’un problème.

 

Pour appliquer la loi de Pareto, acceptez de renoncer à certaines tâches, éventuellement en les confiant à d’autres personnes, et de réduire le temps consacré à d’autres. Vous pourrez ainsi vous focaliser sur les tâches plus productives.

Attention, si vous choisissez de renoncer à certaines tâches, pensez à bien communiquer auprès de vos collègues, pour bien clarifier la situation : vous éviterez ainsi d’être sollicité à mauvais escient.

 

La matrice Eisenhower 

Pour bien gérer votre temps, la matrice d’Eisenhower propose de trier les tâches en fonction de leur degré d’urgence et d’importance, et d’ainsi définir pour chacun l’action à entreprendre : par exemple, traiter vous-même et dans l’immédiat une tâche urgente et importante, mais déléguer une tâche urgente non importante.

Attention, ne vous laissez pas envahir par les tâches urgentes : pensez à bien réserver du temps à vos tâches importantes et non urgentes. Au risque de finir par devoir les bâcler dans l’urgence…

 

La règle d’or

Restez concentré sur l’essentiel ! Pour cela, vous devrez apprendre à tempérer votre perfectionnisme. Acceptez aussi de ne pas pouvoir toujours être exhaustif. Et n’hésitez pas à déléguer ! Pour plus d’efficacité, fixez une limite de temps pour chaque tâche. Cela vous contraindra par exemple à ne vous relire qu’une seule fois et pas trois…

7 considérations sur l’importance de former aux soft skills

Les soft skills montent en puissance, la formation qui en permet le développement aussi. Elles répondent aux nouvelles exigences qui ont émergé dans le monde du travail, notamment sous l’impact de l’automatisation des tâches. Coorpacademy by go1 accompagne cette vaste transformation en cours.

 

#1 Les formations aux soft skills sont toujours plus demandées dans les entreprises

Les soft skills sont des compétences de plus en plus poussées par les responsables formation. Au premier rang, la communication interpersonnelle boostée par l’expansion du télétravail qui exige des collaborateurs de mieux véhiculer leurs idées et d’être plus transparents sur l’avancée de leurs missions. Bien communiquer étant aussi une capacité clé du bon leader, la formation permet aux managers de progresser : capacité d’écoute, collaboration ou pensée critique sont aussi très demandées. Ces compétences ne sont pas réservées aux managers : l’agilité, l’adaptabilité et la résilience sont parmi les cours les plus joués du catalogue premium Coorpacademy, elles sont demandées par la plupart des apprenants.

 

#2 Les soft skills gagnent en importance dans le monde du travail

La considération pour les soft skills ne date pas d’hier (confère la parution, dès 2016, du premier rapport du WEF sur l’avenir des métiers). Cependant, l’accélération est nette depuis la pandémie de Covid-19 et la réorganisation — télétravail, mise en place de flex-offices… — qui s’est ensuivie. L’IA (ChatGPT, Dall-e…) vient à son tour bousculer les métiers et les « hard skills » dont le taux d’obsolescence s’accroît, alors que les robots commencent à menacer les emplois. Le savoir-être des collaborateurs prime dans ce contexte, notamment leur intelligence des situations et leur capacité à collaborer. Un marché du travail en tension – 7 métiers sur 10 en tension, selon la Dares — parachève ce constat. L’attractivité d’une entreprise, spécialement pour les plus jeunes actifs, dépend de la place qu’elle fait à l’humain, aux valeurs, au sens, et par voie de conséquences, au développement des soft skills. Beaucoup d’entreprises l’ont compris : accompagner leurs collaborateurs dans leur montée en « compétences douces » est un facteur différenciant !

 

#3 Les soft skills sont pour tous !

Les soft skills couvrent un large territoire, outre la communication ou l’intelligence émotionnelle, bien sûr : le design thinking, l’équité, l’inclusion et la diversité font l’objet d’une forte demande de l’ensemble des collaborateurs. Développer massivement les soft skills, c’est faciliter l’émergence d’une culture commune, faite de respect de l’autre, qui essentielle à la cohésion entre les équipes ; même si certaines de ces compétences concernent plus particulièrement les managers : le leadership par exemple. La pratique du management et de l’animation / cohésion d’équipe s’apprennent à l’expérience, mais largement aussi en s’y formant ; c’est pourquoi il est essentiel d’accompagner les managers, pour en faire de réels acteurs de la conduite du changement et de la transformation des groupes.

