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Comment développer une culture de l’apprentissage ? L’importance de la gamification et du contenu

 

Dans un monde en constante évolution, les entreprises doivent s’adapter pour rester compétitives. L’une des clés de cette adaptation est le développement d’une culture de l’apprentissage. Une culture de l’apprentissage favorise l’acquisition de nouvelles compétences, la résolution de problèmes, et l’innovation au sein de l’entreprise. Dans cet article, nous allons explorer en profondeur ce qu’est une culture de l’apprentissage dans les entreprises et discuter de l’importance de la gamification et du contenu original pour encourager et maintenir cette culture d’entreprise.

 

Qu’est-ce que développer une culture de l’apprentissage au sein de l’entreprise ?

 

Une culture de l’apprentissage dans une entreprise se caractérise par un environnement qui encourage activement les employés à continuer d’apprendre, à se développer et à partager leurs connaissances. Cette culture repose sur plusieurs piliers essentiels :

 

1- L’engagement de la direction : Les dirigeants jouent un rôle crucial dans la création d’une culture de l’apprentissage. Ils doivent montrer l’exemple en investissant dans leur propre développement et en encourageant leurs collaborateurs à faire de même.

2- Accès à des ressources d’apprentissage : Les entreprises doivent fournir à leurs collaborateurs l’accès à des ressources d’apprentissage diversifiées, telles que des formations en ligne, des livres, des vidéos, des ateliers, et des conférences.

3- Reconnaissance de l’apprentissage : Les réalisations liées à l’apprentissage, qu’il s’agisse de certifications, de compétences nouvellement acquises, ou de projets réussis, devraient être reconnues et récompensées.

4- Collaboration et partage de connaissances : Encourager les employés à partager leurs connaissances et à collaborer pour résoudre des problèmes renforce la culture de l’apprentissage.

5- Évaluation continue : Les entreprises doivent évaluer régulièrement l’efficacité de leurs programmes d’apprentissage pour les améliorer constamment.

 

 

L’importance de la gamification pour engager et donner envie d’apprendre

La gamification est l’utilisation d’éléments de jeu dans un contexte non ludique, comme la formation professionnelle. Elle a démontré son efficacité pour motiver les collaborateurs à s’impliquer dans les activités d’apprentissage. Voici pourquoi la gamification est un élément clé pour développer une culture de l’apprentissage :

1- Engagement accru : La gamification rend l’apprentissage amusant et stimulant. Les collaborateurs sont plus enclins à participer activement aux formations et à s’investir dans le processus d’apprentissage lorsqu’il comporte des éléments de jeu.

2- L’esprit de compétition : La compétition saine entre collègues peut stimuler la motivation. La gamification permet de proposer des battles, de créer des classements, des défis et des récompenses, incitant ainsi les collaborateurs à se surpasser.

3- Animation de la formation : La gamification permet d’événementialiser la formation en créant des animations spécifiques. Par exemple, vous pouvez organiser un tournoi en sélectionnant une playlist de cours à suivre en ligne, et l’apprenant avec le meilleur score sur tous les cours remporter une récompense.

4- Mémorisation accrue : Les jeux sollicitent la mémoire et l’attention. En associant des informations à des expériences ludiques, les collaborateurs ont tendance à mieux retenir ce qu’ils apprennent. Par exemple, un des cours les plus appréciés de l’éditeur Coorpacademy est le cours Cluedo

5- Créativité et résolution de problèmes : La gamification favorise la créativité et la pensée critique, car elle peut impliquer des énigmes, des simulations, et des défis qui nécessitent une réflexion approfondie.

 

Le rôle des contenus pour perpétuer la dynamique d’apprentissage sur le long terme

 

Pour qu’une culture de l’apprentissage perdure dans une entreprise, il est essentiel de proposer des contenus originaux, innovants et adaptés aux besoins spécifiques des collaborateurs, tout au long de leur carrière. Voici pourquoi les contenus originaux sont essentiels :

 

1- Adaptation aux besoins de l’entreprise : Les contenus originaux peuvent être créés sur mesure pour répondre aux besoins spécifiques de l’entreprise. Cela permet de cibler les compétences et les connaissances essentielles pour l’organisation.

2- Réflexion créative : La création de contenus originaux et innovants encourage les équipes à penser de manière créative. Cela favorise l’innovation et l’exploration de nouvelles idées.

