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Pourquoi sensibiliser vos collaborateurs à la cybersécurité est plus important que jamais

 

Un article issu du blog Go1 et rédigé par Mike Jeavons, Rédacteur de contenu chez Go1. Pour retrouver sa version originale en anglais, cliquez ici. 

 

Suite à la pandémie, les organisations sont devenues les premières cibles des cyberattaques. Dès lors, la formation des employés à la cybersécurité est essentielle. Nous vous aidons à vous y retrouver dans cette problématique.

 

La cybercriminalité représente un risque de plus en plus grand, non seulement pour les particuliers, mais aussi pour les entreprises. En 2021, le coût moyen d’une violation de données est passé de 3,86 millions de dollars en 2020 à 4,24 millions de dollars américains – un record depuis 17 ans. Les cybercriminels deviennent plus intelligents et plus déterminés, et s’attaquent à toutes leurs cibles potentielles. 

 

C’est pourquoi former les collaborateurs à la cybersécurité ne concerne pas uniquement les professionnels de l’informatique. Toute personne qui utilise une technologie – ordinateur de bureau, ordinateur portable ou appareil intelligent – est une cible potentielle pour les criminels et doit donc être formée à la cybersécurité de base.

 

L’évolution de la cybercriminalité pendant la pandémie de COVID-19

La pandémie de COVID-19 a entraîné un changement soudain dans le mode de fonctionnement des entreprises. Les fermetures ont obligé les organisations à trouver une nouvelle façon de travailler tout en assurant la sécurité des employés et des clients.

C’est ainsi que le travail à distance est devenu la norme. Ce qui n’était pas pratiqué par la majorité des entreprises est soudain devenu courant, car les gens sont plus nombreux que jamais à passer du temps en ligne, car ils dépendent d’Internet pour se divertir, communiquer et faire des achats. Les cybercriminels ont donc vu se multiplier les opportunités et les cibles. 

Les tactiques couramment utilisées par les criminels pour cibler les entreprises et leurs employés comprennent le phishing, l’ingénierie sociale, les logiciels malveillants et d’autres outils et astuces sophistiqués. 

85 % des attaques réussissent en escroquant des personnes qui tombent dans un piège tendu par un cybercriminel. À une époque où nombreux se sentaient effrayés et vulnérables, les criminels ont vu leur chance de capitaliser.

En raison de la fermeture de certains secteurs, comme le tourisme, de nombreux hackeurs ont dû changer de stratégie. Les institutions financières et les assureurs sont devenus une cible importante pour les criminels, ainsi 74 % des entreprises financières ont signalé une augmentation des cyberattaques depuis le début de la pandémie. 

 

L’importance de la formation continue en matière de cybersécurité

La cybersécurité est un secteur en constante évolution et dépend de la proactivité d’une organisation plutôt que de sa réactivité. Si votre entreprise est la cible de criminels et que vous n’avez pas mis en place la formation ou les mesures de protection nécessaires, vous la mettez dans une situation de vulnérabilité. Lorsque vous êtes attaqué et que des données, de l’argent ou d’autres actifs sont volés, cela peut vous coûter plus cher que vous ne le pensez et vous risquez de causer des dommages irréparables à votre entreprise.

Les cybercriminels ne ciblent probablement pas spécifiquement votre entreprise, mais ils le feront en utilisant un programme ou un virus cherchant à exploiter les faiblesses de votre sécurité – qu’il s’agisse des systèmes en place ou de vos employés. Une fois qu’une faiblesse est identifiée, ils chercheront à l’exploiter, ce qui peut entraîner la perte de données, le verrouillage de votre réseau ou le paiement d’une rançon…autant de conséquences coûteuses.

C’est pourquoi la sensibilisation à la cybersécurité revêt une telle importance. Vous pouvez avoir mis en place tous les pare-feux et mesures de sécurité appropriées, si les employés sont identifiés comme une faille, ils peuvent être ciblés. En proposant aux employés une formation à la cybersécurité, vous pouvez les aider à se protéger eux-mêmes et votre entreprise.

 

Les avantages d’une formation appropriée pour vos employés et votre entreprise

En proposant à vos employés cette formation, vous leur donnez les connaissances dont ils ont besoin pour rester vigilants en ligne. 

Les avantages d’une formation de sensibilisation à la cybersécurité pour les employés sont les suivants :

  • Elle leur permet de se sentir plus en confiance en ligne
  • Les employés peuvent travailler en toute sécurité et reconnaître les menaces potentielles
  • Elle leur permet de se perfectionner et de monter en compétences
  •  La formation permet aux employés de se sentir valorisés

Outre les avantages pour vos employés, la formation à la cybersécurité présente également des avantages commerciaux. 

 

Ces avantages sont les suivants :

  • La protection du réseau, des données, des revenus et de la réputation de votre entreprise.
  • Protéger vos clients qui vous confient leurs données
  • Éviter toute perturbation des opérations commerciales.

 

La responsabilité de la protection des données sensibles

En plus d’être moralement responsable de la protection des données détenues par votre entreprise, celle-ci est également légalement responsable. La protection des données relève de la responsabilité des employés, mais il incombe également à votre entreprise de leur fournir les outils et les connaissances dont ils ont besoin pour y parvenir.

Vos clients font confiance à votre entreprise pour protéger leurs données. Si vous êtes victime d’une cyberattaque et que leurs données sont compromises, vous perdrez la confiance de vos clients et votre réputation sera sérieusement entachée. Votre entreprise peut même être condamnée à des amendes.

Votre entreprise doit donc tout mettre en œuvre pour assurer la sécurité des données de vos clients. 

 

Mais comment protéger les données sensibles ?

  • Crypter les données nécessaires
  • Organiser et stocker correctement les données
  • Mettre en place une authentification à deux facteurs
  • Sauvegarder les données
  • Utiliser un VPN lorsque vous utilisez des réseaux publics
  • Utiliser des systèmes d’exploitation mis à jour 
  • Protéger les dispositifs physiques

Ces mesures s’ajoutent à la formation de base en matière de cybersécurité que vous devez faire suivre à tous les employés de votre entreprise. 

 

Changer l’état d’esprit de vos employés

La cybersécurité est essentielle au succès et à la réputation de votre entreprise. Tous vos employés n’ont peut-être pas la même mentalité que vous, mais il est essentiel de changer cet état d’esprit pour s’assurer qu’ils suivent toujours les meilleures pratiques de sensibilisation à la cybersécurité.

Vous trouverez ci-dessous cinq façons de vous assurer que votre équipe a le même intérêt et la même compréhension de la cybersécurité que vous.

