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La gestion du temps avec la matrice d’Eisenhower

 

Ceci est un extrait de cours co-édité avec Dunod, Efficace dans mon job : les 9 outils à connaître.

Les nouveaux modes d’organisation du travail ont profondément modifié la relation des salariés à leur vie professionnelle : plus d’unité de temps et de lieu qui tienne, place au salarié mobile et agile ! Mais comment gérer efficacement ce nouveau paradigme sans y laisser des plumes ? Avec ce cours, Dunod vous aiguillera vers différentes méthodes organisationnelles qui ont fait leurs preuves pour à la fois rentabiliser votre temps au maximum, gagner en efficacité au quotidien et tirer profit des outils digitaux en les mettant au service de vos objectifs sans vous laisser submerger. Ce cours a été conçu avec Xavier Delengaigne, auteur de la Boîte à outils du Mind Mapping.

Gérer son temps et ses priorités grâce à la matrice Eisenhower

Dans le contexte professionnel actuel, tout semble urgent, et nous avons l’impression d’être constamment débordés. Voyons ensemble comment sortir la tête de l’eau.

Définir ses priorités : une compétence à forte valeur ajoutée

Savoir définir ses priorités est souvent la clé de l’efficacité. Cette compétence est essentielle pour garder ses objectifs à l’esprit, mieux gérer les imprévus et concentrer son énergie de manière à mener à bien ses projets dans les temps.

La matrice d’Eisenhower : classifier ses tâches efficacement

La matrice d’Eisenhower est un outil pour prioriser ses tâches en fonction de leur importance et de leur urgence. Cette matrice comporte 4 types de tâches : celles urgentes et importantes, à faire tout de suite, et soi-même. Celles non urgentes et importantes, soit les tâches à planifier. Celles non urgentes et non importantes, qui sont donc des tâches à éliminer autant que possible. Et enfin, celles urgentes et non importantes, à savoir les tâches à standardiser ou à déléguer.

Distinguer l’urgent de l’important

La matrice d’Eisenhower vise à privilégier l’importance à l’urgence. Dans cette matrice, l’important regroupe les activités qui exercent un impact sur vos objectifs de vie personnels ou professionnels. L’urgent, lui, regroupe les activités qui comportent un risque à ne pas être traitées immédiatement, mais sans forcément avoir un impact direct sur vos objectifs. L’urgence est un sentiment relatif et les tâches jugées telles peuvent être très variées.

Gérer ses priorités au quotidien grâce à la matrice d’Eisenhower

Le but de la matrice d’Eisenhower est de réaliser le plus grand nombre de tâches importantes en les priorisant dans les temps tout en gérant une partie des tâches urgentes. Vous allez donc devoir à la fois éliminer le temps consacré aux tâches non urgentes et non importantes, et réduire le temps consacré aux tâches non importantes et urgentes. Gérer ses priorités au travail de façon efficace demande beaucoup de discipline. Imaginez la situation suivante. Vous souhaitez diffuser efficacement des informations concernant votre entreprise sur les réseaux sociaux et obtenir plus de visibilité pour vos produits. Cependant, vous avez du mal à vous y tenir, car même si la tâche est importante, elle n’est urgente dans le sens où aucune contrainte extérieure ne vous y oblige. Pour être efficace, il faudra arriver à ne pas se laisser constamment séduire et dérouter par les sirènes de l’urgence.

Divertir pour apprendre ou apprendre en se divertissant ? Une nouvelle tribune de Jean-Marc Tassetto dans l’Agefi

 

Le temps est une ressource rare. Frontière mince voire floue entre vies professionnelles et personnelles, sollicitations constantes, temps d’attention qui se réduit… Selon une étude de Josh Bersin pour Deloitte, qui décrit un apprenant d’aujourd’hui en entreprise, 2/3 des personnes interrogées se plaignent de ne pas avoir le temps de faire leur travail. Difficile alors d’imaginer qu’elles trouveront du temps pour se former en plus de leur travail…

Découvrez la nouvelle tribune de Jean-Marc Tassetto, co-fondateur de Coorpacademy, qui a été publiée dans l’Agefi. Pour l’article entier, c’est ici !

Ou découvrez des extraits choisis ici :

« Les taux d’engagement (cet indicateur qui témoigne de la venue des collaborateurs sur la plateforme, et de l’intérêt porté pour les cours et les thèmes) sur les plateformes digitales sont historiquement bas. Engager les apprenants, garantir l’activité et des taux de complétion de cours élevés ainsi qu’une satisfaction de l’utilisateur permanente (suivie par le Net Promoter Score, ou NPS) restent des défis. 

Comment, alors, faire grimper ces indicateurs tout en gardant en tête que le temps nous manque et que la formation reste la plupart du temps imposée ?