 

#4 Les soft skills conditionnent l’employabilité de chacun

Les soft skills sont moins faciles à exhiber que les « hard skills » sur un CV ou lors d’évaluations annuelles ! Pourtant, elles font la différence dans un entretien d’embauche ou dans la phase d’onboarding, puis dans le travail au quotidien, par exemple, dans les missions et les projets qui exigent une collaboration. Nous l’avons déjà mentionné en filigrane : les soft skills sont pérennes, au contraire d’une partie des hard skills que nous disputerons les automates et les algorithmes ; on peut être assuré que les soft skills seront plus valorisées par les recruteurs. S’il vaut mieux raisonner comme certains (par exemple, le WEF) en diptyque « compétences durables vs. compétences périssables », alors les soft skills ont l’avantage d’être transférables d’un secteur à l’autre et de rester pertinentes toute la vie.

 

#5 Dans le choix d’un manager, l’entreprise privilégie les soft skills plutôt que les compétences techniques

Les deux — soft skills, hard skills — entrent dans la balance au moment de choisir un manager ; elles ne s’opposent pas. Une entreprise ne saurait pas se contenter de l’une (la capacité d’un candidat à prendre la parole en public, par exemple) ou de l’autre (sa connaissance des modes de réglage de systèmes essentiels à la bonne tenue d’une usine). Par ailleurs, la fidélisation des collaborateurs passe souvent par les perpectives de mobilité qui leur sont offertes, ce qui peut déboucher sur la promotion, du jour au lendemain, des meilleurs techniciens à des postes de manager qui devront alors être formés aux soft skills (lesquelles ne se devinent pas). Un parcours personnalisé permet au manager d’autoévaluer les soft skills qu’il possède déjà, parfois sans le savoir, puis de se voir recommander une formation sur mesure. L’apprentissage du leadership, dès le premier poste managérial, est le point de départ crucial pour se développer comme manager.

 

#6 Profil d’un dispositif de formation pour développer massivement et continûment les soft skills

Un tel dispositif de formation doit aisément s’insérer dans le flux de travail, et donc être accessible à tout moment sur les outils du quotidien. L’expérience vécue par les apprenants dans la solution Coorpacademy by Go1 est la plus fluide et la plus agréable possible, grâce à des contenus de qualité et des formats adaptés aux diverses thématiques ; par exemple, les collaborateurs pourront travailler leur sens critique avec un jeu : un Cluedo. L’individualisation doit aussi être au rendez-vous via l’auto-diagnostic et la recommandation d’un parcours 100 % personnalisé déjà évoqué. Le catalogue premium Coorpacademy permettra aux apprenants de s’ouvrir aux transformations du monde et de renforcer leur culture générale, partie intégrante des soft skills. Ces cours sont conçus par Coorpacademy by go1 ou par nos 80+ partenaires qui sont des majors de l’édition (Dunod, Eyrolles, Fabernovel, Forbes ou Video Arts…) ; le plus grand choix de sujets est disponible : technologie, big data, économie, transition environnementale…

 

#7 Coorpacademy by Go1 : un leader de ce marché en plein boom

Coorpacademy by go1 répond à tous les besoins en soft skills de ses clients, grâce à la plus riche bibliothèque de formations du marché, dans une logique de co-construction / co-curation des contenus accompagnée par nos équipes de Customer Success. Cet accompagnement des entreprises au jour le jour, nourri par les data comportementales des apprenants recueillies sur notre plateforme, explique leur haut niveau d’engagement : nos solutions de formation en ligne les convainquent aussi par la pertinence des sujets proposés dans leur montée en compétences. L’adaptation de nos modules et de leurs parcours de formation, ainsi que le choix des meilleures modalités pédagogiques pour mémoriser les connaissances, sont renforcés par le partenariat privilégié avec les chercheurs de l’EPFL, spécialisés dans les sciences comportementales. À quoi l’on ajoutera l’importance considérable que nous attachons à l’expérience finale de l’utilisateur, sous la forme notamment de formats ludiques qui permettent d’ancrer plus durablement les savoirs.