  • Réaffirmez qu’une excellente cybersécurité est une valeur commerciale essentielle. La cybersécurité n’est pas seulement un sujet de préoccupation pour le service informatique, mais une responsabilité qui incombe à chacun au sein de l’entreprise.
  • Rappelez-leur qu’ils sont des cibles potentielles. Aux yeux d’un criminel, tout le monde l’est. Les employés, quelle que soit leur ancienneté, peuvent être victimes d’une attaque et fournir aux criminels ce qu’ils recherchent. 
  • Dispensez aux employés une formation actualisée en matière de cybersécurité afin qu’ils disposent de toutes les compétences et connaissances nécessaires pour repérer les activités malveillantes. 
  • Encouragez les employés qui suivent le protocole. N’attendez pas que quelqu’un attaque votre entreprise, testez régulièrement les employés pour vous assurer qu’ils respectent les processus. S’ils le font, encouragez-les, mais s’ils ne le font pas, donnez-leur des conseils et une formation supplémentaire.
  • Créez une « communauté de la sécurité » au sein de votre entreprise, afin de prévenir tout sentiment d’animosité et de rassembler les employés de différents niveaux.

 

Comment rendre la formation à la cybersécurité plus attrayante ?

La cybersécurité n’est pas un sujet glamour et il est difficile de la rendre divertissante pour les personnes peu intéressées par le sujet. Cependant, l’éducation et la formation à la cybersécurité sont importantes, et il est indispensable de faire un effort pour qu’elles soient aussi attrayantes que possible.

Une simple présentation PowerPoint, une vidéo ou un dépliant sont des moyens sûrs de s’assurer que les employés ne s’intéressent pas au matériel de formation. Un faible engagement se traduit par une faible mise en œuvre de sensibilisation. 

Une variété de méthodes d’enseignement favorise l’engagement et garantit la diffusion des informations. Les cours de formation en ligne sur la cybersécurité sont à jour, rentables et peuvent être suivis quand cela convient à l’entreprise et aux employés.

 

Nous disposons d’une vaste bibliothèque de cours de sensibilisation à la cybersécurité que vous pouvez découvrir ici.

Vos équipes bénéficient-elles d’une formation en ligne ? Réservez dès aujourd’hui une démonstration avec un membre de notre équipe en nous contactant à l’adresse [email protected]

 

Parlez-vous emojis ?

 

💡 92% des utilisateurs en ligne utilisent des émojis selon une étude Emogi. Le plus généralement utilisés pour mieux faire comprendre son propos ou partager son ressenti, ils font maintenant partie intégrante de notre quotidien. Pourtant, l’interprétation des emojis risque de devenir de plus en plus difficile, avec l’arrivée de nouvelles technologies telles que les emojis animés ou la réalité augmentée, selon M. Goldman,  professeur de droit à l’université de Santa Clara, auteur de l’article “Emojis and the Law”, publié dans la Washington Law Review.

 

Originaire du japonais “e” (image) et “moji” (caractère), le mot Emoji signifie donc Lettres dessinées. Ces émoticônes ont été démocratisées par les développeurs de communication comme Apple et Android ces 10 dernières années, mais le premier emoji a vu le jour en 1999 grâce au japonais Shigetaka Kurita. Aujourd’hui, il en existe plus de 2000, ils ont leur propre Journée mondiale – le 17 juillet – et sont intégrés dans 2,3 trillions de messages mobiles chaque année. 

 

💬 Les nouveaux codes de la communication

Les réseaux sociaux et les messageries instantanées nous permettent de communiquer massivement et rapidement, dès que nous en rencontrons le besoin. Ainsi, la communication repose aujourd’hui sur un outil nous permettant de partager l’information plus rapidement et les emojis ont pour objectif de raccourcir nos messages, afin de gagner encore plus de temps et de répondre à un message en un simple émoticône. Devenus une forme de communication presque universelle, un emoji :sourire: sera le même en France, en Espagne, aux États-Unis comme au Japon et il reste aujourd’hui difficile de se passer d’eux pour donner un ton plus humain à votre message virtuel.

 

🚀 Une opportunité pour les entreprises

Devenus indispensables pour ponctuer une phrase, accentuer une émotion ou glisser un sous-entendu dans une conversation numérique, les Emojis s’invitent aussi dans le monde du travail. En effet, certaines entreprises ou associations tirent parti des emojis pour leurs campagnes publicitaires :  Domino’s Pizza a récemment lancé une campagne Twitter où les gens du monde entier pouvaient tweeter l’entreprise avec l’Emoji Pizza pour en commander une. Les associations ont également compris l’efficacité que ces emojis peuvent apporter dans leur communication digitale, telle que l’organisation de défense de la nature  WWF, qui a lancé une campagne de sensibilisation 2.0 en se servant des Emojis à travers le hashtag #EndangeredEmoji (“Emoji en voie de disparition”) en 2016. Ainsi, force est de constater que les emojis ne relèvent plus seulement de la conversation privée et ne sont plus considérés comme un élément décoratif ou anodin ; ils représentent une nouvelle forme de langage amélioré qui trouve ses racines dans le digital, permettant de faire tomber les barrières linguistiques pour les marques.

 

Et ça marche ! Selon une étude menée par Adobe en 2019, plus de la moitié des utilisateurs d’émojis sont plus susceptibles de s’engager avec des marques qui utilisent des émoticônes en ligne : 60% déclarent aimer quand une marque utilise des émojis qui correspondent à sa personnalité, 51% disent qu’ils sont plus enclins à commenter un post sur les réseaux sociaux quand il contient des émojis, 48% sont plus enclins à suivre une marque et 44% à acheter un produit suite à une annonce utilisant des émojis.

 

👥 Et pour les salariés

Cette étude Adobe révèle également que 61% des utilisateurs d’émojis déclarent également utiliser des émoticônes au travail, le plus souvent (36%) avec des personnes de leur niveau hiérarchique.  Les collaborateurs qui utilisent des émojis au travail notent une influence positive sur la convivialité et l’entente cordiale entre collègues. En effet, 78% estiment que les émojis ont cette influence sur les affinités entre professionnels, 74% déclarent également que les émojis rendent les informations ou retours positifs plus sincères et 53% pensent qu’ils rendent les informations ou retours négatifs plus faciles à accepter. 

 

Dès lors, découvrez nos conseils pour parler l’esperanto digital au travail : 

1/ Utilisez les emojis oui, mais avec parcimonie

Le but des emojis n’est pas d’en abuser. Ils permettent d’adoucir un message ou de structurer une publication sur les réseaux sociaux entre plusieurs paragraphes, mais attention à ne pas les utiliser pour ponctuer chacune de vos phrases. 

 

2/ Attention aux emojis à double sens ! 

Un même émoji peut avoir des significations différentes en fonction des cultures, et donc être source de malentendus. Il existe déjà quelques pièges que vous pouvez éviter : 

🙏 Deux mains fermement placées l’une contre l’autre, signifiant « s’il vous plaît » ou « merci » dans la culture japonaise, se sont transformées en high-five (tope-là) dans nos cultures occidentales.

🍑 Certains fruits et légumes ont été détournés et ne sont plus vraiment représentatif du rayon primeur que l’on connaît.  

😭 L’emoji “Visage en pleurs” est plus généralement utilisé pour exprimer des sentiments intenses, comme un rire incontrôlable, la fierté ou une joie débordante. Il est devenu l’emoji le plus utilisé sur Twitter en 2021, devant l’emoji “Visage aux larmes de joie”.

Pour être sûrs de ne pas vous tromper, référez-vous à l’encyclopédie de l’emoji.