[…]

Une façon de résoudre le problème du temps tout en délivrant de l’apprentissage, c’est de regarder du côté de Netflix, de Disney, de Fortnite, de l’entertainment. D’aborder le sujet dans le bon sens: il ne s’agit plus d’ajouter des fonctionnalités ludiques et engageantes plaquées sur un protocole ennuyeux mais bien de partir d’un format engageant et d’y ajouter de l’apprentissage.

[…]

L’entertainment créé des habitudes, une dynamique collaborative, les moteurs de recommandation apportent une dimension communautaire: il apparaît très clairement que le jeu – et ce n’est pas nouveau – est un allié très puissant de l’éducation. 

[…]

Au fond, il s’agit de réappliquer à l’expérience digitale ce que les scientifiques et les pédagogues connaissent déjà. Tout en évitant la dimension de jeu pur qui n’inculquerait aucune notion. Divertissement et apprentissage peuvent et doivent travailler ensemble. Alors rêvons d’un cours dont un apprenant louera les mérites à la machine à café, comme pour ce film passionnant regardé la veille… »

Découvrez l’article complet ici !

L’interview de Jean-Marc Tassetto, co-fondateur de Coorpacademy, à l’EPFL Innovation Park

 

Découvrez l’interview vidéo de Jean-Marc Tassetto, co-fondateur de Coorpacademy, sur les avantages qu’il y a à diriger une start-up EdTech sur le campus de l’EPFL Innovation Park (École Polytechnique Fédérale de Lausanne) en Suisse.

Jean-Marc Tassetto, co-fondateur de Coorpacademy : « Coorpacademy est ce que nous appelons plus communément une start-up EdTech, qui rassemble donc Éducation et Technologie. Nous avons une plateforme dédiée à la formation digitale en entreprise. Notre proposition commerciale unique (Unique Selling Proposition) est de fournir des expériences d’apprentissage en ligne fortement individualisées. Vous et moi apprenons de manières très différentes, c’est pourquoi nous allons proposer sur la même plateforme des contenus très spécifiques et l’innovation pédagogique nécessaire à la montée en compétence de chacun. 

S’implanter sur le campus de l’EPFL Innovation Park a vraiment fait la différence. Nous avons décidé de créer Coorpacademy sur ce campus car nous sommes proches et connectés à deux laboratoires gérés par le Professeur Pierre Dillenbourg, expert dans les Sciences de l’Apprentissage. Leurs recherches concernent des domaines tels que l’intelligence artificielle appliquée à l’éducation, le deep learning, le machine learning dans l’apprentissage. C’est un véritable élément différentiateur pour nous quand il s’agit de fournir les meilleures solutions de formation en ligne à de grands groupes multinationaux ; c’est vraiment génial d’être soutenu par d’éminents professeurs et scientifiques. »

Nous sommes fiers chez Coorpacademy de faire partie de cet environnement florissant. La Suisse est un endroit propice à l’innovation, l’École Polytechnique Fédérale de Lausanne l’une de ses écoles les plus prestigieuses, à la pointe des sciences appliqués à l’apprentissage et de l’innovation dans les processus d’apprentissage. C’est, depuis la création de Coorpacademy en 2013, le meilleur endroit pour prospérer en tant qu’EdTech spécialisée dans le méthodes de formation en ligne innovantes.

En 2019, les chiffres montrent que la Suisse se place tout en haut des classements mondiaux de l’innovation. Selon le Forum Économique Mondial, la Suisse est le 3ème pays le plus innovant du monde, seulement battue par Singapour (1er) et Luxembourg (2ème).

L’article du Forum Économique Mondial nous dit que : « Le Center for Global Innovation Studies de la Toyo University a récemment publié un Indice d’Innovation Mondiale, classant les performances de chaque pays en innovation. L’indice a été créé en sélectionnant et en intégrant un total de 58 critères provenant de cinq domaines : la coopération internationale, les tendances de marché, l’innovation technologique, les ressources et les politiques gouvernementales pertinentes. »

La Suisse est aussi le 1er pays dans le monde au niveau des financements gouvernementaux investis dans la recherche universitaire en parts de PIB, avec 0,76 % du PIB global alloué à la recherche universitaire. De très bons résultats pour la 5ème économie la plus compétitive du monde. 

Coorpacademy est fortement enracinée au coeur de l’innovation et de la recherche dans les sciences de l’apprentissage, et nous sommes fiers de pouvoir profiter d’un tel environnement pour proposer les meilleures expériences d’apprentissage individualisées à nos clients et à nos apprenants.

