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Quels sont les enjeux principaux autour de la data pour le 21 siècle ?

 

The Data Touch contribue à la réussite des entreprises en leur fournissant des résultats tangibles issus de l’exploitation de données Internet. The Data Touch propose également des formations data en entreprise pour accroitre les compétences des collaborateurs. Les produits et services offerts comprennent : la production de prototypes de machine learning visant à prédire des résultats centrés autour des objectifs de l’entreprise, la création d’une culture de la data au sein des entreprises, la mise en place d’initiatives data autour du comportement des consommateurs en ligne et des performances sur Internet en général.

The Data Touch a débuté un partenariat de co-édition de cours avec Coorpacademy. Deux cours sont d’ores et déjà disponibles sur les plateformes de formation digitale de Coorpacademy : Data, une méthodologie au service des entreprises, et L’art de la visualisation des données.

Nous avons eu la chance de poser nos questions à Penelope Bellegarde, la fondatrice de The Data Touch. L’interview est aussi disponible en anglais ici.

 

Pourquoi avez-vous fondé The Data Touch ?

 

J’ai fondé The Data Touch il y a 3 ans et demi à Londres pour relever trois défis principaux. Le premier défi est de réussir à créer de la valeur tangible issue des données Internet (ou digital data comme on dit en anglais). En effet, beaucoup (trop !) de data est collectée dans ce domaine et elle fait encore trop souvent l’objet de rapports chiffrés interminables par opposition à de la valeur réelle pour l’entreprise. Le deuxième défi est de briser les frontières qu’il existe entre les départements data et les directions d’entreprises. En effet, ces deux groupes de collaborateurs se parlent rarement et engager ce dialogue est pourtant vecteur de valeur pour l’entreprise. Lorsque les dirigeants connaîtront mieux l’art du possible avec la data ils auront envie de devenir eux aussi plus data driven ! Et lorsque les analystes comprendront mieux les objectifs de l’entreprise, leurs analyses seront d’autant plus percutantes et commenceront vraiment à influencer !

Enfin, le troisième défi à résoudre était « d’armer » les collaborateurs de l’entreprise (qui n’ont pas un profil technique) avec une culture de la data et des méthodologies efficaces et simples à mettre en place. Dans le monde digital, de plus en plus de campagnes personnalisées sont lancées et cela de plus en plus fréquemment. Les entreprises sont donc de plus en plus soucieuses de connaître le retour sur investissement de ces initiatives, ce qui se traduit par une demande croissante de résultats chiffrés. Et donc de plus en plus de personnes qui ne sont pas des analystes doivent monter en compétence dans le domaine data pour répondre à ces nouvelles attentes ! The Data Touch crée et délivre donc des programmes de formation pour les entreprises ainsi que pour les futurs cadres en École de Commerce.  

Quelles sont les raisons qui vous amènent à considérer la data comme la ressource la plus convoitée du 21ème siècle ?

 

Un des atouts principaux de la data c’est qu’elle peut fournir des réponses objectives et permet donc de créer un consensus au sein des entreprises, mais encore faut-il que les questions qu’on lui pose soient de bonnes questions qui seront source de valeur !

La data permet aussi d’appréhender des nouvelles tendances et nouveaux phénomènes que l’on n’aurait pas soupçonné par nous mêmes… Par exemple, les techniques de Machine Learning et en particulier celles de l’apprentissage non-supervisé comme le clustering permettent d’identifier des groupes distincts (de clients etc…) que nous n’aurions pas forcément soupçonné à “l’oeil nu”.  

La data permet également d’anticiper et de prévoir les comportements et donc d’apporter à l’entreprise un réel avantage concurrentiel.

Quels sont les critères qui font qu’un projet data soit un succès ? Ou, à l’inverse, un “gâchis” de temps et d’investissement ?

 

Comme nous l’expliquons dans le cours, il y a des éléments essentiels à garder à l’esprit si l’on veut réussir son projet data. Premièrement, commençons par nous poser une bonne question. En y répondant, serons-nous plus avancés et en mesure d’agir sur les recommandations ? Il ne faut pas hésiter à impliquer plusieurs acteurs de l’entreprise sur cette étape pour arriver à une question riche et précise à la fois. Ensuite, en fonction des questions identifiées, il faut se poser la question de savoir quelle data, parmi toutes celles qui sont disponibles seront de vrais indicateurs versus les données qui seront juste du « bruit ». Une fois l’analyse terminée, il faut la communiquer de façon efficace aux acteurs qui prendront les décisions. Il s’agit là d’un travail assez fin car il faut réussir à traduire des éléments parfois complexes en un langage simple et surtout en lien avec les objectifs de l’entreprise, sa stratégie, ses produits, ses clients…

Alors qu’il était sur toutes les lèvres, le terme de Big Data semble perdre de son importance… 

 

Oui c’est vrai ! Il est désormais remplacé par AI: Artificial Intelligence !

Ces buzzwords sont souvent une réponse à une rapide « poussée technologique » qui prétend tout révolutionner. Mais attention, juste parce que la technologie est avancée, ne signifie pas que la révolution va porter ses fruits dès lors que l’entreprise aura investi dans ces avancées technologiques… Encore faut-il comme nous l’avons abordé lors de la question précédente se focaliser sur ce qui est important.

Pourquoi Coorpacademy ? Comment s’est déroulé le processus de création de cours avec Coorpacademy ?

 

Comme l’une des raisons d’être de The Data Touch est de former un maximum d’acteurs de l’entreprise sur la data, être en mesure de délivrer de la formation à  un maximum d’individus en ligne à la demande est très séduisant. Lorsque j’ai été contactée par Coorpacademy pour un premier projet de collaboration, j’ai donc de suite dit oui !

Une collaboration très étroite s’en est suivie. Nous avons d’abord travaillé ensemble sur le choix des thèmes et le contenu autour de ces thèmes… Ensuite, il s’agissait de rédiger les scripts, les quizz et enfin la production des vidéos. Pour ma part, j’ai trouvé cette collaboration très efficace et agréable et ce malgré la distance géographique.

Pourquoi pensez-vous que la formation et l’apprentissage tout au long de la vie sont cruciaux pour les années à venir et pour faire face aux incertitudes du futur ?

 

Je pense qu’il y a de nombreux facteurs qui peuvent expliquer ce phénomène.

Tout d’abord, les avancées technologiques sont sources de nouveaux métiers, comme les data scientists par exemple. Si les concepts derrière ce métier existent depuis plusieurs décennies, il aura fallu attendre ces dernières années pour le rendre opérationnel grâce à la puissance grandissante des ordinateurs. 

Un autre facteur lié à la technologie est la propagation de la data dans tous les départements de l’entreprise, y compris dans les services qui traditionnellement n’avaient jamais ou très peu recours à la data au jour le jour. Les dirigeants d’entreprise exigent donc par défaut un minimum de connaissance data de la part de chaque acteur.

D’un point de vue sociologique, je pense aussi que nous avons la chance de vivre à une époque ou écouter ses envies professionnelles devient de plus en plus la norme, alors qu’il y a encore quelques années, c’était l’exception. Maintenant les gens hésitent beaucoup moins à se reconvertir !

