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Go1 reconnu Core Challenger dans la Fosway 9-Grid™ 2023

 

Fosway révèle l’édition 2023 de son classement des systèmes d’apprentissage dans le rapport 9-Grid™ for Digital Learning. 

 

Après une période d’innovation et de forte croissance, Go1 progresse dans ce classement pour la deuxième année consécutive, et devient “core challenger” (challenger principal) après avoir été identifié comme “solid performer” en 2022. 

 

Le rapport 9-Grid™ est une analyse indépendante des fournisseurs sur les marchés EMEA des RH, des talents et de l’apprentissage, réalisée par le groupe Fosway, un cabinet d’analystes de premier plan dans l’industrie des RH en Europe.

 

« L’étude de Fosway témoigne de l’importance de la curation et l’agrégation de contenu dans le secteur du Digital Learning”, explique David Wilson, PDG du groupe Fosway. « Go1 continue de prendre de l’ampleur en Europe et, en tant qu’agrégateur de contenu, Go1 aide ses clients à consolider et à simplifier l’accès à une bibliothèque de contenus d’apprentissage en ligne sans compromettre l’éventail des choix de contenu”.

« Le fait d’être reconnu comme un Core Challenger est en ligne avec notre vision qui consiste à révolutionner le modèle d’apprentissage traditionnel », précise Ben Allen, CMO de Go1. « Go1 est convaincu que son modèle d’agrégation permet non seulement de démocratiser l’accès à la plus grande variété de contenus d’apprentissage, mais aussi de garantir la qualité, la pertinence et l’engagement des apprenants – soit les clés pour obtenir de meilleurs résultats d’apprentissage”.

 

Pour en savoir plus, découvrez le rapport dans son intégralité ici : https://www.fosway.com/fr/9-grid-2/ 

 

Se montrer busy : la règle d’or pour avoir une bonne image au travail ?

 

Attention à ne pas confondre le trop-plein d’activités avec de la productivité. On vous explique, grâce à cet article tiré de la Harvard Business Review. 

« Je suis sous l’eau », « je peux pas je suis dans le jus », « désolé mais je suis charrette » : nous avons tous déjà utilisé ou entendu l’une de ces expressions au travail (souvent à juste titre !). Mais depuis peu, il semblerait que la pression au travail à se montrer toujours surchargés soit devenue de plus en plus forte. Une étude de Gallup réalisée par Ashley Whillans, de la Harvard Business School, a révélé que le pourcentage de salariés américains déclarant n’avoir « jamais assez de temps » est passé de 70 % en 2011 à 80 % en 2018.

 

Au travail, cette pression peut se traduire par la nécessité de se montrer « busy » pour être perçu comme important, mais aussi comme productif. Dans cet article, nous allons analyser les effets négatifs que peuvent générer la culture de “la charrette” et la différence entre être productif et se montrer « busy ». 

 

Trop, c’est trop

L’article de la Harvard Business Review explique que la surcharge de travail peut entraîner des effets négatifs importants. Les travailleurs qui sont constamment débordés peuvent souffrir de stress, de burn-out, d’erreurs, de baisse de productivité et de mauvaise qualité de vie. Bien que la culture de la surcharge de travail soit souvent considérée comme productive, elle peut en réalité entraîner des coûts élevés en termes de santé mentale et physique des travailleurs. Des coûts qui se répercutent ensuite sur la performance de l’entreprise. 

 

Less is more

Être constamment occupé n’est pas gage de productivité réelle. Les collaborateurs qui se montrent productifs sont la plupart du temps organisés, savent prioriser les tâches importantes et sont efficaces dans leur travail. En revanche, se dire “sous l’eau” peut être motivé par la peur du jugement des collègues, l’effet de groupe (sous l’eau mais dans le même bateau), le besoin de reconnaissance ou encore l’incapacité à gérer son temps. Il est important de faire la distinction entre la productivité réelle et celle qui est imaginée : où le temps est rempli mais les tâches n’aboutissent pas de façon optimale…

 

Mieux gérer son temps, une compétence clé 

Comme manager pour ses équipes, ou pour soi-même, il est toujours utile de revoir ses notions afin d’améliorer en continu sa gestion du temps ! Avec à la clé : plus de productivité pendant les heures de travail, et donc plus de temps pour soi. 

Dans le cadre professionnel, avoir du temps est une chose, le gérer en est une autre. Mais alors, comment bien gérer son temps au travail pour être efficace ? C’est le sujet traité par le cours co-édité avec Dunod Formation et disponible dans notre bibliothèque de contenus. Composé de deux chapitres, ce cours est idéal pour apprendre à mieux gérer votre temps au travail et identifier vos priorités. 

 

3 points clés à retenir 

La loi de Pareto 

La loi de Pareto établit que 20 % de nos actions produisent 80 % de nos résultats. Nous perdons ainsi beaucoup de temps avec des tâches peu productives, qui apportent peu de valeur ajoutée à notre travail.

Cette loi ne s’applique pas uniquement à nos actions et résultats : elle établit par exemple aussi que 20 % des clients contribuent à 80 % du chiffre d’affaires, ou encore que 20 % des causes permettent de résoudre 80 % d’un problème.

 

Pour appliquer la loi de Pareto, acceptez de renoncer à certaines tâches, éventuellement en les confiant à d’autres personnes, et de réduire le temps consacré à d’autres. Vous pourrez ainsi vous focaliser sur les tâches plus productives.

Attention, si vous choisissez de renoncer à certaines tâches, pensez à bien communiquer auprès de vos collègues, pour bien clarifier la situation : vous éviterez ainsi d’être sollicité à mauvais escient.

 

La matrice Eisenhower 

Pour bien gérer votre temps, la matrice d’Eisenhower propose de trier les tâches en fonction de leur degré d’urgence et d’importance, et d’ainsi définir pour chacun l’action à entreprendre : par exemple, traiter vous-même et dans l’immédiat une tâche urgente et importante, mais déléguer une tâche urgente non importante.

