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Coorpacademy, c’est quoi ?

 

Découvrez Coorpacademy, ses points différenciants et son expérience d’apprentissage dans cette courte vidéo de présentation !

Face aux incertitudes de l’avenir, une seule certitude : la nécessité de se former en permanence. Et avec les outils d’hier, c’est tout simplement impossible.

La solution ? Une plateforme de digital learning qui s’adapte aux contraintes de nos quotidiens professionnels.

Avec sa plateforme digitale centrée sur l’apprenant et son catalogue exclusif de plus de 1 000 cours, Coorpacademy est la solution pour se former aux compétences comportementales qui permettront d’apprendre les compétences de demain. Pour encore plus d’impact, la plateforme Coorpacademy s’adapte en permanence à la façon d’apprendre de chacun grâce à ses analytics comportementaux et ses algorithmes de machine learning. 

Coorpacademy, au-delà de son catalogue, permet également aux entreprises de créer leurs cours sur mesure et de les déployer en quelques clics sur leurs plateformes personnalisées.

Mais alors, qu’est-ce qui différencie l’expérience d’apprentissage de Coorpacademy des autres ? Une méthode unique avec la pédagogie inversée permettant de commencer par les questions avant d’accéder au cours si vous êtes déjà expert sur un sujet. Le mode Battle et le classement pour vous mesurer à vos collègues, la flexibilité de la plateforme pour commencer un cours au bureau et le finir dans le métro, et les certifications pour valider l’acquisition de nouvelles compétences.

Voilà pourquoi plus de 100 entreprises ont choisi Coorpacademy et que plus de 800 000 apprenants dans le monde s’y forment quotidiennement avec un taux d’engagement allant jusqu’à 90 %. N’attendez plus pour transformer votre entreprise en organisation apprenante. 

Coorpacademy, maintenant vous savez.

Coorpacademy, le « Netflix » de la formation, propose du e-learning « Covid19 » à l’AP-HP – L’interview de Jean-Marc Tassetto dans What’s Up Doc

 

Jean-Marc Tassetto, co-fondateur de Coorpacademy, était interviewé par What’s Up Doc pour parler de la plateforme de formation éditée avec l’AP-HP (Assistance Publique – Hôpitaux de Paris) avec le support de Coorpacademy. Il nous livre dans cette interview comment une entreprise technologique de la EdTech (Education Technology) comptant comme clients de grands groupes et entreprises, a pu durant le confinement se « reconvertir » pour dispenser des formations adaptées au monde médical, pour la prise en charge des patients atteints du Covid-19.

What’s Up Doc a été créé en 2012 par un groupe de médecins convaincus du besoin de communiquer différemment sur les sujets qui touchent la profession médicale. Il est aujourd’hui lu par plus de 96 000 visiteurs uniques sur le site web tous les mois et adressé à plus de 18 000 exemplaires tous les deux mois.

Son interview est disponible ici sur What’s Up Doc. Vous pouvez aussi la retrouver ci-dessous !

La période de crise est une période propice aux innovations. Le partenariat entre l’AP-HP et Coorpacademy, le « Netflix » de la formation professionnelle, semble avoir un succès grandissant auprès du personnel médical et paramédical. Pour Coorpacademy, issue du monde industriel et entrepreneurial, comment la transition avec le monde médical a-t-elle pu se faire ? Jean-Marc Tassetto, ancien directeur général de Google France et co-fondateur de Coorpacademy, a bien voulu répondre aux questions de WUD.

Coorpacademy, c’est quoi ?

Jean-Marc Tassetto : C’est une plateforme de formation en ligne qui s’adresse d’abord aux entreprises. Elle a été créée il y a sept ans sur le campus de l’École Polytechnique de Lausanne (EPFL). Nous voulions accélérer la prise en main de la formation digitale en entreprise et moderniser les séances d’e-learning « old school », peu engageantes. Nous avons alors pensé une plateforme de formation digitale différente, engageante, ludique. Plus de 100 clients nous font maintenant confiance, dont des groupes majeurs comme Pernod-Ricard, Schneider Electric ou Nestlé, pour n’en citer que quelques-uns. Notre contenu traite des compétences considérées par le Forum Économique Mondial comme cruciales pour la décennie à venir, et aborde le management, les compétences comportementales ou encore la culture digitale. En plus de cela, les entreprises peuvent créer elles-mêmes leurs propres cours selon leurs besoins spécifiques.

