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Les 10 compétences essentielles à développer selon le Forum Économique Mondial

 

La deuxième édition du rapport « Future of Jobs » du World Economic Forum (WEF) prévoit la disparition de 75 millions d’emplois d’ici à 2025 contre 133 millions d’emplois nouvellement créés grâce à la révolution numérique. Soit un solde positif de 58 millions qui peut nous rendre optimiste à condition d’acquérir les compétences de demain !

Parmi les jobs qui seront les plus recherchés, on va évidemment retrouver de nombreux métiers liés aux nouvelles technologies et au développement du digital comme le machine learning, l’intelligence artificielle, le big data : data scientists, développeurs, growth hackers… D’autres profils plus classiques, comme les commerciaux, les responsables marketing ou encore les formateurs continueront à être demandés… Malgré ces observations, le futur du travail reste incertain. Une chose est sûre cependant, plus vous développerez des compétences dites « douces » (soft skills) en plus de vos compétences techniques, dites « dures » (hard skills), plus vous naviguerez facilement dans le monde du travail de demain.

Le Forum Économique Mondial nous guide avec la liste des compétences essentielles à développer aujourd’hui et demain, à l’horizon 2022 ! Elles sont pour la plupart des compétences « douces » (soft skills)… Cela tombe bien, plus de 90% des compétences identifiées par le rapport du Forum Économique Mondial sont couvertes par le catalogue de formation de Coorpacademy.

Aujourd’hui, les compétences que vous devez mettre le plus en valeur :

  1. Votre pensée analytique et votre capacité d’innovation (Analytical thinking and innovation)
  2. Votre capacité à résoudre des problèmes complexes (Complex problem-solving)
  3. Votre capacité d’analyse et votre pensée critique (Critical thinking and analysis)
  4. Vos techniques d’apprentissage actif (Active learning and learning strategies)
  5. Votre créativité, originalité et prise d’initiative (Creativity, originality and initiative)
  6. Votre attention au détail et votre fiabilité (Attention to detail, trustworthiness)
  7. Votre intelligence émotionnelle (Emotional intelligence)
  8. Votre raisonnement, votre capacité d’idéation et votre capacité à résoudre des problèmes (Reasoning, problem-solving and ideation)
  9. Votre Leadership et votre influence sociale (Leadership and social influence)
  10. Votre coordination et votre gestion du temps (Coordination and time management)

Et demain, qu’est-ce qui changera ?

La capacité à apprendre et la créativité feront la différence et montent dans le classement des compétences les plus demandées à l’horizon 2022, l’intelligence émotionnelle et les capacités de leadership resteront importantes. La pensée informatique et la programmation seront des incontournables. Selon le Forum Économique Mondial, les recruteurs s’attarderont en priorité, en 2022, sur :

  1. Votre pensée analytique et votre capacité d’innovation (Analytical thinking and innovation)
  2. Vos techniques d’apprentissage actif (Active learning and learning strategies)
  3. Votre créativité, originalité et prise d’initiative (Creativity, originality and initiative)
  4. Votre capacité à concevoir des technologies et à programmer (Technology design and programming)
  5. Votre capacité d’analyse et votre pensée critique (Critical thinking and analysis)
  6. Votre capacité à résoudre des problèmes complexes (Complex problem-solving)
  7. Votre Leadership et votre influence sociale (Leadership and social influence)
  8. Votre intelligence émotionnelle (Emotional intelligence)
  9. Votre raisonnement, votre capacité d’idéation et votre capacité à résoudre des problèmes (Reasoning, problem-solving and ideation)
  10. Vos capacités d’analyse de systèmes et d’évaluation (Systems analysis and evaluation)

Retrouvez l’étude complète du Forum Économique Mondial ici.

Et découvrez le catalogue de formation qui adresse en profondeur ces compétences douces cruciales pour le futur du travail ! 

Interview exclusive avec Didier Noyé, expert en management

 

Je viens d’être nommé manager d’une équipe, comment m’y prendre ? Que faire avant la prise de fonction ? Comment m’assurer de la performance, mais aussi du bien-être et de la cohésion de l’équipe ? Comment faire pour bien communiquer au quotidien, tout en sachant anticiper et gérer les tensions qui peuvent survenir ? Devenir manager est un métier à part entière, et il est nécessaire d’y être préparé et de continuellement apprendre.

Didier Noyé est un spécialiste reconnu de l’ingénierie du changement, du management et de la gestion des compétences, et conseille les entreprises pour développer les ressources humaines. Il a publié aux Editions Eyrolles de nombreux livres sur la communication et le management. En partenariat avec les Editions Eyrolles, Coorpacademy s’apprête à lancer une série de 6 cours, inspirés de ses ouvrages, qui sortiront pendant 3 mois de manière régulière. Pour tout connaître des fondamentaux du management.

À cette occasion, nous avons pu poser nos questions à Didier Noyé.

Comment avez-vous, au cours de votre carrière, eu ce déclic pour théoriser le management et en devenir un expert ?

J’ai d’abord eu ce déclic car j’ai travaillé en tant que consultant avec toutes sortes d’entreprises, de toutes tailles et de tous secteurs. J’ai donc beaucoup appris sur les pratiques de management à partir d’expérimentations très pragmatiques. Ensuite, je me suis intéressé aux travaux de recherche sur le management. Comment fonctionne une équipe efficace ? Qu’est-ce qui fait que les salariés s’engagent – ou pas – au travail ? Ce sont des exemples de sujets de recherche. J’ai donc fait un croisement entre l’expérience en entreprise et mon regard sur ces travaux de recherche.