Enfin, on se rend aussi de plus en plus compte des limites des systèmes d’éducation traditionnels qui ont pour beaucoup toujours privilégié les compétences techniques aux compétences qui relèvent plus de l’intelligence émotionnelle. Et faire preuve d’intelligence émotionnelle est un atout qui n’a pas de prix dans le monde de l’entreprise. Les gens s’en rendent compte de plus en plus et décident donc de se former à ces techniques. 

La nécessité de se former tout au long de la vie est donc un des grands bouleversements qui affecte le marché du travail depuis quelques années. Désormais, chaque individu est amené à avoir plusieurs métiers plus ou moins liés et c’est une chance formidable ! Mais cela exige évidemment des investissements réguliers dans de nouvelles formations et également de se remettre en question régulièrement. 

Être capable de se former en continu est crucial car cela nous force à nous adapter, nous réinventer et donc à rester compétitif !

D’un point de vue juridico-légal, l’histoire de la data, de sa collecte et de son utilisation a été entachée de scandales, notamment au niveau du respect de la vie privée… Pensez-vous que cette prise de conscience globale est une opportunité ou une menace pour l’utilisation des datas ?

 

Pour ma part, d’un point de vue éthique, je pense que plus de transparence était nécessaire. Les consommateurs ont le droit de mieux comprendre quelles données les concernant sont collectées et dans quels buts. Cependant, cette collecte dans bien des cas est source de valeur pour les consommateurs et il ne faut pas l’oublier non plus. Plus une entreprise connaît vos habitudes, plus elle saura vous faire des propositions personnalisées et intelligentes et vous fera gagner du temps. 

Maintenant d’un point de vue analytique, je reste optimiste quand à l’impact de la protection de la vie privée sur la collecte de données. En effet, je pense que rationaliser la data est une bonne chose. Aujourd’hui, on a accès à trop de données et on n’en fait pas grand-chose. Plus la data sera limitée, plus le domaine de l’analytique sera forcé de se poser des questions toujours plus pertinentes et aussi d’augmenter en créativité. Par exemple, si telle ou telle donnée n’est désormais plus disponible, avec quelle autre données similaire pourrons-nous la remplacer ? Etc… 

Qu’est ce qui vous passionne dans le monde de la data?

 

Beaucoup de choses ! Mais je dois dire que la diversité des compétences requises pour réussir avec la data sont tellement diverses que ce domaine ne cesse de me fasciner et de me stimuler par conséquent !

Vu depuis l’extérieur, on a toujours tendance à ne voir que l’aspect mathématique, statistique de la data. Mais la data est aussi un art ! En effet, comme nous l’expliquons dans le cours il est absolument crucial d’être en mesure de traduire ces découvertes chiffrées en un langage simple, tangible et centré sur la valeur que ces découvertes peuvent apporter à l’entreprise… Pas facile !

Il faut aussi savoir garder l’esprit ouvert. En effet, on a souvent trop tendance à vouloir utiliser la data pour confirmer une hypothèse qui nous tient à coeur plutôt que de laisser pleinement parler la data.

Enfin, il est bien évidemment utile de connaître tout un tas d’outils utiles pour la manipulation des données et là aussi, encore faut-il se former en continu. En effet, certains outils très puissants pour la manipulation de données sont relativement jeunes. Par exemple, Pandas, une librairie fondamentale pour la manipulation de données sur Python a été créée en 2008. Google Data Studio, l’outil de visualisation des données a été lancé par Google en 2016… 

Les biais cognitifs expliqués par Luc de Brabandere, Fellow au Boston Consulting Group et co-auteur du cours « Les biais cognitifs : pièges de la pensée »

 

Notre cerveau nous jouerait-il des tours ? Il n’est pas possible d’envisager, pour chaque situation, toutes les possibilités, ni d’être complètement rationnel. Notre cerveau va donc prendre des raccourcis, des court-circuits. Ce sont les biais cognitifs.

Luc de Brabandere, ingénieur et aujourd’hui Fellow au Boston Consulting Group, nous explique dans cette interview vidéo de 3 minutes comment les biais peuvent altérer notre façon de penser. Mieux les identifier, c’est mieux s’en prémunir !

Les biais cognitifs, qu’est-ce que c’est exactement ? 

« Le constat de départ, c’est qu’il n’est pas rationnel d’être 100 % rationnel ! Par exemple, si vous voulez partir en vacances et que vous dites à vos amis : « Je vais faire un choix 100 % rationnel », vous ne partez jamais ! Il n’est pas possible d’envisager toutes les possibilités. Nécessairement, dans la vie de tous les jours, nous sommes obligés de faire  des raccourcis, des courts-circuits, d’échapper à la rationalité : une sorte de lâcher-prise indispensable. Les biais cognitifs, c’est ça ! C’est comment l’on passe d’un côté à l’autre, le moment où nous prenons notre décision. 

Pourquoi est-il important de maîtriser les biais cognitifs en entreprise ?

En entreprise, avant tout, ce sont des hommes et des femmes, qui pensent comme tous les hommes et toutes les femmes. Donc personne ne peut échapper aux biais cognitifs. Petit exemple simple : quand, lors d’un tour de table, lors d’une réunion, que chacun doit se présenter. Si le premier dit : » Je m’appelle Luc, je suis ingénieur et j’habite Bruxelles », il y a beaucoup de chances que la deuxième dise : « Je m’appelle Marie, je suis psychologue et j’habite Orléans. » Et pourtant, on peut se présenter comme on veut ! Là, il y a une décision qui se fait sans que nous le décidions vraiment, c’est un biais, et cela va tout changer !

Des exemples de biais cognitifs qui nous concernent tous ?

Les lois sont les mêmes pour tout le monde. Par exemple, il y a un biais qui était déjà analysé par Francis Bacon il y a 500 ans, qui dit : « on préfère croire ce qu’on espère être vrai. » Par exemple, quand la météo annonce du beau temps, on se réjouit. Quand elle annonce du mauvais temps, on se dit : « bon, finalement ils se trompent pas mal. » Cela n’est pas très rationnel… Et en entreprise, c’est la même chose ! Dans un rapport annuel qui est publié, quand l’année a été bonne, le patron dit : « Voilà, j’ai décidé ça ou ça. » Quand l’année a été mauvaise, qu’est-ce qu’il dit ? « Dans le monde, il s’est passé ci, il s’est passé ça ! » Le patron aussi est biaisé.

Un message pour les futurs apprenants ?

Comme vous l’avez constaté, ce sujet me passionne. Il me passionne depuis toujours. Je suis ingénieur en informatique, ça fait longtemps que je suis dans les entreprises, et les 10-15 premières années, je programmais, la technologie était mon monde. Mais plus je travaillais la technologie, plus je m’intéressais à l’être humain ! Et aujourd’hui, la technologie a pris encore plus de place ; je crois qu’il est vraiment important de mieux comprendre comment l’être humain fonctionne, et surtout, cette partie nécessairement non rationnelle qui est l’essence même de ce qu’est l’être humain.

Bienvenue sur ce cours sur les biais cognitifs !

 

La vision des experts – Rencontre avec Frédérick Bénichou, co-fondateur de Coorpacademy, pour DLM News en partenariat avec BFM Business

 

Le 30 et 31 janvier s’est déroulé le Salon Learning Technologies 2019. DLM News en partenariat avec BFM Business recevait sur leur plateau Frédérick Bénichou, co-fondateur de Coorpacademy. Découvrez la rencontre avec Frédérick Bénichou pour l’émission « La vision des experts ».