3 manières de réengager les employés pour qu’ils soient plus productifs, selon Jean-Marc Tassetto, ancien directeur de Google France – Forbes

 

Découvrez cet article dans Forbes, à l’origine en anglais, de Heidi Lynne Kurter sur les méthodes à la disposition des entreprises pour remodeler la formation en entreprise tout en améliorant la productivité, la rétention des talents et l’engagement.

Découvrez l’article dans sa version originale ici !

3 manières de réengager les employés pour qu’ils soient plus productifs, selon Jean-Marc Tassetto, ancien directeur de Google France – Forbes

Une des préoccupations majeures sur le lieu de travail aujourd’hui est la pénurie de compétences couplée aux clashs de culture multigénérationnels. La nouvelle génération de travailleurs, mieux connue sous le nom de ‘digital natives’, qui sont nés avec le digital, représente actuellement jusqu’à 35 % des travailleurs. Alors qu’ils mènent l’adoption de technologies nouvelles, les professionnels expérimentés ont du mal à suivre le rythme. On observe des divisions entre les générations. 

Le Forum Économique Mondial a récemment annoncé qu’en 2022, 75 millions d’emplois seront supprimés quand 133 millions seront créés, seulement du fait des nouvelles technologies. En conséquence, les entreprises s’attendent à de la résistance dans la formation des employés expérimentés aux compétences limitées. Il devient alors nécessaire pour ces entreprises de commencer à recréer de l’appétit chez les salariés pour la formation et l’apprentissage, et donc atténuer leur peur et leur incertitude face au futur.

Stéphan Bruno, Directeur des Ressources Humaines du Gouvernement Princier de Monaco, est déterminé à montrer l’exemple en matière de révolution digitale. Présent à la conférence Gartner ReimagineHR à Londres, Stéphan Bruno a dévoilé le partenariat avec Coorpacademy pour faire monter en compétence 3 600 fonctionnaires de la Principauté. Plus connue comme le « Netflix de la formation et de l’apprentissage », l’entreprise Coorpacademy conçoit des plateformes de formation digitale innovantes qui utilisent des éléments du jeu pour rendre la formation engageante et interactive. Voilà 3 méthodes pour les entreprises qui leur permettraient de réinventer la formation et ainsi améliorer la productivité et l’engagement. 

Créer une approche centrée sur l’apprenant.

Le co-fondateur de Coorpacademy et anciennement Directeur de Google France Jean-Marc Tassetto vise à chambouler les expériences traditionnelles de e-learning et de formation digitale. Au lieu d’imiter Coursera ou Udemy en allant chercher d’éminents professeurs dans les meilleures universités du monde, Jean-Marc Tassetto pense qu’il est plus judicieux et efficace de s’associer à des experts d’industrie clés autour du monde. Par exemple, le cours “Décrypter la technologie blockchain” a été créé par IBM et conçu par des salariés actuels. Certains programmes permettent de recevoir des certifications pertinentes fondées sur les cours terminés avec des taux de succès de l’ordre de 90-95 %. Basée sur le campus de l’Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL), la plateforme de formation sociale offre de maximiser l’expérience d’apprentissage en y accueillant des élèves.

Atténuer la peur du futur

Les mesures pour atténuer la peur du futur et de son incertitude doivent être prises tout en haut de l’organigramme. Les équipes de direction doivent se montrer proactives dans ce changement culturel, de la formation en présentiel à la formation digitale, pour engager les apprenants et créer une culture d’entreprise centrée sur l’apprenant et la formation. Stéphan Bruno souligne la peur qu’ont les anciennes générations au fur et à mesure que la technologie s’installe partout et que les nouvelles générations redéfinissent le lieu de travail. Stéphan Bruno et Jean-Marc Tassetto ont compris qu’en plaçant les employés en charge de leur propre apprentissage, avec des aides et des directives managériales, impulsées par les équipes dirigeantes, les employés qui ne sont pas ‘digital natives’ peuvent accroître leur maturité digitale à leur rythme, ce rythme confortable qui leur semble être le bon. Les utilisateurs jouissent aussi de contenu additionnel qu’ils peuvent consommer pour développer de nouvelles compétences. Certains des cours de ce catalogue traitent du leadership au féminin, de la résistance au stress ou encore du Design Thinking, pour ne citer que quelques thèmes.

L’engagement par le micro-learning

Une étude de Microsoft montre que les temps d’attention de chacun sont maintenant seulement de 8 secondes. Si les entreprises et les plateformes de formation digitale veulent continuer à garder leurs apprenants engagés et assidus, elles doivent se concentrer sur des modules courts, assez courts pour qu’un apprenant puisse rester attentif. Jean-Marc Tassetto nous dit que les modules de micro-learning les plus consultés et réussis font de 5 à 12 minutes. Quelque chose de plus long risquerait de provoquer le désintérêt et la perte d’attention de l’apprenant. Les modules de micro-learning de Coorpacademy consistent en un mélange sain de questions, de jeu et de vidéos courtes et engageantes. 

