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C’est pas toi, c’est moi : le phénomène de la grande démission

 

Métro, boulot, dodo. Cette expression résume assez bien le système remis en cause par un grand nombre de travailleurs américains ces derniers mois, qui revendiquent le sentiment d’une routine professionnelle subie. C’est ce que les nouveaux actifs, ceux qui ont suivi le “big quit” remettent en question. Ils décident de démissionner d’un poste  qui ne leur correspond plus, et s’en vont travailler pour des entreprises en accord avec leurs valeurs. Dès lors, comment ce phénomène s’est-il exporté en France, et quelles leçons peut-on en tirer pour l’avenir ?

 

The “Big quit”

Ce phénomène, c’est le “Big quit” aux États-Unis. En 2021, ils étaient plus de 38 millions d’Américains à quitter leur emploi, dont 40 % qui n’avaient pas trouvé un autre emploi quand ils ont franchi le pas. Depuis, le phénomène s’intensifie en France, mais dans des proportions moindres, mais en touchant tous les emplois et les secteurs. À titre d’exemple, une grande entreprise du CAC40 a récemment perdu 23,5% de son effectif. La DARES (Direction de l’animation de la recherche, des études et des statistiques) indique dans une étude que « la hausse des fins de contrat à l’initiative du salarié ne concerne pas seulement les CDI. En juin 2021, les ruptures anticipées de CDD se situent 25,8 %, au-dessus du niveau atteint deux ans auparavant. ». 

 

Avec un taux de chômage stagnant autour d’un taux de 8,1% et plus de 45% des entreprises qui ont connu des difficultés de recrutement en 2021, le phénomène se fait un chemin en France. L’économie française se portant bien même suite à la crise sanitaire, les collaborateurs n’ont pas hésité à quitter un emploi qui ne leur convenait pas, même sans nécessairement avoir un autre poste garanti. De plus, la conjoncture du marché du travail actuelle est plutôt à l’avantage des travailleurs, qui leur autorise une plus grande mobilité. À la fin de l’année 2021, la même étude de la DARES citée plus haut rapportait que 130 000 à 265 000 d’emplois n’étaient pas pourvus et 80 % des DRH interrogés faisaient état d’une pénurie de main-d’œuvre. Ces conditions ont alors encouragé les salariés, quel que soit leur secteur d’activité, à quitter leur emploi pour chercher mieux ailleurs. Néanmoins, les prochains mois seront déterminants pour notre économie, qui risque de subir par effet domino les conséquences de la guerre en Ukraine et peut-être rebattre les cartes du marché de l’emploi.

 

Phénomène social avant tout

2 ans auparavant, nous ne savions pas encore comment réagir face à la crise sanitaire et nous en étions encore au temps de l’adaptation. Ainsi, les actifs français ont enchaîné confinements, période de chômage partiel, télétravail, etc. Cette période instable a fait émerger de vrais questionnements sur l’absurdité du système, a fait remettre en question beaucoup de collaborateurs et sur leur réelles motivations au travail. Pour beaucoup, le confinement a été l’occasion de reprendre son souffle, ou plutôt, de respirer pour la première fois. 

 

La crise sanitaire a rebattu les cartes dans plusieurs aspects de nos vies. Le monde du travail n’a pas été épargné : équilibre entre vie personnelle et professionnelle, recherche de sens, priorisation des besoins, etc. Pour un certain nombre de collaborateurs français, la COVID19 a servi d’accélérateur pour sauter le pas et quitter leur emploi vers un métier plus riche de sens, qui vient nourrir un vrai besoin de considération au travail. 

 

Vers la “Big transformation” 

Les attentes des collaborateurs ont radicalement changé et il faut alors s’y adapter. Faire place à la “big transformation”. En effet, si les travailleurs démissionnent, c’est aussi dû à un manque d’écoute ou de reconnaissance au travail. D’après Danny Nelms, président du Work Institute de Franklin (Tennessee), les organisations qui souhaitent retenir leurs salariés doivent « être à l’écoute » et « mettre en place des outils et des processus pour être en mesure de répondre aux besoins et aux exigences de leur personnel ». Ainsi, Danny Nelms propose des outils tels que des « entretiens de fidélisation ». 

 

Le phénomène de grande démission, bien qu’il soit de moindre mesure en France, témoigne d’une réelle évolution des besoins et attentes des collaborateurs. Néanmoins, ce phénomène n’est pas une fatalité, si l’entreprise se transforme et met tout en œuvre pour s’adapter à ce nouveau marché du travail. Côté manager, l’écoute est donc cruciale. L’environnement de travail doit être agréable et les équipes jouent un rôle essentiel pour maintenir une ambiance de travail positive. Côté recruteurs, l’attractivité d’une offre est un point clé pour attirer les talents. Pratique du télétravail, horaires flexibles, proximité géographique et autres avantages, les leviers de motivation sont multiples. Plus que les bénéfices, ce sont aussi les valeurs de l’entreprise qui vont susciter le sentiment d’appartenance, et l’engagement des collaborateurs. 

 

Dès lors, le learning prend tout son sens pour onboarder les nouveaux talents, fidéliser les salariés et former aux enjeux et valeurs de l’entreprise, ou encore pour créer ou renforcer une culture d’entreprise, etc. Il permet aussi aux managers d’adapter les modes de management à chaque personnalité et d’apprendre à susciter l’engagement des collaborateurs. 

 

Il est urgent de développer des environnements de travail agréables à vivre, qui incitent les collaborateurs à s’engager sur le long terme plutôt que de démissionner. Pour cela, la formation est un outil indispensable, car il n’y a qu’en apprenant que l’on évolue.

 

Le management 3.0

 

Eco-anxiété : comment la crise climatique peut déjà impacter votre entreprise

 

En 2020, la dégradation de l’environnement serait devenue la quatrième préoccupation des Français. Aujourd’hui plus que jamais, ce sentiment de préoccupation s’intensifie, tirant sa source des bouleversements environnementaux, politiques et sociaux actuels. S’il est impossible désormais de faire abstraction de la crise climatique, il n’en est pas moins légitime de ressentir de l’anxiété quant à la dégradation de notre environnement, qui est constamment menacé par l’activité humaine. 

Le GIEC a récemment publié sa synthèse de plus de 34 000 papiers scientifiques autour du dérèglement climatique. Ce sixième rapport, publié le 1er mars 2022, aborde les effets du changement climatique sur les sociétés humaines et les écosystèmes. Il révèle qu’environ un milliard de personnes seront menacées par des aléas climatiques côtiers, à moyen terme, et dans tous les scénarios. Énième avertissement, ce rapport fait état d’une situation « terrible » pour l’avenir dont les prémisses impactent  déjà votre entreprise, en commençant par le cœur de cette dernière : l’Humain. 