 

Luc : Bonjour à tous et bienvenue sur le plateau de DLM News, nous sommes au Learning Technologies France en 2019 et nous accueillons un nouvel invité.

Alexia : Oui, un nouvel invité qui a été identifié comme étant la nouvelle génération d’acteurs par Gartner, il s’agit de Coorpacademy qui va nous parler de la Learning Experience Platform. Nous accueillons donc Frédérick Bénichou.

Frédérick : Bonjour, merci de nous accueillir. Est-ce que vous savez ce que c’est qu’une Learning Experience Platform ?

Alexia : Non, justement !

Luc : Cela faisait justement partie des questions que l’on avait vraiment envie de vous poser. Comment cette histoire a commencé ?

Frédérick : La Learning Experience Platform… Déjà, il y a deux acronymes pour l’instant, car dans le Digital Learning on adore les acronymes (LMS, etc.). Il y en a deux, LEP ou LXP. Le marché n’a pas encore décidé lequel il allait choisir.

En 2014, quand nous avons commencé à présenter et à concevoir notre plateforme, nous l’avons présentée quelques mois après avoir gagné notre premier client à Gartner, et Gartner identifie les meilleurs logiciels du marché, les meilleures solutions professionnelles… Nous nous sommes rendus compte que Gartner ne savait pas où nous placer.

Luc : Vous ne rentriez pas dans les cases ?

Frédérick : Nous ne rentrions dans aucun quadrant, dans aucune case, car nous avions apporté et conçu une plateforme qui était différente des LMS, qui n’était pas un serious game, qui n’était pas un jeu, qui était une nouvelle forme d’apprentissage.

 Luc : Une sorte d’OVNI qui arrivait à ce moment-là ?

Frédérick : Exactement. Donc nous avons travaillé avec eux, nous les avons évangélisés sur ce qu’on avait essayé de faire, jusqu’au moment où nous avons eu la chance et le bonheur de voir qu’ils avaient créé une nouvelle catégorie, pas pour nous mais peut-être un peu grâce à nous, dans laquelle ils ont classé quelques acteurs très rares. Cette catégorie, ce sont les Learning Experience Platforms. Qu’est-ce que ça veut dire ?

Luc : Donc vous faites partie des rares acteurs qui ont permis la création de cette catégorie ? Maintenant nous allons savoir ce que c’est.

Frédérick : Exactement. La Learning Experience Platform, c’est une approche du marché qui est learner-centric, qui ne s’oriente pas et qui ne conçoit pas son produit par rapport aux besoins académiques des professeurs ou des auteurs, mais qui part de l’utilisateur, de vous, de moi, de tous les gens qui sont dans la salle ou à ce salon. Nous sommes tous des utilisateurs quotidiens de nos PC, mais surtout maintenant de nos téléphones, nous avons tous nos habitudes d’utilisation, tous nos comportements ont changé. Nous avons une approche du digital qui est de plus en plus positive, qui est de plus en plus facile, habituelle, et qui du coup a modifié nos comportements. J’ai coutume de dire que nous n’avons plus besoin d’apprendre par cœur, nous avons besoin de savoir chercher. Combien de fois lors d’un dîner, l’un d’entre vous a dit : « je ne me rappelle pas comment il ou elle s’appelle, le film d’untel… » et on va chercher sur Google. C’est une illustration de nos modifications de comportements, où la mémoire a moins d’enjeu que…

Luc : …le fait d’être curieux et de savoir chercher.

Frédérick : Exactement. Du coup nous avons pris en compte ces comportements ; ces comportements du grand public, de vous, de moi, mais aussi ces comportements dans le monde professionnel. Aujourd’hui, un professionnel, il n’a pas le temps de passer 3 mois à faire un cours, il n’a pas le temps d’y passer même deux heures. Il peut avoir le temps s’il y voit un intérêt et certains d’entre nous le font, mais la plupart d’entre nous ont des vies très chahutées, nous sommes interrompus par des réunions, par des vacances, par des urgences professionnelles. Nous nous sommes alors dit que la plateforme et le contenu devaient s’adapter à ces modes de fonctionnement.

Luc : Si je comprends bien, la plateforme va analyser et comprendre les comportements de chaque apprenant ?

Frédérick : Alors, je vais y venir. Mais avant cela, la plateforme est conçue pour plaire à ses utilisateurs. Pour plaire aux utilisateurs d’aujourd’hui, qui utilisent leurs mobiles tous les jours, qui cherchent plutôt que d’apprendre, qui jouent, qui parlent à leurs amis, qui essayent quelque chose, puis s’arrêtent pour le reprendre plus tard. La plateforme est conçue pour répondre à ça. Et la deuxième chose qui est conçue autour de cela, c’est le contenu. C’est-à-dire que nos modules de contenu (plus de 1 000) sont créés pour être en adéquation avec cette plateforme. Ce ne sont pas des cours existants que nous avons plaqué, ce sont des cours que nous avons écrit.

Alexia : C’est vous qui écrivez et faites les cours et le contenu que vous mettez dans la plateforme ?

Frédérick : Nous avons plus de 40 partenaires très prestigieux. Nous proposons un catalogue de plus de 1 000 contenus qui sont conçus, adaptés et écrits pour ce mode de consommation. Cela va être du microlearning, des cours de 5 minutes, des vidéos très courtes, des questions très rapides, très ludiques, adaptées à nos modes de fonctionnement. Nous avons donc une adéquation très forte entre le contenu et le contenant qui nous permet d’avoir des taux d’usage très importants, et c’est là où je reviens à ta question Luc, nous mesurons de manière très précise le comportement des utilisateurs sur la plateforme. Jusqu’à présent, dans les LMS, dans les solutions habituelles, nous avions l’information très simple : « Luc a fait, a réussi ou n’a pas réussi ce module. »

Luc : Je l’ai réussi ou je ne l’ai pas réussi ?

Frédérick : Je sortirai les statistiques de Luc plus tard. Nos sommes allés beaucoup plus loin, et comme la plateforme a été conçue récemment, elle a été conçue autour du Big Data. On a conçu et mesuré toutes les interactions qui se font et se faisaient sur la plateforme. Nous savons exactement ce que fait Alexia, quand elle le fait, combien de fois elle essaye un module, combien de fois elle le réussit, les questions auxquelles elle « fail », les questions qu’elle réussit, les vidéos qu’elle regarde, qu’elle ne regarde pas… On le sait pour Alexia, pour Luc, pour Matthieu, pas nominativement, toutes les données sont anonymisées au départ…

Alexia : Mais cela crée des profils ?

Frédérick : Cela crée une base de données très importante, des profils d’utilisation. On peut mesurer en analysant vos profils respectifs, Luc a dans la plateforme un profil de curieux, d’explorateur, alors qu’Alexia a un profil persévérant et régulier. Ces profils-là, nous en avons 27, nous avons 27 clusters différents qui catégorisent automatiquement et anonymement tous les utilisateurs. Profils qui sont ensuite recalculés tous les mois et qui permettent à la plateforme, non seulement de proposer le module suivant – mais ça je dirais que c’est un must-have aujourd’hui, Amazon fait ça depuis 1999, nous faisons ça depuis notre ouverture, et c’est normal de l’avoir – mais la plateforme identifie aussi la façon dont vous apprenez. Elle vous propose non seulement des contenus mais aussi des profils différents, donne aux RH ou aux entreprises des informations sur les profils de leurs populations.