3- Implication des experts internes : Les collaborateurs de l’entreprise peuvent contribuer à la création de contenus originaux en partageant leur expertise. Cela renforce le sentiment d’appartenance et la valorisation des employés, ainsi que l’apprentissage entre pairs.

4- Engagement dans la formation : Les contenus innovants tels que les escape games ou les contenus interactifs permettent aux collaborateurs d’apprendre en s’amusant. Ainsi, apprendre devient agréable et l’engagement augmente !

5- Différenciation concurrentielle : L’utilisation de contenus originaux ou innovants peut distinguer l’entreprise de ses concurrents, montrant ainsi son engagement dans la montée en compétences de ses collaborateurs, et de ses talents futurs. Une entreprise qui investit dans le développement de ses collaborateurs est plus attractive.

 

Les avantages à créer une culture de l’apprentissage

Développer une culture de l’apprentissage au sein de votre entreprise comporte de nombreux avantages, notamment :

 

1- Amélioration de la productivité : Les collaborateurs qui apprennent en continu sont plus productifs et efficaces dans leurs tâches quotidiennes. Ils évoluent et montent en compétences tout au long de leur carrière.

2- Réduction du turnover et évolution interne : Les collaborateurs qui voient des opportunités d’apprentissage au sein de leur entreprise sont plus susceptibles de rester et de s’investir à long terme. De plus, investir dans la montée en compétences des collaborateurs permet aussi de favoriser les évolutions de poste en interne !

3- Innovation accrue : Une culture de l’apprentissage encourage l’innovation en permettant aux collaborateurs de développer des compétences comportementales essentielles. Apprendre en continu permet de développer sa créativité et d’enrichir ses connaissances pour répondre à de nouveaux enjeux.

4- Adaptabilité aux changements : Les entreprises avec une culture de l’apprentissage sont mieux préparées à s’adapter aux évolutions du marché et aux nouvelles technologies. Le monde évolue si vite qu’on le qualifie même d’environnement “VUCA” : acronyme pour décrire la volatilité, l’incertitude, la complexité et l’ambiguïté d’une situation. Il est donc essentiel de mettre à jour ses compétences en continu.

5- Renforcement de la réputation de l’entreprise : Les entreprises qui investissent dans le développement de leurs collaborateurs sont perçues de manière positive, tant par les clients que par les futurs talents qui pourraient rejoindre l’entreprise.

 

Conclusion

Développer une culture de l’apprentissage au sein d’une entreprise est un investissement précieux qui porte ses fruits à long terme. La gamification et les contenus originaux et innovants jouent un rôle essentiel pour encourager et maintenir cette culture. Les avantages d’une telle démarche sont nombreux, allant de l’amélioration de la productivité à l’augmentation de l’innovation, en passant par la réduction du turnover. En fin de compte, une culture de l’apprentissage crée un environnement dynamique où les collaborateurs sont encouragés à se développer, à partager leurs connaissances et à contribuer activement à la réussite de l’entreprise.

 

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Quel personnage de The Office êtes-vous, basés sur votre style d’apprentissage ?

 

Comprendre les styles d’apprentissage peut être une clé pour améliorer le développement des compétences. Afin de comprendre quels sont les différents modes d’apprentissage, nous allons explorer cette notion de manière ludique en nous basant sur les personnages de la célèbre série « The Office ». Nous allons vous aider à découvrir quel personnage de The Office correspond le mieux à votre style d’apprentissage. 

 

Préparez-vous à plonger dans le monde de Dunder Mifflin, où le bureau est bien plus qu’un simple lieu de travail.

 

Comprendre les styles d’apprentissage

Avant de commencer à associer les personnages de The Office à des styles d’apprentissage, prenons un moment pour définir ce que sont ces styles. Les styles d’apprentissage sont les préférences individuelles dans la manière d’acquérir de nouvelles connaissances. Il existe différents types de styles d’apprentissage, notamment visuel, auditif, kinesthésique, social, etc. Comprendre ces styles peut nous aider à mieux communiquer et à collaborer au sein d’une équipe.

 

Michael Scott – Le style d’apprentissage social

Notre premier personnage est l’inimitable Michael Scott, le directeur de Dunder Mifflin. Michael incarne le style d’apprentissage social. Il adore interagir avec les autres et a un désir ardent de plaire à son équipe. Ses réunions de bureau excentriques et ses tentatives de dynamiser le moral des collaborateurs reflètent sa nature sociale.