  

Éco-anxiété quand tu nous tiens : un esprit préoccupé dans un monde VUCA

L’éco-anxiété est un concept qui ne connaît pas encore de définition en France. En effet, il n’existe pas de consensus, notamment d’un point de vue médical, sur ce que recouvre ce terme initialement apparu à l’étranger. D’après les définitions existantes, l’éco-anxiété réunit toujours deux caractéristiques : un sentiment de préoccupation, d’inquiétude, d’anxiété et d’angoisse ressenti par certains individus et qui est provoqué par des bouleversements actuels ou bien par des menaces qui pèsent sur l’environnement, liés en particulier au dérèglement climatique. 

 

Selon une enquête en ligne de Charline Schmerber, praticienne en psychothérapie, auprès de 1200 personnes (non-représentative de ce que pense l’ensemble de la population française), 90 % des répondants affirment que la dégradation de l’environnement crée chez eux un sentiment d’anxiété. Cette anxiété n’est pas uniquement liée à l’environnement ou au dérèglement climatique. C‘est une anxiété qualifiée de « systémique », liée également aux guerres, aux violences, aux risques économiques ou sanitaires et donc, du risque d’un « effondrement » de la société telle que nous la connaissons. L’enquête révèle également que 80 % des répondants estiment que les problèmes environnementaux ont diminué leur confiance en l’avenir. 

 

Si le dérèglement climatique n’a pas encore de conséquences visibles et directes sur votre entreprise, elle impacte directement ce qui la fait vivre, c’est-à-dire les collaborateurs qui la constituent. Si ces derniers souffrent d’ un sentiment d’anxiété et de préoccupation face au monde, ils peuvent rapidement perdre leur motivation et leur engagement dans leur travail. Beaucoup vont vouloir remettre en question leur place dans la société et le sens de leur emploi, et si les managers ne prennent pas rapidement conscience de ces enjeux pour les accompagner, les collaborateurs concernés peuvent rapidement se désengager au quotidien. 

 

 

À la recherche du sens perdu 

Selon un sondage IFOP pour Philonomist, 82% des salariés français considèrent que l’entreprise est responsable de leur bonheur. Cependant, 49% se disent parfois amenés à agir contre leurs valeurs et 37% seraient prêts à gagner moins en échange d’un travail qui ait un sens. Les attentes des salariés français évoluent et ainsi, la prise en compte des valeurs et de l’impact d’une entreprise sur la société est aujourd’hui un facteur crucial d’engagement. Les actifs mettent aujourd’hui un point d’honneur à rendre compte de l’impact de leurs actions. Les collaborateurs veulent pouvoir débattre de la finalité de leurs actions, et plus seulement à exécuter.

 

Une étude conduite par l’institut de sondage OpinionWay pour le compte de Factorial démontre également une profonde remise en question du rapport des actifs français au travail. Ainsi, 33% des Français ont annoncé avoir perdu tout sens dans leur activité professionnelle depuis le début de la crise. Ces derniers sont nombreux à considérer que le travail n’est pas une source de plaisir ou d’intérêt, mais plutôt, qu’il s’agit avant tout d’une nécessité alimentaire (68%) et que si cela leur était possible sur un plan financier, ils arrêteraient complètement toute activité professionnelle (62%).

 

Ainsi, il est crucial pour les entreprises de prendre en compte ces nouvelles attentes et de se transformer pour répondre aux aspirations des collaborateurs. L’entreprise et les humains qui la composent sont interdépendants et ne peuvent exister l’un sans l’autre. Si les collaborateurs ne retrouvent pas ce sens perdu, alors le désengagement augmentera et les entreprises n’auront plus d’autres choix que de se réinventer. Pourquoi attendre ce point de non-retour, lorsqu’il est possible d’initier le changement dès aujourd’hui ?

  

Rebattre les cartes ou perdre la partie

Nous l’évoquions dans l’introduction de cet article, le sixième rapport du GIEC est alarmant. En effet, pour les experts, il reste encore une chance d’améliorer la situation, qui se réduit d’années en années. Il faudrait atteindre la neutralité carbone et agir immédiatement.  

 

Les entreprises ont donc toutes les cartes en mains pour initier – ou accélérer – leur transition écologique, et elles ont toutes les raisons de le faire. À la fois pour préserver l’environnement, mais également pour assurer leur pérennité. En effet, les entreprises ne pourront survivre dans le monde décrit par le rapport du GIEC si les efforts ne sont pas fournis. Si elles ne le font pas pour elles, elles devront au moins le faire pour garantir la productivité de leurs équipes, pour préserver leurs talents et engager les collaborateurs. Avec la formation, nous voulons changer les règles du jeu, pour transformer durablement l’entreprise et ainsi jouer plus longtemps. 

 

 

En conclusion, le processus de prise de conscience par rapport à l’état de la planète est enclenché. Néanmoins, ce processus doit être encouragé et initié par les entreprises. Pour transformer l’entreprise, la formation à grande échelle est essentielle. Elle permet de former massivement les collaborateurs sur les sujets cruciaux en matière de développement durable, et de sensibiliser sur les conséquences que nos activités humaines peuvent engendrer sur les écosystèmes. Apprendre, c’est avant tout comprendre, ce qui permet d’agir. 

Pour aller plus loin, découvrez Coorpecology, la plateforme de formation en ligne dédiée à la transformation durable 👉 https://www.coorpacademy.com/formation-en-ligne/coorpecology/ 

 

Le glossaire du Digital Learning

 

Adaptive Learning, ATAWAD, serious Game, entertraining… Vous êtes souvent perdus dans le jargon de la formation en ligne et du numérique ? Pas de panique, pour vous y retrouver, nous vous avons concocté un petit glossaire du Digital Learning !

 

Adaptive Learning (Apprentissage adaptatif)

Grâce aux données récoltées sur les plateformes, nous pouvons faire émerger des profils d’apprenants, afin d’adapter l’apprentissage à leur chaque apprenant. Ainsi, les parcours de formation sont personnalisés et individualisés, pour fournir à l’apprenant des contenus et modalités en conformité avec son profil et ses besoins. Chaque apprenant suit un cheminement différent selon sa manière de répondre aux questions posées, et le rythme d’apprentissage s’accélère ou se ralentit pour s’adapter à son niveau.