Avec des clients tels que L’Oréal, IBM, Nestle ou BNP Paribas, la start-up a rencontré un franc succès avec son approche innovante de l’apprentissage en entreprise. En plaçant l’apprenant au centre, les employés deviennent maîtres de leur montée en compétence et peuvent développer les compétences qu’ils souhaitent. Stéphan Bruno fut surpris quand il vit que chacun, à n’importe quelle strate du gouvernement, du jardinier au pompier, interagissait positivement avec la plateforme. 

La révolution digitale n’est plus une menace tapie dans l’ombre mais un défi actuel et concret. Les entreprises qui refuseront d’évoluer et d’innover avec le marché risquent tout simplement de disparaître. La technologie est utilisée à toutes les strates du business, du sourcing au recrutement, de l’intégration à la rétention des talents. Une expérience de formation digitale engageante consiste en un mélange de formation présentielle et en ligne : c’est là que la formation aura un fort impact pour les apprenants. Les leaders qui se sentent concernés par l’expérience d’apprentissage de leurs employés permettront alors d’accroître la performance, l’engagement, et la rétention des talents.

Découvrez l’article dans sa version originale ici !

Ce que vous avez préféré en 2019 !

 

Toute l’équipe Coorpacademy vous souhaite de joyeuses fêtes de fin d’année !

Avant de se retrouver à la rentrée pour de nouveaux cours passionnants, des innovations sur la plateforme et toujours plus de surprises qui vous feront aimer apprendre, découvrez ce que vous avez préféré en 2019 !

Les mots les plus recherchés !

Les mots les plus recherchés sur Coorpacademy en 2019

Parmi plusieurs centaines de milliers de recherches, les sujets de cours les plus recherchés ont été l’éthique, le management et la Responsabilité Sociale des Entreprises. Mais depuis novembre, le sujet le plus recherché est l’Escape Game digital, appelé Black Hole ! Si vous ne l’avez pas encore joué, découvrez-le sans plus attendre !

Parviendrez-vous à échapper à Black Hole ?

Ce qui a le plus buzzé !

Ces deux vidéos présentant les cours sur le Big Data et la prise de parole en public ont été largement vues et relayées sur les réseaux sociaux !

Si vous ne les aviez pas encore vues… Maintenant vous pouvez !

La vidéo la plus vue !

Notre vidéo la plus vue sur YouTube cette année, extraite du cours Le Parcours de Vente co-édité avec notre partenaire Booster Academy.

Pour le cours complet, c’est ici !

La playlist la plus regardée !

We're all Legends - Lien vers la playlist

We’re all Legends : la playlist de l’année ! Cette année, nos collaborateurs étaient à l’honneur ! Depuis la création de cette série YouTube en novembre, vous avez été nombreux à découvrir les parcours d’Antoine, de Catherine ou encore d’Armelle dans cette playlist We’re all Legends. Rendez-vous en 2020 pour découvrir les parcours et les petits secrets de nouveaux collaborateurs : les vidéos seront publiées très prochainement !

Qui de mieux que les Coorpers pour raconter Coorpacademy ?

Les cours les plus suivis !

IA et Big Data : les thèmes forts de 2019 !

Deux cours ont été particulièrement suivis cette année :

Introduction à l’intelligence artificielle : ce cours co-édité avec Fabernovel vous a permis de plonger dans l’univers de l’intelligence artificielle. Découvrez aussi cette vidéo interview de l’auteur du cours, Tom Morisse !


Le Big Data : ce cours Coorpacademy vous a expliqué les fondements du Big Data et de ses applications, entre blockchain, machine learning, datavisualisation ou analyse prédictive.

L’article le plus lu !

Les 10 soft skills à développer selon le World Economic Forum

Vous avez été plus de 3 000 cette année à vous intéresser au rapport Future of Jobs du Forum Économique Mondial qui recense 10 compétences essentielles à développer pour naviguer plus facilement dans ce monde du travail incertain.

(Re)découvrez ces 10 compétences majeures avec cet article de blog, plébiscité par nos lecteurs !

Préparez 2020 avec les bonnes compétences !

 

 

 

Le plan de formation digitale du Gouvernement Princier de Monaco sera présenté à l’événement Gartner ReimagineHR London 2019 !

 

Réinventer le Futur du Travail. 

 

Les 18 et 19 septembre, à l’hôtel Park Plaza London, plus de 500 professionnels des Ressources Humaines se rassembleront lors de l’événement Gartner ReimagineHR London 2019 pour réinventer le Futur des Ressources Humaines. Ils pourront y suivre 28 présentations d’analystes de Gartner.