 

Les individus au style social ont tendance à être d’excellents leaders. Ils sont doués pour créer des connexions avec les autres, favorisant ainsi une atmosphère positive au travail. Si vous vous identifiez à Michael Scott, il se peut que vous soyez également un leader charismatique au sein de votre équipe.

 

Si vous vous reconnaissez dans cette description, vous apprenez sûrement plus efficacement entre pairs. Chez Coorpacademy by Go1, l’apprentissage entre pairs peut être renforcé par la gamification, comme par exemple l’envoi de battles pour défier vos collègues sur certains modules de cours !  

 

Jim Halpert – Le style d’apprentissage visuel

Jim Halpert, l’expert en blagues de bureau et le roi des regards caméra, incarne le style d’apprentissage visuel. Jim utilise souvent des éléments visuels pour communiquer ses idées, que ce soit par des post-its hilarants ou par des dessins humoristiques.

 

 

Les apprenants qui sont plus sensibles à l’apprentissage visuel sont doués pour traiter l’information visuelle et sont souvent capables de créer des présentations visuellement attrayantes. Si vous avez un penchant pour les informations visuelles et que vous vous identifiez à Jim, vous pourriez être un communicateur efficace grâce à votre sens aigu de l’observation. 

 

Pour vous former, privilégiez les modules interactifs et ludiques qui vous permettront de mieux mémoriser l’information. Chez Coorpacademy by Go1, nos modules de cours en ligne sont disponibles sous une multitude de formats pour répondre aux attentes de tous les apprenants. 

 

Dwight Schrute – Le style d’apprentissage kinesthésique

Dwight Schrute, le passionné des arts martiaux et des compétitions de vente, incarne le style d’apprentissage kinesthésique. Dwight est un homme d’action qui préfère apprendre de manière pratique. Que ce soit en testant sa force physique ou en s’engageant dans des activités pratiques, il apprend en faisant.

 

 

Les individus kinesthésiques sont souvent des acteurs clés au sein d’une équipe. Leur capacité à expérimenter et à agir de manière pratique les rend précieux pour résoudre des problèmes complexes. Si vous vous voyez dans Dwight, vous êtes peut-être l’élément moteur qui fait avancer les projets de votre équipe.

 

Pour approfondir votre apprentissage, tournez-vous vers des modules courts de microlearning, qui viendront s’inscrire tout au long de vos tâches quotidiennes. Le moment le plus opportun pour vous former est lorsque vous rencontrez un problème. Vous pourrez ainsi apprendre tout en avançant dans vos tâches. 

 

Pam Beesly – Le style d’apprentissage auditif

Pam Beesly, la réceptionniste qui aime l’art, représente le style d’apprentissage auditif. Elle est attentive aux détails sonores et à la communication verbale. Sa capacité à écouter attentivement est une de ses compétences clés.

 

Les apprenants auditifs excellent dans la communication et sont souvent de bons auditeurs. Si vous préférez les discussions et que vous vous identifiez à Pam, vous pourriez être l’élément qui renforce la communication au sein de votre équipe.

 

Selon ce style d’apprentissage, nous vous recommandons vivement les formats audio et les podcasts pédagogiques. Chez Coorpacademy by Go1, nous avons en effet tout un catalogue audio disponible pour que nos apprenants puissent apprendre en écoutant.

 

En résumé, comprendre les styles d’apprentissage peut améliorer notre communication et notre efficacité au travail, mais surtout notre manière d’apprendre. En explorant les styles d’apprentissage à travers les personnages de The Office, nous espérons que vous avez trouvé des correspondances amusantes et informatives avec votre propre style d’apprentissage, et que nous vous avons apporté des clés pour poursuivre votre montée en compétences.

Gestion du personnel : Construire un leadership efficace grâce à la formation et au développement du personnel

 

Retrouvez la version originale en anglais de cet article, à ce lien.

 

Lors d’un récent webinaire organisé par People Management en partenariat avec Go1, le panel a exploré la manière dont les dirigeants peuvent utiliser le L&D pour responsabiliser les collaborateurs, renforcer les capacités et combler les lacunes en matière de compétences au sein de leur personnel. Parmi les invités figuraient Sebastian Tindall, Director of Learning & Development at Vitality, et Ollie Browning, VP Sales UK at Go1. Nous récapitulons ci-dessous les points clés de cette discussion.