Comment l’idée de Coorpacademy est-elle venue ?

Jean-Marc Tassetto : Nous avons pris conscience que les technologies du web nous permettaient de donner à chaque apprenant un accès aux meilleurs cours possibles, aux plus pertinents, avec des effets d’échelle importants. Plutôt que d’être réservées à une poignée de cadres, ces connaissances pouvaient être diffusées rapidement et massivement. Pour cela, il fallait maitriser le web et ses technologies, mais aussi une forme de pédagogie adaptée.

Pourquoi l’enseignement est différent ?

Jean-Marc Tassetto : La vidéo seule par exemple n’est pas adaptée, pour qu’elle soit efficace, elle doit être accompagnée de questionnaires. Une vidéo seule, c’est de la passivité. Mais nous sommes allés plus loin : pour que chacun d’entre nous soit actif, en particulier si quelqu’un maîtrise déjà un sujet, nous utilisons la pédagogie inversée. Nous commençons par les questions, si l’apprenant maîtrise déjà le sujet, il peut terminer le cours rapidement. S’il ne le maîtrise pas encore, il peut en un clic accéder à la leçon en vidéo. La pédagogie inversée permet à chacun d’être engagé devant son propre parcours de formation. L’enseignement doit aussi être flexible pour s’adapter à nos quotidiens professionnels. Lorsque l’apprenant vient du monde médical, il doit pouvoir accéder à son programme de formation en fonction de ses gardes ou entre deux prises en charge de patients, par exemple. Enfin, les cours doivent être adaptés à la progression des utilisateurs et être collaboratifs avec des forums de discussion permettant l’échange et le partage de notions entre apprenants. Cette dimension collaborative est clé.

Aviez-vous déjà travaillé dans le domaine de la santé ?

Jean-Marc Tassetto : Nous avons un client historique du monde de la santé, l’OMS à Genève, pour qui nous avons créé du contenu médical spécifique, destiné à des volontaires sur le terrain au Ghana. Nous sommes aujourd’hui capables d’agréger du contenu scientifique d’experts sur nos plateformes.

Comment s’est fait le partenariat avec l’AP-HP ?

Jean-Marc Tassetto : Le lundi 16 mars, j’ai écrit à François Crémieux, directeur adjoint de l’AP-HP, lui expliquant que, face au contexte pandémique actuel lié au COVID-19, je pouvais mettre à disposition ma plateforme pour les soignants à titre gracieux. Il m’a répondu en seulement 7 minutes, en me disant qu’il était très intéressé. J’ai été mis en contact avec la cheffe du service Pharmacie et, 2 jours après, nous ouvrions la plateforme avec une vingtaine de cours. Ce contenu s’enrichit en permanence, en fonction des recommandations de centres experts. Nous avons maintenant 6 parcours qui concernent : le B.A.-BA de la ventilation, la réanimation, les recommandations en hygiène, les unités de sevrage ou la prise en charge des femmes enceintes. Le 6ème parcours de formation est dédié aux étudiants en médecine, qui constituent des renforts de personnels soignants dans la lutte contre le COVID-19. Ces renforts ont besoin d’une mise à niveau de leurs compétences rapide et spécifique au COVID-19. Bientôt arriveront des parcours sur le COVID-19 et la gériatrie ainsi que des cours sur la trachéotomie. La plateforme a été développée très rapidement, l’AP-HP a fait beaucoup de communication interne et, en seulement 10 jours, nous avions rassemblé 20 000 apprenants. C’était du jamais vu pour nous ! Cela montre qu’en plus du besoin en matériel, il y a aussi un besoin de compétences. Ce besoin urgent de compétences est un élément clé du combat dans cette période de crise, et nos interlocuteurs l’ont compris.

Quels sont les cours qui ont le plus de succès ?