Luc : Oui, c’est la question que je voulais poser. La ou le RH de l’entreprise, quel va être l’intérêt pour elle ou lui d’utiliser ce type d’outil ?

Frédérick : Cela va bien au-delà du RH, cela va même au niveau de l’entreprise en elle-même, qui sait que sa population est plus curieuse, est plus ouverte. Nous comparons les entreprises les unes par rapport aux autres.

Alexia : Vous arrivez à faire cela aussi ?

Frédérick : Nous savons par exemple que pour les entreprises dans le monde industriel, les populations sont plus curieuses mais moins régulières que dans d’autres secteurs.

Luc : D’une entreprise à l’autre vous pouvez donc voir les différences ?

Frédérick : Exactement. Donc c’est au niveau du management, des C-levels, également au niveau du RH qui peut faire de la détection de talents. Comment cela se fait que le jeune Luc a été voir des cours sur la gestion de projet ? Est-ce qu’il est en train de chercher à se reconvertir ou est-ce qu’il juste envie de bouger au sein de l’entreprise ? Est-ce que nous ne pouvons pas lui proposer un poste qui correspond mieux à ses attentes ?

Luc : Donc cela peut aussi donner des alertes aux RH de type : « tiens, il faut peut-être les manager différemment » ?

Frédérick : Exactement.  

Alexia : Et qu’une plateforme d’apprentissage permette d’avoir ce type de données, pour le RH c’est quand même quelque chose de formidable.

Frédérick : Et pourquoi nous arrivons à avoir ce type de données ? Parce qu’on est learner-centric, qu’on raisonne par et pour l’utilisateur – et je reviens au début de la présentation. Aujourd’hui, qu’est-ce que tout le monde utilise dans ce salon, il y a plus de 100 millions d’utilisateurs dans le monde ? C’est Netflix. Sur Netflix, vous avez la possibilité d’aller voir le film que vous voulez, vous y allez quand vous voulez, vous essayez des séries, vous les arrêtez, vous les recommencez, vous en essayez plusieurs en même temps… Ce qui fait que Netflix vous en propose d’autres et connaît votre profil.

Luc : Ils vous les recommandent à 97%, à 33% etc.

Alexia : Oui, parce qu’on a vu une certaine série, il nous en propose d’autres similaires.

Frédérick : Exactement. C’est le même principe, sauf que, sur Coorpacademy, contrairement à certains LMS, vous avez une approche « Netflix » du contenu, notre millier de contenus est en accès libre. Il y a bien sûr des parcours et des certificats, mais n’importe qui, même s’il a des parcours à faire, peut aller explorer la plateforme sur des sujets qui n’ont rien à voir avec ce qu’on lui a demandé. Ce qui fait que nous avons cette granularité et ce nuage de population, ce Big Data, sur des choses qui n’ont rien à voir avec le profil professionnel mais qui l’enrichissent de manière exceptionnelle.

Luc : C’est passionnant, et vous êtes passionné. Une autre question peut-être pour Frédérick ?

Alexia : Oui, par rapport à la technique parce que c’est important, en combien de temps nous pouvons avoir votre plateforme et votre système ?

Frédérick : Je comprends que je vous ai séduit et vous voulez déjà l’acheter, c’est ça ? (rires)

Luc : Je sens votre passion, cela me donne envie, vraiment.

Frédérick : On pourrait faire la plateforme pendant le rendez-vous.

Alexia : C’est aussi rapide que ça ?

Frédérick : Nous avons tous les outils pour créer – c’est une plateforme SaaS, il n’y a rien à installer. Il y a si besoin une connexion à effectuer avec les systèmes de l’entreprise, mais on peut ouvrir sans et se connecter un peu plus tard. En réalité, la plateforme peut être prête ce soir et connectée à vos systèmes d’entreprises, avec vos utilisateurs qui y ont accès directement.

Alexia : D’accord. Indépendamment du LMS ou des normes qui sont déjà en place ?

Frédérick : Nous sommes connectés à tous les LMS du marché, nous sommes installés dans une grande partie du CAC 40 et tout le monde a des LMS, tout le monde a des solutions legacy, et nous sommes connectés à toutes ces solutions. Mais nous pouvons aussi ouvrir la plateforme sans attendre d’être connectés et reconnecter par la suite les data.

Alexia & Luc : Merci beaucoup Frédérick Bénichou !

Frédérick : Merci beaucoup !

 

 

We’re all Legends – Armelle, Laurence et Joan

 

Armelle a rejoint Coorpacademy en septembre 2014, et occupe le poste de Directrice du Contenu et des Partenariats. Sa soft skill préférée ? Parler en public.

Nous allons vous présenter Coorpacademy en vidéo avec les personnes qui travaillent à façonner, jour après jour, le futur de la formation en entreprise. Armelle vous raconte pourquoi elle a choisi Coorpacademy, son parcours, son cours préféré.

Armelle : « Nous sommes en direct de chez Coorpacademy, pour une interview exclusive.

Présente-toi en quelques phrases…

Armelle : « Je suis responsable des partenariats et de l’équipe contenu. En gros, mon job, c’est de faire en sorte de créer des contenus de formation de super qualité et de développer les partenariats pour qu’on ait un écosystème de plus en plus riche. »

Qu’est-ce qui te plaît dans ton job aujourd’hui ?

Armelle : « Ce qui me plaît le plus, c’est la diversité des tâches et des sujets qu’on va pouvoir traiter puisque je suis responsable de la création des cours, pas toute seul évidemment. Donc j’apprends plein de choses au quotidien et ma curiosité est du coup toujours satisfaite. »

Qu’est-ce qui t’a conduit à choisir Coorpacademy ?

Armelle : « J’avais envie de rejoindre Coorpacademy parce que j’avais travaillé dans le monde de l’éducation et de la formation précédemment et cela m’avait beaucoup plu. Quand j’ai rencontré Coorpacademy, leur vision, leur envie de faire en sorte de dispenser des formations originales, addictives à des grands groupes, et surtout l’aspect « grands groupes » – quelque chose que je n’avais jamais fait, un nouveau challenge – cela m’a donné envie de les rejoindre. »

Ton cours préféré du catalogue ?

Armelle : « Je dirais, celui sur les biais cognitifs… Mais de façon déontologique on va dire qu’ils sont tous très bien ! »



 

En juillet 2014, Laurence est l’une des toutes premières à rejoindre l’aventure Coorpacademy ; aujourd’hui, elle est Learning Engagement Manager, et associe sa passion pour la musique à son métier où elle doit faire preuve de beaucoup de créativité ! Ses soft skills préférées ? La créativité et l’innovation, et l’expression écrite !

Nous allons vous présenter Coorpacademy en vidéo avec les personnes qui travaillent à façonner, jour après jour, le futur de la formation en entreprise.