 

Audio Learning (Apprentissage audio)

L’audio learning désigne des leçons sous la forme de courts podcasts narratifs pour apprendre où l’on veut, quand on veut.

 

Apprenant 

Les apprenants sont les personnes en situation d’apprentissage. Ce terme générique regroupe tous les individus en action d’apprentissage, en présentiel ou à distance.

 

Apprentissage actif

L’apprentissage actif vise à engager les apprenants dans leur apprentissage, en les impliquant dans les activités du cours. Ainsi, l’apprenant n’est plus seulement un réceptacle pour l’information, mais bien un acteur dans sa formation.

 

Apprentissage immersif (ou immersive Learning)

L’apprentissage immersif consiste à plonger l’apprenant dans un environnement virtuel, souvent à travers des outils tels que des lunettes, casque ou écran, permettant la simulation d’une situation donnée.

 

ATAWAD

Cet acronyme anglais correspond à la phrase “Any Time, Any Where, Any Device” (au moment, au lieu et à partir du support de votre choix) et il illustre la tendance de flexibilité des dispositifs pédagogiques numériques modernes qui s’adaptent aux particularité de chaque apprenant.

 

Blended Learning

Le Blended Learning- ou formation mixte – est une approche qui réunit à la fois de la formation en présentiel et de la formation à distance. Ce dispositif permet de bénéficier des avantages différents qu’apportent ces solutions complémentaires.

 

Cockpit

Cockpit est notre outil de création et de publication de cours. Il permet à nos clients de construire l’architecture de leurs cours, d’ajouter leurs propres supports (vidéos, PDF, SCORM, podcast, pages web), de traduire le contenu et de sous-titrer leurs vidéos en 23 langues, tout cela en totale autonomie.

 

Cours custom (Cours sur-mesure)

Les cours custom – à l’inverse des cours sur étagère- sont des contenus dits « sur-mesure ». Ils sont spécifiquement créés pour répondre à un besoin précis de l’entreprise. Pour créer vos contenus custom, Coorpacademy met à disposition des clients un outil de création de cours appelé Cockpit.

 

Collaborative Learning (ou Apprentissage Collaboratif)

L’apprentissage collaboratif consiste à apprendre avec et par les autres. Avec le développement de solutions de formation en ligne, le partage collaboratif autour des contenus d’apprentissage vont favoriser l’engagement des apprenants. Par exemple sur Coorpacademy, chaque cours est accompagné d’un forum pour laisser son avis, poser des questions, et ajouter des précisions. 

 

Cours sur étagère

Les cours sur étagère sont des contenus de formation déjà réalisés. Il s’agit en général de cours sur des sujets transversaux tels que la bureautique ou les langues. En théorie, ils s’opposent aux contenus dits « sur-mesure » c’est-à-dire ceux créés spécifiquement pour répondre à un besoin précis de l’entreprise. Dans le cas de Coorpacademy, les contenus sur étagère sont réalisés par nos ingénieurs pédagogiques, ou en collaboration avec nos plus de 60 éditeurs partenaires.

 

Digital Learning

Le digital learning et l’e-learning ne correspondent pas aux mêmes procédés de formations. Le digital learning est un format d’apprentissage digital qui permet aux participants d’acquérir de nouvelles compétences en ligne, et ce, de façon autonome. La technologie permet de nombreuses interactions et dispositifs, tels que la vidéo, les quiz ou les dispositifs ludiques (Serious Game, réalité immersive) et le social Learning, qui propose un apprentissage avec les autres et par les autres.

 

Engagement

Pour booster l’efficacité d’une formation, il faut avant tout engager les apprenants ! Cet engagement peut être favorisé par des dispositifs pédagogiques innovants ou des fonctionnalités sur la plateforme. Par exemple chez Coorpacademy, les apprenants peuvent s’envoyer des « battles » entre utilisateurs et donc, se défier sur le sujet de leur choix.

 

Expérience apprenante

L’expérience apprenante désigne le ressenti des apprenants – de l’utilisateur – durant son expérience sur la plateforme. Améliorer l’expérience apprenante permet notamment un meilleur engagement de leur part.

 

Entertraining

Contraction d’entertaining (divertissement en anglais) et de learning (apprentissage en anglais), l’entertraining désigne les dispositifs mis en place dans la formation en ligne visant à apprendre en s’amusant.

 

Formation asynchrone

Le temps asynchrone fait référence à des temps d’apprentissage ou à des temps d’échange qui sont réalisés en différé (avec le formateur ou entre pairs). L’utilisation d’outils de communication asynchrones sont hautement recommandés dans les formations à distance car ils permettent à l’apprenant d’organiser son temps d’apprentissage comme il le souhaite.

 

Formation individualisée

La formation individualisée désigne la possibilité de répondre spécifiquement aux besoins des apprenants grâce aux plateformes intelligentes de formation en ligne. Ainsi, chaque parcours d’apprentissage est individualisé, c’est-à-dire qu’il correspond au profil de l’apprenant.

 

Gamification

La ludification en formation est le fait d’introduire des activités et/ou codes utilisés dans les jeux, de type jeux de sociétés ou plus récemment, les jeux vidéo. L’apprenant se retrouve face à une interface tel un véritable jeu vidéo, reprenant les mêmes codes comme le scoring, les “vies”, les défis…mais dans le but d’acquérir des savoirs “sérieux”. Sur Coorpacademy, beaucoup d’éléments sont inspirés des jeux vidéos ! Par exemple, vous commencez chaque cours avec 3 vies et perdez une vie à chaque mauvaise réponse.

 

Hard skills

Ce sont les compétences techniques qui sont généralement acquises par l’expérience sur le lieu de travail.

Voici quelques exemples :

  • La maîtrise d’un logiciel (design, traitement de texte, facturation…)
  • La maîtrise d’un langage technique (médical, programmation, droit…)
  • La maîtrise d’une langue (anglais, allemand, italien…)
  • La maîtrise d’une tâche (rédaction, community management …)
  • La maîtrise d’un domaine (mathématiques, physique, comptabilité, marketing…)

 

Ingénierie pédagogique

L’ingénierie de formation comprend toutes les étapes et actions nécessaires pour mettre en oeuvre une action de formation. Dès lors, l’ingénierie pédagogique revient à concevoir un dispositif de formation. Elle comprend toutes les étapes d’analyse et de choix des méthodes pédagogiques à articuler. Ainsi, chez Coorpacademy, l’équipe pédagogique est constituée de plusieurs ingénieurs pédagogiques qui construisent les contenus de cours.