Jean-Marc Tassetto : Les trois cours les plus suivis sont, dans l’ordre, les modes ventilatoires, l’habillage et le déshabillage des patients atteints par le COVID-19, et les mesures d’isolement. Des sujets concrets en somme, utiles rapidement pour tous ceux en première ligne. Tous les soignants se sont d’ailleurs appropriés les cours. Sur la plateforme, nous avons 46 % d’infirmier. e. s, 30 % de médecins ou encore 10 % de sages-femmes.

Mais ce qui intéresse aussi l’AP-HP et l’ARS d’Île-de-France, outre le nombre d’apprenants, c’est que 94 % des cours commencés sont terminés et validés. On pourra aussi noter que, si 2/3 des apprenants sont en Île-de-France du fait de la vague de diffusion originale, nous commençons à avoir des utilisateurs au Maghreb, en Côte d’Ivoire, et même en Thaïlande.

Quel est l’après pour Coorpacademy ?

Jean-Marc Tassetto : Nous allons tenter sur cette plateforme d’atteindre 50 000 apprenants, 50 000 professionnels soignants inscrits. Les taux d’engagements sont importants, et cela démontre que la plateforme a été pensée avec les contraintes de nos quotidiens professionnels. Le protocole pédagogique doit être flexible, adapté, collaboratif, ludique. Je crois qu’il y aura un après dans le domaine de la formation du personnel soignant, car nous observons que nous pouvons rassembler sur la même plateforme différents professionnels. Il n’est plus possible de faire des réunions pédagogiques de 5 heures, au même endroit, dans la même journée : nos urgences professionnelles, et encore plus dans le monde médical, ne sont pas adaptées à ces formats d’apprentissage.

Comment juger de la qualité d’un cours ?

Jean-Marc Tassetto : Nous utilisons principalement trois indicateurs. Le 1er, c’est le taux d’engagement, un bon indicateur de l’attractivité d’un cours, car les cours ne sont pas obligatoires. Le 2e est le taux de complétion des cours, c’est-à-dire combien d’apprenants sont allés jusqu’au bout. Enfin, nous utilisons le NPS (Net Promoter Score) : à la fin de chaque cours, nous demandons une note sur 10 à l’utilisateur. Nous comptabilisons ensuite le nombre de promoteurs (personnes ayant noté de 8 à 10) et de détracteurs (personnes ayant noté de 1 à 6) pour en faire la différence. Pour cette collaboration avec l’AP-HP, nous observons des taux très élevés : 86 % des apprenants se disent très satisfaits, quand 13 % se disent satisfaits et recommanderaient. Ces chiffres représentent selon moi des juges de paix, surtout dans cette période de crise.

Des différences entre la médecine et la monde de l’industrie ?

Jean-Marc Tassetto : La principale différence réside dans ce contexte de crise. En 10 jours, nous avons produit 15 cours ! Pour le reste ce sont des processus similaires, je ne suis pas plus expert sur le COVID-19 sur que le café Nespresso. Les centres d’expertise et les partenaires changent, mais la méthodologie de co-édition de cours est semblable.

Voyez-vous un élargissement de vos partenaires ?

Jean-Marc Tassetto : Nous ne sommes pas véritablement dans notre jardin ! Je ne parle pas de la même manière avec un dirigeant d’un grand groupe industriel qu’avec la présidente de l’ordre des sages-femmes ou un patron de CHU. Mais s’il s’agit d’œuvrer pour le bien commun, de répondre à un besoin urgent face à une crise brutale, la question du type de partenaire ne se pose pas.

Coronavirus : une formation en ligne pour prendre en charge les patients atteints par le COVID-19 en réanimation

 

L’AP-HP, Assistance Publique – Hôpitaux de Paris, a fait appel à nous pour développer en urgence, en collaboration avec leurs équipes et l’Université Paris-Est Créteil (UPEC), une formation en ligne destinée au personnel hospitalier pour accueillir et prendre en charge les patients atteints par le COVID-19 en réanimation.

Actuellement, trois parcours de formation sont proposés :

  1. Le parcours « B.A-BA de la ventilation »
  2. Le parcours « COVID-19 en réanimation »
  3. Le parcours « Prise en charge des patients COVID-19 : quelles précautions pour l’habillage – déshabillage selon le secteur de soin »

Déjà plus de 15 000 professionnels soignants se sont inscrits à cette formation en ligne. L’objectif est de pouvoir la diffuser auprès de 50 000 personnes.

