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L’interview de Jean-Marc Tassetto, co-fondateur de Coorpacademy, à l’EPFL Innovation Park

 

Découvrez l’interview vidéo de Jean-Marc Tassetto, co-fondateur de Coorpacademy, sur les avantages qu’il y a à diriger une start-up EdTech sur le campus de l’EPFL Innovation Park (École Polytechnique Fédérale de Lausanne) en Suisse.

Jean-Marc Tassetto, co-fondateur de Coorpacademy : « Coorpacademy est ce que nous appelons plus communément une start-up EdTech, qui rassemble donc Éducation et Technologie. Nous avons une plateforme dédiée à la formation digitale en entreprise. Notre proposition commerciale unique (Unique Selling Proposition) est de fournir des expériences d’apprentissage en ligne fortement individualisées. Vous et moi apprenons de manières très différentes, c’est pourquoi nous allons proposer sur la même plateforme des contenus très spécifiques et l’innovation pédagogique nécessaire à la montée en compétence de chacun. 

S’implanter sur le campus de l’EPFL Innovation Park a vraiment fait la différence. Nous avons décidé de créer Coorpacademy sur ce campus car nous sommes proches et connectés à deux laboratoires gérés par le Professeur Pierre Dillenbourg, expert dans les Sciences de l’Apprentissage. Leurs recherches concernent des domaines tels que l’intelligence artificielle appliquée à l’éducation, le deep learning, le machine learning dans l’apprentissage. C’est un véritable élément différentiateur pour nous quand il s’agit de fournir les meilleures solutions de formation en ligne à de grands groupes multinationaux ; c’est vraiment génial d’être soutenu par d’éminents professeurs et scientifiques. »

Nous sommes fiers chez Coorpacademy de faire partie de cet environnement florissant. La Suisse est un endroit propice à l’innovation, l’École Polytechnique Fédérale de Lausanne l’une de ses écoles les plus prestigieuses, à la pointe des sciences appliqués à l’apprentissage et de l’innovation dans les processus d’apprentissage. C’est, depuis la création de Coorpacademy en 2013, le meilleur endroit pour prospérer en tant qu’EdTech spécialisée dans le méthodes de formation en ligne innovantes.

En 2019, les chiffres montrent que la Suisse se place tout en haut des classements mondiaux de l’innovation. Selon le Forum Économique Mondial, la Suisse est le 3ème pays le plus innovant du monde, seulement battue par Singapour (1er) et Luxembourg (2ème).

L’article du Forum Économique Mondial nous dit que : « Le Center for Global Innovation Studies de la Toyo University a récemment publié un Indice d’Innovation Mondiale, classant les performances de chaque pays en innovation. L’indice a été créé en sélectionnant et en intégrant un total de 58 critères provenant de cinq domaines : la coopération internationale, les tendances de marché, l’innovation technologique, les ressources et les politiques gouvernementales pertinentes. »

La Suisse est aussi le 1er pays dans le monde au niveau des financements gouvernementaux investis dans la recherche universitaire en parts de PIB, avec 0,76 % du PIB global alloué à la recherche universitaire. De très bons résultats pour la 5ème économie la plus compétitive du monde. 

Coorpacademy est fortement enracinée au coeur de l’innovation et de la recherche dans les sciences de l’apprentissage, et nous sommes fiers de pouvoir profiter d’un tel environnement pour proposer les meilleures expériences d’apprentissage individualisées à nos clients et à nos apprenants.

Avez-vous déjà entendu parler du « Machine Teaching » ?

 

Cet article fait partie de notre série consacrée à la recherche et à l’innovation liées à l’apprentissage, proposée par Coorpacademy en association avec le Centre LEARN de l’EPFL (l’École polytechnique fédérale de Lausanne en Suisse). Son auteur, Pierre Dillenbourg, est Professeur à l’EPFL, Responsable du CHILI Lab (laboratoire spécialisé dans les interactions homme-machine) et Directeur du Swiss EdTech Collider (incubateur spécialisé dans les technologies éducatives).

