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Talents, attrapez-les tous : le pouvoir de la formation aux soft skills

 

“Un jour je serai le meilleur manager
Je me battrai sans répit
Je ferai tout pour être leader
Et gagner tous les défis
Je parcourrai la terre entière
Traquant avec espoir
Les talents et leurs mystères
Le secret de leurs pouvoirs

Talents !
Attrapez les tous…”

Selon “Pokepedia”, l’encyclopédie relative à la série japonaise culte, “pour réussir à capturer un Pokémon sauvage, il faut lui lancer une Poké Ball, après l’avoir épuisé lors d’un combat Pokémon.”

Bon, on vous déconseille de lancer une Poke Ball sur vos collègues ou de les épuiser à la tâche. On ne vous recommande pas non plus de changer votre organigramme pour un Pokedex, ni d’assimiler vos concurrents à la Team Rocket. En revanche, comme dans la série, les Pokémons, s’ils sont épanouis, vont connaître des évolutions et gagner en compétences. Vous voyez où on veut en venir ?

Allez, mettons fin à notre métaphore alambiquée et rentrons dans le vif du sujet. Dans cet article nous allons parler de rétention des talents.

 

Les entreprises sont confrontées à une pénurie de talents qualifiés, ce qui rend la rétention des talents plus importante que jamais. Selon notre récente enquête menée conjointement avec Féfaur auprès de 250 directeurs de la formation, 50% des directions RH considèrent que la formation aux soft skills est essentielle pour surmonter cette pénurie.

 

Les soft skills sont des compétences comportementales qui sont de plus en plus recherchées par les employeurs, notamment la capacité à travailler en équipe, résoudre des problèmes et prendre des initiatives. Les collaborateurs ayant ces compétences sont des atouts précieux pour les entreprises, et la formation aux soft skills est donc essentielle pour les retenir, leur permettre de monter en compétences et ainsi évoluer dans leur poste et au sein même de l’entreprise. 

Le Digital Learning est un outil de formation particulièrement adapté pour apprendre les soft skills. Il est flexible, accessible et personnalisable, ce qui permet aux employés de se former à leur propre rythme et selon leurs propres besoins. Selon l’enquête, 64% des répondants saluent le potentiel du Digital Learning de massification à l’accès aux formations en soft skills, brisant les barrières traditionnelles pour former davantage d’employés.

 

 

De plus, la formation est un levier important pour l’engagement et la fidélisation des employés. Selon une enquête menée par OpinionWay pour l’Observatoire de l’Engagement, 68% des employés considèrent que la politique de formation et de développement est la plus importante de leur entreprise (ClearCompany). Les collaborateurs souhaitent effectivement que leur entreprise les accompagne dans leur développement professionnel. 81% d’entre eux demandent des programmes de formation pour maintenir leurs compétences (France Compétences). Il est donc stratégique pour les entreprises de proposer à leurs collaborateurs un programme de formation aux soft skills accessible et engageant. 

 

En somme, la formation aux soft skills est essentielle pour retenir les talents et assurer le succès des entreprises. Le Digital Learning est un outil de formation efficace et accessible qui permet de répondre aux besoins de formation en soft skills des employés. Si vous êtes intéressés par les résultats complets de cette enquête, n’hésitez pas à la télécharger pour en savoir plus.

 

Découvrez l’intégralité de notre enquête dans notre ebook “Soft skills : question de survie pour l’entreprise ?” : cliquez ici !

2050 : L’Odyssée RH – Épisode 5

 

Quelque part dans le monde, à une date dont vous n’avez pas l’utilité, nous avons localisé une technologie poussée permettant de nous immiscer dans le quotidien des salariés. Ce voyage fantastique à travers les expériences de différents collaborateurs vous entraînera jusqu’aux confins du Future of Work et vous permettra de percer les enjeux de transformation des entreprises. Aujourd’hui dans notre odyssée, découvrez le quotidien de Zoel…

 

Zoel venait d’arriver sur le lieu de la conférence à laquelle elle venait assister en présentiel, ce qui était inédit pour elle qui était plutôt habituée aux visioconférences et aux apéros métavers. Elle entra dans l’auditorium. Tout était comme annoncé sur l’invitation : sièges en cuir, lumières tamisées, faux cubicules, vieux standard de téléphone à fil et machine à café à filtre. 

 

Elle était venue écouter une conférence pour le moins originale, qui promettait une immersion dans le monde du travail tel qu’on le connaissait dans les années 90. Le sujet de la conférence portait sur le développement des compétences, des années 2000 à ce jour.