 

Learning analytics

Les learning analytics sont toutes les données recueillies sur la plateforme d’apprentissage en vue d’analyser le comportement des apprenants – les cours suivis, le taux de complétion, le nombre de questions répondues, etc. – afin d’établir leur profil.

 

Learning in the flow of work

L’apprentissage dans le cadre du travail consiste à accéder, rapidement et facilement, à une réponse ou à un court contenu d’apprentissage pendant que vous travaillez. Cette expression a été inventée par Josh Bersin. Les recherches montrent que l’apprentissage dans le cadre du travail stimule la productivité, accroît l’engagement envers l’apprentissage formel et améliore la rétention des connaissances.

 

Learning Management System (LMS)

Le LMS est un logiciel permettant le « management » du ou des dispositifs de formation. C’est une plateforme de formation, soit un logiciel web dédié au stockage, à l’organisation et à la distribution de contenus pédagogiques, en vu de dispenser des apprentissages ciblés à une communauté d’apprenants.

 

Microlearning

Le microapprentissage est une modalité de formation ou d’apprentissage en séquence courte de 30 secondes à 5 minutes, utilisant texte, images et sons. Ces microlearning sont souvent centrés sur une notion précise avec un objectif défini.

 

Mobile Learning

Le mobile learning consiste à introduire des activités d’apprentissage qui s’adaptent parfaitement aux petits formats des écrans de smartphones ou des tablettes. Chez Coorpacademy, 30% des formations se font sur mobile. Notre application est disponible sur tous les supports, permettant ainsi à l’apprenant de se former d’où il veut, quand il veut.

 

Module de formation

Un module de formation correspond à une unité autonome d’une action de formation, c’est à dire qui répond à un ensemble d’objectifs pédagogiques qui doivent être abordés conjointement. Plusieurs modules peuvent former un parcours de formation.

 

MOOC

Le Mooc est un dispositif de formation (course) en ligne (online) ouvert (open) – l’inscription est gratuite – et qui peut supporter un grand nombre d’inscrits (massive). Avec les MOOCs, l’apprenant est libre de s’organiser comme il le souhaite, excepté lors de séances d’échanges synchrones ou de travail en sous groupe.

 

Multi-supports

Lorsqu’on qualifie une formation digitale de « multi-supports » cela veut dire qu’elle s’adapte à tous types de supports, c’est-à-dire aux différentes tailles d’écrans, de l’ordinateur au smartphone. La technique utilisée pour s’adapter est liée directement au code programmé et est appelée “responsive”.

 

Organisation apprenante

Une organisation apprenante est une organisation mettant en place une culture, des comportements et des process qui favorisent le développement des compétences de chacun, en continu.

 

Pédagogie inversée

En pédagogie inversée (flipped learning) l’apprenant prend connaissance des contenus théoriques après avoir répondu à la question de cours. Cette pédagogie propre à Coorpacademy prend la forme de quiz et permet aux apprenants d’apprendre seulement ce qu’ils ne savent pas déjà !

 

QCM, Quiz, QCU

Les Quiz sont des questionnaires utilisés pour vérifier l’acquisition de connaissances et compétences. Différents types de Quiz existent, dont les plus utilisés sont les questionnaires à choix multiples (QCM) dans lesquels plusieures solutions exactes doivent être choisies pour valider la question ou les questionnaire à choix unique (QCU).

 

Soft skills

Les soft skills – ou compétences douces – désignent les qualités humaines ou relationnelles, qui sont généralement développées par la pratique. La particularité des soft skills sont leur transversalité : elle n’est ne sont pas liées à un métier ou à un contexte technique particulier. C’est ce qui les distingue des hard skills.

Ces qualités sont par exemple :

  • le sens de la communication
  • l’initiative
  • l’esprit d’équipe
  • les capacités d’adaptation
  • la créativité…

Ces compétences sont capitales, et c’est souvent elles qui rendent optimale la mise en oeuvre des compétences pratiques.

 

SCORM

SCORM est l’acronyme anglais de Sharable Content Object Reference Model. Littéralement, cela signifie : Modèle de référence d’objet de contenu partageable. C’est une norme destinée principalement aux plateformes LMS (Learning Management System) pour la formation à distance. La création des modules normes répondant aux SCORM permet de les importer ou de les exporter d’une plateforme LMS à une autre afin de les réutiliser. Ces contenus (Content Object) sont ainsi partageables (Sharable), permettant l’interopérabilité des différentes plateformes LMS.

 

Serious Game

Le Serious Game est un anglicisme désignant l’intégration d’éléments pédagogiques dans un univers de jeu. Le but est de reproduire l’interface d’un véritable jeu, en reprenant ses codes et son principe. Par exemple chez Coorpacademy, le cours inspiré du jeu Cluedo plonge l’apprenant dans la peau du colonel Moutarde, qui doit faire preuve d’esprit critique afin de découvrir qui a tué Mr. Lenoir !

 

Social Learning

Le social learning désigne l’échange entre pairs autour de contenus pédagogiques. Il permet grâce à des outils synchrones (chat, messagerie instantanée, audio et visio conférence) ou asynchrones (wiki, réseau social) d’échanger avec ses pairs et de partager des informations complémentaires.

 

Story Learning

Dans un contexte marketing, le storytelling est le plus souvent le fait d’utiliser le récit dans la communication publicitaire. Cela consiste à utiliser une histoire plutôt qu’à mettre classiquement en avant des arguments marque ou produit. La technique du storytelling doit normalement permettre de capter l’attention, de susciter l’émotion, de travailler la personnalité de marque et, selon certaines études, de favoriser la mémorisation.

 

Taux de complétion 

Le taux de complétion est un indicateur de réalisation d’un dispositif de digital learning. 100% de complétion signifie que la totalité des apprenants ont suivi l’intégralité d’un dispositif ; ce qui est différent du taux de réussite, qui ne juge que ceux qui ont validé leur apprentissage grâce à des tests. Sur les plateformes Coorpacademy, le taux de complétion est en moyenne de 84%.

Top 10 des cours les plus joués sur nos plateformes en 2021 !

 

🔥 Une nouvelle année de learning s’achève… Pour préparer 2022, découvrons ensemble le classement 2021 des cours les plus joués et les soft skills que vos collaborateurs ont développés tout au long de cette année pas comme les autres 👇

 

 

Et vous, quel a été votre coup de 💙 de l’année ?