 

3/ Tâtez le terrain avant de vous lancer

Renseignez-vous sur les pratiques de vos interlocuteurs avant de vous lancer dans ce nouveau langage numérique ! Prenez le temps d’observer si les emojis sont courants dans les échanges et avec qui il est plus convenable de les utiliser. Le risque ? Que votre message soit interprété comme trop familier ou impoli.

 

4/ Le raccourci clavier est votre allié 

Pour retrouver vos emojis sur windows, tapez touche de logo Windows + . (point). Le clavier d’emojis pourra alors s’afficher. Sélectionnez un emoji à l’aide de la souris ou continuez à taper pour rechercher un emoji parmi ceux disponibles.

Si vous êtes utilisateur de Mac, il suffit d’appuyer simultanément sur les touches Control + Command + barre espace. Une fenêtre s’ouvrira alors au milieu de l’écran vous permettant de choisir parmi les milliers d’émojis du catalogue.

 

5/ Restez vous-même 

Finalement, les emojis peuvent être comparés à la communication non verbale que l’on adopte lors de nos échanges réels. L’important, c’est donc de rester soi-même et de ne pas trop en faire, ni de se forcer à les utiliser si nous ne sommes pas à l’aise ! 

 

Le développement du numérique nous oblige à s’adapter à de nouvelles formes de communication et d’adopter de nouvelles pratiques. L’introduction des emojis dans nos conversations en ligne a permis de les démocratiser, et d’en faire partie intégrante de notre culture digitale. Évoluant avec la société, les emojis se sont également diversifiés, proposant ainsi différentes tonalités pour la couleur de la peau, des emojis de genre neutre ou encore en tenant compte des handicaps. D’ailleurs, 73% des utilisateurs d’émojis souhaiteraient avoir plus d’options de personnalisation des emojis pour mieux refléter leur apparence et leur identité personnelle. Ainsi, l’Emoji fait maintenant partie de la culture moderne et impacte notre communication au quotidien. Il est devenu une forme de langage comprise par la majorité, qu’il faut savoir utiliser à bon escient. 

 

Pour finir et parce que nous aimons vous testez… Devinez quel cours se cache derrière cette série d’emoji : 

🥛 – 🕝⏳ – 💃🕺- 🎲 – rés – 💧- 👥

 

 

 

Réponse : Les - ten-dances - des - rés-eaux - sociaux 

Les grandes tendances sur les réseaux sociaux

 

Pourquoi votre solution de formation en ligne doit-elle impérativement s’intégrer à votre LMS ?

En technologies de l’information et de la communication, un learning management system (LMS) ou learning support system (LSS) est un logiciel qui permet de gérer et centraliser les parcours de formation pour l’ensemble des collaborateurs.

Ces systèmes de gestion de l’apprentissage permettent aux entreprises de gérer, fournir et évaluer leur programme de formation en ligne. Ainsi, grâce à un LMS, il est possible de concevoir, de développer et de mettre à disposition des collaborateurs, des cours directement accessibles sur le logiciel. Les cours peuvent être à distance, c’est-à-dire qu’ils ne sont pas nécessairement en ligne mais sont accessibles de manière désynchronisée, les apprenants peuvent obtenir les cours au moment où ils le désirent, et ce, par e-mail, courrier ou via un autre support. La formation peut aussi prendre la forme d’un e-learning, qui signifie réaliser une formation, un cours ou un apprentissage à travers une plateforme numérique, via un ordinateur connecté à Internet.

 

Les LMS ont l’avantage d’être des outils centraux dans l’entreprise et sont donc souvent utilisés par tout le groupe. Ils sont complets, mais pas spécialisés en digital learning … contrairement à nous.

 

Dès lors qu’une organisation investit dans la formation et met à disposition de ses collaborateurs des systèmes indépendants de formation autour d’un LMS, les apprenants ont accès à une diversité de contenus, à travers différents supports. Néanmoins, intégrer ces contenus de cours à une même plateforme améliorerait l’expérience d’apprentissage des collaborateurs et faciliterait l’accès à la formation.

 

Mais alors, qu’est que l’intégration à un LMS et pourquoi c’est  utile pour engager les apprenants dans la formation ?

Pour rendre l’apprentissage toujours plus fluide, accessible et continu, il est possible d’intégrer des plateformes de formation en ligne – aussi appelées LXP (Learning Experience Platform) – à un système de gestion de l’apprentissage, tels que les LMS. Ainsi, l’intégration à un LMS consiste à fusionner le  système de gestion de l’apprentissage et les applications de formation en ligne déjà utilisées dans l’entreprise.

 

Aujourd’hui, le secteur de la formation est confronté à de nouveaux besoins. La digitalisation et les nouvelles organisations de travail façonnent de nouveaux usages. Pour y répondre, la formation doit s’intégrer dans les systèmes déjà existants à l’organisation. 

 

L’apprentissage à portée de clic

Dans nos environnements connectés, nous avons pris l’habitude de voir nos usages facilités, et les expériences utilisateurs toujours plus adaptées au comportement des usagers. Le premier avantage d’intégrer une solution de formation à son système de gestion de la formation, c’est avant tout la facilité d’accès. Grâce à l’authentification unique (single sign on – SSO), les apprenants peuvent se connecter et accéder à leur programme de formation sans avoir à utiliser des informations d’identification distinctes (noms d’utilisateur et mots de passe). Comme quand vous utilisez votre compte Facebook ou Google pour vous connecter à un site, l’authentification unique permet aux utilisateurs d’accéder, en un clic, au contenu de la plateforme ou du site en question. Pour la formation, permettre à ses apprenants d’accéder plus facilement et rapidement aux contenus de formation est un enjeu crucial pour les engager dans leur apprentissage. L’intégration de vos applications de digital learning à un LMS permet d’avoir une seule porte d’entrée, ce qui est plus facile à comprendre pour tout le monde

 

Une expérience améliorée pour tous les utilisateurs !

L’intégration aux LMS n’est pas uniquement bénéfique pour l’expérience utilisateur des apprenants. Elle améliore aussi considérablement l’utilisation et le suivi des solutions de formation pour les responsables de l’apprentissage dans les départements RH et Learning & Development (L&D). En effet, en intégrant directement une plateforme de formation en ligne au sein du LMS de votre organisation, les profils d’apprenants sont créés automatiquement,  le déploiement sur plusieurs filiales ou BU est ainsi simplifié. Les données d’activité des apprenants, commes les complétions de cours, remontent aussi automatiquement dans le LMS, ce qui facilite les reportings (cf. De meilleurs indicateurs de performance et de suivi ). L’intégration à un LMS promet un gain de temps considérable pour les équipes de formation. 

 

Intégrer pour engager

En facilitant l’accès à votre solution de formation en ligne grâce à son intégration dans votre système de gestion de l’apprentissage, vous permettez d’augmenter le trafic et le nombre de connexions.. Au-delà d’améliorer les résultats de vos indicateurs clés de performance, ces hausses  indiquent surtout que la formation est suivie, et appréciée de vos équipes ! Apprendre en continu, cela veut dire apprendre au quotidien et donc, apprendre sur le lieu de travail, in the flow of work. La montée en compétences peut être effective que si la formation est accessible partout, tout le temps, par le biais des intégrations. 