Laurence : « Salut la caméra ! »

Présente-toi en quelques phrases…

Laurence : « Je m’appelle Laurence, je suis Learning Engagement Manager, et je suis responsable de l’innovation pédagogique pour les formats que nous proposons sur la plateforme.

Qu’est-ce qui te plaît dans ton job aujourd’hui ?

Laurence : « Ce que j’apprécie le plus dans mon job au quotidien, c’est la possibilité de trouver des nouvelles idées pour innover, pour créer des nouveaux formats et apporter de la diversité pour créer de l’engagement. »

Qu’est-ce qui t’a conduit à choisir Coorpacademy ?

Laurence : « À l’origine j’étais journaliste, j’ai fait une école de journalisme, j’étais rédactrice et secrétaire de rédaction. Secrétaire de rédaction, c’est la personne qui s’occupe du contenu, de la structuration du contenu dans une page, de la réception des textes auprès des rédacteurs. En fait, je suis arrivé là par un ancien ami qui travaillait chez Coorpacademy et j’étais intéressée par le phénomène des MOOCs parce que j’étudiais à distance – je faisais une licence de géographie – et je me suis dit qu’on pouvait tenter l’aventure Coorpacademy ! »

Ton cours préféré du catalogue ?

Laurence : « Alors, mon cours préféré, et je vais plutôt dire mon partenaire fétiche, c’est Bescherelle. Ce sont des cours que j’ai chapeauté, j’avais une grande fierté à travailler avec cette marque qui représente pour moi le Graal de l’orthographe, j’étais très contente de travailler avec eux. »

Une anecdote à nous partager ?

Laurence : « La créativité dans mon job c’est quelque chose de prépondérant, que j’utilise au quotidien. Même si parfois ce n’est pas forcément évident d’être toujours créative. Je fais beaucoup de musique, c’est une passion, et je pense que s’accorder du temps pour sa passion, pour la musique en l’occurence ici, un peu tous les jours, cela me permet de me mettre dans des conditions qui facilitent l’éclosion de certaines idées. Cela m’aide beaucoup dans mon travail au quotidien. »


Joan aime parler en public, en espagnol, en français ou en anglais ! Prestataire en 2014, il rejoint l’aventure Coorpacademy à temps plein en 2016 en tant que Lead Tech, et est particulièrement attiré par tout ce qui a trait à l’éducation !

Nous allons vous présenter Coorpacademy en vidéo avec les personnes qui travaillent à façonner, jour après jour, le futur de la formation en entreprise. Joan vous raconte ce qui l’a conduit à rejoindre Coorpacademy, son parcours, sa collection de cours préférée dans cette courte vidéo !

Présente-toi en quelques phrases, et qu’est-ce qui te plaît dans ton job aujourd’hui ?

Joan : « Salut, je m’appelle Joan Ortega, et je suis Lead Tech chez Coorpacademy. Ce qui me plaît dans mon travail, c’est tout d’abord les sujets. J’ai toujours aimé tout ce qui est lié à l’éducation. Et ensuite, dans la partie technique, ce qui me plaît, c’est de pouvoir apporter des solutions aux problématiques qu’on a tous les jours. »

Qu’est-ce qui t’a conduit à choisir Coorpacademy ?

Joan : « Alors j’ai un parcours un peu particulier chez Coorpacademy. J’ai commencé en 2014 en tant que prestataire, et ma mission s’est terminée en 2015. Du coup je suis parti dans une autre mission. Et je dois dire que j’étais un peu malheureux. J’ai donc recontacté Coorpacademy et j’ai voulu savoir si je pouvais revenir. On m’a proposé un poste en tant qu’ingénieur, et depuis 2016 j’ai repris le travail ici avec les gens et les technologies. »

Ton cours préféré du catalogue ?

Joan : « Moi j’aime bien tout ce qui est lié au rapport entre les gens dans l’entreprise. Donc je dois dire que les cours de la collection Video Arts sont ceux qui me plaisent le plus. »

Une anecdote à nous partager ?

Joan : « J’ai toujours aimé parler en public, je le faisais avant, mais en espagnol. Quand j’ai commencé chez Coorpacademy, j’ai dû commencer à faire des démos, et je me rappelle que lors de la première démo, j’avais les mains qui tremblaient, je n’avais jamais parlé en public en français. Et depuis, ça m’a aidé à m’améliorer et maintenant que je fais des démos… Déjà j’aime bien visualiser ce que je vais dire, faire un petit spectacle, et ça m’aide dans la confiance en moi et la façon de communiquer avec les gens. »

We’re all Legends – Joan, Lead Tech

 

Joan aime parler en public, en espagnol, en français ou en anglais ! Prestataire en 2014, il rejoint l’aventure Coorpacademy à temps plein en 2016 en tant que Lead Tech, et est particulièrement attiré par tout ce qui a trait à l’éducation !

Nous allons vous présenter Coorpacademy en vidéo avec les personnes qui travaillent à façonner, jour après jour, le futur de la formation en entreprise. Joan vous raconte ce qui l’a conduit à rejoindre Coorpacademy, son parcours, sa collection de cours préférée dans cette courte vidéo !

Présente-toi en quelques phrases, et qu’est-ce qui te plaît dans ton job aujourd’hui ?

Joan : « Salut, je m’appelle Joan Ortega, et je suis Lead Tech chez Coorpacademy. Ce qui me plaît dans mon travail, c’est tout d’abord les sujets. J’ai toujours aimé tout ce qui est lié à l’éducation. Et ensuite, dans la partie technique, ce qui me plaît, c’est de pouvoir apporter des solutions aux problématiques qu’on a tous les jours. »

Qu’est-ce qui t’a conduit à choisir Coorpacademy ?

Joan : « Alors j’ai un parcours un peu particulier chez Coorpacademy. J’ai commencé en 2014 en tant que prestataire, et ma mission s’est terminée en 2015. Du coup je suis parti dans une autre mission. Et je dois dire que j’étais un peu malheureux. J’ai donc recontacté Coorpacademy et j’ai voulu savoir si je pouvais revenir. On m’a proposé un poste en tant qu’ingénieur, et depuis 2016 j’ai repris le travail ici avec les gens et les technologies. »

Ton cours préféré du catalogue ?

Joan : « Moi j’aime bien tout ce qui est lié au rapport entre les gens dans l’entreprise. Donc je dois dire que les cours de la collection Video Arts sont ceux qui me plaisent le plus. »

Une anecdote à nous partager ?

Joan : « J’ai toujours aimé parler en public, je le faisais avant, mais en espagnol. Quand j’ai commencé chez Coorpacademy, j’ai dû commencer à faire des démos, et je me rappelle que lors de la première démo, j’avais les mains qui tremblaient, je n’avais jamais parlé en public en français. Et depuis, ça m’a aidé à m’améliorer et maintenant que je fais des démos… Déjà j’aime bien visualiser ce que je vais dire, faire un petit spectacle, et ça m’aide dans la confiance en moi et la façon de communiquer avec les gens. »

We’re all Legends – Laurence, Learning Engagement Manager

 

En juillet 2014, Laurence est l’une des toutes premières à rejoindre l’aventure Coorpacademy ; aujourd’hui, elle est Learning Engagement Manager, et associe sa passion pour la musique à son métier où elle doit faire preuve de beaucoup de créativité ! Ses soft skills préférées ? La créativité et l’innovation, et l’expression écrite !