Brian Kropp, GVP et Chief of HR Research chez Gartner, présentera la keynote d’ouverture : « Comment les Ressources Humaines peuvent réinventer le travail pour mener à la performance. »

Il nous dit : « L’intelligence artificielle ou l’automatisation, bien qu’importantes, ne représentent qu’une partie du futur du travail. Il existe en plus de ces changements visibles un grand nombre de tendances sous-jacentes (la promotion de la transparence, ou les nouvelles méthodes de travail) qui ont le possibilité de changer en profondeur la façon dont nous travaillons. »

Brian va souligner les enjeux fondamentaux des Ressources Humaines face à la montée en puissance de l’intelligence artificielle ou de l’automatisation tout en se concentrant sur les opportunités créées par ces changements… Malheureusement, bon nombre de professionnels des Ressources Humaines ont plus connaissance des dangers que des opportunités que ces changements vont créer.

Pendant l’événement seront explorées les grandes tendances et défis actuels des Ressources Humaines pour réinventer le Futur du Travail avec des keynotes, des tables rondes ou des réunions :

  1. La transformation digitale, l’innovation, la montée en puissance de l’intelligence artificielle… Ces problématiques sont au coeur de la gestion des talents et les entreprises ne pourront les adresser correctement si elles n’ont pas les bonnes personnes avec le bon soutien.
  2. Nous sommes dans une période où les taux de chômage de postes importants et fondamentaux sont parfois en-dessous d’1 %. Les employeurs ne parviennent pas à trouver assez de candidats pour beaucoup d’emplois.
  3. L’intelligence artificielle, le « gig worker » (gig, concert en anglais – car on paye souvent les musiciens à la tâche et une fois le bal terminé – désigne un travailleur indépendant payé à la tâche), la transparence chez les candidats et les employés, les données analytiques ont le potentiel de transformer en profondeur la fonction Ressources Humaines.
  4. Il n’y a jamais eu autant de visibilité : des canaux comme Glassdoor ou Indeed, mais aussi des outils de communication interne permette d’avoir, au préalable, des informations sur les fourchettes de salaire, sur la qualité du management, sur l’ambiance générale d’une entreprise avant même de l’intégrer.
  5. Les problématiques de gestion des talents font maintenant totalement partie des quotidiens du top management et des directions. Avec par exemple les problèmes d’harcèlement au travail et de discrimination, mais aussi du fait que les investisseurs portent maintenant plus d’attention à l’impact de la gestion des talents sur la performance globale de l’entreprise. 

Les bonnes personnes avec les bonnes compétences pour prospérer dans ce nouvel environnement complexe.

 

La transformation digitale, l’intelligence artificielle et l’automatisation créent des opportunités. Mais les organisations ne pourront prospérer dans cet environnement complexe seulement si elles disposent des bons talents avec les bonnes compétences. Jean-Marc Tassetto, co-fondateur de Coorpacademy, disait dans son dernier article publié dans Finance Derivative : « Ces changements affectent tous les secteurs. Il devient impératif pour nous de gérer notre employabilité sur le long-terme. Les entreprises qui n’équipent pas leurs équipes des outils nécessaires pour rester compétitives perdront des parts de marché, voire disparaîtront, lorsque de nouveaux acteurs disruptifs disposés à former leurs employés aux compétences nouvellement nécessaires les remplaceront.« 

 

La réussite du plan de formation en ligne du Gouvernement Princier de Monaco. 

Alors que la Principauté de Monaco a annoncé courant 2019 un programme stratégique de transformation « Extended Monaco », pour engager ses politiques publiques et son économie dans un modèle numérique, le Gouvernement Princier a lancé une académie digitale, baptisée Monaco Digital Academy, avec un programme de formation nécessairement ambitieux pour ses 3.600 fonctionnaires et agents, afin de les accompagner dans cette phase de transformation des métiers et des processus.

Pour la mise en œuvre de cette Académie digitale, le Gouvernement Princier de Monaco a sélectionné Coorpacademy comme plateforme de formation digitale.

Stéphan Bruno, DRH du Gouvernement Princier de Monaco, et Jean-Marc Tassetto, co-fondateur de Coorpacademy, présenteront ce projet le 19 septembre à 11h30, sous le thème de l’hyper-individualisation de l’apprentissage.   