Attention, ne vous laissez pas envahir par les tâches urgentes : pensez à bien réserver du temps à vos tâches importantes et non urgentes. Au risque de finir par devoir les bâcler dans l’urgence…

 

La règle d’or

Restez concentré sur l’essentiel ! Pour cela, vous devrez apprendre à tempérer votre perfectionnisme. Acceptez aussi de ne pas pouvoir toujours être exhaustif. Et n’hésitez pas à déléguer ! Pour plus d’efficacité, fixez une limite de temps pour chaque tâche. Cela vous contraindra par exemple à ne vous relire qu’une seule fois et pas trois…

7 considérations sur l’importance de former aux soft skills

Les soft skills montent en puissance, la formation qui en permet le développement aussi. Elles répondent aux nouvelles exigences qui ont émergé dans le monde du travail, notamment sous l’impact de l’automatisation des tâches. Coorpacademy by go1 accompagne cette vaste transformation en cours.

 

#1 Les formations aux soft skills sont toujours plus demandées dans les entreprises

Les soft skills sont des compétences de plus en plus poussées par les responsables formation. Au premier rang, la communication interpersonnelle boostée par l’expansion du télétravail qui exige des collaborateurs de mieux véhiculer leurs idées et d’être plus transparents sur l’avancée de leurs missions. Bien communiquer étant aussi une capacité clé du bon leader, la formation permet aux managers de progresser : capacité d’écoute, collaboration ou pensée critique sont aussi très demandées. Ces compétences ne sont pas réservées aux managers : l’agilité, l’adaptabilité et la résilience sont parmi les cours les plus joués du catalogue premium Coorpacademy, elles sont demandées par la plupart des apprenants.

 

#2 Les soft skills gagnent en importance dans le monde du travail

La considération pour les soft skills ne date pas d’hier (confère la parution, dès 2016, du premier rapport du WEF sur l’avenir des métiers). Cependant, l’accélération est nette depuis la pandémie de Covid-19 et la réorganisation — télétravail, mise en place de flex-offices… — qui s’est ensuivie. L’IA (ChatGPT, Dall-e…) vient à son tour bousculer les métiers et les « hard skills » dont le taux d’obsolescence s’accroît, alors que les robots commencent à menacer les emplois. Le savoir-être des collaborateurs prime dans ce contexte, notamment leur intelligence des situations et leur capacité à collaborer. Un marché du travail en tension – 7 métiers sur 10 en tension, selon la Dares — parachève ce constat. L’attractivité d’une entreprise, spécialement pour les plus jeunes actifs, dépend de la place qu’elle fait à l’humain, aux valeurs, au sens, et par voie de conséquences, au développement des soft skills. Beaucoup d’entreprises l’ont compris : accompagner leurs collaborateurs dans leur montée en « compétences douces » est un facteur différenciant !

 

#3 Les soft skills sont pour tous !

Les soft skills couvrent un large territoire, outre la communication ou l’intelligence émotionnelle, bien sûr : le design thinking, l’équité, l’inclusion et la diversité font l’objet d’une forte demande de l’ensemble des collaborateurs. Développer massivement les soft skills, c’est faciliter l’émergence d’une culture commune, faite de respect de l’autre, qui essentielle à la cohésion entre les équipes ; même si certaines de ces compétences concernent plus particulièrement les managers : le leadership par exemple. La pratique du management et de l’animation / cohésion d’équipe s’apprennent à l’expérience, mais largement aussi en s’y formant ; c’est pourquoi il est essentiel d’accompagner les managers, pour en faire de réels acteurs de la conduite du changement et de la transformation des groupes.

 

#4 Les soft skills conditionnent l’employabilité de chacun

Les soft skills sont moins faciles à exhiber que les « hard skills » sur un CV ou lors d’évaluations annuelles ! Pourtant, elles font la différence dans un entretien d’embauche ou dans la phase d’onboarding, puis dans le travail au quotidien, par exemple, dans les missions et les projets qui exigent une collaboration. Nous l’avons déjà mentionné en filigrane : les soft skills sont pérennes, au contraire d’une partie des hard skills que nous disputerons les automates et les algorithmes ; on peut être assuré que les soft skills seront plus valorisées par les recruteurs. S’il vaut mieux raisonner comme certains (par exemple, le WEF) en diptyque « compétences durables vs. compétences périssables », alors les soft skills ont l’avantage d’être transférables d’un secteur à l’autre et de rester pertinentes toute la vie.

 

#5 Dans le choix d’un manager, l’entreprise privilégie les soft skills plutôt que les compétences techniques

Les deux — soft skills, hard skills — entrent dans la balance au moment de choisir un manager ; elles ne s’opposent pas. Une entreprise ne saurait pas se contenter de l’une (la capacité d’un candidat à prendre la parole en public, par exemple) ou de l’autre (sa connaissance des modes de réglage de systèmes essentiels à la bonne tenue d’une usine). Par ailleurs, la fidélisation des collaborateurs passe souvent par les perpectives de mobilité qui leur sont offertes, ce qui peut déboucher sur la promotion, du jour au lendemain, des meilleurs techniciens à des postes de manager qui devront alors être formés aux soft skills (lesquelles ne se devinent pas). Un parcours personnalisé permet au manager d’autoévaluer les soft skills qu’il possède déjà, parfois sans le savoir, puis de se voir recommander une formation sur mesure. L’apprentissage du leadership, dès le premier poste managérial, est le point de départ crucial pour se développer comme manager.