Nous allons vous présenter Coorpacademy en vidéo avec les personnes qui travaillent à façonner, jour après jour, le futur de la formation en entreprise.

Laurence : « Salut la caméra ! »

Présente-toi en quelques phrases…

Laurence : « Je m’appelle Laurence, je suis Learning Engagement Manager, et je suis responsable de l’innovation pédagogique pour les formats que nous proposons sur la plateforme.

Qu’est-ce qui te plaît dans ton job aujourd’hui ?

Laurence : « Ce que j’apprécie le plus dans mon job au quotidien, c’est la possibilité de trouver des nouvelles idées pour innover, pour créer des nouveaux formats et apporter de la diversité pour créer de l’engagement. »

Qu’est-ce qui t’a conduit à choisir Coorpacademy ?

Laurence : « À l’origine j’étais journaliste, j’ai fait une école de journalisme, j’étais rédactrice et secrétaire de rédaction. Secrétaire de rédaction, c’est la personne qui s’occupe du contenu, de la structuration du contenu dans une page, de la réception des textes auprès des rédacteurs. En fait, je suis arrivé là par un ancien ami qui travaillait chez Coorpacademy et j’étais intéressée par le phénomène des MOOCs parce que j’étudiais à distance – je faisais une licence de géographie – et je me suis dit qu’on pouvait tenter l’aventure Coorpacademy ! »

Ton cours préféré du catalogue ?

Laurence : « Alors, mon cours préféré, et je vais plutôt dire mon partenaire fétiche, c’est Bescherelle. Ce sont des cours que j’ai chapeauté, j’avais une grande fierté à travailler avec cette marque qui représente pour moi le Graal de l’orthographe, j’étais très contente de travailler avec eux. »

Une anecdote à nous partager ?

Laurence : « La créativité dans mon job c’est quelque chose de prépondérant, que j’utilise au quotidien. Même si parfois ce n’est pas forcément évident d’être toujours créative. Je fais beaucoup de musique, c’est une passion, et je pense que s’accorder du temps pour sa passion, pour la musique en l’occurence ici, un peu tous les jours, cela me permet de me mettre dans des conditions qui facilitent l’éclosion de certaines idées. Cela m’aide beaucoup dans mon travail au quotidien. »

We’re all Legends – Armelle, Directrice du Contenu et des Partenariats

 

Armelle a rejoint Coorpacademy en septembre 2014, et occupe le poste de Directrice du Contenu et des Partenariats. Sa soft skill préférée ? Parler en public.

Nous allons vous présenter Coorpacademy en vidéo avec les personnes qui travaillent à façonner, jour après jour, le futur de la formation en entreprise. Armelle vous raconte pourquoi elle a choisi Coorpacademy, son parcours, son cours préféré.

Armelle : « Nous sommes en direct de chez Coorpacademy, pour une interview exclusive.

Présente-toi en quelques phrases…

Armelle : « Je suis responsable des partenariats et de l’équipe contenu. En gros, mon job, c’est de faire en sorte de créer des contenus de formation de super qualité et de développer les partenariats pour qu’on ait un écosystème de plus en plus riche. »

Qu’est-ce qui te plaît dans ton job aujourd’hui ?

Armelle : « Ce qui me plaît le plus, c’est la diversité des tâches et des sujets qu’on va pouvoir traiter puisque je suis responsable de la création des cours, pas toute seul évidemment. Donc j’apprends plein de choses au quotidien et ma curiosité est du coup toujours satisfaite. »

Qu’est-ce qui t’a conduit à choisir Coorpacademy ?

Armelle : « J’avais envie de rejoindre Coorpacademy parce que j’avais travaillé dans le monde de l’éducation et de la formation précédemment et cela m’avait beaucoup plu. Quand j’ai rencontré Coorpacademy, leur vision, leur envie de faire en sorte de dispenser des formations originales, addictives à des grands groupes, et surtout l’aspect « grands groupes » – quelque chose que je n’avais jamais fait, un nouveau challenge – cela m’a donné envie de les rejoindre. »

Ton cours préféré du catalogue ?

Armelle : « Je dirais, celui sur les biais cognitifs… Mais de façon déontologique on va dire qu’ils sont tous très bien ! »

« Sans les Battles, je n’aurais pas eu la chance d’être parmi les 4 premiers lauréats du MOOC Paris Aéroports » – Interview de Sory Fofana, joueur de la millionième Battle sur Coorpacademy

 

La remise des prix des lauréats du MOOC Paris Aéroports, organisée par Tourism Academy, s’est déroulée à la Maison de l’Environnement et du Développement Durable, à Athis-Mons, le 4 juillet 2019.

Cette plateforme de formation développée par Coorpacademy permettra à cette nouvelle promotion d’apprenants de se spécialiser dans les métiers du secteur aéroportuaire, de l’accueil des touristes à la sécurité en zones aéroportuaires en passant par l’assistance aux personnes à mobilité réduite dans les aéroports.

Nous sommes fiers de mettre notre expertise pédagogique au service de la création d’emplois dans ces secteurs qui représentent la première vitrine de la France dans le monde.

Remise de Prix Tourism Academy MOOC Paris Aéroports

Nous avons profité de la remise des prix des lauréats du MOOC Paris Aéroports organisée par Tourism Academy pour interviewer Sory Fofana, 4ème du MOOC et qui a joué la millionième « Battle » de Coorpacademy ! 

Ravi de son expérience de formation sur le MOOC Paris Aéroports, il souhaite continuer à se former en tant qu’adjoint de direction et commence lundi la mise en pratique de ses connaissances nouvellement acquises dans un hôtel 3 étoiles.

« Le MOOC nous donne les clés pour un accueil toujours plus performant. Je n’ai jamais vu une plateforme de formation aussi complète, avec autant de modules et de contenu. C’est génial et inédit. »

Sory Fofana, joueur de la millionième Battle sur Coorpacademy

« Qu’est-ce que tu faisais avant de suivre la formation du MOOC Paris Aéroports ? 

Avant de suivre cette formation, je faisais un stage pour le métier d’Agent de Direction Hôtelière, dont j’ai terminé la partie théorique. Là, je vais entamer la partie de mise en pratique lundi (07/07/2019, NDLR) pour les 4 mois à suivre, de tout de ce que j’ai appris pour le métier d’Agent de Direction.

Tu as fini 4ème du MOOC Paris Aéroports, comment tu as fait ?  

C’était un long combat, c’était un grand défi, cela n’a pas été facile du tout pour moi. Comment j’ai fait ? Je me suis positionné dès le départ sur le fait qu’il fallait prendre des points, notamment avec les Battles. Sans les Battles, je n’aurais eu aucune chance d’être parmi les 4 premiers lauréats du MOOC Paris Aéroports.

Qu’est-ce que tu as pensé de la plateforme de formation ?

La plateforme de formation, je l’ai trouvée géniale. C’est quelque chose d’inédit, je n’ai trouvé cela nulle part ailleurs. Le site était vraiment bien fait, le contenu de la formation était vraiment pédagogique et plus on finissait les modules, de Base, Intermédiaire, jusqu’à Coach, plus on avait envie de connaître le reste. C’était vraiment pédagogique et en même temps ludique pour moi.