Tout d’abord, l’animateur Daniel Wain de People Management s’est penché sur le rapport 2022 de LinkedIn sur l’apprentissage sur le lieu de travail, soulignant la nature de plus en plus centralisée, interfonctionnelle et stratégique de la formation et du développement. Le rapport a révélé que 83% des organisations souhaitent construire des cultures d’entreprises plus centrées sur les personnes qui les constituent, tandis que 93% des collaborateurs sont préoccupés par la rétention du personnel. La plupart des chefs d’entreprise reconnaissent que le L&D est un moyen essentiel de stimuler la rétention et de réduire l’attrition, mais seulement 16 % des cadres soutiennent la mise en œuvre du L&D, selon le rapport 2020 State of Learning de Go1.

 

 

Le panéliste a ensuite procédé à un sondage auprès du public, qui a révélé qu’un peu plus de la moitié (51 %) des participants sont satisfaits des possibilités de formation et de développement offertes par leur lieu de travail. Ce résultat soulève la question suivante : comment les stratégies agiles de L&D peuvent-elles contribuer à accroître l’engagement et l’efficacité ? Réponse lors du webinar, qui souligne que la mise en œuvre de la formation n’est qu’une partie du parcours d’apprentissage, ajoutant que les organisations devraient se concentrer sur le développement des compétences de manière proactive afin d’anticiper les demandes futures.

Sebastian Tindall a ensuite abordé les plus grandes erreurs qu’il a vues dans le domaine du L&D et la manière de les surmonter. La formation ne devrait pas être perçue comme une initiative de conformité poussée par l’organisation, mais comme une solution proposée par les responsables hiérarchiques avec des avantages tangibles pour les individus. Le panéliste a poursuivi en notant que l’apprentissage est une exigence organisationnelle qui se produit organiquement et ne peut pas être contrôlé ou limité. Ollie Browning a ajouté que les entreprises doivent promouvoir la mobilité et la fluidité des talents et reconnaître l’apprentissage en dehors des expériences formelles.

 

 

La transparence des objectifs et l’exemplarité peuvent aider les collaborateurs à donner la priorité à leur parcours de formation et d’apprentissage et à considérer le développement des compétences comme une responsabilité partagée. Le panel a insisté sur le fait que les managers avaient la responsabilité de promouvoir ces cultures d’apprentissage favorables ainsi que l’exploitation du potentiel de talent existant. Il est encourageant de constater que le sondage effectué précédemment auprès de l’auditoire reflète ce besoin de responsabilisation, puisque 72 % des participants ont déclaré que leurs managers les encouragent à poursuivre leur apprentissage.

 

En réponse à une question de l’auditoire sur la manière d’aborder le L&D au niveau mondial tout en tenant compte des différentes cultures, le panel a souligné l’objectif commun des personnes souhaitant apprendre dans le cadre de leurs fonctions, tout en reconnaissant les nuances culturelles. Ils ont ajouté que l’élaboration d’une stratégie mondiale de formation et de développement implique de comprendre les spécificités du public visé au niveau du marché local et de donner la priorité à la cohérence afin d’unifier des équipes plus larges.

 

Pour conclure le webinaire, le panel a proposé ses projections sur les tendances à venir en matière de L&D. Alors que l’IA et la personnalisation continueront de prévaloir, Sebastian a souligné l’importance d’analyser l’automatisation et la conception de l’infrastructure dans l’ensemble du portefeuille de collaborateurs. La cohérence des systèmes de L&D mis en œuvre et la prise en compte de leur intégration à travers les plateformes, les données et les équipes sont cruciales pour le succès d’une stratégie de formation.

 

Le panel a convenu qu’une stratégie de formation et de développement réussie devrait également s’aligner sur les objectifs actuels et futurs de l’entreprise et commencer par une analyse complète des besoins individuels de l’entreprise. Pour révolutionner la formation et le développement, il est essentiel de déterminer ce qui est essentiel du point de vue des performances et les défis sur lesquels l’apprentissage aura un impact quantifiable.

Pour en savoir plus, faites une demande de démo et rencontrez notre équipe !

 

Poisson d’avril : cette année, vous ne serez pas piégés

Le 1er avril approche à grands pas, et avec lui vient la tradition du poisson d’avril.

 

Que vous décidiez de déranger le bureau de votre collègue ou de faire une farce par mail, cette journée (qui tombe un samedi, à notre plus grande déception), est la journée au cours de laquelle votre entourage tentera de vous faire des blagues. Mais cette année, vous n’allez pas vous faire avoir ! 