Pourquoi valoriser ses soft skills ? 4 points clés à retenir de l’interview d’Arnauld Mitre pour BFM Business

 

Arnauld Mitre, General Manager de Coorpacademy by Go1, répond aux questions de Nicolas Doze dans l’émission JMLECO, sur le site BFM Business ! Au programme : actualités du digital learning et importance des soft skills pour assurer la compétitivité de votre entreprise et la montée en compétences de tous les collaborateurs. 

 

Retrouvez le replay en ligne ici et découvrez les 4 points clés à retenir de cette intervention : 

  1. Oui à une bibliothèque de contenus à l’infini, mais gare à l’indigestion

Il faut pouvoir proposer à l’ensemble des collaborateurs de chaque entreprise ce dont ils ont besoin pour monter en compétences. Il faut donc un large choix de contenus premium, mais il faut en même temps s’assurer d’une très bonne curation de ces contenus. Concrètement, il faut proposer cette infini de contenus de façon digérable. C’est-à-dire, en créant des playlists, des parcours adaptés aux besoins de chacun. Et pour ça, il existe des algorithmes, l’intelligence artificielle, ou encore l’éditorialisation humaine, comme le font très bien nos équipes d’ingénieurs pédagogiques en charge du contenu chez Coorpacademy by Go1. 

 

  • La plateforme doit s’adapter à l’individu, pas l’inverse

La formation doit pouvoir répondre aux besoins qui ponctuent le quotidien de chaque collaborateur. Certains collaborateurs vont avoir besoin de se former rapidement, par exemple en vue d’une réunion sur la big data, le collaborateur va pouvoir suivre un microlearning pour voir en moins de 5 minutes l’essentiel sur le sujet et éviter la big cata en réunion. À d’autres moments, les collaborateurs ont plus de temps et vont pouvoir approfondir le sujet et suivre des modules de formation plus longs, plus complets. Il existe aussi des situations où le collaborateur cherche à évoluer professionnellement. On va pouvoir lui proposer de suivre un parcours entier de formation, et décrocher un certificat pour l’aider à changer de travail ! Si le collaborateur est en voiture, il peut également décider de suivre un podcast de formation. Les situations sont multiples, et c’est pourquoi notre catalogue de formation doit l’être aussi. Nous nous devons de fournir autant de formats possibles qu’il y a de manières d’apprendre. 


 

 

 

 

 

 

  • Le fond est tout aussi important que la forme

L’invention des nouveaux usages, nous la laissons au secteur de l’entertainment. Nous reprenons ses codes, nous nous y adaptons totalement. C’est ce qu’attendent les apprenants.  Quand on produit de la formation digitale, on ne peut pas se permettre de proposer des vidéos de plus de 8 ou 10 minutes. En effet, les réseaux sociaux ont changé notre façon de consommer du contenu et ont façonné de nouvelles exigences de la part des utilisateurs. Alors, quand les usages évoluent, les contenus s’adaptent pour rester pertinents aux yeux de ceux qui vont les consommer. 

 

  • Les robots ne font pas le poids face aux soft skills

Si l’automatisation des tâches en entreprise se développe,  avec les nouvelles utilisations de l’IA qui vont transformer nos organisations en profondeur, tout ceci vient surtout questionner le besoin en hard skills – compétences purement techniques. En effet, ce que ces avancées technologiques mettent en exergue, c’est avant tout la nécessité de développer les softs skills, ce qui distingue l’humain du robot. 

 

Comment gérer votre passion au travail (pas celle que vous croyez)

 

Aimez-vous votre travail passionnément ? 

À rebours du concept de démission silencieuse, le magazine britannique The Economist publie en cette semaine de Saint-Valentin un article sur les avantages et les risques liés au fait d’aimer (un peu trop) son travail, un phénomène qui serait en hausse (de 2% en 2007 à 16% en 2019).


Les chercheurs Jon Jachimowicz et Ke Wang de l’université de Harvard ainsi que Erica Bailey de l’université de Columbia expliquent que les employés qui sont perçus comme plus passionnés par leur travail que leurs collègues auront tendance à recevoir un feedback plus positif de la part de leurs managers et auront également plus de chance d’être promus ou se voir proposer des opportunités de formation. 

Cela peut créer le risque pour les employeurs de sous-valoriser la compétence (ou l’éventuel manque de compétences) des collaborateurs passionnés, au profit de leur motivation. Pourtant, le boulanger le plus motivé du monde pourrait tout à fait vous proposer les pires profiteroles que vous aurez jamais goûtées. 