Des concepts tels que le Machine Learning, le Deep Learning et l’intelligence artificielle sont désormais connus de tous. Il faut désormais ajouter à cette liste un nouveau concept, le « Machine Teaching », que nous allons vous présenter en explorant ses implications possibles dans le domaine de l’éducation.

Un nouveau paradigme, le Machine Teaching

Imaginons un algorithme qui doit apprendre à identifier des éléphants sur des images. Dans le cadre d’un processus supervisé de Machine Learning, on lui fournit un exemple – par exemple, la photo 3465 – et un attribut tel que « éléphant » ou « non-éléphant ». Il se peut que la photo 3465 lui soit présentée après quelques milliers d’autres photos ayant le même attribut. Mais si les 3464 photos précédentes montraient toutes des éléphants d’Afrique, une énième photo de cette même espèce serait moins utile au système que l’introduction inédite d’une photo d’éléphant d’Asie.

De même, si toutes les photos précédentes montraient principalement des éléphants adultes, il serait plus utile pour l’apprentissage de l’algorithme de lui présenter un éléphant jeune. Et si la plupart des éléphants étaient représentés de côté, une vue de face améliorerait les connaissances acquises par l’algorithme.

En d’autres termes, si les exemples n’étaient pas présentés de façon aléatoire à l’algorithme « en apprentissage », mais sélectionnés de façon stratégique, les performances d’apprentissage de la machine pourraient être globalement optimisées. Dans le contexte d’une salle de classe, choisir des exemples est le rôle de l’enseignant : il ou elle sait que si tous les exemples de carrés montrés aux apprenants sont en position horizontale, ils inféreront qu’un carré présentant une rotation de 45 degrés n’est pas un carré.

Un algorithme qui parvient à déterminer la séquence d’exemples optimale à proposer à un système d’apprentissage automatique, en veillant à ce que ces exemples soient suffisamment variés et différents des précédents, peut être qualifié d’algorithme de Machine Teaching.

Quel potentiel pour le Machine Teaching ?

Si un algorithme reçoit des exemples aléatoires, sans considération stratégique sur le type d’exemples et ce que l’algorithme pourra en extraire pour son apprentissage, des problèmes surgiront inévitablement. Tout d’abord, il ne faut pas confondre la taille de l’échantillon de données et son utilité intrinsèque : la simple présentation d’une grosse masse de données à un algorithme de Machine Learning ne suffit pas à garantir l’acquisition des connaissances voulues, ni les performances futures de l’IA. Par ailleurs, l’algorithme pourrait tendre vers une prise de décision erronée ou biaisée. Revenons sur notre exemple d’identification d’éléphants à partir de photos : si les seules photos avec l’attribut « non-éléphant » représentent des animaux blancs, l’algorithme peut inférer que seuls les animaux blancs doivent être catégorisés comme non-éléphants. Cela peut sembler stupide, mais ce type de biais s’introduit fréquemment et s’accompagne de certaines conséquences. Des algorithmes biaisés peuvent renforcer les stéréotypes liés au genre (comme ce fut le cas du service de traduction de Google) ou peuvent induire de mauvaises prises de décisions (comme les systèmes d’aide à la décision utilisés par des juges aux États-Unis, qui surestiment la probabilité de récidive des populations afro-américaines).

Quelles sont les applications possibles dans le domaine de l’éducation ?

L’impact de l’intelligence artificielle sur l’éducation s’étend sur trois niveaux : (1) Méthode : l’IA peut renforcer l’efficacité des technologies éducatives utilisées et permettre une meilleure adaptation de l’enseignement aux besoins spécifiques de l’apprenant. Au fil du temps, un système peut apprendre à détecter les activités pédagogiques optimales selon le profil d’un apprenant donné. (2) Contenu : l’IA fait évoluer ce que les apprenants devraient ou ne devraient pas apprendre, et accélère également la production des supports pédagogiques, par exemple en générant des questions à partir de Wikipédia. (3) Gestion : l’IA, et notamment les sciences des données, offrent de nouveaux moyens de gestion des systèmes éducatifs (par exemple en prévoyant l’échec probable des apprenants).