 

#6 Profil d’un dispositif de formation pour développer massivement et continûment les soft skills

Un tel dispositif de formation doit aisément s’insérer dans le flux de travail, et donc être accessible à tout moment sur les outils du quotidien. L’expérience vécue par les apprenants dans la solution Coorpacademy by Go1 est la plus fluide et la plus agréable possible, grâce à des contenus de qualité et des formats adaptés aux diverses thématiques ; par exemple, les collaborateurs pourront travailler leur sens critique avec un jeu : un Cluedo. L’individualisation doit aussi être au rendez-vous via l’auto-diagnostic et la recommandation d’un parcours 100 % personnalisé déjà évoqué. Le catalogue premium Coorpacademy permettra aux apprenants de s’ouvrir aux transformations du monde et de renforcer leur culture générale, partie intégrante des soft skills. Ces cours sont conçus par Coorpacademy by go1 ou par nos 80+ partenaires qui sont des majors de l’édition (Dunod, Eyrolles, Fabernovel, Forbes ou Video Arts…) ; le plus grand choix de sujets est disponible : technologie, big data, économie, transition environnementale…

 

#7 Coorpacademy by Go1 : un leader de ce marché en plein boom

Coorpacademy by go1 répond à tous les besoins en soft skills de ses clients, grâce à la plus riche bibliothèque de formations du marché, dans une logique de co-construction / co-curation des contenus accompagnée par nos équipes de Customer Success. Cet accompagnement des entreprises au jour le jour, nourri par les data comportementales des apprenants recueillies sur notre plateforme, explique leur haut niveau d’engagement : nos solutions de formation en ligne les convainquent aussi par la pertinence des sujets proposés dans leur montée en compétences. L’adaptation de nos modules et de leurs parcours de formation, ainsi que le choix des meilleures modalités pédagogiques pour mémoriser les connaissances, sont renforcés par le partenariat privilégié avec les chercheurs de l’EPFL, spécialisés dans les sciences comportementales. À quoi l’on ajoutera l’importance considérable que nous attachons à l’expérience finale de l’utilisateur, sous la forme notamment de formats ludiques qui permettent d’ancrer plus durablement les savoirs.

Comment gérer votre passion au travail (pas celle que vous croyez)

 

Aimez-vous votre travail passionnément ? 

À rebours du concept de démission silencieuse, le magazine britannique The Economist publie en cette semaine de Saint-Valentin un article sur les avantages et les risques liés au fait d’aimer (un peu trop) son travail, un phénomène qui serait en hausse (de 2% en 2007 à 16% en 2019).


Les chercheurs Jon Jachimowicz et Ke Wang de l’université de Harvard ainsi que Erica Bailey de l’université de Columbia expliquent que les employés qui sont perçus comme plus passionnés par leur travail que leurs collègues auront tendance à recevoir un feedback plus positif de la part de leurs managers et auront également plus de chance d’être promus ou se voir proposer des opportunités de formation. 

Cela peut créer le risque pour les employeurs de sous-valoriser la compétence (ou l’éventuel manque de compétences) des collaborateurs passionnés, au profit de leur motivation. Pourtant, le boulanger le plus motivé du monde pourrait tout à fait vous proposer les pires profiteroles que vous aurez jamais goûtées. 

Il y a également un risque pour les employés : même si leur motivation est bien réelle, elle ne doit pas se transformer en des comportements compulsifs. On doit aimer son travail sans en être obsédé… Une certaine distance est importante pour maintenir une bonne hygiène de vie. 

 

Alors, comment éviter que votre travail ne devienne une relation toxique ? Voici 5 cours pour vous aider à ne pas tomber sous l’emprise de la passion…

Agir pour se protéger du burn-out co-édité avec Dunod Formation

Préserver son bien-être psychologique co-édité avec Video Arts

Télétravail : santé, motivation et sécurité co-édité avec lawpilots

Intelligence émotionnelle : gérer les émotions au travail co-édité avec Dunod Formation 

Le bien-être à l’heure du numérique par Coorpacademy

 

L&D : Quelles tendances learning en 2023 ? 

 

On vous l’a déjà répété 100 fois… Bonne année ! En 2023, on vous souhaite ce qui consiste en l’habituel cocktail du bonheur – santé, succès avec un zeste de chance –  mais ce qu’on souhaite aussi pour vous… c’est une année riche en apprentissage. 

Pour vous accompagner efficacement dans votre stratégie de formation tout au long de l’année, nous vous avons concocté un Ebook complet sur la question : “Digital Learning 2023 : Défis et tendances RH” a télécharger ici.

Quelles en sont les principales conclusions ? On vous résume l’essentiel dans cet article, sous forme de bonnes résolutions pour bien commencer l’année.  

 

Bonne résolution n°1 : le blended learning, tu adopteras. 

La crise sanitaire a drastiquement fait évoluer les usages. Le travail à distance, les réunions Zoom et la formation en ligne en sont les preuves les plus flagrantes. Le blended learning, qui propose à la fois la formation en ligne et la formation en présentiel, est donc de plus en plus plébiscité.

En effet, les entreprises ont compris les avantages du travail à distance et du travail hybride. De ce fait, elles constatent également que le blended learning est un moyen efficace de former les employés.

Au niveau mondial, 93 % des entreprises comptent adopter l’apprentissage en ligne (FindStack, 2022) et 64 % des responsables formation estiment que la formation est passée de “nice to have” à “must have” (Empowill, 2021).

Pour en apprendre davantage sur le blended learning, cliquez ici.

 

Bonne résolution n°2 : Sur la RSE, tu formeras.

S’il y a quelque chose que l’on peut bien prédire, c’est l’intérêt croissant des collaborateurs pour les sujets de transition écologique. Selon les données récoltées sur nos plateformes clientes, la compétence “Sustainable thinking” fait son entrée en 2022 dans le top 5 des compétences les plus suivies de notre catalogue. 

Les sondages en témoignent : 84 % des Français pensent que le développement durable devrait constituer un enseignement obligatoire dans l’ensemble des formations professionnelles et supérieures (IPSOS). Et la montée en compétences de l’ensemble des parties prenantes est crucial : 77 % des investisseurs disent avoir un problème de compétence sur les sujets ESG (environnement, social et gouvernance) dans leur organisation.

Cet enjeu est clair, il est primordial de former les équipes pour développer les compétences nécessaires sur la transition écologique. Allez plus loin et découvrez 5 bonnes pratiques RSE à retenir.

 

Bonne résolution n°3 : Tes collaborateurs, tu engageras.

30 % des Français déclarent être moins motivés qu’avant (Fondation Jean Jaurès, novembre 2022). Grande démission, quiet quitting, l’année 2022 a été ponctuée d’expressions plus ou moins pertinentes pour parler du même enjeu : l’engagement des collaborateurs et l’affirmation de leurs besoins.