Stéphan Bruno a expliqué le choix de Coorpacademy : « Nous voulions créer pour nos collaborateurs de la fonction publique une offre de formation accessible, ludique et diverse, pas uniquement liée aux compétences métiers. L’expérience d’apprentissage sur la plateforme Coorpacademy centrée sur l’apprenant et la richesse de son catalogue de cours construit avec des partenaires experts répondaient à nos problématiques. »

Nous sommes honorés d’avoir été sélectionnés comme prestataire de formation pour ce plan numérique stratégique qui va toucher l’ensemble des politiques publiques de la Principauté », ajoute Jean-Marc Tassetto, co-fondateur de Coorpacademy. « La place donnée par le gouvernement princier et ses dirigeants à la formation témoigne de l’envergure de ce plan et d’une prise en compte globale des enjeux de la transformation digitale. »

Découvrez ce projet de transformation.

Si vous êtes à Londres les 18 et 19 septembre, venez rencontrer l’équipe Coorpacademy !

« L’hyper-individualisation – Comment les meilleures entreprises et institutions forment massivement leurs employés aux métiers de demain. », Jeudi 19 septembre, 11h30 – 12h00, Park Plaza London.

Nous avons hâte de vous y retrouver !

Coorpacademy a été sélectionnée dans le Top 20 des finalistes des EdTechXGlobal Awards 2019, dans la catégorie Scale-Up !

Coorpacademy a été sélectionnée dans le Top 20 des finalistes des EdTechXGlobal Awards 2019, dans la catégorie Scale-Up !

Ces 20 finalistes sont les entreprises spécialisées dans l’éducation et la formation qui ont connu les plus fortes croissances du secteur sur les trois dernières années.

Avec Coorpacademy (Suisse), les autres finalistes sontLearning Technologies Group (GB), Toppr (Inde), Busuu (GB), ApplyBoard (Canada), Amity University Online (Inde), Le Wagon (France), Openclassrooms (France), Twinkl (GB), Unicaf (Chypre), Virtual College (GB), Touch Surgery (GB), FutureLearn (GB), Learnship (Allemagne), Ducere (Australie), Upgrad (Inde), Circus Street (GB), Mindtools (GB), Seagull (Norvège), Clio Online (Danemark).

Nous sommes fiers chez Coorpacademy d’avoir été reconnus par EdTechXGlobal comme une entreprise innovante à la croissance rapide et ayant un impact positif dans la transformation du futur de l’apprentissage et du monde du travail.

Qu’est-ce qu’EdTechXGlobal ?

EdTechXGlobal rassemble la communauté des acteurs du Learning avec des événements de Thought Leadership, permettant la rencontre entre pairs et l’échange de bonnes pratiques. Parmi ces événements, le sommet phare EdTechXEurope à Londres et des événements locaux en Afrique, en Asie et en Europe. Ces événements EdTechXGlobal rassemblent des investisseurs, des innovateurs, des leaders et des influenceurs du secteur des technologies au service de l’éducation, provenant de plus de 60 pays. EdTechX a aussi fondé la London EdTech Week, où plus de 40 hôtes et entreprises organisent plusieurs événements à Londres pendant une semaine en juin.

Pour en savoir plus, découvrez le communiqué de presse !

Coorpacademy in the top 20 Finalists of EdTech Scale-ups

Coorpacademy a été sélectionnée par le Gouvernement Princier de Monaco dans le cadre de son plan de transformation numérique, pour la formation de sa communauté de fonctionnaires et agents de la fonction publique

 

Alors que la Principauté de Monaco vient d’annoncer un programme stratégique de transformation « Extended Monaco », pour engager ses politiques publiques et son économie dans un modèle numérique, le Gouvernement Princier lance une académie digitale, baptisée Monaco Digital Academy, avec un programme de formation nécessairement ambitieux pour ses 3.600 fonctionnaires et agents, afin de les accompagner dans cette phase de transformation des métiers et des processus.

Pour la mise en œuvre de cette Académie digitale, le Gouvernement Princier de Monaco a sélectionné Coorpacademy comme plateforme de formation digitale. Acteur EdTech spécialiste du Corporate Digital Learning en Europe né sur le campus de L’École Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL), Coorpacademy développe des solutions de formation digitale innovantes pour les entreprises, administrations et institutions.

La Monaco Digital Academy offre ainsi aux collaborateurs de l’administration monégasque une plateforme de formation en ligne qui intègre les nouveaux usages du numérique (comme par exemple la gamification et le « mobile learning »), les dernières innovations pédagogiques (pédagogie inversée, modules de formation d’une durée inférieure à 5 minutes) et propose des contenus à forte valeur ajoutée permettant de développer des compétences essentielles dans un monde en pleine transformation.