Le Machine Teaching s’avère pertinent dans toutes ces applications. Un apprentissage personnalisé, fondé sur les systèmes recommandés, ne peut être bien adapté aux besoins particuliers d’un apprenant que si l’ensemble de données sur lequel se fonde la recommandation est assez vaste et équilibré. Il nous faut donc utiliser une sélection non aléatoire des données pour tout apprentissage automatique, en alimentant l’algorithme avec des données indiquant les méthodes les plus efficaces pour tous les types d’apprenants.

S’agissant du contenu, l’enseignement en sciences des données et en Machine Learning doit apprendre à concevoir des bases de données optimales pour l’apprentissage des algorithmes. Les ingénieurs deviennent des enseignants auprès des algorithmes d’apprentissage automatique, car une simple programmation ne suffit pas. Nous devons faciliter la prise de décisions judicieuses par l’algorithme, à l’instar d’un bon enseignant qui apprend à ses élèves à développer des compétences de résolution de problèmes et de réflexion critique.

L’innovation en matière de sciences de l’apprentissage et de technologies éducatives fait partie des priorités de Coorpacademy. Elle est essentielle à notre mission qui consiste à améliorer constamment l’expérience d’apprentissage sur notre plateforme, en la rendant toujours plus personnalisée, flexible et agréable pour les apprenants.

Pierre Dillenbourg, auteur de l'article

Quand la difficulté permet d’apprendre : les mécanismes de l’échec productif

 

Coorpacademy vous fait profiter, chaque mois, de ses collaborations R&D avec le Centre LEARN (Centre des Sciences de l’Apprentissage) de l’EPFL (École Polytechnique Fédérale de Lausanne, Suisse).

Jessica Dehler Zufferey, directrice opérationnelle du Centre LEARN, précédemment responsable R&D chez Coorpacademy, démarre cette série d’articles par une réflexion sur l’échec productif, ou quand la difficulté nous fait apprendre.


Les meilleurs apprentissages ne peuvent-ils survenir que dans un contexte culturel où les erreurs sont non seulement acceptées, mais également perçues comme des occasions précieuses d’améliorer ses compétences ?

Lorsqu’ils se forment à un nouveau sujet sur la plateforme Coorpacademy, les apprenants ont toujours le choix : ils peuvent soit commencer par répondre à des questions, soit accéder aux supports pédagogiques (vidéos de cours).

De façon intuitive, on pourrait penser qu’une personne possédant déjà une bonne connaissance du sujet en amont doive commencer par les questions, tandis qu’une autre  n’ayant aucune connaissance ou une connaissance réduite doive commencer par le contenu pédagogique avant de répondre aux questions. Mais est-ce vraiment le cas ? Des recherches s’intéressant à la méthode dite de « l’échec productif » parviennent à la conclusion inverse.

Comment cela fonctionne-t-il ?

Initialement développé à Singapour par Manu Kapur, aujourd’hui professeur à l’ETH Zürich (École Polytechnique Fédérale de Zürich) et reconnu dans le monde entier, le concept d’échec productif met en avant les bénéfices de devoir faire face à des obstacles au cours d’un apprentissage. Lorsque des apprenants se plongent dans de nouveaux sujets, ils passent par une phase initiale de « brainstorming » créatif et conceptuel avant de se plonger dans le contenu , les informations et les explications. Si vous souhaitez en savoir plus sur la science des données (data science), par exemple, vous devriez d’abord vous amuser avec des données, inventer des mesures à appliquer et faire des expériences avec les résultats obtenus. La qualité des idées que vous générez n’a que peu d’ importance car même les mauvaises idées peuvent engendrer le phénomène d’échec productif. D’après Kapur, l’échec productif « est la préparation à l’apprentissage ». Ce n’est pas l’apprentissage lui-même.