S’il y a bien une chose à retenir pour l’année prochaine, c’est l’importance de l’équilibre vies professionnelle et personnelle. En effet, les symptômes de la démission silencieuse proviennent de nouvelles exigences de collaborateurs qui ont revu leurs priorités.

La balle est donc dans le camp des managers, qui devront parvenir à conjuguer avec ces nouvelles attentes pour ré-engager les collaborateurs. 

Découvrez “Flemme et fatigue générales : et si on remotivait par le jeu ?” pour aller plus loin. 

 

Bonne résolution n°4 : Les talents, tu attireras.

Le salaire n’est plus l’alpha et l’oméga des avantages sociaux. 56 % des employés déclarent que l’évolution et les possibilités de carrière sont plus importantes que le salaire, ce qui en fait l’un des avantages les plus importants que vous puissiez offrir. 

Au-delà d’attirer les talents, la formation permet également de les pérenniser. Selon une enquête Linkedin, 94 % des collaborateurs resteraient plus longtemps dans une entreprise si celle-ci investissait dans leur carrière. Proposer un programme de formation aux employés est de fait au cœur de la stratégie de leur employabilité et de leur engagement renouvelé dans l’entreprise. 

En 2023, la formation n’est pas une option ou une activité ponctuelle, c’est un élément indispensable de l’équation des avantages sociaux. 

Pour aller plus loin : “Pourquoi la formation est un élément essentiel de l’expérience collaborateur

 

Bonne résolution n°5 : Des datas, tu t’inspireras

Chaque année, les datas récoltées sur nos plateformes apprenantes nous donnent d’importants indices sur les tendances d’apprentissage à suivre de près. 

Dès lors, quelles sont les évolutions de compétences les plus notoires en 2022 ? 

  • Apprendre à apprendre – +72 %

Récemment ajoutée au catalogue, cette compétence a rapidement progressé et rejoint le classement des skills populaires. Un signal faible à prendre en compte pour développer une vraie culture apprenante dans votre entreprise. 

  • Sensitivité culturelle, diversité et inclusion – +48 %

Un sujet de plus en plus plébiscité par les apprenants, qui connaît une forte augmentation. En effet, les enjeux sociaux prennent de plus en plus d’importance en entreprise, et le besoin en formation sur ces sujets parfois sensibles à aborder est indispensable. 

  • Culture data – +57 %

Cette compétence qui diminuait en nombre de consultations l’an dernier revient en grande pompe dans le classement. Devenir une entreprise “culture data-driven” permet de donner les moyens à son entreprise de s’adapter et de modifier ses circuits de prise de décision pour capitaliser au maximum sur l’intelligence de la donnée. En bref, un sujet qui demande un changement en profondeur et donc, de former les collaborateurs.

Au cœur des enjeux identifiés pour l’année se trouvent les nouvelles attentes et les besoins des collaborateurs. Se montrer authentiquement à leur écoute fera toute la différence pour la marque employeur des organisations. Les équipes les plus engagées sont celles qui bénéficient de la meilleure solution de formation, en cohérence avec les valeurs et les priorités des entreprises.

 

Pour en savoir plus sur les enjeux à venir, téléchargez le ebook “Digital Learning 2023 : Défis et tendances RH”

 

Qu’est-ce que le blended learning ?

Cet article reprend et s’inspire de nombreux éléments de l’article signé par Mike Jeavons, Content Writer, Go1 (retrouvez-en la version originale ici).

 

Le blended learning consiste à utiliser à la fois la formation en ligne et la formation en présentiel, afin que les apprenants puissent bénéficier d’une formation qui mixe diverses méthodes. Le blended learning permet aux apprenants ayant des styles d’apprentissage différents de retenir les informations et s’avère plus efficace que la formation et les méthodes pédagogiques traditionnelles. Le blended learning devient rapidement une stratégie courante utilisée par les entreprises pour former et perfectionner leurs employés.

Toutefois, si le blended learning fait appel à l’enseignement en “physique”, cela ne signifie pas que les apprenants doivent se rendre dans une salle de classe physique. La formation peut être dispensée par le biais de webinaires ou de vidéos, en particulier si les employés travaillent à distance. Cette méthode peut également s’avérer plus efficace dans le cadre d’une approche d’apprentissage mixte.

Le blended learning permet aux employés de retenir davantage d’informations et constitue un moyen pratique de développer le potentiel de vos collaborateurs.

 

Avantages et inconvénients du blended learning

Le blended learning présente de nombreux avantages, mais aussi quelques inconvénients à prendre en compte.

 

Les avantages du blended learning sont les suivants : 

Évolutivité – comme le blended learning n’exige pas toujours la présence des apprenants (et parfois pas du tout avec les employés à distance), il peut être facilement modulé et convient à un grand nombre d’étudiants.

Le meilleur des deux mondes – il existe huit styles d’apprentissage, et le blended learning permet aux apprenants qui ont des styles d’apprentissage variés de tirer le meilleur parti de leur expérience.

Retour d’information – comme une partie du processus d’apprentissage est indépendante, il est utile d’organiser des sessions en classe pour développer ce qui a été appris et fournir un retour d’information pour faciliter la rétention.

Apprentissage autodirigé – comme au moins la moitié de l’apprentissage se fait généralement en ligne via l’e-learning, les employés sont libres d’apprendre au moment qui leur convient.

Rentabilité – comme les supports e-learning ont déjà été produits et ne nécessitent pas l’intervention d’un tuteur ou d’un enseignant, il s’agit d’un moyen beaucoup plus économique de former les employés.

Engagement accru –  le blended learning garantit des niveaux d’engagement élevés et permet aux apprenants de profiter davantage du processus, surtout lorsqu’un module est perçu comme moins passionnant pour l’apprenant.

 

Les inconvénients du blended learning sont les suivants : 

Coûts plus élevés – le blended learning nécessite à un moment ou à un autre l’intervention d’un enseignant ou d’un tuteur, ce qui peut entraîner des coûts élevés.