Si vous en connaissez autour de vous, n’hésitez pas à partager cette formation rapidement et massivement ! Disponible sur ordinateur et mobile, elle est ouverte à tous et bien sûr gratuite.

Nous espérons qu’elle sera utile à tous les soignants qui font face à l’épidémie que nous saluons et remercions pour leur travail.

http://www.formationcovid19.fr

À partager massivement auprès des professionnels soignants !

Quelques retours de personnels soignants qui ont suivi cette formation :

La théorie est expliquée, questionnée. Ensuite les connaissances sont évaluées par des questions corrigées en temps réel, immédiatement. Une mise en situation est proposée permettant une visualisation du soin et une meilleure projection de l’apprenant dans la situation de soin. Bravo et merci !

Odile

 

Pédagogique, ergonomique et clairement une des meilleures stratégies pour transmettre les bonnes pratiques.

Stuart

 

Les cours sont très bien faits, très clairs et c’est un très bon outil pour apprendre ou remettre à jour ses connaissances, au vu du contexte actuel où je me retrouve en « réanimation COVID » après 21 ans de bloc opératoire.

Marc

 

La gestion du temps avec la matrice d’Eisenhower

 

Ceci est un extrait de cours co-édité avec Dunod, Efficace dans mon job : les 9 outils à connaître.

Les nouveaux modes d’organisation du travail ont profondément modifié la relation des salariés à leur vie professionnelle : plus d’unité de temps et de lieu qui tienne, place au salarié mobile et agile ! Mais comment gérer efficacement ce nouveau paradigme sans y laisser des plumes ? Avec ce cours, Dunod vous aiguillera vers différentes méthodes organisationnelles qui ont fait leurs preuves pour à la fois rentabiliser votre temps au maximum, gagner en efficacité au quotidien et tirer profit des outils digitaux en les mettant au service de vos objectifs sans vous laisser submerger. Ce cours a été conçu avec Xavier Delengaigne, auteur de la Boîte à outils du Mind Mapping.

Gérer son temps et ses priorités grâce à la matrice Eisenhower

Dans le contexte professionnel actuel, tout semble urgent, et nous avons l’impression d’être constamment débordés. Voyons ensemble comment sortir la tête de l’eau.

Définir ses priorités : une compétence à forte valeur ajoutée

Savoir définir ses priorités est souvent la clé de l’efficacité. Cette compétence est essentielle pour garder ses objectifs à l’esprit, mieux gérer les imprévus et concentrer son énergie de manière à mener à bien ses projets dans les temps.

La matrice d’Eisenhower : classifier ses tâches efficacement

La matrice d’Eisenhower est un outil pour prioriser ses tâches en fonction de leur importance et de leur urgence. Cette matrice comporte 4 types de tâches : celles urgentes et importantes, à faire tout de suite, et soi-même. Celles non urgentes et importantes, soit les tâches à planifier. Celles non urgentes et non importantes, qui sont donc des tâches à éliminer autant que possible. Et enfin, celles urgentes et non importantes, à savoir les tâches à standardiser ou à déléguer.

Distinguer l’urgent de l’important

La matrice d’Eisenhower vise à privilégier l’importance à l’urgence. Dans cette matrice, l’important regroupe les activités qui exercent un impact sur vos objectifs de vie personnels ou professionnels. L’urgent, lui, regroupe les activités qui comportent un risque à ne pas être traitées immédiatement, mais sans forcément avoir un impact direct sur vos objectifs. L’urgence est un sentiment relatif et les tâches jugées telles peuvent être très variées.