La formation en ligne comme outil de performance : 4 articles pour découvrir l’offre Team

 

La formation en ligne comme outil de performance : apprendre en continu pour rester compétitif

Pour répondre à l’enjeu stratégique de développement des compétences au sein des petites et moyennes entreprises, découvrez comment la formation peut améliorer la compétitivité des startups et PME avec cette interview de Jean-Marc Tassetto, ancien DG de Google France et co-fondateur de Coorpacademy.

 

Développer le potentiel des salariés grâce à la formation en ligne pour répondre aux enjeux de compétitivité.

L’année 2021 a été marquée par la crise sanitaire, bouleversant l’ensemble des domaines. La formation professionnelle en ligne a connu un essor fulgurant, le contexte exceptionnel ayant permis de prouver son efficacité et sa praticité. Cependant, seuls 25% des entreprises assurent une gestion systématique des compétences et parviennent à traiter ces problématiques.

 

Formation en ligne : 5 playlists de cours pour booster la productivité dans les startups et PME

Du streaming musical (Spotify) au géant du binge-watching (Netflix), la personnalisation est clé. Votre application de streaming musical préférée connaît vos goûts par cœur, ce qui lui permet de vous recommander des playlists personnalisées à vos goûts musicaux.

 

Comment le e-learning peut transformer vos coûts de formation en gains de productivité immédiats ?

Dans le monde, entre 2019 et 2020, il y a 4 fois plus d’actifs qui demandent à être formés en ligne et d’ici à 2025, le World Economic Forum estime que 16% de la requalification des collaborateurs dans les entreprises s’appuiera sur des plateformes de formation en ligne. En effet, le monde évolue rapidement et est de plus en plus imprévisible.

Formation professionnelle : le meilleur investissement que peuvent faire les PME en 2022

 

En 2021, la crise sanitaire a bouleversé de nombreux domaines dont celui de la formation des collaborateurs au sein des entreprises. Un contexte exceptionnel qui a permis de faire rayonner la formation professionnelle en ligne, par son efficacité et sa praticité. Découvrons ensemble 3 raisons de mettre en place une solution de Digital Learning au sein de votre entreprise !

 

 

Un investissement rentable

L’offre Team, spécialement conçue pour les start-ups et PME, fait profiter aux entreprises de moins de 250 salariés des avantages de la formation en ligne : de la flexibilité, un coût réduit, meilleur ROI…

Découvrez comment la gestion des talents est un véritable outil de performance à travers cet article !

 

 

Passer le cap de la transformation numérique

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Attirer et retenir les talents

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Découvrez comment guider vos salariés dans le virage numérique et ainsi réussir le pari du web dans cet article BFM Business.

 

 

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Défaite de famille : 3 soft skills à développer avant Noël 

 

Comme le dit Orelsan, c’est bientôt l’heure de “se réunir pour chanter « Les démons de minuit » et manger d‘la mousse de canard sur des blinis”. La fin de l’année approche et avec, les fameuses fêtes de familles. Certains les adorent, d’autres les redoutent, mais une chose est sûre, les fêtes de fin d’année sont un périlleux mais efficace exercice pratique pour développer ses compétences douces. 

 

“On ne peut plus rien dire” lance tonton Jacques à la table le soir du 24 décembre 2020. Cela fait quelques minutes que le débat s’intensifie et avec, la tension de mamie Bernadette. Alors que le ton monte, je décide de rester en retrait et de mobiliser toutes les connaissances que j’ai développées la veille en suivant le cours “Gérer les conflits par le dialogue” de Video Arts sur Coorpacademy. Je commence par tenter de reconnaître les signaux d’alerte d’un conflit. Un coup d’œil à droite, tata Monique se ressert sans dire un mot, RAS. Petit coup d’œil à gauche, tonton Jacques commence à adopter un langage corporel plutôt agressif alors que ma mère tente de défendre son point de vue. Entre les deux, ma sœur Camille, prend le parti de ma mère et elles sont maintenant deux à argumenter avec tonton Jacques. Aïe, nous n’en sommes qu’à l’entrée et le conflit est déjà généralisé. Dès lors, je prends une grande inspiration – je sais qu’il est primordial d’arriver à rester calme et rationnelle dans ce type de situation – et me lance dans la bataille avec toutes les preuves nécessaires pour étayer mon discours. Résultat : tonton Jacques, Camille et ma mère trouvent un point d’entente et nous passons au plat principal sans se faire de nœuds au ventre. 

 

Gérer les conflits par le dialogue

 

“Cette année, pas de pintade au menu !” s’écrit Véronique dans la cuisine. Le faux-gras arrive et, ma tante Monique commente “Qu’est-ce qu’elle nous réserve l’année prochaine alors ? Une pintade en poudre ?”. Je rigole à cette idée mais sa remarque me fait réfléchir, je décide de poser le débat : “Merci Véronique pour ce délicieux faux-gras ! Mais Monique a un point, selon Raphaël Haumont – cofondateur du Centre Français d’Innovation Culinaire (CFIC) – en 2050, on devrait avoir un repas de Noël à 80 % d’origine végétale contre 20 % animale. Mais alors, comment imaginez-vous Noël dans 5, 10 ou 30 ans ?”. Je sais que cet exercice de prospective est difficile, mais grâce au cours “La prospective stratégique : éclairer la prise de décision” co-édité par Usbek & Rica, j’ai la méthode pour les guider dans cette réflexion. Je m’explique auprès de mes convives “nous allons tenter de construire des représentations des futurs possibles, grâce à la méthode des scénarios”. Ainsi, nous suivons scrupuleusement les 4 grandes étapes de la méthode des scénarios et imaginons le Noël de demain en dégustant notre faux-gras. En 2050, entre cadeaux recyclés, bonhomme de neige fondue et pintade en poudre, nous aurons au moins une compétence indispensable pour s’adapter au monde qui nous entoure et à ses évolutions : la pensée durable. 