 

Zoel prit place sur une rangée de sièges de bureau – peu ergonomiques – et le silence se fit dans la salle. Les lumières de la scène s’allumèrent, laissant place au titre de la conférence s’affichant sur un écran télévisé : « Histoire de la formation : pourquoi les gens continuent-ils à apprendre ? ». Une silhouette robotique – mais qu’on pourrait confondre avec celle d’un humain – entra sur scène, et, après une courte pause et un regard autour de la salle, la chercheuse Scire prit la parole : 

Image générée par  intelligence artificielle via Midjourney avec le prompt "a robotic human AI on a stage, big group of people sitting in a conference in the style of an old theater, with a futuristic look, 3d natural light --v 5 --s 250"

 

“Et si je vous disais que vous êtes obsolètes ?”

 

Zoel fut surprise par cette entrée en matière. En effet, Scire était une chercheuse reconnue ainsi qu’une Intelligence Artificielle conçue uniquement pour regrouper le savoir d’un grand nombre de chercheurs et experts en sciences de l’apprentissage. Cela lui avait forgé une certaine renommée, mais elle ne l’imaginait pas provoc’. Elle s’attendait à quelque chose de plus institutionnel… 

 

“Ce n’est pas une plaisanterie, rassurez vous, je ne fais pas encore de spectacle humoristique. Non, je vous parle de vos compétences. Il y a encore quelques années, en 2025, cette question n’était pas si risible. Laissez-moi remonter le temps un instant.”

 

En 2025, les entreprises font face à d’importants enjeux de formation. À l’époque, l’obsolescence des compétences au sein des entreprises fait rage. Entre les crises sanitaires bouleversant les modes d’organisation, les sujets environnementaux et la technologie évoluant toujours plus vite, les collaborateurs de 2025 ont dû développer des compétences essentielles et ce, en continu. Dans ce contexte, les entreprises ont joué un rôle absolument clé dans la montée en compétences de toutes les personnes employées. 

 

Imaginez-vous, en 2020, 17% de la population française était en situation d’illectronisme, alors même que les premiers outils de réalité virtuelle voyaient le jour. Autre exemple, selon le World Economic Forum, 94% des chefs d’entreprise estimaient que leurs collaborateurs devaient acquérir de nouvelles compétences. De plus, il a fallu attendre 2022 pour qu’une entreprise intègre dans son rapport annuel son “chiffre d’affaires durable”. C’était alors une question de survie pour les entreprises que d’accompagner leurs collaborateurs sur ces enjeux, à la fois pour la pérennité de l’entreprise mais également pour assurer l’employabilité des collaborateurs. 

 

Mais alors, comment les entreprises ont-elles relevé le défi ? 

 

Dans un contexte compliqué pour les entreprises où le marché de l’emploi est en tension, où les modes d’organisation du travail se transforment et tendent vers un mode hybride, les entreprises en 2025 ont dû investir dans une meilleure expérience collaborateur. Ici, tout est pensé pour favoriser les recrutements et la rétention des talents. Car après tout, que l’on soit en 2025 ou en 2050, nous le savons : l’humain reste la ressource la plus essentielle à l’entreprise. 

 

Pour attirer les talents et assurer leur employabilité, les entreprises ont donc misé sur plusieurs leviers, dont un qui nous intéresse en particulier : la formation en ligne. En effet, en 2022, une enquête menée conjointement par Coorpacademy by Go1 et Féfaur auprès de directeurs formations révélait que près de la moitié des entreprises – 49 % – privilégiaient déjà le développement des compétences non techniques pour tous leurs employés, quel que soit leur poste.

 

La formation en ligne – qui a vu le jour avant 2025 évidemment, avec son ancêtre appelé e-learning – a révolutionné les modes d’apprentissage. Grâce à des plateformes d’apprentissage en ligne facilement intégrables à leur écosystème et accessibles en un seul clic, les entreprises ont pu toucher massivement leurs collaborateurs. Ensuite, ces plateformes ont su redonner l’envie d’apprendre, grâce à des protocoles pédagogiques élaborés pour un apprentissage actif. C’est alors qu’on a pu voir l’émergence de la formation hybride : une solution en ligne, qui permet de compléter une stratégie de formation en présentiel. Ça, c’est un premier sujet. 

 

Mais pour développer quelles compétences ?

 

En 2025, les soft skills étaient au pic de leur popularité. La capacité d’innovation, les aptitudes à résoudre des problèmes complexes et les techniques d’apprentissage actif qui engagent les apprenants étaient déjà identifiés comme des compétences indispensables. Vous les connaissez aujourd’hui comme des “smart” skills, ces compétences qui finalement, sont nécessaires pour mener à bien toutes tâches, techniques ou non, et nous permettent surtout d’interagir avec nos pairs et à appréhender notre environnement. Si la formation est aussi démocratisée en 2050, c’est en grande partie grâce au développement des plateformes d’apprentissage en ligne mais également grâce aux “soft” skills acquises par les collaborateurs. En effet, cela a permis aux entreprises de s’adapter plus rapidement aux changements, et même d’anticiper les tendances sociétales et technologiques qui les impacterait. 