Gérer ses priorités au quotidien grâce à la matrice d’Eisenhower

Le but de la matrice d’Eisenhower est de réaliser le plus grand nombre de tâches importantes en les priorisant dans les temps tout en gérant une partie des tâches urgentes. Vous allez donc devoir à la fois éliminer le temps consacré aux tâches non urgentes et non importantes, et réduire le temps consacré aux tâches non importantes et urgentes. Gérer ses priorités au travail de façon efficace demande beaucoup de discipline. Imaginez la situation suivante. Vous souhaitez diffuser efficacement des informations concernant votre entreprise sur les réseaux sociaux et obtenir plus de visibilité pour vos produits. Cependant, vous avez du mal à vous y tenir, car même si la tâche est importante, elle n’est urgente dans le sens où aucune contrainte extérieure ne vous y oblige. Pour être efficace, il faudra arriver à ne pas se laisser constamment séduire et dérouter par les sirènes de l’urgence.

L’interview de Jean-Marc Tassetto, co-fondateur de Coorpacademy, à l’EPFL Innovation Park

 

Découvrez l’interview vidéo de Jean-Marc Tassetto, co-fondateur de Coorpacademy, sur les avantages qu’il y a à diriger une start-up EdTech sur le campus de l’EPFL Innovation Park (École Polytechnique Fédérale de Lausanne) en Suisse.

Jean-Marc Tassetto, co-fondateur de Coorpacademy : « Coorpacademy est ce que nous appelons plus communément une start-up EdTech, qui rassemble donc Éducation et Technologie. Nous avons une plateforme dédiée à la formation digitale en entreprise. Notre proposition commerciale unique (Unique Selling Proposition) est de fournir des expériences d’apprentissage en ligne fortement individualisées. Vous et moi apprenons de manières très différentes, c’est pourquoi nous allons proposer sur la même plateforme des contenus très spécifiques et l’innovation pédagogique nécessaire à la montée en compétence de chacun. 

S’implanter sur le campus de l’EPFL Innovation Park a vraiment fait la différence. Nous avons décidé de créer Coorpacademy sur ce campus car nous sommes proches et connectés à deux laboratoires gérés par le Professeur Pierre Dillenbourg, expert dans les Sciences de l’Apprentissage. Leurs recherches concernent des domaines tels que l’intelligence artificielle appliquée à l’éducation, le deep learning, le machine learning dans l’apprentissage. C’est un véritable élément différentiateur pour nous quand il s’agit de fournir les meilleures solutions de formation en ligne à de grands groupes multinationaux ; c’est vraiment génial d’être soutenu par d’éminents professeurs et scientifiques. »

Nous sommes fiers chez Coorpacademy de faire partie de cet environnement florissant. La Suisse est un endroit propice à l’innovation, l’École Polytechnique Fédérale de Lausanne l’une de ses écoles les plus prestigieuses, à la pointe des sciences appliqués à l’apprentissage et de l’innovation dans les processus d’apprentissage. C’est, depuis la création de Coorpacademy en 2013, le meilleur endroit pour prospérer en tant qu’EdTech spécialisée dans le méthodes de formation en ligne innovantes.

En 2019, les chiffres montrent que la Suisse se place tout en haut des classements mondiaux de l’innovation. Selon le Forum Économique Mondial, la Suisse est le 3ème pays le plus innovant du monde, seulement battue par Singapour (1er) et Luxembourg (2ème).

L’article du Forum Économique Mondial nous dit que : « Le Center for Global Innovation Studies de la Toyo University a récemment publié un Indice d’Innovation Mondiale, classant les performances de chaque pays en innovation. L’indice a été créé en sélectionnant et en intégrant un total de 58 critères provenant de cinq domaines : la coopération internationale, les tendances de marché, l’innovation technologique, les ressources et les politiques gouvernementales pertinentes. »

La Suisse est aussi le 1er pays dans le monde au niveau des financements gouvernementaux investis dans la recherche universitaire en parts de PIB, avec 0,76 % du PIB global alloué à la recherche universitaire. De très bons résultats pour la 5ème économie la plus compétitive du monde. 

Coorpacademy est fortement enracinée au coeur de l’innovation et de la recherche dans les sciences de l’apprentissage, et nous sommes fiers de pouvoir profiter d’un tel environnement pour proposer les meilleures expériences d’apprentissage individualisées à nos clients et à nos apprenants.