Il y a également un risque pour les employés : même si leur motivation est bien réelle, elle ne doit pas se transformer en des comportements compulsifs. On doit aimer son travail sans en être obsédé… Une certaine distance est importante pour maintenir une bonne hygiène de vie. 

 

Alors, comment éviter que votre travail ne devienne une relation toxique ? Voici 5 cours pour vous aider à ne pas tomber sous l’emprise de la passion…

Agir pour se protéger du burn-out co-édité avec Dunod Formation

Préserver son bien-être psychologique co-édité avec Video Arts

Télétravail : santé, motivation et sécurité co-édité avec lawpilots

Intelligence émotionnelle : gérer les émotions au travail co-édité avec Dunod Formation 

Le bien-être à l’heure du numérique par Coorpacademy

 

Saint-Valentin : 5 softs skills essentielles pour renforcer vos relations

La Saint-Valentin approche à grands pas ! C’est donc le moment idéal pour vous concentrer sur vos compétences relationnelles. Oubliez Cupidon, votre vrai allié sont les soft skills, aussi appelées compétences douces. Alors le 14 février, que vous soyez en couple, entre amis ou en solo, utilisez vos soft skills pour faire de vos relations un succès ! 

Dans cet article, nous allons explorer 5 softs skills essentielles pour renforcer vos relations et créer une connexion plus profonde avec votre partenaire, vos amis ou encore vos collègues. 

 

  1. La communication :
    Vous ne serez pas surpris, la communication est l’un des piliers de toute relation saine et heureuse. En développant votre capacité à mieux communiquer, vous pouvez éviter les malentendus, les disputes inutiles et renforcer vos liens. Il est important de savoir écouter l’autre, de poser des questions pour clarifier les choses et de s’exprimer clairement. N’hésitez pas à vous former aux fondamentaux de l’écoute active pour faire durer vos relations sur le long terme ! 

  2. L’intelligence émotionnelle :
    L’intelligence émotionnelle, également connue sous le nom de quotient émotionnel (QE), est la capacité à évaluer correctement vos émotions ainsi que les émotions des autres dans toutes les situations, utiliser un bon jugement et se comporter de manière appropriée pour atteindre le résultat souhaité. Développer cette compétence vous permettra de prendre de meilleures décisions pour vos relations, et de mieux vous comprendre l’un et l’autre.  
  3. L’agilité :
    La vie peut être imprévisible et les situations peuvent changer rapidement. Avoir la capacité à être flexible et accepter les changements peut vous aider à naviguer dans les moments difficiles et à renforcer vos relations. Soyez ouvert d’esprit et considérez les changements comme des opportunités ! 
  4. La résilience :
    La résilience est clé pour surmonter les épreuves et les échecs que vous pourrez rencontrer dans vos relations. Savoir rebondir et aller de l’avant est crucial pour les maintenir, car la vie n’est pas un long fleuve tranquille. Et puis, on ne vous le souhaite pas forcément, mais toute relation peut connaître une fin. Alors autant développer sa résilience pour éviter la dépression post-rupture !
  5. La résolution de problèmes :
    Les problèmes sont inévitables dans toutes les relations, mais la capacité à les résoudre peut faire toute la différence. En apprenant à identifier les problèmes, à les aborder ensemble et à trouver des solutions, vous serez plus serein et vous éviterez les malentendus qui peuvent parfois prendre trop de place.

 

En développant ces 5 soft skills, vous pouvez renforcer votre relation et vivre une Saint-Valentin heureuse et épanouissante. Prêts à vous former ? Voici notre sélection de 5 cours pour renforcer vos relations, qu’elles soient amoureuses, amicales ou professionnelles.

 

  • Améliorer son écoute co-édité avec les Éditions Eyrolles

Améliorer son écoute

  • Développer l’intelligence émotionnelle co-édité avec Talentquest

Développer de l’intelligence émotionnelle

  • Testez vos facultés d’adaptation par Coorpacademy 

Testez vos facultés d’adaptation

  • Améliorer son jugement co-édité avec Olivier Sibony

Améliorer son jugement

  • Pensée créative et résolution de problèmes co-édité avec Talentquest 

Pensée créative et résolution de problèmes

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