 

Zoel était stupéfaite. Des soft skills… Pourquoi cette appellation ?  Ces compétences étaient pourtant loin d’être “douces”. Elle qui débutait dans le monde du travail, elle n’avait encore jamais entendu parler de soft skills. Elle aurait certainement argumenté que gérer des projets, manager une équipe, savoir écouter et faire preuve d’humilité étaient loin d’être des actes doux, au contraire, ils étaient forts et courageux. La voix encore légèrement robotique de Scire l’extirpa de ses pensées.

 

“Où en sommes-nous aujourd’hui, en 2050 ? 

 

Grâce à la reconnaissance de ces compétences au fil des années, les organisations ont pu faire des avancées considérables. À l’heure à laquelle je vous parle, des milliers de personnes se forment, qu’elles soient cadres, à leur propre compte, ou sur le terrain, en usine par exemple. La formation n’a plus de frontières, ni de pare-feu. Considérée comme un levier essentiel de la stratégie de l’entreprise, elle est accessible à tous, et chacun reconnaît son efficacité. Une collègue l’a écrit il y a 25 ans, mais je le redis ici, si le travail quant à lui est facile, ce sont les gens qui ne le sont pas. En développant nos smart skills, ces compétences qui nous aident à nous comprendre et donc à comprendre l’autre, nous ne pouvons que simplifier la manière dont nous travaillons. C’est pourquoi il est crucial de continuer de se former, car l’être humain est un système complexe, en constante évolution et au sujet duquel nous n’avons pas fini d’en apprendre plus…”

 

“Nous ?” Zoel se figea. L’IA experte en science de l’apprentissage s’intégrait elle-même dans le groupe des “humains”. Bien sûr, Zoel avait tout écouté attentivement. Mais une question existentielle avait néanmoins fait irruption dans ses pensées tout au long de la conférence. Elle ne pouvait s’empêcher de penser que malgré toutes les connaissances de Scire, cette dernière n’avait pas réussi à faire rire son audience. L’IA n’avait donc pas d’humour ? Elle conclut que s’il y avait bien une chose qui nous différencie, nous les humains, c’était justement les soft skills.

 

La conférence était terminée. Pour faire perdurer l’expérience immersive, tous les invités étaient conviés à un cocktail dinatoire afin d’échanger. Tout le monde était unanime : les soft skills étaient indispensables pour évoluer et rester compétitifs. Le développement de l’intelligence artificielle et son utilisation dans les entreprises avait révélé ce constat. 

 

État des lieux 

En 2050, la formation ne sera plus réservée aux seuls managers : elle touchera tous les collaborateurs au sein de l’entreprise. Grâce aux nouveaux gadgets technologiques tels que les lunettes connectées ou les smartphones intelligents, la formation est totalement intégrée dans le quotidien des collaborateurs. Se former devient un réflexe pour répondre aux difficultés que chacun peut rencontrer lors de ses tâches opérationnelles. En usine, les bornes d’apprentissage disséminées dans l’entrepôt permettent de se former rapidement sur une nouveauté technique, ou de se faire une piqûre de rappel sur l’une des nombreuses consignes de sécurité. Dans les bureaux 4.0, l’intégration de votre plateforme de formation est directe et fluide, permettant aux opérationnels et aux managers de se former dès qu’ils en ressentent le besoin. Le développement des compétences est valorisé et démocratisé à tous les métiers.

 

Soft skills : le secret mal gardé d’un management efficace

 

Les soft skills, ces compétences non techniques liées à la personnalité, aux relations interpersonnelles et à la communication, sont de plus en plus reconnues comme un facteur clé de succès pour les entreprises. Et cela est particulièrement vrai pour les managers.  

 

Dans une enquête récente menée conjointement par Coorpacademy by Go1 et Féfaur auprès de plus de 250 directions Learning & Development d’entreprises françaises, 65 % des interrogés estiment que les soft skills sont absolument incontournables lorsqu’il s’agit de recruter ou de promouvoir un manager.

 

 

Cela n’est pas surprenant, car les qualités personnelles et relationnelles telles que la gestion d’équipe, la communication et le travail à distance sont essentielles pour une communication fluide et une collaboration efficace au sein des équipes encadrées. En tant que manager, se former au soft skills est donc un levier incontournable pour s’améliorer en continu. 