 

De meilleurs indicateurs de performance et de suivi 

Avec l’intégration, le suivi des performances de la plateforme est largement amélioré. Les rapports et évaluations sont générés automatiquement et accessibles directement sur votre LMS. Vous pouvez ainsi retrouver facilement et rapidement, toutes les mesures dont vous avez besoin pour suivre le progrès et l’engagement de vos apprenants dans leur apprentissage. Ces données sont essentielles pour améliorer votre solution de formation, et mieux répondre à vos besoins. L’intégration vous permet donc de retrouver en un clic également, toutes les données de formation dont vous avez besoin, tout ça sur la même plateforme. 

 

Une interface et une pédagogie pensée pour donner l’envie de se former

Améliorer l’expérience utilisateur ne réside pas seulement dans l’accessibilité. C’est aussi une question d’interface et donc, de design. Pour investir les apprenants dans leur formation, il faut intégrer une plateforme de formation en ligne répondant à leurs besoins mais aussi à leurs attentes. Cela est valable à la fois pour le design de la plateforme que pour la manière dont le cours est délivré. L’intégration à un LMS, c’est surtout pouvoir offrir aux apprenants une expérience utilisateur web digne de ce nom, pour rendre la formation plus agréable et renforcer les usages des plateformes d’apprentissage en ligne.

 

Au niveau de l’interface, notre plateforme de formation Coorpacademy s’inspire des codes du jeu vidéo : quiz, battles entre apprenants, quota de vies pour valider – ou non – un module de cours, etc. Les apprenants bénéficient d’une vraie expérience d’apprentissage ludique, digitale et qui les rend actifs dans leur formation. Parce que nous sommes persuadés que la formation doit s’adapter aux nouveaux usages, nous proposons également des contenus premium, élaborés à travers une pédagogie inversée : nous posons les questions à l’apprenant, avant de lui présenter la leçon. Et la leçon, sous forme de vidéo pour la plupart du temps – n’excède pas plus de 5 minutes, pour que les apprenants restent actifs pendant le cours. Nous inventons aussi des formats innovants comme l’Escape Game digital ou plus récemment, le podcast Cybercafé, qui répondent encore une fois aux usages du monde actuel. 

 

Qu’attendez-vous pour intégrer Coorpacademy à votre LMS ?

La formation se digitalise, non seulement dû aux précédents confinements, mais aussi parce que la transformation digitale des entreprises implique de maximiser l’utilisation d’outils numériques. Aujourd’hui, l’enjeu réside à faciliter encore plus les processus autour de la formation. Accessibilité, expérience utilisateur, suivi des performances, les plateformes de formation en ligne sont un formidable levier pour optimiser votre LMS et votre offre de formation globale. En intégrant Coorpacademy à votre LMS, donnez accès à vos apprenants à des cours co-édités avec des éditeurs de renom, et faites de la formation un moment divertissant, instructif et collaboratif !

Nous engageons vraiment les apprenants dans la formation

Michelin employant 125 000 personnes dans le monde, utilise Coorpacademy comme plateforme d’acculturation au digital pour tous ses collaborateurs. Catharina Bot, Group Competency Manager sur les Métiers de l’IT et du Digital (3 000 personnes), est revenue, lors d’un des ateliers du programme We Love Our Clients by Coorpacademy, sur les avantages et le positionnement de la plateforme. L’un des principaux challenges de la formation en ligne, d’après Catharina Bot, est de réussir à “faire venir les apprenants et à renouveler sans cesse leur intérêt !” Elle nous détaille concrètement les actions déployées pour relever ce défi avec succès.

 

Q.1 : Pour parvenir à acculturer les collaborateurs sur le digital, qu’est-ce qui était important pour vous dans le choix de la plateforme de formation ?   

Le premier critère était de disposer de contenus complètement adaptés à nos besoins, c’est-à-dire traitant de “soft skills” associées au digital et accessibles en plusieurs langues. Ce contenu de formation devait être également disponible en mode microlearning, pour que les apprenants puissent se former en suivant des modules indépendants de cinq minutes sur les sujets de leur choix. 

Un autre besoin très attendu de notre côté, et très apprécié par les top learners, était de disposer d’une application mobile où l’on retrouve tous les cours de la plateforme et sa progression. Cela nous permettra aussi de toucher les agents de fabrication sur site, qui  représentent environ la moitié de la population Michelin.

Enfin, le dernier élément qui nous paraissait incontournable était la possibilité de structurer les parcours d’apprentissage en ligne pour éviter que l’apprenant ne se sente perdu dans les 1700 modules proposés, et ne se pose la question de quoi faire ! D’où la création et la mise en avant de “passeports digitaux” (3 certifications de niveau croissant sur le digital) regroupant les cours considérés comme fondamentaux. 

Pour résumer, la plateforme Digital Culture répond tout à fait à nos besoins !

Q.2 : Parlez-nous un peu de l’événement phare organisé annuellement chez Michelin autour du digital : la Digital Week ! 

La Digital Week est un événement annuel qui a déjà eu lieu 2 fois en présentiel, et qui a été transformé en événement 100% digital et à distance, pandémie oblige. L’objectif est de montrer à tous, l’ensemble des réalisations digitales faites dans le groupe, et de partager au plus grand nombre la vision de ce que le groupe veut faire dans ce domaine.

Nous avons dû composer avec le passage de la Digital Week au 100% distanciel, et pour en conserver le côté interactif et ludique, nous avons décidé d’utiliser la plateforme comme outil d’animation lors de cet événement.

Concrètement, nous avons déployé un programme de challenges utilisant la plateforme de formation. Cela nous a permis de toucher un public encore plus large que celui habituellement concerné par la Digital Week. Le digital ne doit effectivement pas rester l’apanage des métiers IT et digital mais bien infuser toutes les strates de l’organisation.

Q.3 : Comment alors avez-vous utilisé la plateforme de formation Digital Culture lors de l’événement de la Digital Week ?

Les animations visaient à faire découvrir la plateforme, à engager les apprenants, et bien sûr, à compléter intelligemment les autres ateliers et présentations à distance de la Digital Week. Nous visions l’objectif, lors de cette semaine, de construire une expérience cohérente et attractive pour promouvoir le Digital au sein du groupe.

Pour ce faire, nous avons dans un premier temps sélectionné les contenus les plus pertinents et nous avons lancé ce programme de challenges. J’ai en tête notamment trois animations. La première animation a consisté à mettre en place et promouvoir un “Digital IQ test” permettant aux apprenants d’évaluer leur niveau de compétences digitales au début de la semaine, et encore à la fin de l’événement. La deuxième, appelée “Star Week” permettait d’obtenir des étoiles bonus pour que les participants montent dans le classement. La troisième animation dite “Battle Week” récompensait quant à elle les participants qui avaient lancé et gagné le plus de duels (battles) sur des séries de questions ! 

Résultat, nous avons multiplié par 3 à 4 fois l’activité sur plateforme lors de la semaine de la Digital Week et la suivante.

Un des facteurs clés de succès repose sur la collaboration active avec notre Customer Success Manager chez Coorpacademy, Catherine McKernan, qui nous a aidé à créer et à coordonner les animations et la communication.