Ainsi, les cours disponibles en ligne permettent aussi bien de renforcer et d’acquérir de nouvelles compétences transversales et comportementales (appelées aussi « soft skills») que des compétences numériques. L’Académie digitale donne accès à un catalogue de plus de 1 000 cours, édités par Coorpacademy en collaboration avec des partenaires professionnels, qui permettent de couvrir 90% des compétences identifiées comme cruciales d’ici à 2020 par le Forum Économique Mondial (étude The Future of Jobs 2018). Par ailleurs, le Gouvernement Princier viendra enrichir ce catalogue avec des cours sur mesure, comme par exemple des modules complémentaires sur le bien-être au travail et des formations métier.

L’Académie propose ainsi une offre de formation flexible et évolutive, permettant aux fonctionnaires et agents de se former sur les sujets de leur choix, à leur rythme et de n’importe quel endroit en utilisant un ordinateur, un smartphone ou tout autre terminal numérique.

Pour Frédéric Genta, Délégué Interministériel chargé de la Transition Numérique de la Principauté de Monaco : « Pour que notre service public soit un modèle dans un monde numérique, nous devons embarquer tout le monde et en premier lieu nos agents en charge de nos politiques publiques qui doivent pouvoir bénéficier d’une offre de formation ambitieuse. Il n’y a pas de meilleur investissement que d’investir dans ses équipes et leurs formations. »

Stéphan Bruno, Directeur des Ressources Humaines du Gouvernement Princier de Monaco, explique le choix de Coorpacademy : « Nous voulions créer pour nos collaborateurs de la fonction publique une offre de formation accessible, ludique et diverse, pas uniquement liée aux compétences métiers. L’expérience d’apprentissage sur la plateforme Coorpacademy centrée sur l’apprenant et la richesse de son catalogue de cours construit avec des partenaires experts répondaient à nos problématiques. »

« Nous sommes honorés d’avoir été sélectionnés comme prestataire de formation pour ce plan numérique stratégique qui va toucher l’ensemble des politiques publiques de la Principauté », ajoute Jean-Marc Tassetto, co-fondateur de Coorpacademy. « La place donnée par le gouvernement princier et ses dirigeants à la formation témoigne de l’envergure de ce plan et d’une prise en compte globale des enjeux de la transformation digitale. »

Quand la difficulté permet d’apprendre : les mécanismes de l’échec productif

 

Coorpacademy vous fait profiter, chaque mois, de ses collaborations R&D avec le Centre LEARN (Centre des Sciences de l’Apprentissage) de l’EPFL (École Polytechnique Fédérale de Lausanne, Suisse).

Jessica Dehler Zufferey, directrice opérationnelle du Centre LEARN, précédemment responsable R&D chez Coorpacademy, démarre cette série d’articles par une réflexion sur l’échec productif, ou quand la difficulté nous fait apprendre.


Les meilleurs apprentissages ne peuvent-ils survenir que dans un contexte culturel où les erreurs sont non seulement acceptées, mais également perçues comme des occasions précieuses d’améliorer ses compétences ?

Lorsqu’ils se forment à un nouveau sujet sur la plateforme Coorpacademy, les apprenants ont toujours le choix : ils peuvent soit commencer par répondre à des questions, soit accéder aux supports pédagogiques (vidéos de cours).

De façon intuitive, on pourrait penser qu’une personne possédant déjà une bonne connaissance du sujet en amont doive commencer par les questions, tandis qu’une autre  n’ayant aucune connaissance ou une connaissance réduite doive commencer par le contenu pédagogique avant de répondre aux questions. Mais est-ce vraiment le cas ? Des recherches s’intéressant à la méthode dite de « l’échec productif » parviennent à la conclusion inverse.

Comment cela fonctionne-t-il ?

Initialement développé à Singapour par Manu Kapur, aujourd’hui professeur à l’ETH Zürich (École Polytechnique Fédérale de Zürich) et reconnu dans le monde entier, le concept d’échec productif met en avant les bénéfices de devoir faire face à des obstacles au cours d’un apprentissage. Lorsque des apprenants se plongent dans de nouveaux sujets, ils passent par une phase initiale de « brainstorming » créatif et conceptuel avant de se plonger dans le contenu , les informations et les explications. Si vous souhaitez en savoir plus sur la science des données (data science), par exemple, vous devriez d’abord vous amuser avec des données, inventer des mesures à appliquer et faire des expériences avec les résultats obtenus. La qualité des idées que vous générez n’a que peu d’ importance car même les mauvaises idées peuvent engendrer le phénomène d’échec productif. D’après Kapur, l’échec productif « est la préparation à l’apprentissage ». Ce n’est pas l’apprentissage lui-même.

Quel impact cela a-t-il ?

La littérature qui existe sur cette approche montre que non seulement votre compréhension conceptuelle sera améliorée si vous commencez par échouer, mais que votre intérêt pour le sujet et votre motivation en seront également accrus. Autre effet secondaire intéressant : cela vous forme à la persévérance. Le nombre d’idées générées est également supérieur si l’on commence par échouer, donc cette méthode stimule aussi la créativité.