 

Mais ce ne sont pas seulement les managers qui ont besoin de développer ces compétences. En réalité, tous les collaborateurs, quel que soit leur niveau hiérarchique au sein de l’organisation, en ont besoin.  Les soft skills sont de plus en plus demandées sur le marché du travail : selon une étude du cabinet McKinsey, la demande en compétences physiques et manuelles devrait chuter de 16 % d’ici 2030 en Europe. Les collaborateurs dotés des meilleures soft skills seront de plus en plus recherchés pour assurer le bon fonctionnement du monde du travail de demain. Et si vous avez du mal à vous projeter, le réseau social LinkedIn a constaté que 92 % des entreprises s’accordent déjà à dire que les soft skills sont déjà aussi importantes que les hard skills. Nous n’avons pas fini d’en apprendre sur les soft skills… et d’apprendre tout court.

 

Si cela est évident pour les managers, les directions formation interrogées commencent à y voir des atouts pour les équipes dans leur ensemble, en faveur de la croissance de l’organisation. Selon notre étude “Former au soft skills, question de survie pour l’entreprise ?”, près de la moitié des entreprises – 49 % – privilégient le développement des compétences non techniques pour tous leurs employés, quel que soit leur poste.

La bonne nouvelle, c’est qu’avec le Digital Learning, tous les collaborateurs peuvent monter en compétences. Les entreprises ont également un rôle à jouer en permettant l’accès à ces formations ciblées sur les soft skills. La majorité des directeurs formation – 64 % – saluent le potentiel du Digital Learning pour massifier l’accès aux formations en soft skills, brisant ainsi les barrières traditionnelles pour former davantage d’employés.

 

 

En conclusion, les soft skills sont essentielles pour le succès de toute entreprise, quelle que soit sa taille et quel que soit son secteur. Les managers en particulier ont besoin de ces compétences pour réussir dans leur rôle, mais tout le monde peut en bénéficier. Les entreprises doivent donc s’efforcer de démocratiser l’accès aux formations en soft skills pour tous leurs employés, ce qui peut être réalisé grâce au potentiel du Digital Learning. Si vous êtes intéressés par les résultats complets de cette enquête, n’hésitez pas à la télécharger pour en savoir plus.

 

Pour aller plus loin, découvrez l’intégralité de notre enquête dans notre ebook “Soft skills : question de survie pour l’entreprise ?” : c’est par ici !

Enquête “Former aux soft skills, question de survie pour l’entreprise ?” – ce qu’en pensent les responsables RH-learning

 

Ces derniers mois, nous avons enfilé notre casquette d’enquêteur… Plusieurs centaines de directeurs et responsables RH et formation ont répondu à l’enquête de Coorpacademy by Go1 en partenariat avec le cabinet Féfaur sur les stratégies qu’ils mettent en place pour développer les soft skills dans leur entreprise. 

 

Les entreprises françaises sont en pleine mutation (arrivée de nouvelles IA, digitalisation et nouvelles formes de travail hybride) et pour survivre dans ce nouvel environnement, les soft skills sont devenues incontournables. Dans cet article, nous vous livrons les 3 points clés à retenir de notre étude, et un lien de téléchargement pour la découvrir en intégralité ! 

 

1. Les soft skills : premier levier pour s’adapter aux nouvelles formes de travail hybride


Les soft skills sont cruciales pour les entreprises, qui les considèrent comme la clé pour affronter les transformations du monde du travail et attirer les talents nécessaires à leur succès. 83% des responsables formation-RH mentionnent les nouvelles organisations du travail comme étant leur principale préoccupation et raison de développer les soft skills. Les compétences en communication, la résolution de problèmes et la prise d’initiative sont des atouts précieux pour s’adapter aux changements qui opèrent dans l’entreprise. 

 

La pénurie des talents, en deuxième position (50%), est également une des raisons pour lesquelles les soft skills sont essentielles. Les entreprises ont du mal à recruter et fidéliser des employés dotés des compétences recherchées, en particulier les soft skills comme le travail en équipe, la résolution de problèmes et la prise d’initiative. Les compétences en communication sont également très recherchées. 

 

Enfin, pour près de 45% des responsables formation-RH interrogés, la transformation digitale est leur principale préoccupation. Les collaborateurs doivent acquérir de nouvelles compétences et s’adapter rapidement aux outils technologiques. La capacité d’apprentissage rapide, la créativité, la gestion du temps et l’adaptabilité sont des compétences essentielles pour relever les défis de cette transition.