Qu’est-ce que tu as pensé du mode Battle ?

Le mode Battle… Après la fin de la formation, après avoir récupéré les certificats, j’ai eu une proposition de Battle. Et là je regarde le petit rond avec du jaune à l’intérieur (le bouton “Lancer une Battle”, NDLR), et il y avait des personnes qui m’envoyaient des Demandes de Battles. Je me suis dit, on va essayer ! Au fur et à mesure que je répondais aux Demandes de Battles, je me suis dit : « si je veux être parmi les premiers, il est temps de poursuivre les Battles. » 

Quel était ton cours préféré ?

C’est le module “Les Indiens” que j’ai aimé. J’ai travaillé longtemps dans l’hôtellerie, plus de 10 ans chez AccorHôtels, et je recevais une clientèle indienne. Cette clientèle était plutôt complexe, ils avaient une certaine façon de demander les choses, et il fallait s’adapter à chaque fois, à leur culture, à leur manière de voir les choses, en France avec « l’esprit indien ». Et du coup je me suis tout de suite intéressé à ce module pour pouvoir faire face à n’importe quelle situation avec eux. Ils ont une culture de nature très curieuse, et plus ils posent de questions, plus ils montrent qu’ils s’intéressent à notre culture, à notre manière de faire. Au travers de ce module et des Battles, j’ai compris comment accueillir une clientèle indienne qui vient visiter la France.

Qu’as-tu envie de faire après ? 

Des Battles !

Félicitations pour la millionième Battle !

Merci beaucoup, et merci à vous. C’était génial, c’était une belle expérience, très enrichissante. Merci à vous pour l’effort que vous avez fourni pour que tout se passe bien sur la plateforme, sur le site, je n’ai pas vu beaucoup de bugs, et c’était génial !

Bravo !

Sory Fofana, joueur de la millionième Battle de l'ensemble des plateformes Coorpacademy

 Retrouvez son interview en vidéo !

« Il n’est jamais trop tard pour commencer une carrière, changer de voie ou retrouver le chemin de l’emploi » : le programme SkillsBuild expliqué par Lisa Neddam, Education Offering Manager chez IBM

 

C’est parti pour le programme SkillsBuild, lancé officiellement le 17 juin à Paris !

L’initiative SkillsBuild est un programme mondial mené par IBM et qui a comme objectif d’accompagner des populations éloignées du monde professionnel, de les aider à se former, à changer de voie et donc à retrouver le chemin de l’emploi. Le programme rassemble des ONG (Aurore, Emmaüs France, Fondation Agir Contre l’Exclusion, Fondation des Apprentis d’Auteuil et l’Institut de l’Engagement) et des partenaires de contenu, dont Coorpacademy, spécialiste du Digital Learning.

À l’occasion de la soirée de lancement, nous avons pu discuter avec Lisa Neddam, Digital Skills Platform Leader, qui a la mission de mener à bien ce projet chez IBM et dont le credo est d’utiliser la technologie dans une démarche de bien commun, for Good.

Lisa Neddam présentant le programme SkillsBuild lors de la soirée de lancementLisa Neddam, présentant le programme SkillsBuild lors de la soirée de lancement du 17 juin.

Quel est l’objectif du programme SkillsBuild lancé par IBM ?

Le programme SkillsBuild est destiné aux populations de demandeurs d’emploi, en réinsertion ou en insertion professionnelle. Cela peut concerner des personnes en échec scolaire, au chômage, des migrants, des réfugiés, des femmes qui retournent dans le milieu du travail après une maternité, par exemple : SkillsBuild est à destination de toutes les personnes qui ont besoin d’un coup de main pour trouver ou retrouver du travail après s’être éloignées du monde professionnel.

L’idée derrière SkillsBuild est que chacun au moment où il en a le plus besoin puisse acquérir ou renforcer ses compétences. Des compétences numériques, mais pas que ; nous souhaitons aussi favoriser les compétences nécessaires pour évoluer dans le monde digital actuel, les compétences professionnelles, comportementales, appelées en anglais soft skills, nécessaires aujourd’hui pour se préparer aux incertitudes de demain. Avec par exemple la capacité à travailler en équipe, la pensée critique, l’agilité dans l’entreprise… Les métiers se transforment grâce au digital, les compétences nécessaires aussi !

Quels sont les piliers sur lesquels s’appuie le programme SkillsBuild ?

D’abord, il y a celui du développement de compétences théoriques sur la plateforme de formation en ligne, avec parcours d’apprentissage et badges numériques. Mais, nous pensons que pour ces populations, il ne suffit pas de mettre une plateforme de formation à disposition, il faut l’intégrer à des programmes de formation plus complets. Le déploiement du projet se fait donc au travers de cinq associations partenaires : la plateforme sera mise à leur disposition pour qu’elles puissent la proposer à leurs bénéficiaires, ainsi qu’à leurs salariés et à leurs bénévoles. L’idée était de soutenir le travail déjà fait par les acteurs de terrain et de l’intégrer aux dispositifs existants. En effet, lorsqu’il y a décrochage de la vie professionnelle, ces personnes ont besoin d’un accompagnement beaucoup plus riche qu’une simple plateforme de formation.

IBM propose en parallèle des projets de mise en pratique des compétences acquises qui permettront aux apprenants de la plateforme d’acquérir une première expérience dans le monde du numérique.

Enfin, le programme offre également un accompagnement pour avoir accès à l’emploi. Il y aura dans la plateforme un outil de job-matching qui va permettre aux participants de chercher des opportunités professionnelles par compétences numériques. De l’autre côté, il y aura un écosystème d’employeurs ouverts à recruter sur la base des compétences, pour construire un écosystème de talents qui auraient été formés différemment. L’idée sera de tester les compétences de manière différente, avoir un mode de recrutement différent, sur les compétences et non sur les parcours ou grandes écoles.

La formation se fera par une plateforme digitale de formation. Comment pensez-vous contrer les freins parfois inhérents à l’adoption de nouveaux outils digitaux ?

Bien souvent, c’est aussi un certain manque de maturité sur les sujets numériques qui représente un frein à l’adoption de nouveaux outils et à proposer de nouveaux outils numériques : ce programme SkillsBuild représente aussi une opportunité pour ces associations grâce à la mise à disposition de la plateforme pour leurs salariés et bénévoles.

Dans cette vision d’upskilling, de montée en compétences, ces associations vont pouvoir proposer des projets de transformation numériques qui leur sont propres, des projets qui vont être délivrés par les experts d’IBM dans une logique de mécénat de compétences. Ces projets, qu’IBM faisait auparavant en « cercle fermé » avec les associations, nous allons nous en servir pour créer des opportunités de mise en pratique des compétences, en les ouvrant aux apprenants de la plateforme qui pourront y participer, soit en shadowing (observation) soit en participation active. Nous cherchons à créer un écosystème gagnant-gagnant, dans lequel les associations peuvent aider leurs bénéficiaires à développer de nouvelles compétences favorisant l’accès à l’emploi, tout en travaillant sur leur propre transformation numérique.

Chez IBM, nous allons mettre en place une équipe dédiée de Digital Success Managers, à temps plein à partir du 1er juillet, pour accompagner à l’adoption de la plateforme, accompagner à la fois les associations et les apprenants. Il y aura donc à la disposition de la communauté d’apprenants une équipe de 5 personnes spécialisées en mécénat de compétences, pour que la plateforme soit utilisée au mieux.