Quel impact cela a-t-il ?

La littérature qui existe sur cette approche montre que non seulement votre compréhension conceptuelle sera améliorée si vous commencez par échouer, mais que votre intérêt pour le sujet et votre motivation en seront également accrus. Autre effet secondaire intéressant : cela vous forme à la persévérance. Le nombre d’idées générées est également supérieur si l’on commence par échouer, donc cette méthode stimule aussi la créativité.

Pourquoi est-ce que ça marche ?

Il se trouve que les mécanismes cognitifs de l’apprentissage derrière le phénomène d’échec productif sont plutôt bien compris. Premièrement, toute stimulation cognitive est bénéfique pour l’apprentissage car elle met le cerveau en « mode actif ». Deuxièmement, tout apprentissage est contextualisé ; de ce fait, en développant leurs propres idées, les apprenants créent le contexte dans lequel ils pourront intégrer tout apprentissage futur. Troisièmement, en élaborant des idées avant la phase réelle d’apprentissage, les apprenants développent une intuition concernant les types de problèmes associés. Ils sont ainsi plus susceptibles d’appliquer le contenu de l’apprentissage dans des situations futures et donc d’améliorer leurs performances grâce à l’apprentissage.

Qu’est-ce que cela signifie pour vous en tant qu’apprenant tout au long de la vie ?

Lorsque vous vous lancez dans l’apprentissage d’un nouveau sujet, ne vous tournez pas directement vers le contenu pédagogique en pensant que vous devez commencer par acquérir les connaissances de base. Exploitez plutôt cette phase initiale d’« ignorance » et élaborez plusieurs idées, qu’elles soient justes ou fausses. Ce n’est qu’à ce moment-là, lorsque vous serez impliqué, que vous pourrez vous pencher sur le contenu et apprécier l’apprentissage.

L'auteur de l'article Jessica Dehler Zufferey

 

La « Swiss EdTech » en ébullition

Cet article de blog condense les informations de plusieurs médias suisses.

La “Swiss EdTech” est en ébullition. Dans les locaux de l’EPFL (Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne), le Swiss EdTech Collider, le premier accélérateur européen pour les entreprises de la EdTech, ou Education Technology, a soufflé sa première bougie. Dédié aux entrepreneurs ambitieux qui veulent transformer l’éducation et l’apprentissage au travers de la technologie, c’est déjà une totale réussite. « De 30 start-up à nos débuts, nous en hébergeons 70 aujourd’hui. Nous avons déjà organisé une septantaine de visites de délégations de potentiels partenaires, » dit Pierre Dillenbourg, chercheur à la base des MOOCs de l’École Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL) et Président du Swiss EdTech Collider, dans un article publié dans l’Agefi, quotidien économique suisse.

Au départ, l’idée vient de la difficulté pour certains entrepreneurs, spécialisés dans l’innovation de l’éducation, d’atteindre les bons investisseurs. « Les investisseurs connaissaient bien les secteurs FinTech, MedTech, SpaceTech, BioTech, CleanTech,… mais globalement l’idée de l’EdTech restait floue. » Autre atout pour ces jeunes pousses : l’arrivée de Coorpacademy au sein du EdTech Collider, d’une plus grande envergure et avec un modèle établi en B2B (Business to Business). “C’est une entreprise qui a atteint une échelle différente : les dirigeants ont une grande expérience business et la boîte compte déjà 56 employés” commente Pierre Dillenbourg sur l’arrivée de Coorpacademy au Swiss EdTech Collider.