 

2. Les soft skills : pas réservées aux seuls managers !

Selon l’enquête Coorpacademy by Go1 x Féfaur, près de la moitié des entreprises (soit 49%) privilégient désormais le développement des compétences non techniques pour tous leurs employés, quels que soient leur poste ou leur niveau hiérarchique. Cette tendance reflète une prise de conscience croissante des avantages des « soft skills », qui peuvent profiter à toute l’équipe et favoriser la croissance de l’entreprise dans son ensemble. Il reste encore à convaincre l’autre moitié des entreprises qu’elles bénéficieraient massivement de cette formation à tous les niveaux. Chaque employé peut bénéficier de l’apprentissage de ces compétences pour améliorer sa performance et son bien-être au travail. 

 

Au niveau managérial, comme le montre l’enquête à télécharger ici,  65% des entreprises pensent que les soft skills sont absolument incontournables lorsqu’il s’agit de recruter ou de promouvoir un manager. C’est effectivement clé de s’assurer que les managers aient les compétences nécessaires pour bien encadrer leurs équipes.

 

3. Le Digital Learning : levier clé pour développer les soft skills


Le Digital Learning est un outil apprécié pour l’apprentissage des soft skills, grâce à sa flexibilité, son accessibilité, sa personnalisation et son suivi des compétences. Les responsables formation-RH saluent le potentiel du Digital Learning dans la massification de l’accès aux formations en soft skills pour briser les barrières traditionnelles. La variété des formats proposés et l’adaptabilité de cet outil sont également appréciées par les professionnels du learning & development (L&D) interrogés. La personnalisation des formations en fonction des retours d’expérience et l’évolution des employés est jugée importante par 46% des répondants. La dimension sociale et collaborative du Digital Learning est également valorisée par 25% des sondés, favorisant l’échange de connaissances. Enfin, 20% des répondants soulignent la possibilité d’évaluer l’efficacité des formations et le transfert des compétences acquises dans le milieu professionnel grâce au suivi des soft skills en action. 

 

En conclusion, les résultats de l’enquête Coorpacademy by Go1 x Féfaur mettent en évidence l’importance croissante accordée aux soft skills dans les entreprises et leur impact sur la performance globale de l’organisation. Les responsables formation-RH cherchent à intégrer ces compétences clés dans les parcours de formation continue comme à utiliser les outils de Digital Learning pour offrir des expériences d’apprentissage flexibles, personnalisées et adaptées aux besoins individuels. Cette approche de formation centrée sur l’apprenant favorise l’acquisition et le développement des soft skills indispensables pour réussir dans un monde professionnel en constante évolution. Allez… On repose notre casquette d’enquêteur pour reprendre notre cœur de métier : l’accompagnement dans la montée en compétence par le Digital Learning. 

 

 

Vous souhaitez télécharger l’enquête ? Cliquez ici ! 

Vous souhaitez en savoir plus sur notre offre de Digital Learning ? Rencontrez nos experts dans le cadre d’une démo de nos solutions en cliquant ici.

Record d’emploi des cadres : quel impact sur la mobilité professionnelle ?

 

La situation du marché du travail est exceptionnellement favorable. Cette réalité se confirme avec la publication de la dernière enquête de l’Association pour l’emploi des cadres (Apec), publiée mardi 4 avril 2023.

Selon cette enquête réalisée chaque année par l’Apec, le marché de l’emploi des cadres dans le privé se porte mieux que jamais, et ce à tous les niveaux de l’entreprise. 

 

Au total, ce sont 308.300 cadres qui ont été recrutés en 2022 en CDI (ou CDD d’au moins un an). Que faut-il retenir de ce chiffre record ? 

-C’est effectivement la première fois que la barre des 300.000 est franchie. 

-C’est aussi plus de 30.000 par rapport à ce qui avait été anticipé il y a un an de cela, en 2022. 

-C’est, enfin, plus de 10% qu’en 2019, qui marquait le dernier record. 

 

De plus, l’année 2023 s’annonce encore plus prometteuse avec les intentions d’embauches de cadres qui continuent d’être tirées surtout par le secteur des services à valeur ajoutée : informatique, ingénierie, conseil, juridique, comptabilité. 

 

Face à ces tendances, la “grande démission” semble bien loin… voire s’avérer être un mythe pour le cas de la France. 

Ce n’est pas tout. Selon l’Apec, 63.500 promotions internes ont eu lieu en 2022. Là encore, il s’agit d’un chiffre record. On peut s’en féliciter, néanmoins, cela peut aussi générer de la frustration auprès des cadres non promus dernièrement, pour lesquels on peut constater une forte volonté d’évolution au cours de leur carrière. 