 

La prospective stratégique : éclairer la prise de décision

 

 

“On ouvre une dernière bouteille ?” dit mon père pour annoncer la fin du dîner. Alors que le bouchon de la bouteille saute, je réalise que cette année encore, je n’ai pas osé prendre la parole devant toute la famille pour leur parler d’un enjeu très important pour moi et qui nécessiterait quelques changements dans leurs comportements. Je sais que c’est dommage, surtout que je me suis préparée à ce moment depuis quelques semaines, à travers le cours “Réussir sa prise de parole en public et en toute situation” co-édité par Dunod Formation. En effet, à la suite de ce cours, j’ai décidé d’opter pour l’approche du storytelling, qui utilise la puissance de l‘émotion pour produire des discours impactants et mémorables. Elle s‘inspire des histoires qui ont toutes comme moteur l‘émotion, qui est justement au cœur de mon histoire. Je prends mon courage à deux mains, et en m’appuyant sur la simplicité de la chronologie et la dramaturgie – deux leviers principaux pour susciter et transmettre l‘émotion – je fais mon coming out à tonton Jacques, mamie Bernadette et toute la clique. Tout le monde est happé par mon récit, de la première fois où j’ai aimé, à la première fois où j’ai été discriminée et, comme un conte, je finis par délivrer la morale de mon histoire, permettant de bien ancrer mon idée-force dans l‘esprit de mon public. Tonton Jacques comprend alors pourquoi parfois “on ne peut plus rien dire”, et mon père me lance “peut-être qu’en 2050, nous n’aurons plus à attendre la dernière bouteille pour oser en parler !”, je l’espère. En attendant, aujourd’hui, qu’il s’agisse de parler devant 5 ou 100 personnes, je sais captiver mon auditoire pour l’emmener là où je le souhaite.

 

Réussir sa prise de parole en public et en toute situation

 

PS : Joyeux Noël à toutes et à tous 😉 

 

10 faits marquants de 2021 vus de nos apprenants

 

Sans pour autant signer pour de bon le retour à la “normale”, l’année 2021 fut pleine de rebondissements. Entre retour au présentiel, démocratisation du télétravail, vaccination et mise en place du pass sanitaire, sans mentionner les transformations que les entreprises connaissent, il est évident que les enjeux étaient nombreux. Mais ce que nous allons vraiment retenir cette année, c’est 1 million d’heures et 10 souvenirs impérissables de 2021 :

1 – Votre envie d’apprendre

Avec 29 764 048 de questions répondues en 2021 sur toutes les plateformes confondues, vous avez réalisé plus d’1 000 000 d’heures de formation à travers le catalogue de contenus premium Coorpacademy ! 

 

2 – Votre engouement pour la collaboration ! 

En effet, l’année 2021 est l’année de la résilience et de l’esprit d’équipe ! Ainsi, à la première place des cours les plus joués se hisse “Communiquez de manière efficace pour mieux collaborer” co-édité avec Dunod Formation. En 2021, vous avez appris à éviter les erreurs de communication qui créent des tensions et vous savez maintenant comment faire passer correctement un message clair et sans ambiguïté ! 

 

3 – Votre envie de mieux vous comprendre

Cette année, la soft skills la plus consommée sur la plateforme est l’intelligence émotionnelle ! En 2020, le World Economic Forum identifiait déjà cette soft skills comme l’une des dix compétences les plus importantes en 2022 (The Future of Jobs Report 2020). Vous êtes donc prêts pour affronter l’année prochaine en utilisant vos propres émotions comme un moteur pour agir efficacement. 

 

4 – Votre agilité sans limite

En 2021, vous êtes devenus de vrais acrobates ! Le cours “Adopter une culture agile” co-édité avec Numa, a fait son entrée dans le Top 5 en atteignant la 3ème place des cours les plus joués, soit 4 places gagnées comparé au classement 2020. 

 

5 – Vos talents d’enquêteur

Numéro 1 dès sa parution, l’enquête pédagogique Cluedo constitue le meilleur lancement de cours de l’année ! À juste titre, vous avez adoré rentrer dans la peau du Colonel Moutarde afin de résoudre le mystérieux meurtre de Skill Island si l’on en croit vos retours :

 

  • “Magnifique. Ce cours est un pur bonheur… On travaille les biais cognitifs l’air de rien en résolvant une énigme Cluedo. Je recommande +++ pour ceux qui sont joueurs :)”

 

  • “Le format est vraiment intéressant et permet de montrer succinctement quelques biais cognitifs auxquels nous sommes souvent soumis. Il a la volonté d’apporter de la ludification à un sujet pas toujours simple à aborder : l’esprit critique.”

 

  • “Très intéressant : histoire prenante en alliant l’apprentissage sur l’argumentation et les biais cognitifs. Vraiment très bonne initiative.  À refaire ! Merci”

 

6 – Votre ouïe attentive

Pour la première fois cette année, le format audiolearning fait son entrée dans notre catalogue de contenus premium ! Avec Cybercafé, vous avez pu vous former en écoutant et développer ainsi vos compétences digitales.  En 2021, vous avez bien tendu l’oreille pour suivre ce nouveau format, alors on prépare 2022 pour vous proposer encore plus d’innovations pédagogiques ! 

 

  • “On croit tout savoir mais en fait on en apprend tous les jours ; vivement les prochains épisodes ;)”

 

  • “Très intéressant ! je pourrais désormais discuter avec mon beau-frère qui s’achète des œuvres virtuelles certifiées NFT ;-)”

 

  • “Très sympa aussi, la formule « podcast ». Merci”

 

7 – Votre âme de coach

Cette année, vous avez appris entre pairs ! Avec le cours “Le Forum de Babel”, les discussions sur le forum des plateformes apprenantes vous ont aidé à monter en compétences en collaboration avec vos collègues. Ainsi, le Forum de Babel devient le cours ayant généré le plus de discussions sur le forum, bravo à vous !!!

 

8 – Votre enthousiasme pour votre plateforme

  • “Cette plateforme est un extraordinaire terrain de jeu. Accessible n’importe quand, beaucoup de modules peuvent être fait très rapidement. Je recommande.” Olivier

 

  • “Plateforme d’un format divertissant et apprenant ; disponible sur l’ordi ou sur le smartphone, des formats courts qui correspondent à mes attentes” Christine

 

  • “Accessible en tout temps, ludique et facile d’utilisation. On apprend soi-même facilement en fonction des différents thèmes abordés” Mallory

 

  • “J’adore le côté ludique, la qualité des leçons, des exercices, le côté esthétique du site. Travailler en s’amusant, une très bonne idée” Sebastien

 

  • “Très ludiques les formations proposées répondent à beaucoup de questions et permettent d’initier les collaborateurs aux enjeux de l’économie actuelle, et qui sait permettre à certains de changer d’orientation au cours de leur carrière. » Philippe

 

  • “Plateforme ludique, avec des modules courts, régulièrement alimentée de nouveautés.” Béatrice

 

9 – Et votre présence à nos côtés

Comme chaque année, nous nous sommes retrouvés en France et en Suisse lors de notre Digital Learning Club ! Un moment d’échanges où nos clients sont invités à découvrir les dernières innovations Coorpacademy en matière d’apprentissage.