L'équipe de Digital Success Managers d'iBM pour le projet SkillsBuildLes Digital Success Managers d’IBM, qui seront à temps plein dès le 31 juillet pour accompagner les populations visées par le programme.

Pour résumer l’ensemble du projet, c’est un mix que nous pensons judicieux entre projets, ressources en ligne, mécénat de compétences, mentoring et coaching. En plus de l’outil digital, nous pensons que l’accompagnement doit être extrêmement présent. Le but final étant de maximiser l’adoption de notre plateforme digitale auprès des bénéficiaires, et de les faire retrouver le chemin de l’emploi et de l’épanouissement professionnel.

Pouvez-nous nous parler un peu des associations partenaires sur SkillsBuild (Aurore, Emmaüs France, Fondation Agir Contre l’Exclusion, Fondation des Apprentis d’Auteuil and l’Institut de l’Engagement) ? Comment se sont-elles manifestées, quelles sont les populations visées ?

Ces associations accompagnent des populations diverses, mais qui ont toutes en commun de nécessiter un accompagnement pour accéder à l’emploi. Certaines se concentrent plutôt sur les jeunes adultes, d’autres sur les migrants, les chômeurs de longue durée ou les entrepreneurs en devenir.

Elles sont toutes de grands noms du milieu associatif en France, et ont les infrastructures humaines nécessaires pour accueillir un programme de ce type et de cette envergure.

Elles se sont manifestées au travers du réseau d’IBM, et la sélection s’est faite naturellement.

Pourquoi avoir choisi Coorpacademy comme fournisseur de contenu pour vous accompagner dans ce projet ?

Tout d’abord, nous ne voulions pas faire une plateforme IBM pour ce projet, nous souhaitions avoir une plateforme ouverte. Ce qui manque, ce n’est pas le contenu, IBM dispose de beaucoup de plateformes de formation en ligne, mais nous souhaitions les bonnes méthodes pédagogiques, une consolidation des meilleurs contenus du marché, nous voulions nous associer avec les meilleurs partenaires sur le sujet.

Ce qu’on aime chez Coorpacademy, c’est la pédagogie, très différente de celle d’IBM, l’esprit de gamification, ludique, le microlearning, et l’accessibilité générale de la plateforme.

Nous voulions un équilibre entre les contenus d’entreprise, corporate d’IBM, et des contenus à la pédagogie très différente, avec une approche différente.

Nous allons proposer 3 parcours de formation, sur les fondamentaux du numérique tout d’abord, avec Coorpacademy, et deux parcours plus professionnalisants, l’un sur le support et l’accompagnement client, l’autre sur le développement web, en partenariat avec CodeDoor.

Armelle Lavergne présentant le projet SkillsBuild lors de la soirée de lancement du 17 juinArmelle Lavergne, Directrice du Contenu et des Partenariats, présentait Coorpacademy à la soirée de lancement.

Comment le top management de Manor SA se forme aux soft skills et à la culture digitale – Interview de Graziella Ribic

 

Manor est la plus grande chaîne de grands magasins de Suisse. Elle possède son propre site d’e-commerce et est leader du secteur avec 60 % de parts de marché. L’entreprise emploie environ 9 750 personnes au sein de ses 60 grands magasins, 28 restaurants Manora, 31 supermarchés Manor Food, 4 centrales de distribution et de son siège social à Bâle. Créée en 1902, l’entreprise est le fruit d’une rencontre entre tradition et innovation, qui a toujours su se réinventer, car le changement est et restera une constante immuable. C’est dans cet esprit de dynamisme et d’innovation que Manor a annoncé en octobre 2018 la signature d’un partenariat avec Coorpacademy, principalement dans le but de faciliter le processus d’acculturation digitale pour ses collaborateurs.

Le partenariat avec Coorpacademy s’articule autour du principe suivant : pas de création de contenu, mais une volonté de former les collaborateurs de Manor à différentes thématiques, comme la culture digitale, l’avenir du retail, le management et le leadership. À l’occasion du lancement de ce partenariat, nous avons rencontré Graziella Ribic, directrice du programme Leadership et responsable de ce projet.

Comment l’entreprise Manor met-elle en œuvre sa stratégie d’innovation au quotidien, en particulier dans le domaine des ressources humaines et du développement personnel des collaborateurs ? Quelles sont les initiatives concrètes mises en place par l’entreprise à cet effet ?

Nous proposons dans quatre domaines (les fondamentaux, les ventes, le leadership et les achats) l’accès à des formations qui répondent à l’évolution des besoins de l’entreprise et du marché ; ces formations sont régulièrement mises à jour pour refléter tous les changements éventuels constatés dans chaque domaine concerné. Nous proposons par exemple à nos cadres une formation « Leading Change », qui se compose d’une formation en ligne donnée par Coorpacademy suivie de cours donnés en ateliers présentiels. Au-delà, les cadres peuvent, s’ils souhaitent poursuivre leur démarche de développement personnel, accéder directement et de façon indépendante à toutes les formations proposées par Coorpacademy.

Vous disposez déjà d’un processus de création de contenu de formation. Quel était le besoin initial et qu’est-ce qui a retenu votre attention dans la proposition de Coorpacademy au point d’ajouter son catalogue à votre propre corpus de formations ?

Nous étions principalement à la recherche de contenus et de méthodes susceptibles de nous aider à avancer sur les sujets de la transformation numérique et du leadership et l’offre de Coorpacademy correspondait à nos critères. Nous avons également apprécié son approche ludique : dans nos propres formations en ligne, nous veillons toujours à ce que les contenus soient transmis de la façon la plus agréable possible, en vérifiant la bonne acquisition des connaissances au moyen de petits quizzes. Par ailleurs, la possibilité de profiter d’une pause ou d’un trajet de cinq minutes pour poursuivre la formation est très pratique. Dans un contexte où il est souvent difficile de libérer ne serait-ce qu’une heure dans la journée, la proposition de modules de formation de courte durée est forcément un plus.

Pourquoi, selon vous, l’acculturation digitale et les compétences comportementales (soft skills) sont-elles un enjeu majeur du XXIe siècle ?

Les nombreuses innovations apportées chaque jour par le digital influent directement ou indirectement sur notre quotidien. Peut-on désormais s’imaginer vivre sans un smartphone ? Toutes ces nouveautés, il faut apprendre à les connaître et à les maîtriser. Si l’on est incapable de suivre le rythme, on risque de se retrouver tôt ou tard complètement démuni devant une machine inconnue, cherchant désespérément du regard les équipes d’assistance technique qui auront disparu du paysage. Mais je ne pense pas qu’il s’agisse de faire un choix exclusif entre l’homme ou la machine, mais plutôt de la coexistence des deux. Dans certains domaines, les machines seront prédominantes, tandis que dans d’autres secteurs, l’humain restera aux commandes. Pour pouvoir continuer à avancer dans notre quotidien, il faut nous engager pleinement dans la réalité du monde numérique, car elle est là pour durer.

Merci beaucoup !

Merci !

Découvrez l’interview vidéo de Graziella Ribic (en allemand) !

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