 

Selon une large enquête menée par l’Institut Montaigne auprès de 5.000 actifs français (février 2023), 55% des travailleurs souhaitent évoluer vers un poste différent au sein de leur entreprise. 

En attendant, les obstacles ressentis à ce type de mobilité restent importants, avec : 

-37% des salariés qui souhaitent quitter leur entreprise dans les 2 ans ;

-22% qui déclarent avoir déjà envisagé une reconversion professionnelle, mais qui ne l’ont pas fait. 

 

Comment répondre à ce nouveau rapport à la mobilité professionnelle ? 

Les DRH doivent effectivement tenir compte de ces tendances dans leur stratégie de rétention des collaborateurs. Selon l’Institut Montaigne, seule une minorité des collaborateurs en entreprise (environ 10%) sont réellement prêts à franchir le pas de changer de secteur d’activité pour répondre à cette envie d’évolution professionnelle. 

Le fait de grandir professionnellement passe par une formation de qualité, adaptée aux besoins des métiers et des grandes transformations que traversent les entreprises. Les collaborateurs attendent de leur employeur qu’ils soient moteurs dans leur développement professionnel. Dans ce cadre, la formation digitale est un levier de fidélisation très fort pour répondre à cette demande renouvelée de la part des salariés. 

 

Pour en savoir plus, rencontrez nos experts dans le cadre d’une démo de nos solutions en cliquant ici.

 

Go1 reconnu Core Challenger dans la Fosway 9-Grid™ 2023

 

Fosway révèle l’édition 2023 de son classement des systèmes d’apprentissage dans le rapport 9-Grid™ for Digital Learning. 

 

Après une période d’innovation et de forte croissance, Go1 progresse dans ce classement pour la deuxième année consécutive, et devient “core challenger” (challenger principal) après avoir été identifié comme “solid performer” en 2022. 

 

Le rapport 9-Grid™ est une analyse indépendante des fournisseurs sur les marchés EMEA des RH, des talents et de l’apprentissage, réalisée par le groupe Fosway, un cabinet d’analystes de premier plan dans l’industrie des RH en Europe.

 

« L’étude de Fosway témoigne de l’importance de la curation et l’agrégation de contenu dans le secteur du Digital Learning”, explique David Wilson, PDG du groupe Fosway. « Go1 continue de prendre de l’ampleur en Europe et, en tant qu’agrégateur de contenu, Go1 aide ses clients à consolider et à simplifier l’accès à une bibliothèque de contenus d’apprentissage en ligne sans compromettre l’éventail des choix de contenu”.

« Le fait d’être reconnu comme un Core Challenger est en ligne avec notre vision qui consiste à révolutionner le modèle d’apprentissage traditionnel », précise Ben Allen, CMO de Go1. « Go1 est convaincu que son modèle d’agrégation permet non seulement de démocratiser l’accès à la plus grande variété de contenus d’apprentissage, mais aussi de garantir la qualité, la pertinence et l’engagement des apprenants – soit les clés pour obtenir de meilleurs résultats d’apprentissage”.

 

Pour en savoir plus, découvrez le rapport dans son intégralité ici : https://www.fosway.com/fr/9-grid-2/ 

 

Pourquoi valoriser ses soft skills ? 4 points clés à retenir de l’interview d’Arnauld Mitre pour BFM Business

 

Arnauld Mitre, General Manager de Coorpacademy by Go1, répond aux questions de Nicolas Doze dans l’émission JMLECO, sur le site BFM Business ! Au programme : actualités du digital learning et importance des soft skills pour assurer la compétitivité de votre entreprise et la montée en compétences de tous les collaborateurs. 

 

Retrouvez le replay en ligne ici et découvrez les 4 points clés à retenir de cette intervention : 

  1. Oui à une bibliothèque de contenus à l’infini, mais gare à l’indigestion

Il faut pouvoir proposer à l’ensemble des collaborateurs de chaque entreprise ce dont ils ont besoin pour monter en compétences. Il faut donc un large choix de contenus premium, mais il faut en même temps s’assurer d’une très bonne curation de ces contenus. Concrètement, il faut proposer cette infini de contenus de façon digérable. C’est-à-dire, en créant des playlists, des parcours adaptés aux besoins de chacun. Et pour ça, il existe des algorithmes, l’intelligence artificielle, ou encore l’éditorialisation humaine, comme le font très bien nos équipes d’ingénieurs pédagogiques en charge du contenu chez Coorpacademy by Go1. 