Peut causer une pression supplémentaire – alors que la partie apprentissage en ligne du blended learning est autodirigée, les sessions en classe nécessitent de s’éloigner des responsabilités quotidiennes à une heure fixe, ce qui peut entraîner des contraintes de temps supplémentaires.

Motivation – pour certains, trouver la motivation pour le blended learning peut être un défi, en particulier pour ceux qui ont du mal à accomplir des tâches autodirigées.

Bien qu’il y ait certains inconvénients, les avantages du blended learning l’emportent de loin sur les inconvénients. Mais quelle est la meilleure façon d’aborder le blended learning au sein de votre organisation ?

 

Modèles de blended learning

Plusieurs modèles de blended learning peuvent être utilisés, chacun présentant de légères variations qui dépendent des besoins de votre entreprise ou de ce que vous cherchez à obtenir en formant vos équipes.

Modèle inversé

Le modèle inversé consiste à fournir aux apprenants le matériel de formation avant la session en classe. De cette façon, les apprenants peuvent apprendre de manière autonome en amont, puis poser des questions et participer à des discussions après l’introduction autodidacte.

Modèle de conduite en face à face

Semblable à un mode d’enseignement scolaire traditionnel, le modèle de conduite en face à face comprend des sessions dirigées par un tuteur qui se terminent généralement par des devoirs ou des tâches – similaires aux devoirs à la maison – sauf qu’ils sont effectués pendant les heures de travail, plutôt qu’à la maison.

Modèle virtuel enrichi

Entièrement autodirigés, les apprenants se forment principalement via des supports en ligne et peuvent choisir d’assister à des webinaires ou à des sessions en face à face. Le modèle virtuel enrichi est flexible et permet aux apprenants d’apprendre à leur propre rythme.

 

Types de blended learning

L’objectif du blended learning est de fournir un environnement d’apprentissage varié afin que les apprenants retiennent les informations et puissent mettre en pratique leurs nouvelles compétences et connaissances. Pour ce faire, il existe plusieurs types d’apprentissage mixte.

Rotation des postes

Couramment utilisée dans les écoles, la rotation des stations se concentre sur une seule matière, comme les mathématiques, les sciences ou l’anglais. Elle utilise une combinaison de séances en classe, de tutorat, de devoirs, de tests, de discussions et de projets.

Rotation en laboratoire

La rotation des laboratoires est un autre type de blended learning, qui implique que les apprenants se déplacent sur le campus pour travailler à différents postes tout en apprenant un sujet spécifique. Souvent, l’une de ces stations est en ligne.

Classe inversée

Il s’agit d’une combinaison de l’apprentissage en classe et de l’apprentissage autodirigé (similaire au modèle flippé mentionné ci-dessus).

Basé sur la maîtrise

Le blended learning basé sur la maîtrise permet aux apprenants de travailler à leur propre rythme et de ne pas ressentir de pression pour terminer leur apprentissage à une date butoir. Cette approche plus flexible permet aux apprenants d’atteindre un niveau de compréhension plus élevé des sujets.

Supplémentaire

Ce type d’enseignement est fortement axé sur l’aspect en ligne de blended learning, tout en autorisant certaines sessions en classe. Il s’agit d’encourager un engagement supplémentaire avec du matériel autodirigé. Cependant, cela signifie que la charge de travail peut augmenter.

Outside-in

Au lieu d’utiliser l’apprentissage en ligne et en salle de classe tout au long du processus, l’apprentissage externe fait appel à l’apprentissage numérique et se termine par des séances en salle de classe pour partager les connaissances acquises et poser des questions.

 

Le blended learning pour les employés

Avec le Covid-19, de plus en plus d’entreprises ont compris les avantages du travail à distance et du travail hybride. De ce fait, elles constatent également que le blended learning est un moyen efficace de former les employés.

Comme quand il est pratiqué dans un cadre scolaire, le blended learning fonctionne particulièrement bien dans le cadre de l’entreprise. Il permet aux employés de bénéficier du meilleur des deux formes d’apprentissage, ce qui favorise la rétention et permet une plus grande flexibilité.  L’aspect digital du blended learning est autodirigé et les apprenants peuvent y accéder depuis n’importe quel appareil, quand ils en ont le temps.

En utilisant une stratégie de blended learning, vous donnez à vos employés tout ce dont ils ont besoin pour exceller dans leurs fonctions, ce qui permet d’offrir un meilleur service à vos clients. En conséquence, votre entreprise peut s’attendre à des revenus plus élevés, à des employés plus heureux et à un turnover plus faible.

 

Comment créer des programmes de blended learning

La création d’un programme de blended learning ne doit pas nécessairement être un processus long et complexe. Il existe de nombreux outils et des ressources disponibles pour le simplifier – y compris l’utilisation de la vaste sélection de cours en ligne de Go1 dans le cadre de votre stratégie.

 

Pour créer un programme de blended learning, en voici les étapes principales  : 

Étape 1 : Définir les objectifs

Que voulez-vous que vos employés retirent de la formation qui profitera à votre entreprise ? S’agit-il d’une nouvelle compétence pour augmenter la productivité de l’organisation ou de connaissances qui les aideront à conseiller les clients ? En comprenant les objectifs, vous serez en mesure d’élaborer un programme centré sur ceux-ci. 

Étape 2 : Quel modèle/type de blended learning convient à votre entreprise ?

Souhaitez-vous que les employés suivent d’abord des cours d’apprentissage en ligne, puis un webinaire ou une session en personne ? Ou avoir un équilibre entre les sessions numériques et les sessions en classe ? Une fois que vous savez comment vous voulez que vos employés apprennent, vous pouvez organiser des cours d’e-learning et d’autres matériels/sessions de formation.

Étape 3 : Assurez-vous que la formation est interactive

L’une des principales raisons du succès du blended learning est son caractère interactif, qui aide les apprenants à retenir leurs connaissances. Pour cette raison, assurez-vous que votre programme de formation comporte beaucoup d’interactivité pour maintenir l’intérêt des employés.

Étape 4 : Évaluations

Pour vous assurer que les employés s’intéressent à la formation, il faut prévoir une évaluation de fin de module. Un système de gestion de l’apprentissage (LMS) peut être utilisé pour définir et contrôler les évaluations.