On présente souvent le métier de manager comme un métier à part entière, en plus du métier occupé. Êtes-vous d’accord ? Comment définiriez-vous la fonction managériale en quelques lignes ?

Être manager, c’est amener l’équipe à la performance, lui donner envie de se dépasser. C’est un métier profondément humain. Il faut en effet susciter l’engagement des autres. Généralement, quand on est manager pour la première fois, on a été nommé dans un domaine où on était déjà compétent sur le métier. Mais parfois, quand on occupe un poste de manager pour la 2ème fois, on vous transfère dans un autre secteur, dans lequel vous ne connaissez pas forcément à fond le détail du métier. On se met alors à beaucoup plus s’occuper des aspects humains. Et il faut donner toute cette dimension humaine pour réussir à être un bon manager.

Selon vous, de quels “soft skills” (compétences comportementales) le manager doit-il se doter pour gérer une équipe efficace, bien dans sa peau et performante ?

J’ai enseigné deux compétences qui me paraissent importantes.

Tout d’abord, l’écoute (et l’empathie) : c’est le b.a.-ba du leadership. Il faut écouter les gens pour être écouté d’eux.

En deuxième lieu, la pensée positive : quels sont les points forts des salariés ? Quand on s’intéresse à leurs points forts, et quand on intéresse les gens à les utiliser, on suscite leur engagement. C’est contraire aux réflexes habituels. Si votre enfant vous dit qu’il a eu 15 en français et 7 en maths, vous avez des chances de vous focaliser sur le 7, et à inviter votre chère tête blonde à mieux travailler pour progresser en maths. En management, on fait le contraire : on met en avant le meilleur des gens, on les aide à donner le meilleur d’eux-mêmes sur leurs points forts. Et leurs points faibles ? On va utiliser leurs points forts pour régler les problèmes. Si votre enfant a eu une mauvaise note en maths, on va le pousser à écrire une rédaction sur les maths, en très bon français. Il ne faut pas se focaliser d’abord sur les difficultés ; c’est complètement contre-intuitif. Il faut garder un esprit positif.

Les deux premiers cours produits avec Eyrolles et Coorpacademy sortent très bientôt… Pouvez-vous nous en parler ?

Ce qui m’a frappé en expérimentant ces cours est le fait que leur durée est courte. Et c’est une vraie qualité ! Grâce à ces nouveaux usages du web, les apprenants aiment bien s’intéresser à un sujet précis répondant à leur besoin, le tout en allant à l’essentiel. Les contenus sont clairs, intéressants et solides.

J’ai particulièrement apprécié les différentes parties : les points clés, les « le saviez-vous » et le cheminement pour passer d’un module à l’autre dès qu’on a trouvé les bonnes réponses.

Qu’avez-vous retenu de la création de cette collection “Les basiques du management” avec Eyrolles et Coorpacademy ?

Je trouve que c’est une formule intéressante. Elle permet d’aller vraiment à l’essentiel et elle permet également à chacun de suivre son chemin de préoccupation avec ses propres portes d’entrée. À partir du moment où les apprenants sont acteurs de leur propre formation, il faut pouvoir répondre à leurs questions avec de multiples portes d’entrée. De plus, il y a une forte complémentarité entre les produits e-learning et les livres. On peut commencer à apprendre un sujet grâce au e-learning et l’approfondir grâce à un livre. Ou inversement, selon les envies des lecteurs et/ou internautes.

Merci Didier !

Merci à vous !

Le MOOC, nouvel outil de formation professionnelle – LeMonde.fr

Fred-Lemonde-MOOC

Des adultes toujours plus nombreux suivent des cours via des plates-formes numériques afin d’obtenir une certification valorisable sur le marché de l’emploi.

[…] Au-delà de ces certificats ponctuels, les plates-formes proposent de plus en plus de véritables parcours de formation, notamment dans le domaine du numérique, qui peuvent constituer pour les entreprises des ressources complémentaires au traditionnel catalogue de formation continue. Dans ce cadre, le certificat représente une « carotte managériale », selon les termes de Frédérick Bénichou, l’un des cofondateurs de Coorpacademy, qui revendique 500 000 utilisateurs, presque tous salariés de grandes entreprises. Ici, les certifications attestent d’un « niveau global de connaissances et de compétences, par exemple sur la culture du digital à la Société générale ou sur les méthodes de vente chez L’Oréal », observe M. Bénichou. Par ailleurs, la start-up a mis en place un système de badges lié au comportement en ligne, qui correspondent à des soft skills (compétences douces), comme la sociabilité ou la persévérance. Dans l’univers de formation très « gamifié » proposé par Coorpacademy, les utilisateurs peuvent aussi se défier en duel pour tester leurs connaissances sur tel ou tel contenu, et gagner le badge de « battle warrior ».

[…]

Lire l’article complet de Sophie Blitman sur LeMonde.fr paru le 09.10.2017 à 09h05

Le Comex de l’info – BFM Business

BFM Business« Demain, c’est apprendre tout au long de sa vie. Il faut sortir d’un paradigme où il y a un temps de la vie pour apprendre puis un temps de la vie pour travailler. »

Retrouvez l’intervention de Jean-Marc Tassetto au Comex de l’info sur BFM Business : Faut-il mettre au placard la promesse du plein emploi

 

Soft skills : quels talents !

Soft skills : quels talents !

Quel métier occuperez-vous demain ? Que devrez-vous maîtriser dans dix ans ? Difficile d’y répondre. En revanche, une chose est sûre : les « soft skills », ces compétences informelles, vont gagner du terrain. Continuer la lecture de « Soft skills : quels talents ! »

Voir l'étude de cas