 

Q.4 : Avez-vous des conseils et des bonnes pratiques à partager pour réussir à engager les apprenants ?

Grâce aux parcours modulables et aux certificats, nous engageons vraiment les apprenants dans la formation. Cependant, on n’impose rien, on compte sur des événements, ou encore sur la communication de Coorpacademy, à travers les emails de relance personnalisés (Note : les emails de relance intelligents envoyés automatiquement par la plateforme en fonction de l’activité de l’apprenant). 

Toujours pour booster la motivation des collaborateurs, nous proposons des lots à gagner (bons d’achat) lors des animations et jeux organisés sur la plateforme. Les gagnants sont également mis en avant et valorisés via un Sharepoint dédié. 

Prochainement, nous allons diffuser une campagne de promotion interne, basée sur des témoignages des apprenants, suite à une collecte assidue, pour que chacun voie ce que la plateforme peut lui apporter et augmenter ainsi le nombre de personnes et leur assiduité !

Enfin, une autre piste que nous creusons est de proposer des contenus sur-mesure très spécialisés, et ceci pour répondre à la demande naturelle des métiers d’avoir leurs formations spécifiques sur cette plateforme.

On essaie de se réinventer sans cesse pour développer jour après jour l’engagement de nos collaborateurs dans la formation.

Coorpacademy s’intègre dans Teams : quand travailler, collaborer, et se former se fait au même endroit

 

Nous assistons à l’émergence de nouveaux outils collaboratifs plus ergonomiques, pensés pour communiquer de manière plus rapide et mieux organisée. Les e-mails sont de moins en moins courant et l’expression “Tu me slack”, faisant référence à la plateforme de communication collaborative Slack, commence à se démocratiser, tandis qu’en septembre 2019, la plateforme dépassait 12 millions d’utilisateurs actifs chaque jour. Ces outils qui fluidifient la communication entre les équipes et qui améliorent la productivité globale remplacent peu à peu les anciens outils de travail plus segmentés. C’est à la fois une transformation digitale, qui favorise l’adoption de ces outils numériques, mais c’est aussi une transformation générationnelle des méthodes de collaboration au travail. Les collaborateurs vont privilégier des canaux de communication complets et interconnectés, ou des écosystèmes tels que Microsoft Teams, qui facilite le travail en équipe et le télétravail en regroupant messagerie instantanée, visioconférence et partage de fichiers sur sa plateforme collaborative éponyme. En 2020, la plateforme Teams dépassait plus de 115 millions d’utilisateurs actifs par jour. 

 

Sous la pression du confinement et de la généralisation du télétravail, les entreprises s’adaptent et adoptent ces nouveaux outils qui permettent de travailler ensemble sur des fichiers en simultané, d’organiser des réunions, des conversations et des appels, bref, collaborer – même à distance – depuis un seul endroit, commun à chacun. Autant vous dire qu’à côté de ce que permettent ces nouveaux outils, les services de messagerie type Outlook, ressemblent presque à des fossiles de la communication professionnelle. Aujourd’hui, nous avons la possibilité de tout avoir à portée de main sur la même interface, pensée pour faciliter et fluidifier la communication. C’est une avancée naturelle, à mesure que l’expérience utilisateur sur les plateformes s’améliore, les outils de travail deviennent aussi plus faciles à prendre en main, et répondent encore plus aux besoins d’une entreprise.

 

Mais alors, pour vraiment répondre à tous les besoins de vos collaborateurs et leur fournir tous les outils pour améliorer leur productivité, la formation doit elle aussi faire partie de cet écosystème pour s’intégrer naturellement dans le flux de travail des salariés. Parce qu’un outil ne sert à rien si personne ne l’utilise, les solutions digitales de formation doivent être accessibles directement sur ces nouveaux outils collaboratifs, car c’est à cet endroit que les employés sont actifs, mais c’est aussi là qu’ils rencontrent le besoin de se former. Il existe même un parallèle entre l’évolution dont nous sommes témoins concernant nos modes de travail, qui deviennent plus ergonomiques, digitaux, et qui répondent à un ensemble de besoin grâce à une même solution globale ; et la formation, qui se digitalise, innove pour créer des formats adaptés aux besoins des apprenants et propose des contenus à forte valeur ajoutée à un seul et même endroit. Notre ambition chez Coorpacademy est de rendre accessible la formation à tous vos collaborateurs et d’être là où ils travaillent. Ainsi, pour que la formation soit à la portée de tous, la plateforme Coorpacademy s’intègre à Teams ! En effet, sur la plateforme Microsoft Teams, vous pouvez vous former en 1 clic en intégrant l’application Coorpacademy, qui sera accessible directement sur votre environnement de travail une fois téléchargée.

 

 

Les outils de travail se transforment en écosystèmes et sont de plus en plus intégrés, pour garantir un partage sécurisé de l’information au sein de l’ensemble de l’organisation et favoriser la collaboration. Nous le mentionnons dans notre article Apprendre et travailler en même temps ou quand la formation se joue à un clic”, la formation doit s’intégrer aux espaces de productivité de votre organisation, pour permettre à vos collaborateurs d’avoir accès en un temps record à un catalogue de contenus premium de cours et ainsi, mettre en pratique immédiatement les connaissances acquises et optimiser la rétention d’informations. 

 

Les coulisses de Cybercafé, le podcast qui vous forme à l’histoire du Web

 

Si l’on vous dit “cookies”, votre ventre gargouille ? Alors peut-être avez-vous encore des choses à apprendre sur le Web. Parce que la technologie est omniprésente dans notre quotidien, nous pensons parfois tout savoir d’Internet. Et alors que vous lisez avec intérêt l’introduction de cet article, avez-vous remarqué l’erreur ? Web et Internet ne sont pas synonymes. Mais ça, vous pourrez l’apprendre avec Yann et Lya, les protagonistes de Cybercafé.

Cybercafé, c’est la première série d’audiolearning du catalogue Coorpacademy, mettant en scène Yann (qui pourrait être vous ou moi) et Lya, son assistante virtuelle nouvelle génération. Alors qu’il prend son café tous les matins en sa compagnie, Yann s’interroge et la questionne sur des sujets technologiques, qu’elle connaît par cœur. Pleine de ressources, Lya aide Yann (ou vous et moi) à faire la différence entre Web et Internet, navigateur et moteur de recherche, et à devenir un vrai geek pour qui le Web n’a plus aucun secret.

Pour vous faire découvrir ce nouveau format d’apprentissage, nous retrouvons Laurence Mijoin-Duroche, Chargée d’Innovation Pédagogique chez Coorpacademy, dans une interview audio au sein de laquelle nous échangeons sur le making-of de Cybercafé.

Les coulisses de Cybercafé

 

Découvrez dès maintenant les premières minutes de l’épisode 1, en cliquant ici.