 

Pour en savoir plus, faites une demande de démo et rencontrez notre équipe ! 

Où en est la transformation digitale des Ressources Humaines ? Découvrez le Baromètre RH 2022

Où en sont les entreprises françaises de leur digitalisation et de leur transformation des Ressources Humaines ?

Pour le savoir, nous nous sommes associés à Future of HR pour réaliser le Baromètre « Transformation digitale des Ressources Humaines » édité en partenariat avec Deloitte.

Les entreprises semblent avoir trouvé leur nouveau rythme de travail depuis la crise Covid. Une tendance qui s’est confirmée entre 2021 et 2022 :

70% des entreprises ont mis en place 2 jours de télétravail par semaine, contre 30% en 2021

35% des entreprises ont laissé la liberté dans le choix des jours de télétravail contre 20% l’année dernière

La pénurie de Talents touche toutes les entreprises : 97% d’entre elles éprouvent des difficultés à recruter. Parmi les postes les plus compliqués à pourvoir, la fonction IT ressort particulièrement. 

50% des directions RH estiment que les candidats ont des attentes trop importantes lors du processus de recrutement :

Presque la totalité de ces candidats ont des exigences salariales trop élevées

Un tiers d’entre eux demandent une plus grande flexibilité (mobilité, télétravail…) sur leur nouveau poste

1 candidat sur 4 désire avoir un bon équilibre de vie

Seule 1 entreprise sur 10 utilise la formation comme levier d’attractivité des nouveaux talents

Enfin, la digitalisation de la fonction RH poursuit son accélération : l’usage de la signature électronique est de plus en plus répandu d’autant qu’elle permet une réduction des coûts importante pour un tiers des entreprises utilisatrices.

Méthodologie 

169 directions RH issues de 132 entreprises de tous les secteurs d’activité, ont été interrogées entre le 21 juin et le 19 aout 2022. Parmi elles, 50% comptent + de 5000 salariés, 26% comptent entre 1000 à 5000 salariés, 14% entre 500 et 999 salariés et 9% moins de 500 salariés.

A propos de Future of HR : Future of HR est la plus grande plateforme de débats et de contenus dédiée à la transformation de la fonction RH. Notre objectif : accompagner les directions RH et les organisations dans l’accélération de la transformation de leur fonction, à travers un panorama des tendances et innovations en la matière.

 

Améliorez la capacité d’apprentissage de vos équipes

 

Découvrez les discussions du panel d’experts du Lors du Festival of Work de Londres, où Go1 a animé un débat sur le rôle essentiel que jouent les managers dans la capacité d’apprentissage de leurs équipes. Pour retrouver la version originale de cet article, cliquez ici.

 

Dans leur deuxième session en direct et interactive au Festival of Work du CIPD à Londres, James Frappell, directeur du service clientèle chez Go1, a invité Andy Stopps de Lohnmann & Rauscher et Laura Overton de Emerging Stronger pour discuter de la manière dont les managers peuvent faciliter l’apprentissage au sein de leur équipe.

 

Les experts ont commencé la discussion en faisant participer l’audience. Chaque participant devait présenter un mot qui, pour lui, décrit un apprentissage réussi. Sous l’impulsion du public présent à l’écran, Andy a choisi le mot « collaboration » tandis que James a choisi le mot « connecté », en pensant au leadership et aux équipes. Laura a choisi « permission » dans un sens plus large, faisant allusion à la permission de poser des questions, de contribuer à quelque chose, d’échouer, d’être soutenu, etc. Elle le décrit comme la manière la plus dynamique de travailler et d’apprendre. 

 

Environnements d’apprentissage

Les participants se sont alors interrogés sur l’environnement le plus adapté pour permettre aux managers de réussir dans leurs tâches et d’apporter une plus grande aide à leur équipe et à l’entreprise. Ils ont évoqué les différentes cultures d’apprentissage, plus limitées, qui ont dominé les entreprises au fil des années. Pour le panel, il est clair que l’apprentissage doit être global, avec un apprentissage en temps réel sur le lieu de travail. Citant Peter Senge, auteur de la Cinquième Discipline, ils soulignent l’importance de l’apprentissage dans le flux du travail. Ils décrivent l’environnement idéal pour les managers comme étant dynamique et en constante évolution, où « le taux d’apprentissage doit être supérieur au taux de changement », comme l’a dit Charles Middleton.

 

Les éléments essentiels du rôle d’un manager

L’équipe a exploré chaque composante du rôle d’un manager et, bien qu’il y en ait trop pour les énumérer, elle a souligné certains attributs qui, s’ils étaient supprimés, déséquilibreraient l’ensemble de l’écosystème. Ils ont également examiné le modèle de Lippitt-Knoster pour la gestion du changement et ont vivement encouragé l’auditoire à se familiariser avec ce modèle.

Enfin, l’équipe d’experts s’est penchée sur les défis auxquels les entreprises peuvent être confrontées lorsqu’elles tentent d’impliquer les managers. Andy a cité les cas où les managers peuvent ne pas être intéressés par le processus d’apprentissage, les contraintes de temps et les restrictions budgétaires comme facteurs principaux. Laura, elle, a ajouté que les managers pensent souvent qu’ils n’ont pas le temps de soutenir l’apprentissage et que c’est à l’entreprise de les aider à se sentir soutenus, afin qu’ils le soient en retour.

 

Pour retrouver l’intégralité de la conférence, cliquez ici.

 

 

Quelles sont les compétences nécessaires pour travailler dans les RH ?

 

Les personnes qui travaillent dans les RH sont souvent chargées de ce que beaucoup d’entre nous considèrent comme les aspects les plus difficiles d’un environnement de travail. Quel type de compétences les départements RH doivent-ils donc développer pour s’assurer qu’ils mettent en œuvre des politiques efficaces sur le lieu de travail tout en maintenant des relations professionnelles positives ? Pour retrouver la version originale de cet article, cliquez ici.