Plusieurs atouts permettent à la Suisse d’être en bonne position dans le secteur des EdTech. Dans un article de Largeur.com, magazine d’actualités en Suisse romande, Pierre Dillenbourg revient sur les atouts dont dispose la Suisse dans ce secteur, pour qu’elle devienne un hub éducatif de premier plan. « Rien qu’autour du lac Léman, on trouve, en plus de l’EPFL, l’IMD, l’École hôtelière de Lausanne, deux hôpitaux universitaires, ainsi que des laboratoires réputés. La culture de l’excellence dans la formation est unique dans la région. Et la capacité à dégager des financements est bien supérieure à ce qu’on peut trouver ailleurs en Europe.« 

Les initiatives dans le secteur de l’EdTech se multiplient. Le 19 Avril, sur le campus de l’Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne, le Temps, l’EPFL et PME Magazine se sont réunis pour organiser la première édition du salon Forward, le Forum de l’Innovation pour les PME. Au total, pas moins de 900 personnes étaient présentes pour venir à la rencontre des acteurs de l’innovation suisse. La digitalisation fut à l’honneur, et c’est tout naturellement que Jean-Marc Tassetto, co-fondateur de Coorpacademy, participa à un atelier sur la digitalisation de la formation continue des employés.

Maintenant, il faut que les fonds suivent pour que ces initiatives ne se retrouvent pas caduques. Pour Pierre Vandergheynst, vice-président pour l’éducation de l’EPFL. « L’engagement des institutions et des pouvoirs publics n’est plus simplement un pari sur l’avenir, mais une condition sine qua non pour que la révolution numérique ne soit pas perçue comme une contrainte sur nos économies mais comme une source de croissance.«  Un avis partagé par l’UNESCO, qui estime que “chaque dollar investi dans les compétences des jeunes peut rapporter quinze fois plus en croissance économique.”

Sources : 

L’Agefi : La technologie bouscule les salles de classe 

Largeur.com : Le futur de l’éducation s’écrit en numérique

Coorpacademy, partenaire de digitalswitzerland

Sans titre (8)Sébastien Kulling, Directeur de digitalswitzerland pour la Suisse romande

digitalswitzerland – association suisse qui fédère des acteurs de l’économie privée, du secteur public et des grandes écoles – s’est fixée comme ambition de faire de la Suisse un hub attractif pour l’économie numérique et de soutenir les entreprises suisses dans leur transformation digitale. Parmi ses chantiers : offrir aux entreprises et aux citoyens des solutions pour se former aux enjeux du digital. Coorpacademy devient donc un partenaire naturel de l’association, avec plusieurs cours de la Collection digitale d’ores et déjà intégrés à la plateforme « Education Digital » de digitalswitzerland.

Née en Suisse alémanique en 2015, l’association se développe également dans les autres territoires, notamment en Suisse romande où elle a pris quartiers sur le site de l’EPFL.

A l’occasion de la signature de notre partenariat, nous avons rencontré, Sébastien Kulling, Directeur de digitalswitzerland pour la Suisse romande, qui a pris ses fonctions en août dernier. Continuer la lecture de « Coorpacademy, partenaire de digitalswitzerland »

3 questions sur l’IA dans l’éducation

formation-IntelligenceArtificiellePierre Dillenbourg, directeur de laboratoire travaillant sur l’éducation numérique et les MOOC à l’EPFL, et Jessica Dehler Zufferey, à la tête de la R&D chez Coorpacademy, partagent leur vision sur le présent et l’avenir de l’intelligence artificielle dans l’éducation.  Continuer la lecture de « 3 questions sur l’IA dans l’éducation »

Inauguration Swiss EdTech Collider – EPFL

Blog - inauguration.pngLe 27 avril dernier, le Swiss EdTech Collider a été officiellement inauguré à l’EPFL Innovation Park. Plus de 200 personnes étaient présentes pour l’ouverture du premier accélérateur spécialisé dans la EdTech en Europe sur le campus de l’Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne.   Continuer la lecture de « Inauguration Swiss EdTech Collider – EPFL »

Les start-up suisses de l’éducation suisse possèdent leur incubateur

Blog -Small - ON PARLE DE NOUS

Le Swiss EdTech Collider accueille trente start-up à l’Innovation Park de l’EPFL. Elles proposent toutes des technologies en lien avec la pédagogie

Lire l’article de Ghislaine Bloch sur letemps.ch

Voir l'étude de cas