 

  • La plateforme doit s’adapter à l’individu, pas l’inverse

La formation doit pouvoir répondre aux besoins qui ponctuent le quotidien de chaque collaborateur. Certains collaborateurs vont avoir besoin de se former rapidement, par exemple en vue d’une réunion sur la big data, le collaborateur va pouvoir suivre un microlearning pour voir en moins de 5 minutes l’essentiel sur le sujet et éviter la big cata en réunion. À d’autres moments, les collaborateurs ont plus de temps et vont pouvoir approfondir le sujet et suivre des modules de formation plus longs, plus complets. Il existe aussi des situations où le collaborateur cherche à évoluer professionnellement. On va pouvoir lui proposer de suivre un parcours entier de formation, et décrocher un certificat pour l’aider à changer de travail ! Si le collaborateur est en voiture, il peut également décider de suivre un podcast de formation. Les situations sont multiples, et c’est pourquoi notre catalogue de formation doit l’être aussi. Nous nous devons de fournir autant de formats possibles qu’il y a de manières d’apprendre. 


 

 

 

 

 

 

  • Le fond est tout aussi important que la forme

L’invention des nouveaux usages, nous la laissons au secteur de l’entertainment. Nous reprenons ses codes, nous nous y adaptons totalement. C’est ce qu’attendent les apprenants.  Quand on produit de la formation digitale, on ne peut pas se permettre de proposer des vidéos de plus de 8 ou 10 minutes. En effet, les réseaux sociaux ont changé notre façon de consommer du contenu et ont façonné de nouvelles exigences de la part des utilisateurs. Alors, quand les usages évoluent, les contenus s’adaptent pour rester pertinents aux yeux de ceux qui vont les consommer. 

 

  • Les robots ne font pas le poids face aux soft skills

Si l’automatisation des tâches en entreprise se développe,  avec les nouvelles utilisations de l’IA qui vont transformer nos organisations en profondeur, tout ceci vient surtout questionner le besoin en hard skills – compétences purement techniques. En effet, ce que ces avancées technologiques mettent en exergue, c’est avant tout la nécessité de développer les softs skills, ce qui distingue l’humain du robot. 

 

Comment gérer votre passion au travail (pas celle que vous croyez)

 

Aimez-vous votre travail passionnément ? 

À rebours du concept de démission silencieuse, le magazine britannique The Economist publie en cette semaine de Saint-Valentin un article sur les avantages et les risques liés au fait d’aimer (un peu trop) son travail, un phénomène qui serait en hausse (de 2% en 2007 à 16% en 2019).


Les chercheurs Jon Jachimowicz et Ke Wang de l’université de Harvard ainsi que Erica Bailey de l’université de Columbia expliquent que les employés qui sont perçus comme plus passionnés par leur travail que leurs collègues auront tendance à recevoir un feedback plus positif de la part de leurs managers et auront également plus de chance d’être promus ou se voir proposer des opportunités de formation. 

Cela peut créer le risque pour les employeurs de sous-valoriser la compétence (ou l’éventuel manque de compétences) des collaborateurs passionnés, au profit de leur motivation. Pourtant, le boulanger le plus motivé du monde pourrait tout à fait vous proposer les pires profiteroles que vous aurez jamais goûtées. 

Il y a également un risque pour les employés : même si leur motivation est bien réelle, elle ne doit pas se transformer en des comportements compulsifs. On doit aimer son travail sans en être obsédé… Une certaine distance est importante pour maintenir une bonne hygiène de vie. 

 

Alors, comment éviter que votre travail ne devienne une relation toxique ? Voici 5 cours pour vous aider à ne pas tomber sous l’emprise de la passion…

Agir pour se protéger du burn-out co-édité avec Dunod Formation

Préserver son bien-être psychologique co-édité avec Video Arts

Télétravail : santé, motivation et sécurité co-édité avec lawpilots

Intelligence émotionnelle : gérer les émotions au travail co-édité avec Dunod Formation 

Le bien-être à l’heure du numérique par Coorpacademy

 

Saint-Valentin : 5 softs skills essentielles pour renforcer vos relations

La Saint-Valentin approche à grands pas ! C’est donc le moment idéal pour vous concentrer sur vos compétences relationnelles. Oubliez Cupidon, votre vrai allié sont les soft skills, aussi appelées compétences douces. Alors le 14 février, que vous soyez en couple, entre amis ou en solo, utilisez vos soft skills pour faire de vos relations un succès ! 

Dans cet article, nous allons explorer 5 softs skills essentielles pour renforcer vos relations et créer une connexion plus profonde avec votre partenaire, vos amis ou encore vos collègues. 

 

  1. La communication :
    Vous ne serez pas surpris, la communication est l’un des piliers de toute relation saine et heureuse. En développant votre capacité à mieux communiquer, vous pouvez éviter les malentendus, les disputes inutiles et renforcer vos liens. Il est important de savoir écouter l’autre, de poser des questions pour clarifier les choses et de s’exprimer clairement. N’hésitez pas à vous former aux fondamentaux de l’écoute active pour faire durer vos relations sur le long terme ! 