 

Quel que soit le secteur d’activité auquel vous appartenez, votre lieu de travail dispose sans aucun doute d’un service des ressources humaines. Qu’il s’agisse de répondre aux demandes de congés, de résoudre les conflits sur le lieu de travail ou de bien d’autres responsabilités, les personnes qui travaillent dans le domaine des RH sont souvent chargées de ce que beaucoup d’entre nous considèrent comme les aspects les plus difficiles d’un environnement de travail.  

 

Avec une équipe RH efficace, les employés ont l’esprit tranquille, sachant que toute demande de renseignements sur les RH sera prise au sérieux et résolue en temps voulu. Cela peut réduire considérablement le stress inutile des employés. Dans le même temps, un département RH qui présente des lacunes dans ces domaines peut avoir de graves conséquences sur le lieu de travail en général, comme une réduction du sentiment de sécurité psychologique ainsi qu’une méfiance générale parmi les employés.

 

Nous allons examiner ci-dessous certaines des compétences les plus essentielles pour une équipe RH, ainsi que des conseils et des astuces pour les mettre en œuvre sur le lieu de travail. Au premier coup d’œil, il peut être difficile de déterminer quelles compétences RH doivent être améliorées au sein de votre équipe, c’est pourquoi nous prendrons également le temps d’examiner comment identifier au mieux les lacunes de votre équipe RH.

 

Gestion du temps

Le service des RH est unique en son genre dans les entreprises, car c’est l’une des rares équipes à être en contact avec chaque membre du personnel d’une manière ou d’une autre. Cela signifie qu’il est souvent inondé de demandes. Si vous êtes un fan du département RH de votre lieu de travail mais que vous n’en faites pas encore partie vous-même, vous vous demanderez sans doute comment ils font pour survivre sous cette montagne de travail. La réponse ? D’excellentes compétences en matière de gestion du temps.  

 

En tant que membre de l’équipe RH, certains jours, vous pouvez avoir l’impression d’avoir un flot ininterrompu de demandes, et il peut parfois être si difficile de voir comment vous allez arriver à la fin, qu’il devient difficile de commencer. L’une des façons de lutter contre ce phénomène est d’établir des priorités. Au début de chaque journée de travail, dressez une liste des tâches dans l’ordre du plus important au moins important et cochez-les au fur et à mesure. Cela peut non seulement vous aider à visualiser et à gérer les tâches à accomplir, mais aussi à représenter physiquement tout ce que vous avez accompli dans la journée. N’hésitez pas à ajouter des tâches et à réorganiser les priorités en conséquence tout au long de la journée. Il n’est pas nécessaire que ce soit une liste concrète.

 

Une autre façon de gérer le temps plus efficacement sur le lieu de travail consiste à se fixer des échéances claires et à les respecter autant que possible. Il est également important de communiquer ces échéances aux autres personnes sur le lieu de travail, le cas échéant. Par exemple, si quelqu’un vous envoie un courriel pour vous poser une question sur les congés qu’il prévoit de prendre. C’est une bonne idée de lui indiquer un délai général de réponse si vous n’êtes pas en mesure de répondre immédiatement à sa question. Dites quelque chose du genre : « Excellente question ! Je suis heureux de vérifier cela pour vous. Je suis assez débordé de travail en ce moment, mais je peux vous répondre avant la fermeture des bureaux mercredi ». Même si l’attente est plus longue que ce à quoi la personne s’attendait, elle appréciera probablement que vous lui ayez fourni un délai précis et que vous ayez pris le temps d’être honnête plutôt que de lui faire une promesse que vous n’auriez peut-être pas pu tenir. 

 

Il existe d’innombrables techniques permettant d’améliorer la gestion du temps et aucune ne convient à toutes les équipes RH. N’ayez pas peur d’essayer plusieurs choses jusqu’à ce que vous trouviez ce qui fonctionne pour vous !

 

Confidentialité

Un niveau de confidentialité sur le lieu de travail est quelque chose de non négociable. Si un service des RH peut être tenu de connaître certaines informations sensibles concernant un employé, cela ne signifie pas que tous les membres du personnel ont le droit de connaître ces informations.

 

L’une des façons pour les membres de l’équipe RH de s’assurer qu’ils jouent leur rôle en matière de confidentialité sur le lieu de travail est de bien comprendre les politiques de confidentialité de l’entreprise elle-même ainsi que les politiques légales. Il est également extrêmement utile de mettre des copies de ces politiques à la disposition de tous les employés pour qu’ils puissent s’y référer à tout moment. Cela permet non seulement aux employés de l’entreprise d’être pleinement conscients de leurs droits au travail, mais aussi d’accroître la sécurité psychologique au travail, car les employés sont plus susceptibles de sentir que le lieu de travail se soucie de leur bien-être. 

 

Un autre élément essentiel pour une confidentialité efficace sur le lieu de travail est qu’une fois qu’un employé des RH s’engage à ce que quelque chose reste confidentiel, il est essentiel que cela reste ainsi. Que nous aimions l’admettre ou non, nous sommes nombreux à aimer les ragots et il se peut que le membre de l’équipe RH n’en parle qu’à une seule personne. Mais cette personne peut aussi le dire à une autre personne et, avant que vous ne le sachiez, l’information qui était censée rester confidentielle s’est répandue sur le lieu de travail. 

 

Lorsque la confidentialité au travail est respectée par le département RH, cela a des répercussions sur l’ensemble de l’entreprise. Les employés peuvent être rassurés en sachant que leurs informations privées ainsi que leurs préoccupations professionnelles resteront confidentielles.  

 

Avoir un état d’esprit adaptable

Le département RH d’un lieu de travail est sans doute l’un des plus susceptibles d’être imprévisible. Vous pouvez être au milieu de ce qui vous semble être une journée de travail normale mais bien remplie, et voilà qu’un obstacle se dresse sur votre chemin. Qu’il s’agisse d’un employé qui se plaint d’un autre ou d’un démissionnaire inattendu, une équipe RH efficace doit être prête à faire face à la situation. 

 

L’une des façons les plus simples de modifier votre état d’esprit pour être plus adaptable en tant que personne travaillant dans les RH est d’accepter que l’imprévisibilité est inévitable. En d’autres termes, l’imprévisibilité dans les RH est prévisible. Si vous acceptez que l’imprévisibilité fasse naturellement partie du travail dans les RH, elle sera moins surprenante lorsqu’elle se produira et sera donc plus facile à gérer.