Le podcast Cybercafé en 5 points clés : 

Un podcast en 5 épisodes pour tout comprendre du Web

Pour parler de l’histoire du Web, en 5 épisodes, il fallait commencer par Internet. Le premier épisode du podcast installe donc le contexte, en se consacrant à l’histoire d’Internet et à sa distinction avec le Web. Si vous avez encore du mal à faire la différence entre les deux, Lya vous expliquera en 5 minutes comment ces outils digitaux sont liés mais fondamentalement distincts. Suite à cette première immersion dans la vie de Yann, les épisodes débutent par une situation du quotidien ou par une question qui sera le prétexte au développement du sujet de l’épisode, comme par exemple au début de l’épisode 2, lorsque Yann rencontre une Erreur 500 et ne comprend pas de quoi il s’agit. C’est donc comme cela que par la suite, chaque épisode va permettre une progression dans l’histoire du Web et aborder des sujets plus complexes, mais toujours de façon à les rendre accessibles et compréhensibles au plus grand nombre. 

“Il faut rester sur des sujets abordables, le but étant que le néophyte puisse suivre le sujet et à la fin de l’épisode, récapituler tous les points clés évoqués précédemment.” 

Une expérience d’apprentissage immersive et engageante

Pour apprendre en écoutant, il faut savoir tirer pleinement parti des fonctionnalités que l’audio nous met à disposition. En jouant sur nos sens, en l’occurrence l’audition, le format audio nous immerge dans un univers auditif bien particulier, accentuant la concentration. Ainsi, le podcast offre de nombreuses options de création, de narration et de mise en situation. Pour Laurence, immerger l’apprenant dans le quotidien de Yann et Lya et l’impliquer dans l’échange des deux protagonistes permet de favoriser l’engagement de l’apprenant dans son apprentissage.

“Nous avons aussi voulu miser sur le sound design, la mise en scène sonore, sur la musique, sur la manière dont Yann va interpeller son assistante virtuelle, Lya, pour que Yann soit un peu dans la position de l’apprenant et Lya, la position du sachant. Et donc de faire en sorte que l’apprenant puisse se mettre dans la peau de Yann. L’idée c’est vraiment d’optimiser la rétention, de susciter des émotions pour que l’information passe le mieux possible, par des touches soit un peu fun, soit par des mises en scène sonores, ou marquantes via la répétition.”

Un format adapté aux usages des apprenants 

L’écoute des podcasts a augmenté de manière fulgurante pendant le confinement et cette tendance est loin d’être terminée avec la croissance à venir de ce marché mondial estimé à plus de 20% par an de 2020 à 2027 ! Alors forcément, cela implique de nouveaux usages, auquel il faut savoir s’adapter. En effet, si les auditeurs apprécient le format audio, c’est surtout parce qu’il répond à leurs besoins. Plus accessible, les auditeurs sont 65% à utiliser majoritairement un appareil mobile, à commencer par leur smartphone, pour écouter les podcasts. D’ailleurs, l’utilisation du smartphone permet également d’éviter la fatigue liée aux écrans. Plus inclusif, l’audio est une alternative pour les personnes malvoyantes, ou celles ayant des problèmes de lecture. Plus engageant, écouter un podcast laisse la possibilité de faire autre chose en écoutant, tant que cela ne nous demande pas trop d’attention. Ainsi, 87 % des auditeurs apprécient faire des activités manuelles tout en écoutant un podcast. 

Bien que les chiffres démontrent l’importance de développer une offre de formation variée, avec un volet audio, Laurence rappelle tout de même que le but n’est pas de se lancer dans l’audiolearning, simplement parce que le format est tendance. Il faut en faire si le sujet s’y prête :

“L’important c’est vraiment d’adapter le choix du format au sujet que l’on choisit de traiter, et de ne pas faire de l’audio pour faire de l’audio, de la même manière qu’on ne va pas faire des vidéos si on n’a pas absolument besoin d’en produire. L’idée est de rester flexible et souple pour s’adapter au mieux au sujet.”

Diversifier les formats d’apprentissage, un atout clé pour la rétention d’informations

C’est démontré, varier les formats est bénéfique pour la rétention d’informations. Bien que les idées reçues insinuent que certains profils d’apprenants seraient plus « visuels », « auditifs » ou « kinesthésiques », il serait en fait plus bénéfique pour le cerveau de varier les formats et les façons d’apprendre. En sollicitant différents sens et régions de notre cerveau, ce dernier arrive à mieux intégrer et retenir les informations. Ainsi, en proposant ce nouveau format audio dans le catalogue Coorpacademy, les apprenants pourront apprendre en diversifiant les supports, pour mieux en retenir les informations essentielles. 

“Ce projet audio nous a permis de développer un nouveau format pédagogique, en travaillant à la fois sur les répétitions dans l’écriture, sur la mise en scène sonore et sur l’immersion grâce aux sound design pour optimiser la concentration, pour susciter des émotions chez l’apprenant et donc, optimiser aussi la rétention d’information.”

Un format qui mise sur la voix : les coulisses du podcast

Pour faire un podcast engageant, la voix est l’un des premiers paramètres à prendre en compte. Pour traiter d’un sujet comme le Web, il nous semblait évident d’intégrer une voix reproduisant celle d’une intelligence artificielle, mais la justesse est de mise, car l’exercice peut vite être compliqué. Laurence nous en parle dans cette interview, pour cette série de podcasts, le plus difficile était de choisir la voix de Lya, et trouver le ton juste. 

“Il a fallu trouver un équilibre pour qu’on reconnaisse que c’est bien une assistante vocale qui parle, et en même temps qu’on retrouve quelque chose d’humain dans le ton. Si on était parti sur une interprétation très naturelle comme ce que fait Scarlett Johansson dans le film Her, cela aurait donné quelque chose de très futuriste car en l’état actuel des choses, les assistants vocaux ne parlent pas aussi naturellement. Et si on partait sur quelque chose de plus robotique, en mode GPS, ça allait vite être pénible en enchaînant 5 épisodes de 5 minutes. Il a donc fallu trouver un équilibre pour qu’on reconnaisse que c’est bien une assistante vocale qui parle et en même temps qu’il y ait quelque chose d’humain dans le ton.”

 

 

Retranscription de l’interview audio

Pourquoi choisir le format audio pour se former en 5 épisodes à l’histoire du Web ? 

Tout d’abord, nous avons choisi de traiter le sujet d’Internet et du Web pour l’intégrer dans le catalogue de Coorpacademy en sachant que la culture digitale est un axe fort de notre catalogue de formation. Nous aurions pu traiter le sujet d’une manière plus classique, comme nous le faisons pour nos autres cours, avec des vidéos et des quiz, mais à la fois, nous avions une réflexion qui avançait sur le format audio. Ce format nous offrait plein de possibilités, notamment avec le storytelling, le sound design, la mise en scène sonore. Nous nous sommes donc dit qu’on allait tenter de traiter ce sujet-là avec l’audio, parce qu’il y avait toute une partie intéressante de l’histoire d’Internet et du Web, qui pouvait être mise en scène grâce à l’audio. Et l’audio, c’est super intéressant pour plein de raisons : il y a l’accessibilité, c’est très pratique pour l’apprenant et ça offre plein de possibilités de créations.

En lançant ce projet d’audio, on en a profité pour développer un nouveau format pédagogique, en travaillant à la fois sur les répétitions dans l’écriture, sur la mise en scène sonore et sur l’immersion grâce aux sound design, pour optimiser la concentration, susciter des émotions chez l’apprenant et donc, optimiser aussi la rétention d’information. 