 

Ce moment collaboratif était aussi l’occasion de recevoir les feedbacks de nos clients sur les nouveautés à venir, de les faire participer activement à l’évolution de notre solution et donc, de construire ensemble l’expérience de Digital Learning qui répond à leurs besoins.

 

10 – Même à distance…

Et parce que depuis 2020, ces moments de rencontre en présentiel se font rares, nous nous sommes aussi organisés pour continuer d’échanger ensemble à travers notre série de webinar Learn Everywhere ! Cette année, le webinar qui a rencontré le plus de succès est celui sur L’essor de l’audiolearning qui a eu lieu en juin 2021 avec notre partenaire Bookboon. 

Pourquoi être une marque engagée est un facteur essentiel de compétitivité

 

En 2020, 90% des consommateurs attendaient déjà des marques qu’elles s’engagent et les aident à mieux consommer (Oney et OpinionWay). Depuis déjà plusieurs années, les consommateurs sont de plus en plus soucieux de réduire leur impact environnemental et se montrent plus exigeants quant aux agissements des entreprises. 

 

Les consommateurs ne sont pas les seuls à changer leur comportement. Les marchés changent aussi et de nouvelles façons de penser l’entreprise, de sourcer ses matières premières, et de produire émergent. Dès lors, être une marque engagée est devenu un facteur essentiel de compétitivité. Mais pourquoi et comment passer le cap de la transition écologique ?

 

Des attentes provenant des consommateurs…

Alors que nous nous posons cette question, à Glasgow, la COP26 se termine. Selon une étude Accenture menée auprès de plus de 1.000 entreprises cotées en Europe, seule 5 % des entreprises seraient en passe d’atteindre leurs objectifs de neutralité carbone à la date cible prévue pour leurs propres opérations, si elles poursuivent le même rythme de réduction des émissions qu’elles ont atteint entre 2010 et 2019 ; et seulement 9% d’entre elles seront en passe d’atteindre la neutralité carbone d’ici à 2050. 

La transformation durable peine à prendre effet. Si ce n’est pas la première fois que les scientifiques nous alertent sur les catastrophes dues au changement climatique, nous en sommes pourtant bien plus conscients aujourd’hui que jamais. Ainsi en juin 2021, 61% de Français jugent la question environnementale « très préoccupante » selon l’Observatoire de la consommation responsable Citeo x l’ObSoCo. 

 

… Mais aussi des collaborateurs !

Le fort impact de la crise pandémique a favorisé une large prise de conscience du rôle central des entreprises dans la société et de leur vulnérabilité dans un contexte incertain. Pour les Français, la capacité des entreprises à soutenir la transition écologique est un facteur qui gagne de plus en plus d’importance. Un sondage de 2021 réalisé pour Linkedin et l’ADEME sur les salariés démontre que l’environnement est leur deuxième préoccupation principale (derrière la santé), et même la première pour les jeunes salariés de moins de 35 ans. Soucieux des enjeux environnementaux,  93% d’entre eux donnent à la transition écologique une place importante pour les entreprises et 43 % l’estiment même prioritaire !

 

Finalement, la transition écologique des entreprises est un outil crucial de compétitivité. Les collaborateurs attendent maintenant de leur entreprise qu’elle soit engagée et sincère dans sa démarche de transformation durable. Les enjeux sont nombreux : recrutement de nouveaux collaborateurs, rétention des talents existants, engagement des équipes et marque employeur, les entreprises ont intérêt à changer pour répondre aux nouvelles attentes des collaborateurs… Mais aussi des consommateurs ! Pilier du bon fonctionnement de son activité, les consommateurs – ou clients – sont les poumons d’une entreprise. Ces poumons s’essoufflent, car ils sont à la recherche d’un nouvel air, celui d’une consommation plus durable, plus éthique et plus soucieuse de l’environnement. En devenant une entreprise durable, qui agit concrètement contre le dérèglement climatique, vous assurez un avantage concurrentiel important face à d’autres entreprises qui n’auraient pas encore pris l’initiative de se transformer. De plus, les consommateurs seront plus engagés auprès de votre marque, permettant leur fidélisation.

 

Si les entreprises n’initient pas ce changement pour répondre aux nouvelles attentes du marché, elles risquent de se retrouver rapidement au pied du mur et en danger. Le monde change et le meilleur moyen de ne pas se retrouver perdu, c’est de prendre part au changement.

 

La sensibilité au sein de la population à ces sujets est en forte croissance, mais il reste encore à embarquer l’ensemble des collaborateurs sur la transformation durable spécifique à chaque groupe et secteur, première étape indispensable pour réussir cette transformation sans précédent. Pour initier la transformation durable de votre entreprise, la formation est donc essentielle. Découvrez comment sensibiliser et former vos collaborateurs aux enjeux du dérèglement climatique sur Coorpecology, la première plateforme de formation dédiée à la transition écologique.

 

La formation en ligne adaptée aux PMEs

L’interview de Frédérick Benichou et d’Armelle Lavergne sur B SMART

Wendy : C’est la suite de SMART Campus, merci d’être fidèle à ce rendez-vous des acteurs de l’éducation et de la formation ! Quel bon chemin en fonction de votre identité et quel emploi derrière ? On va être concrets et efficaces avec un référent de la formation ligne, Coorpacademy, représenté par son co-fondateur Frédérick Benichou.

Frédérick : Bonjour ! 

Wendy : Et avec Armelle Lavergne en charge des contenus et des partenariats, bonjour !

Armelle : Bonjour Wendy !

Wendy : Votre plateforme a quasiment 10 ans, vous l’avez créé avec des anciens de Google, quel bilan faites vous aujourd’hui du chemin parcouru ?

Frédérick : On est très fiers évidemment ! On s’est créé, nous étions trois. Je ne vais pas dire dans un garage car ca fait un peu cliché, mais c’est pas loin ! Aujourd’hui on est plus de 55, on a plus 800 000 utilisateurs actifs, 150 plateformes grands comptes ouvertes, on est présent dans une trentaine de pays, on a 40% de nos utilisateurs qui sont hors d’Europe. Donc on est en effet assez fiers de notre petit parcours.

Wendy : Ah oui en effet c’est assez énorme. C’est à dire qu’en 8 ans, il y a une identité qui a été créée avec une ligne pédagogique assez claire, c’est ça Armelle ? 