 

 

Si vous cherchez un moyen plus spécifique de devenir adaptable et de faire face à l’imprévisibilité dans les RH, une façon de le faire est de créer une liste des scénarios imprévisibles les plus courants qui peuvent se produire (il y a peut-être eu un accident au travail ou un conflit qui a éclaté), puis pour chacun d’eux, écrivez une ou deux solutions que vous pouvez essayer lorsqu’il se produit. Ainsi, vous n’aurez pas à paniquer sur le moment. Les réponses seront sous vos yeux. 

 

Comment identifier les lacunes en matière de compétences dans votre équipe

Certaines lacunes en matière de compétences sont faciles à identifier, ce qui signifie qu’il peut être simple de les combler et d’améliorer les compétences des membres de l’équipe. Cependant, d’autres ne sont pas aussi évidentes et nécessitent que l’entreprise procède à une analyse de ces lacunes.

 

Pour entreprendre une analyse des écarts de compétences, vous pouvez suivre les étapes suivantes :

– Comprendre les objectifs de votre entreprise. Lorsque vous comprenez les objectifs de votre entreprise, vous êtes mieux à même d’identifier les compétences dont vous avez besoin pour les atteindre.

– Déterminez les compétences de vos employés actuels. Certains employés ont-ils des compétences similaires à celles qui manquent ou des compétences qu’ils peuvent adapter ? La mise à niveau des employés actuels est beaucoup plus rentable que le recrutement.

– Recrutez et analysez les données. Une fois que vous avez identifié les compétences qui manquent à votre équipe, vous devez déterminer s’il serait plus économique de former les employés actuels ou d’en embaucher de nouveaux possédant les compétences requises. Le développement est souvent une solution plus rentable et aide les employés actuels à se sentir valorisés, ce qui favorise la rétention.

– Combler les lacunes. Si vous avez décidé que vous deviez embaucher, le processus de recrutement peut commencer. Si la formation et le développement sont ce que vous recherchez, les cours en ligne sont une option efficace et abordable qui n’oblige pas les employés à s’absenter de leurs responsabilités.

 

Pour en savoir encore plus sur la façon d’améliorer vos compétences en RH, pourquoi ne pas consulter la gamme de cours Coorpacademy by Go1 ?

Faites une demande de démo dès maintenant en cliquant ici, pour découvrir comment Go1 peut répondre aux besoins de formation de votre équipe.

 

Créez dès maintenant vos certificats en totale autonomie !

 

Découvrez comment créer vos certifications directement depuis Coorpmanager, votre point d’entrée unique pour gérer votre plateforme en toute autonomie ! 

 

Les certificats sont une liste de différents cours disponibles sur votre plateforme, mais dont la complétion permettra à l’apprenant de valider un certificat. Cette fonctionnalité permet alors de former une population spécifique sur un thème obligatoire afin de vous assurer que vos apprenants suivent les cours de votre choix. En jouant le certificat, les apprenants se verront récompensés par un badge, un diplôme ou des étoiles supplémentaires sur leur compte Coorpacademy.

 

Jusqu’à présent, les certificats étaient créés à la demande de nos clients, par l’intermédiaire de nos Customer Success Manager. Au compteur, de nombreux certificats ont été créés comme par exemple, un certificat d’onboarding chez notre client iQera, un certificat d’acculturation à la RSE chez la Française des Jeux ou encore une série de certificats Passeport Digitaux chez Michelin. Aujourd’hui, gagnez en autonomie et profitez d’une meilleure personnalisation de votre plateforme en créant vous même vos certificats !  

 

Pour créer votre certificat, suivez les étapes suivantes : 

 

  • Définir les informations générales

Dans la liste défilante sur votre gauche, allez à l’onglet “Certifications” sous Editorialization. Cliquez sur “Create certification”. Vous pourrez commencer à définir les informations générales de votre certificat : la langue, le nom du certificat, la description ainsi que le logo associé. Tout au long de votre création de certificat, vous avez la possibilité d’enregistrer votre brouillon pour le modifier plus tard.

 

  • Traductions

Une fois les informations générales définies, il est possible de renseigner les traductions de ces informations. Les traductions ne sont pas obligatoires.

 

  • Ajouter des cours

C’est le moment de sélectionner les cours qui y figureront. Les cours sont affichés dans la langue par défaut de la plateforme. Vous pouvez affiner votre sélection en utilisant la barre de recherche, ou le menu déroulant pour choisir quel type de contenu vous recherchez. Vous pouvez choisir comme cours :

Cours classiques ; Cours sur-mesure ; 5′ learning ; Cours externes (podcast, article, vidéo ou scorm)


  • Paramètres des cours

Dans cette section, vous pouvez déterminer le nombre de cours qu’il faut valider afin d’obtenir la certification et gérer l’ordre d’apparition des cours lors de la complétion du certificat. 

 

  • Récompenses

Dernière étape avant de publier votre certificat ! Dans cette section, vous avez la possibilité de récompenser vos apprenants suite à la complétion du certificat. Entre autres, vous pouvez définir le nombre d’étoiles gagnées, ajouter un badge à obtenir et enfin, mettre à disposition le diplôme certifiant en important un logo et une signature. 

 

Une fois ces 5 étapes terminées, votre certificat est prêt à être publié ! 

 

Pour autoriser un utilisateur à créer des certificats, il faudra définir les rôles au sein de l’onglet Administration de Coorpmanager. La sous partie “User” vous permettra d’assigner les rôles et les accès de chaque user en cliquant sur l’un d’entre eux et en sélectionnant quels rôles lui sont attribués. Pour donner la possibilité à un utilisateur de créer un certificat, il faudra alors contacter votre Customer Success Manager. Il est important de noter que chaque rôle est bien assigné à l’utilisateur que vous aurez désigné et tout le monde n’aura pas la possibilité de le modifier afin de garantir la sécurité des données.

 

Voir l'étude de cas