Coorpacademy à l’honneur dans le dernier hors-série de Capital Magazine sur la formation

 

« Coorpacademy : le Netflix du savoir. Fini les ateliers soporifiques ! Cette start-up franco-suisse révolutionne la formation en entreprise en plaçant l’utilisateur au centre d’une expérience ludique et collaborative. »

C’est ainsi que débute l’article de Benjamin Janssens, journaliste pour Capital, dans le dernier hors-série de la marque économique du groupe Prisma Media sur la formation. Interviewant Frédérick Bénichou, co-fondateur de Coorpacademy, il y présente les points différenciants de la plateforme, de la « simplexité » au catalogue de soft skills en passant par ses fonctionnalités ludiques et addictives, pour un apprentissage toujours plus engageant.

Découvrez sans plus attendre ces deux pages consacrées à Coorpacademy dans ce Spécial Formation : Changer de métier… ou de vie ! Chez votre marchand de journaux. 

Ou découvrez ici quelques extraits de cet article consacré à Coorpacademy.

« Lorsque La Redoute a définitivement tourné la page du catalogue papier pour se concentrer uniquement sur le digital, il a bien fallu former ses salariés à la culture et aux outils numériques, ainsi qu’aux dernières tendances de l’e-commerce. Et, pour cela, quoi de plus naturel que de proposer des formations… en ligne ! L’entreprise s’est donc tournée vers Coorpacademy pour imaginer une plateforme de digital learning, avec des contenus répondant à ses problématiques. En six mois, 800 salariés ont accédé à la plateforme mais, surtout, 88% des cours commencés ont été terminés. Bien plus rapide et efficace que s’il avait fallu organiser des formations en présentiel pour chacun des salariés.

[…]

Cette start-up franco-suisse, aujourd’hui multi-récompensée, a mis en musique, ou plutôt en images, une méthode pédagogique disruptive, basée sur l’assimilation des soft skills. Le concept ? La « simplexité ». Derrière ce mot-valise, l’idée est de proposer une interface ultra-facile d’utilisation, ludique et attractive, mais donnant accès à des contenus ciblés et pertinents. « Nous avons conçu un outil flexible, qui s’adapte à l’usager : nos contenus se consomment partout et à tout moment, en vingt minutes en moyenne, voire en cinq minutes grâce au microlearning », détaille Frédérick Bénichou, l’un des co-fondateurs.

Concrètement, comment ça marche ? « Notre méthode repose sur la pédagogie inversée », poursuit le dirigeant. L’utilisateur regarde une vidéo de deux minutes, puis doit répondre à des questions. Et c’est seulement après qu’il accède à la ressource pédagogique, qui lui permet soit de se corriger, soit d’aller plus loin. « Cela insuffle une nouvelle dynamique à l’apprentissage. »

Le succès auprès des salariés s’explique aussi par la dimension très ludique de la plateforme : on marque des points à chaque étape de l’apprentissage, on gagne des badges au fur et à mesure que l’on progresse. Les chiffres montrent qu’offrir des fonctionnalités issues du monde du gaming suscite un fort engagement et crée une réelle émulation entre collaborateurs. « Pour une entreprise, c’est aussi un bon moyen de révéler les talents cachés, potentiellement profitables à l’organisation, ajoute Frédérick Bénichou. Chez Pernod Ricard, par exemple, l’employé affichant le meilleur score aux quiz sur la culture digitale était magasinier à Cognac : sa maîtrise du sujet et le fait que cela se sache l’ont amené à coacher le directeur marketing du groupe. » Et, en s’amusant, on développe sa culture digitale ou son intelligence émotionnelle, avec la possibilité de se challenger entre apprenants ou de se faire coacher par un autre participant. Le lien avec Netflix ? Les modules de formation, des vidéos courtes et ludiques assorties de quiz, sont accessibles à tout moment depuis n’importe quel terminal (smartphone, tablette, ordinateur). Et les contenus consommés aident à sélectionner ceux qui sont recommandés par la suite grâce au machine learning – la start-up ayant établi 27 profils distincts d’apprenants.