Justement, en quoi le format de Cybercafé est-il pédagogique ? 

Nous avons beaucoup réfléchi avec Flore et Solène, qui ont travaillé sur ce projet de podcast avec moi, sur comment imaginer une structure qui serait vraiment pédagogique. Par exemple, pour un épisode, la première partie va présenter le sujet de manière très macro, très générale. Ensuite, on va rentrer plus dans le détail et proposer une partie histoire, qui prendra la forme d’une narration. Pour finalement, toujours revenir sur le dialogue entre Yann, le personnage principal qui prend son café le matin, et son assistante virtuelle, Lya. Ce dialogue nous permet de se recentrer sur le sujet, d’aller dans le détail et d’aborder des points un peu plus compliqués. Néanmoins, il faut rester sur des sujets abordables, le but étant que le néophyte puisse suivre le sujet et à la fin de l’épisode, récapituler tous les points clés évoqués précédemment.

Nous avons aussi voulu miser sur le sound design, la mise en scène sonore, sur la musique, sur la manière dont Yann va interpeller son assistante virtuelle, Lya, pour que Yann soit un peu dans la position de l’apprenant et Lya, la position du sachant. Et donc de faire en sorte que l’apprenant puisse se mettre dans la peau de Yann. L’idée c’est vraiment d’optimiser la rétention, de susciter des émotions pour que l’information passe le mieux possible, par des touches soit un peu fun, soit mise en scène de manière sonore, soit marquante via la répétition.

Comment le format audio peut-il révolutionner l’apprentissage ? 

En soit, l’audio n’est pas plus un format d’apprentissage que la vidéo ou le texte. Mais pas plus ou pas moins. Bien sûr, comme nous n’avons pas d’éléments visuels, il faut faire très attention au sujet qu’on choisit de traiter via l’audio car peut-être que certains sujets nécessitent un support visuel. D’ailleurs avec ce format, on peut très bien ajouter un élément visuel ou un PDF à l’audio, comme nous l’avons fait pour 2 épisodes de la série Cybercafé. Après le sound design, l’ambiance, je pense vraiment que ça permet d’imager le propos et de développer l’imaginaire de l’apprenant. Mais pour moi, l’important c’est vraiment d’adapter le choix du format au sujet que l’on choisit de traiter, et de ne pas faire de l’audio pour faire de l’audio, de la même manière qu’on ne va pas faire des vidéos si on n’a pas absolument besoin d’en produire. L’idée est de rester flexible et souple pour s’adapter au mieux au sujet. Et aussi, ce qui est vraiment intéressant, c’est de savoir que pour la rétention d’information, il est important de diversifier les formats. Ça évite la monotonie, et c’est donc une manière d’optimiser l’apprentissage.

Et concrètement, ça change quoi pour l’apprenant ? 

L’expérience sur la plateforme sera un peu différente, nous allons moins miser sur les questions. Habituellement,  les cours commencent par les questions et les vidéos sont toujours disponibles, mais ce qu’on voit en premier lieu, ce sont les quiz. Là, il y aura toujours des questions mais il y en aura moins, avec environ deux questions par épisode. En fait, nous souhaitions mettre l’audio en valeur avant tout mais pas complètement supprimer l’aspect validation des connaissances. Ce qui nous a amené vers un format un peu hybride.

En travaillant sur ce projet, quels grands thèmes avez-vous voulu mettre en avant et pourquoi ?

L’idée c’était donc de parler de l’histoire du Web, en 5 épisodes. Évidemment on ne pouvait pas parler de l’histoire du Web sans parler d’Internet, c’est pourquoi le premier épisode est consacré à l’histoire d’Internet, mais vous allez apprendre dans cet épisode là que ce sont deux choses bien différentes, liées certes, mais différentes. Ensuite, chaque épisode débute par une situation du quotidien ou une question que Yann va se poser et qui sera le prétexte au développement du sujet de l’épisode. Par exemple dans l’épisode 2, Yann va rencontrer une Erreur 500 et demandera à Lya de lui expliquer de quoi il s’agit. Cette Erreur 500 permettra à Lya de lui proposer, en l’occurrence pour l’épisode 2, de découvrir l’histoire du Web, sa création, qui est Tim Berners Lee, etc… Et à chaque épisode, on va avoir une progression dans l’histoire du Web. L’épisode 3 sera sur l’histoire des moteurs de recherche, et la différence entre les moteurs de recherche et les navigateurs. L’épisode 4 traitera du web social, le web 2.0, avec les réseaux sociaux et l’origine de tout cela. Et enfin, le 5ème épisode portera sur l’état actuel du Web, ce que c’est devenu, et parlera aussi du Web décentralisé pour revenir à un Web plus ouvert, plus démocratique.

Pour finir, as-tu une anecdote à nous partager sur la réalisation de ce podcast ? 

On a beaucoup pensé au film Her, où Joaquin Phoenix échange tous les jours avec son assistante vocale incarnée par Scarlett Johansson, et dont il finit par tomber amoureux. Ce qui était important pour nous, c’était de trouver le bon ton. Si on était parti sur une interprétation très naturelle comme ce que fait Scarlett Johansson dans le film Her, cela aurait donné quelque chose de très futuriste car en l’état actuel des choses, les assistants vocaux ne parlent pas aussi naturellement. Et si on partait sur quelque chose de plus robotique, en mode GPS, ça allait vite être pénible en enchaînant 5 épisodes de 5 minutes. Il a donc fallu trouver un équilibre pour qu’on reconnaisse que c’est bien une assistante vocale qui parle et en même temps qu’il y ait quelque chose d’humain dans le ton. Au delà de ça, c’était vraiment crucial de travailler le sound design qui d’un côté, émane de l’intelligence artificielle de l’assistante vocale, qui va proposer des ambiances, des musiques pour mettre Yann de bonne humeur le matin, et en même temps, on a le sound design qui vient de ce que fait Yann dans cuisine quand il prend son petit déjeuner. L’enjeu était donc de travailler à la fois l’ambiance sonore par le sound design et de trouver la meilleure interprétation possible pour Lya. 

Pour une meilleure rétention de l’information, vous qui nous écoutez, voyons ensemble les 5 infos clés à retenir de cet échange avec Laurence : 

  1. Vous pourrez suivre le podcast Cybercafé sur toutes les plateformes Coorpacademy et ça, d’où vous le souhaitez. 
  2. Vous y apprendrez tout sur le Web, avec 5 épisodes d’une durée de 6 minutes. 
  3. Le sound design, et la structure du podcast Cybercafé, sont optimisés pour le meilleur apprentissage possible. 
  4. Le format audio plus accessible, attractif, et nouveau, complète les autres formats classiques pour se former plus efficacement. 
  5. Yann, le personnage du podcast et Lya, son assistante virtuelle, vous attendent avec impatience pour un cybercafé !