Armelle : Oui exactement ! Alors moi j’ai la chance de travailler pour Coorpacademy depuis 7 ans, et on a monté un pôle Contenu que je gère. Aujourd’hui, nous avons donc plus de 1800 contenus de formation disponibles et on est très orienté sur les soft skills – donc les compétences douces – on en a beaucoup parlé pendant le confinement puisque c’est ce qui nous permettait notamment de faire face à la crise. La ligne éditoriale est donc très soft skills et ça peut aller sur 5 axes de transformations : digitale, managériale, opérationnelle, culturelle et durable.

Wendy : D’accord. Donc les compétences relationnelles c’est ce que vous demande de plus en plus les entreprises qui font appel à vos offres ?

Frédérick : Pour mener un projet de transformation dans une entreprise, il faut qu’au minimum 70% des collaborateurs comprennent de quoi il s’agit. Notre plateforme, par son format de microlearning, son accessibilité permanente à tous les niveaux et par des modes de jeu assez sympa, permet d’acculturer quasiment instantanément une grande partie des salariés avant de faire intervenir les cabinets de conseil ou les grandes réformes de l’entreprise. Ça fait donc parti de notre ADN de pouvoir déployer très rapidement cette acculturation à des projets de transformation digitale, de développement durable, des projets de transformation culturelle, à l’ « upskilling » des collaborateurs.

Wendy : Ça c’est intéressant parce que si on parle des contenus justement, en lien avec ce que disait Frédérick, sur la forme est-ce qu’on assiste à une révolution dans l’e-learning Armelle ? Une évolution des mentalités, une demande de formation très différente ?

Armelle : Je pense que le marché de la formation aujourd’hui est très concurrentiel, il y a énormément d’offres. Ce que l’on voit c’est que l’usage personnel que vous pouvez avoir quand vous vous formez aux langues par exemple, vous voulez le retrouver dans votre vie professionnelle. Nous on s’adresse à des collaborateurs de grands groupes, mais aussi aujourd’hui de TPE/PME et l’idée c’est de leur proposer une expérience fluide, gamifiée – ça veut dire on peut apprendre en s’amusant, car on peut être sérieux sans être grave – donc l’idée c’est de pouvoir passer des niveaux, débloquer ces niveaux, parler à ses collaborateurs, créer de l’émulation, gagner des vies, etc. Ce mode fluide, très opérationnel et aussi en lien avec nos usages personnels c’est ce qui nous est demandé aujourd’hui et c’est le défi.

Wendy : Oui et tout ça avec un minimum de temps, parce que le problème c’est qu’on est comprimés aussi dans l’espace et dans le temps !

Frédérick : En effet c’est très important. Vous parliez de révolution du e-learning, d’évolution des mentalités, quand on est arrivés sur le marché et qu’on s’est adressés à des profs en leur disant « on va faire des cours, des modules qui font 5 minutes, vous allez pouvoir faire votre cours de 20 minutes en 4 modules de 5min, mais il faut fragmenter votre contenu » ils nous ont regardé avec des yeux catastrophés et horrifiés. Mais en fait il s’avère que dans notre vie perso nous sommes tous addicts à nos téléphones  et au format court, donc si on ne le fait pas, on n’a pas de taux de complétion. Les gens ne vont pas au bout, ils s’arrêtent, ils s’interrompent.

Wendy : et donc le format de 5 minutes c’est le bon format ?

Frédérick : Alors c’est plus complexe que ça car en fait, on a un KPI, un chiffre clé qu’on suit énormément c’est le taux de complétion. On est à 83% de taux de complétion sur nos modules, ce qui veut dire que 83% des gens finissent les modules qu’ils commencent. Donc c’est énorme dans le monde du e-learning. Et ce taux de complétion s’explique parce que c’est un jeu, parce qu’on gagne des vies, parce que c’est des formats courts, parce qu’on a un ton éditorial – grâce aux équipes d’Armelle – qui font que c’est sympathique c’est drôle, on s’approprie les contenus, etc. Alors on ne va pas apprendre des métiers compliqués – on est pas la dessus – par contre, on est sur l’acculturation et là ca marche très très bien.

Wendy : Oui, sur les compétences douces, c’est important de distinguer. Alors vous parliez de vos clients, les entreprises du CAC40, les grands groupes, mais maintenant il y a une offre, une offre Team qui es beaucoup plus ciblée sur les TPE/PME.

Frédérick : Quand on a créé Coorpacademy, on s’est dit qu’on allait apporter au monde des grandes entreprises la qualité des outils du monde personnel – la qualité des outils digitaux du monde personnel – au monde des grandes entreprises. Aujourd’hui, on se dit qu’il n’y a pas de raison qu’il n’y ait que les grandes entreprises qui ait accès à ces outils de qualité et donc on va apporter aux PMEs la qualité des outils des grands groupes – avec des tarifs préférentiels, une facilité de souscription, une facilité de paramétrage qui est plus standardisée mais plus opérationnelle – ils peuvent créer des plateformes en moins de 15 min, c’est ouvert et ils invitent leurs salariés instantanément.

Wendy : Avec des sujets clés au sortir de cette année particulière mais qui parlent de compétitivité aussi : le digital, le télétravail, la vente, les langues, etc. On est dans ces contenus là aussi pour cette offre Team en particulier ? 

Armelle : Oui tout à fait. Nous avons effectué des interviews et notamment une étude concurrentielle benchmark. La première chose qu’on a remarqué c’est qu’il n’y avait pas énormément de différence entre les besoins en formation des grands comptes et des TPE/PME. Nous avons pu alors faire du “pick and choose”, donc créer des parcours de formation dont l’objectif était que ce soit très pratique et avec des résultats concrets et rapides. Donc les principaux points vont être la bureautique, le management, la gestion de la négociation… Des thèmes très précis pour les TPE/PME. 

Wendy : Et alors comment on sait si ça c’est bien passé et qu’il y a un bon retour sur l’expérience et sur le taux de complétion ? 

Frédérick : Le taux de complétion c’est un super indicateur. On a aussi la durée d’abonnement, si les clients restent, que les gens reviennent, que les entreprises restent abonnées, ça c’est très important ! On a des clients qui sont abonnés depuis plus de 7 ans chez nous donc a priori, vu qu’il n’y a pas d’engagement, c’est qu’ils sont contents !

Wendy : Voilà c’est une bonne estimation. Avez-vous quelque chose à ajouter ?

Armelle : Non, on espère que ça va bien décoller et qu’on vous reverra bientôt pour en parler ! 

Wendy : Avec grand plaisir, de cette offre Team en particulier et de votre suivi de l’évolution aussi, des mentalités, des exigences et des besoins ! 

 

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