  2. L’intelligence émotionnelle :
    L’intelligence émotionnelle, également connue sous le nom de quotient émotionnel (QE), est la capacité à évaluer correctement vos émotions ainsi que les émotions des autres dans toutes les situations, utiliser un bon jugement et se comporter de manière appropriée pour atteindre le résultat souhaité. Développer cette compétence vous permettra de prendre de meilleures décisions pour vos relations, et de mieux vous comprendre l’un et l’autre.  
  3. L’agilité :
    La vie peut être imprévisible et les situations peuvent changer rapidement. Avoir la capacité à être flexible et accepter les changements peut vous aider à naviguer dans les moments difficiles et à renforcer vos relations. Soyez ouvert d’esprit et considérez les changements comme des opportunités ! 
  4. La résilience :
    La résilience est clé pour surmonter les épreuves et les échecs que vous pourrez rencontrer dans vos relations. Savoir rebondir et aller de l’avant est crucial pour les maintenir, car la vie n’est pas un long fleuve tranquille. Et puis, on ne vous le souhaite pas forcément, mais toute relation peut connaître une fin. Alors autant développer sa résilience pour éviter la dépression post-rupture !
  5. La résolution de problèmes :
    Les problèmes sont inévitables dans toutes les relations, mais la capacité à les résoudre peut faire toute la différence. En apprenant à identifier les problèmes, à les aborder ensemble et à trouver des solutions, vous serez plus serein et vous éviterez les malentendus qui peuvent parfois prendre trop de place.

 

En développant ces 5 soft skills, vous pouvez renforcer votre relation et vivre une Saint-Valentin heureuse et épanouissante. Prêts à vous former ? Voici notre sélection de 5 cours pour renforcer vos relations, qu’elles soient amoureuses, amicales ou professionnelles.

 

  • Améliorer son écoute co-édité avec les Éditions Eyrolles

Améliorer son écoute

  • Développer l’intelligence émotionnelle co-édité avec Talentquest

Développer de l’intelligence émotionnelle

  • Testez vos facultés d’adaptation par Coorpacademy 

Testez vos facultés d’adaptation

  • Améliorer son jugement co-édité avec Olivier Sibony

Améliorer son jugement

  • Pensée créative et résolution de problèmes co-édité avec Talentquest 

Pensée créative et résolution de problèmes

Notre client FDJ – La Française des Jeux remporte la Learning Cup !

Nous étions ravis de récompenser la FDJ – Française des Jeux et de remettre le trophée de notre Learning Cup à Jérome Pesenti, chef de projet formation chez FDJ, et Sherlina Austin, cheffe de projet formation chez FDJ !

« Il est important de former chaque collaborateur au niveau individuel. La plateforme de formation en ligne de Coorpacademy by Go1 répond à nos enjeux et donne accès facilement et rapidement à des formations adaptées à chacun » Jérome Pesenti – Chef de projet formation chez FDJ

 

Chez Coorpacademy by Go1, la gamification est clé pour engager les apprenants ! Ce trophée a été remis dans le cadre de notre animation « Learning Cup » : une compétition entre les apprenants de nos différentes plateformes clientes, mettant en avant l’esprit d’équipe !

Le but ? Suivre les cours de la playlist spécialement conçue pour l’animation et mettant avant les secrets et les avantages du travail en équipe, ainsi que les stratégies à mettre en place pour gagner sur tous les terrains. La playlist se composait des cours suivants : 

1 – Le coaching entre pairs co-édité avec Sia Partners

Le coaching entre pairs

2- Intelligence culturelle : un atout majeur sur le lieu de travail co-édité avec TMA World

L’intelligence culturelle : un atout majeur sur le lieu de travail

3- Animer des sessions d’innovations co-édité avec Talentquest

Animer des sessions d’innovation

4- Accroître la performance de l’équipe co-édité avec Eyrolles

Accroître la performance de l’équipe

5- Théorie des jeux : résolvez le dilemme du prisonnier édité par Coorpacademy

La théorie des jeux : résolvez le dilemme du prisonnier

6- Réussir sa négociation commerciale co-édité avec Dunod

Réussir sa négociation commerciale

7 – Prise de décision en équipes co-édité avec VideoArts

Prise de décision en équipe

 

FDJ – La Française des Jeux a été la plateforme avec la plus forte croissance d’activité (en nombre de questions répondues) lors de cette Learning Cup. Bravo aux apprenants pour leur engagement et aux équipes L&D de FDJ !

 

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