Coorpacademy à l’honneur dans le dernier hors-série de Capital Magazine sur la formation

 

« Coorpacademy : le Netflix du savoir. Fini les ateliers soporifiques ! Cette start-up franco-suisse révolutionne la formation en entreprise en plaçant l’utilisateur au centre d’une expérience ludique et collaborative. »

C’est ainsi que débute l’article de Benjamin Janssens, journaliste pour Capital, dans le dernier hors-série de la marque économique du groupe Prisma Media sur la formation. Interviewant Frédérick Bénichou, co-fondateur de Coorpacademy, il y présente les points différenciants de la plateforme, de la « simplexité » au catalogue de soft skills en passant par ses fonctionnalités ludiques et addictives, pour un apprentissage toujours plus engageant.

Découvrez sans plus attendre ces deux pages consacrées à Coorpacademy dans ce Spécial Formation : Changer de métier… ou de vie ! Chez votre marchand de journaux. 

Ou découvrez ici quelques extraits de cet article consacré à Coorpacademy.

« Lorsque La Redoute a définitivement tourné la page du catalogue papier pour se concentrer uniquement sur le digital, il a bien fallu former ses salariés à la culture et aux outils numériques, ainsi qu’aux dernières tendances de l’e-commerce. Et, pour cela, quoi de plus naturel que de proposer des formations… en ligne ! L’entreprise s’est donc tournée vers Coorpacademy pour imaginer une plateforme de digital learning, avec des contenus répondant à ses problématiques. En six mois, 800 salariés ont accédé à la plateforme mais, surtout, 88% des cours commencés ont été terminés. Bien plus rapide et efficace que s’il avait fallu organiser des formations en présentiel pour chacun des salariés.

[…]

Cette start-up franco-suisse, aujourd’hui multi-récompensée, a mis en musique, ou plutôt en images, une méthode pédagogique disruptive, basée sur l’assimilation des soft skills. Le concept ? La « simplexité ». Derrière ce mot-valise, l’idée est de proposer une interface ultra-facile d’utilisation, ludique et attractive, mais donnant accès à des contenus ciblés et pertinents. « Nous avons conçu un outil flexible, qui s’adapte à l’usager : nos contenus se consomment partout et à tout moment, en vingt minutes en moyenne, voire en cinq minutes grâce au microlearning », détaille Frédérick Bénichou, l’un des co-fondateurs.

Concrètement, comment ça marche ? « Notre méthode repose sur la pédagogie inversée », poursuit le dirigeant. L’utilisateur regarde une vidéo de deux minutes, puis doit répondre à des questions. Et c’est seulement après qu’il accède à la ressource pédagogique, qui lui permet soit de se corriger, soit d’aller plus loin. « Cela insuffle une nouvelle dynamique à l’apprentissage. »

Le succès auprès des salariés s’explique aussi par la dimension très ludique de la plateforme : on marque des points à chaque étape de l’apprentissage, on gagne des badges au fur et à mesure que l’on progresse. Les chiffres montrent qu’offrir des fonctionnalités issues du monde du gaming suscite un fort engagement et crée une réelle émulation entre collaborateurs. « Pour une entreprise, c’est aussi un bon moyen de révéler les talents cachés, potentiellement profitables à l’organisation, ajoute Frédérick Bénichou. Chez Pernod Ricard, par exemple, l’employé affichant le meilleur score aux quiz sur la culture digitale était magasinier à Cognac : sa maîtrise du sujet et le fait que cela se sache l’ont amené à coacher le directeur marketing du groupe. » Et, en s’amusant, on développe sa culture digitale ou son intelligence émotionnelle, avec la possibilité de se challenger entre apprenants ou de se faire coacher par un autre participant. Le lien avec Netflix ? Les modules de formation, des vidéos courtes et ludiques assorties de quiz, sont accessibles à tout moment depuis n’importe quel terminal (smartphone, tablette, ordinateur). Et les contenus consommés aident à sélectionner ceux qui sont recommandés par la suite grâce au machine learning – la start-up ayant établi 27 profils distincts d’apprenants.

[…]

Coorpacademy s’appuie sur un réseau de 40 partenaires et d’experts, dont les magazines Capital et Management, mais aussi les Éditions Dunod et la collection Bescherelle. Le site offre plus de 1 000 vidéos et 8 000 questions (culture digitale, management et leadership, future of work…), l’ensemble couvrant déjà 90 % des soft skills identifiées par le Forum Économique Mondial. Une levée de fonds de 10 millions d’euros en 2016 a notamment permis le déploiement de la plateforme à l’international, avec la traduction des formations en anglais. »

Benjamin Janssens

Découvrez ces deux pages consacrées à Coorpacademy dans le Spécial Formation : Changer de métier… ou de vie ! de Capital Magazine.

Maintenant vous savez : la prise de parole sur Coorpacademy

 

Vous avez la gorge sèche ? Le coeur qui s’emballe ? Une sensation de nausées ? Des sueurs froides ? Vous n’êtes pas malade !

Comme 61% des Français, vous avez peur de prendre la parole en public, que ce soit en réunion, en entretien ou lors d’une négociation.

Heureusement, il existe des solutions. Ce n’est pas de devenir ventriloque, et sûrement pas d’imaginer votre audience nue… Ils font pareil avec à vous !

Alors comment faire ? Il y a plus de 25 cours de prise de parole disponibles sur Coorpacademy !

 

Maintenant vous savez : le Big Data sur Coorpacademy

 

Vous pensez que le Big Data est un sandwich ? Ou un nouveau monospace japonais ? Votre fils de 12 ans en sait plus que vous et vous avez honte de lui demander conseil ? Les réunions sont devenues un calvaire ?

Votre prochain point est jeudi et vous vous dîtes que c’est la Big Cata !

Il y a des solutions : il y a plus de 70 cours sur le Big Data disponibles sur Coorpacademy.

Vous ne le saviez pas ? Maintenant vous savez.

Comprendre les cryptomonnaies avec Challenges et Coorpacademy !

 

À découvrir du 5 au 11 septembre 2019, le dossier spécial de Challenges sur les nouvelles monnaies et le pari de Facebook avec libra.

Ces informations ne sont pas passées inaperçues : Facebook a lancé sa propre cryptomonnaie, libra. La Chine s’apprête à lancer une cryptomonnaie nationale souveraine. Même le champion de boxe et sénateur philippin Manny Pacquaio s’y intéresse et va lancer la sienne.

Qu’est-ce que cela va changer ? Comment ces nouvelles cryptomonnaies se différencient-t-elles du bitcoin qui est sur toutes les lèvres du fait d’un cours affolant, à la hausse comme à la baisse ? Comment ces cryptomonnaies, qui prolifèrent (bitcoin, ripple, ethereum, monero, maintenant libra…), fonctionnent-elles ? Quel cadre légal pour les cryptomonnaies ? Comment s’en procurer ? Comment les utiliser ?

Tant de questions auxquelles les experts de Challenges ont répondu dans ce cours co-édité avec Coorpacademy !

Comprendre les cryptomonnaies, Challenges et Coorpacademy

Découvrez aussi une page dans le numéro spécial de Challenges sur le cours que nous avons co-édité ensemble, « Comprendre les cryptomonnaies » : bitcoin, ripple, ethereum ou monero n’auront bientôt plus de secrets pour vous !

Voir l'étude de cas