[…]

Coorpacademy s’appuie sur un réseau de 40 partenaires et d’experts, dont les magazines Capital et Management, mais aussi les Éditions Dunod et la collection Bescherelle. Le site offre plus de 1 000 vidéos et 8 000 questions (culture digitale, management et leadership, future of work…), l’ensemble couvrant déjà 90 % des soft skills identifiées par le Forum Économique Mondial. Une levée de fonds de 10 millions d’euros en 2016 a notamment permis le déploiement de la plateforme à l’international, avec la traduction des formations en anglais. »

Benjamin Janssens

Découvrez ces deux pages consacrées à Coorpacademy dans le Spécial Formation : Changer de métier… ou de vie ! de Capital Magazine.

Maintenant vous savez : la prise de parole sur Coorpacademy

 

Vous avez la gorge sèche ? Le coeur qui s’emballe ? Une sensation de nausées ? Des sueurs froides ? Vous n’êtes pas malade !

Comme 61% des Français, vous avez peur de prendre la parole en public, que ce soit en réunion, en entretien ou lors d’une négociation.

Heureusement, il existe des solutions. Ce n’est pas de devenir ventriloque, et sûrement pas d’imaginer votre audience nue… Ils font pareil avec à vous !

Alors comment faire ? Il y a plus de 25 cours de prise de parole disponibles sur Coorpacademy !

 

Maintenant vous savez : le Big Data sur Coorpacademy

 

Vous pensez que le Big Data est un sandwich ? Ou un nouveau monospace japonais ? Votre fils de 12 ans en sait plus que vous et vous avez honte de lui demander conseil ? Les réunions sont devenues un calvaire ?

Votre prochain point est jeudi et vous vous dîtes que c’est la Big Cata !

Il y a des solutions : il y a plus de 70 cours sur le Big Data disponibles sur Coorpacademy.

Vous ne le saviez pas ? Maintenant vous savez.

Le plan de formation digitale du Gouvernement Princier de Monaco sera présenté à l’événement Gartner ReimagineHR London 2019 !

 

Réinventer le Futur du Travail. 

 

Les 18 et 19 septembre, à l’hôtel Park Plaza London, plus de 500 professionnels des Ressources Humaines se rassembleront lors de l’événement Gartner ReimagineHR London 2019 pour réinventer le Futur des Ressources Humaines. Ils pourront y suivre 28 présentations d’analystes de Gartner.

Brian Kropp, GVP et Chief of HR Research chez Gartner, présentera la keynote d’ouverture : « Comment les Ressources Humaines peuvent réinventer le travail pour mener à la performance. »

Il nous dit : « L’intelligence artificielle ou l’automatisation, bien qu’importantes, ne représentent qu’une partie du futur du travail. Il existe en plus de ces changements visibles un grand nombre de tendances sous-jacentes (la promotion de la transparence, ou les nouvelles méthodes de travail) qui ont le possibilité de changer en profondeur la façon dont nous travaillons. »

Brian va souligner les enjeux fondamentaux des Ressources Humaines face à la montée en puissance de l’intelligence artificielle ou de l’automatisation tout en se concentrant sur les opportunités créées par ces changements… Malheureusement, bon nombre de professionnels des Ressources Humaines ont plus connaissance des dangers que des opportunités que ces changements vont créer.

Pendant l’événement seront explorées les grandes tendances et défis actuels des Ressources Humaines pour réinventer le Futur du Travail avec des keynotes, des tables rondes ou des réunions :

  1. La transformation digitale, l’innovation, la montée en puissance de l’intelligence artificielle… Ces problématiques sont au coeur de la gestion des talents et les entreprises ne pourront les adresser correctement si elles n’ont pas les bonnes personnes avec le bon soutien.
  2. Nous sommes dans une période où les taux de chômage de postes importants et fondamentaux sont parfois en-dessous d’1 %. Les employeurs ne parviennent pas à trouver assez de candidats pour beaucoup d’emplois.
  3. L’intelligence artificielle, le « gig worker » (gig, concert en anglais – car on paye souvent les musiciens à la tâche et une fois le bal terminé – désigne un travailleur indépendant payé à la tâche), la transparence chez les candidats et les employés, les données analytiques ont le potentiel de transformer en profondeur la fonction Ressources Humaines.
  4. Il n’y a jamais eu autant de visibilité : des canaux comme Glassdoor ou Indeed, mais aussi des outils de communication interne permette d’avoir, au préalable, des informations sur les fourchettes de salaire, sur la qualité du management, sur l’ambiance générale d’une entreprise avant même de l’intégrer.
  5. Les problématiques de gestion des talents font maintenant totalement partie des quotidiens du top management et des directions. Avec par exemple les problèmes d’harcèlement au travail et de discrimination, mais aussi du fait que les investisseurs portent maintenant plus d’attention à l’impact de la gestion des talents sur la performance globale de l’entreprise. 