Pourquoi est-ce que ça marche ?

Il se trouve que les mécanismes cognitifs de l’apprentissage derrière le phénomène d’échec productif sont plutôt bien compris. Premièrement, toute stimulation cognitive est bénéfique pour l’apprentissage car elle met le cerveau en « mode actif ». Deuxièmement, tout apprentissage est contextualisé ; de ce fait, en développant leurs propres idées, les apprenants créent le contexte dans lequel ils pourront intégrer tout apprentissage futur. Troisièmement, en élaborant des idées avant la phase réelle d’apprentissage, les apprenants développent une intuition concernant les types de problèmes associés. Ils sont ainsi plus susceptibles d’appliquer le contenu de l’apprentissage dans des situations futures et donc d’améliorer leurs performances grâce à l’apprentissage.

Qu’est-ce que cela signifie pour vous en tant qu’apprenant tout au long de la vie ?

Lorsque vous vous lancez dans l’apprentissage d’un nouveau sujet, ne vous tournez pas directement vers le contenu pédagogique en pensant que vous devez commencer par acquérir les connaissances de base. Exploitez plutôt cette phase initiale d’« ignorance » et élaborez plusieurs idées, qu’elles soient justes ou fausses. Ce n’est qu’à ce moment-là, lorsque vous serez impliqué, que vous pourrez vous pencher sur le contenu et apprécier l’apprentissage.

L'auteur de l'article Jessica Dehler Zufferey

 

Montre-moi comment tu apprends et je te dirai qui tu es !

 

Nous apprenons tous de façon différente ! Or peu de plateformes d’apprentissage en ligne, notamment dans le domaine de la formation professionnelle, prennent aujourd’hui en compte cette diversité de comportements… Il est temps que les formateurs se dotent d’outils d’analyse comportementale !

Découvrez le nouvel article de Frédérick Bénichou, co-fondateur de Coorpacademy, publié dans le Journal du Net. Pour le lire dans sa version originale, c’est ici !

Extraits choisis :

« En allant deux fois plus vite dans l’acquisition de nos compétences douces (soft skills), telles que la capacité à résoudre des problèmes, la créativité ou encore l’intelligence émotionnelle, la part des emplois menacés par l’automatisation pourrait être réduite d’un tiers voire de moitié (étude d’Accenture Strategy Harnessing Revolution: Creating the Future Workforce) !

Alors qu’attendons-nous pour accélérer le rythme de la formation en entreprise et engager les salariés sur le développement de leurs soft skills ?

Le Digital Learning est un outil puissant quand il est fluide, personnalisé, et omnicanal, à la manière d’une expérience client réussie. Et tout comme l’expérience client, la formation commence par une connaissance approfondie de ses utilisateurs. Un responsable RH, un responsable de formation ou un manager doit donc commencer par connaître et comprendre la manière d’apprendre de ses équipes ! »

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« Nous apprenons tous de façon différente. Le processus est complexe, évolutif et dépend de différents facteurs qui nous sont propres ou liés à notre environnement, par exemple, notre état émotionnel, le contexte, le sujet ou tout simplement le moment de la journée choisi pour apprendre. Une expérience de formation réussie passe donc par la prise en compte de nouveaux indicateurs qui reflètent ces variantes et comportements d’apprentissage.

Comme la curiosité par exemple. La curiosité est associée à des capacités supérieures, y compris en ce qui concerne l’apprentissage. La curiosité est en réalité une caractéristique issue de notre évolution. Les individus dotés de curiosité avaient en effet un avantage en termes évolutifs par rapport aux autres. Des recherches montrent que la curiosité des apprenants à propos d’un sujet est plus forte lorsqu’ils ont certaines connaissances mais manquent d’assurance. Il faut donc prendre cela en compte dans le choix des contenus de formation. »

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« Les entreprises ont accès à toutes sortes de nouveaux enseignements : non seulement ce qu’une personne a effectivement appris, mais aussi comment l’apprenant en est arrivé là et quelle est l’approche d’apprentissage pour laquelle il a opté, et ainsi proposer des recommandations au plus proches de ses besoins. L’avantage pour le salarié est de l’aider à s’autonomiser pour qu’il devienne réellement maître de son employabilité et pour cela, il est important qu’il puisse décrypter sa manière d’apprendre. « 

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Pour retrouver d’autres publications ou interviews de Frédérick Bénichou, co-fondateur de Coorpacademy, c’est ici :

Instruire n’est pas synonyme d’apprendre.

Frédérick Bénichou interviewé par DLM News en partenariat avec BFM Business, pour l’émission « La vision des experts » lors du salon Learning Technologies France 2019.

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