Les bonnes personnes avec les bonnes compétences pour prospérer dans ce nouvel environnement complexe.

 

La transformation digitale, l’intelligence artificielle et l’automatisation créent des opportunités. Mais les organisations ne pourront prospérer dans cet environnement complexe seulement si elles disposent des bons talents avec les bonnes compétences. Jean-Marc Tassetto, co-fondateur de Coorpacademy, disait dans son dernier article publié dans Finance Derivative : « Ces changements affectent tous les secteurs. Il devient impératif pour nous de gérer notre employabilité sur le long-terme. Les entreprises qui n’équipent pas leurs équipes des outils nécessaires pour rester compétitives perdront des parts de marché, voire disparaîtront, lorsque de nouveaux acteurs disruptifs disposés à former leurs employés aux compétences nouvellement nécessaires les remplaceront.« 

 

La réussite du plan de formation en ligne du Gouvernement Princier de Monaco. 

Alors que la Principauté de Monaco a annoncé courant 2019 un programme stratégique de transformation « Extended Monaco », pour engager ses politiques publiques et son économie dans un modèle numérique, le Gouvernement Princier a lancé une académie digitale, baptisée Monaco Digital Academy, avec un programme de formation nécessairement ambitieux pour ses 3.600 fonctionnaires et agents, afin de les accompagner dans cette phase de transformation des métiers et des processus.

Pour la mise en œuvre de cette Académie digitale, le Gouvernement Princier de Monaco a sélectionné Coorpacademy comme plateforme de formation digitale.

Stéphan Bruno, DRH du Gouvernement Princier de Monaco, et Jean-Marc Tassetto, co-fondateur de Coorpacademy, présenteront ce projet le 19 septembre à 11h30, sous le thème de l’hyper-individualisation de l’apprentissage.   

Stéphan Bruno a expliqué le choix de Coorpacademy : « Nous voulions créer pour nos collaborateurs de la fonction publique une offre de formation accessible, ludique et diverse, pas uniquement liée aux compétences métiers. L’expérience d’apprentissage sur la plateforme Coorpacademy centrée sur l’apprenant et la richesse de son catalogue de cours construit avec des partenaires experts répondaient à nos problématiques. »

Nous sommes honorés d’avoir été sélectionnés comme prestataire de formation pour ce plan numérique stratégique qui va toucher l’ensemble des politiques publiques de la Principauté », ajoute Jean-Marc Tassetto, co-fondateur de Coorpacademy. « La place donnée par le gouvernement princier et ses dirigeants à la formation témoigne de l’envergure de ce plan et d’une prise en compte globale des enjeux de la transformation digitale. »

Découvrez ce projet de transformation.

Si vous êtes à Londres les 18 et 19 septembre, venez rencontrer l’équipe Coorpacademy !

« L’hyper-individualisation – Comment les meilleures entreprises et institutions forment massivement leurs employés aux métiers de demain. », Jeudi 19 septembre, 11h30 – 12h00, Park Plaza London.

Nous avons hâte de vous y retrouver !

Stop aux Violences Faites aux Femmes : l’engagement de Coorpacademy auprès de Make.org

 

Coorpacademy est fière d’être engagée auprès de l’accélérateur d’intérêt général et CivicTech Make.org dans le cadre de l’une des 8 actions retenues dans le Plan d’Actions de la Société Civile de la Grande Cause « Stop aux Violences Faites aux Femmes ».

Coorpacademy met son expertise digitale au service d’un plan de formation en ligne des professionnels – et notamment des policiers – chargés de l’accompagnement des femmes victimes de violence, en complément des formations existantes.

Découvrez le Plan d’Actions de la Société Civile.

Voir l'étude de cas