 

En effet, le poisson d’avril est également une occasion pour certains de diffuser des fausses informations ou de créer des canulars. Ces derniers peuvent se propager rapidement sur les réseaux sociaux, créant ainsi des malentendus ou des paniques inutiles. C’est pourquoi il est important de savoir comment déceler une fake news.

 

Alors, comment faire la différence entre une information fiable et une fake news ? Voici quelques astuces :

  1. Vérifiez vos sources : avant de diffuser une information, assurez-vous qu’elle provient d’une source fiable et crédible. Évitez les sites douteux, les blogs sans autorité, et les publications qui ne citent pas leurs sources.
  2. Faites preuve de bon sens : si une information vous paraît trop belle pour être vraie, c’est probablement le cas. Utilisez votre bon sens pour évaluer les informations qui vous sont présentées.
  3. Utilisez les outils à votre disposition : les outils en ligne comme Google ou Snopes peuvent vous aider à vérifier la véracité d’une information. Il existe également des sites spécialisés dans la vérification des faits, comme FactCheck.org.

 

En résumé, le poisson d’avril est une journée amusante où il ne faut pas hésiter à faire preuve de créativité pour amuser la galerie. Cependant, il est important de ne pas tomber dans la désinformation en ligne. Méfiez-vous des informations que vous recevez et prenez le temps de vérifier leur véracité avant de les partager. Ne soyez pas une victime de la désinformation en ligne !

 

Pour aller plus loin, faites une demande de démo et formez-vous gratuitement avec le cours “S’informer à l’ère de la désinformation” : 

S’informer à l’ère de la désinformation

 

 

7 considérations sur l’importance de former aux soft skills

Les soft skills montent en puissance, la formation qui en permet le développement aussi. Elles répondent aux nouvelles exigences qui ont émergé dans le monde du travail, notamment sous l’impact de l’automatisation des tâches. Coorpacademy by go1 accompagne cette vaste transformation en cours.

 

#1 Les formations aux soft skills sont toujours plus demandées dans les entreprises

Les soft skills sont des compétences de plus en plus poussées par les responsables formation. Au premier rang, la communication interpersonnelle boostée par l’expansion du télétravail qui exige des collaborateurs de mieux véhiculer leurs idées et d’être plus transparents sur l’avancée de leurs missions. Bien communiquer étant aussi une capacité clé du bon leader, la formation permet aux managers de progresser : capacité d’écoute, collaboration ou pensée critique sont aussi très demandées. Ces compétences ne sont pas réservées aux managers : l’agilité, l’adaptabilité et la résilience sont parmi les cours les plus joués du catalogue premium Coorpacademy, elles sont demandées par la plupart des apprenants.

 

#2 Les soft skills gagnent en importance dans le monde du travail

La considération pour les soft skills ne date pas d’hier (confère la parution, dès 2016, du premier rapport du WEF sur l’avenir des métiers). Cependant, l’accélération est nette depuis la pandémie de Covid-19 et la réorganisation — télétravail, mise en place de flex-offices… — qui s’est ensuivie. L’IA (ChatGPT, Dall-e…) vient à son tour bousculer les métiers et les « hard skills » dont le taux d’obsolescence s’accroît, alors que les robots commencent à menacer les emplois. Le savoir-être des collaborateurs prime dans ce contexte, notamment leur intelligence des situations et leur capacité à collaborer. Un marché du travail en tension – 7 métiers sur 10 en tension, selon la Dares — parachève ce constat. L’attractivité d’une entreprise, spécialement pour les plus jeunes actifs, dépend de la place qu’elle fait à l’humain, aux valeurs, au sens, et par voie de conséquences, au développement des soft skills. Beaucoup d’entreprises l’ont compris : accompagner leurs collaborateurs dans leur montée en « compétences douces » est un facteur différenciant !

 

#3 Les soft skills sont pour tous !

Les soft skills couvrent un large territoire, outre la communication ou l’intelligence émotionnelle, bien sûr : le design thinking, l’équité, l’inclusion et la diversité font l’objet d’une forte demande de l’ensemble des collaborateurs. Développer massivement les soft skills, c’est faciliter l’émergence d’une culture commune, faite de respect de l’autre, qui essentielle à la cohésion entre les équipes ; même si certaines de ces compétences concernent plus particulièrement les managers : le leadership par exemple. La pratique du management et de l’animation / cohésion d’équipe s’apprennent à l’expérience, mais largement aussi en s’y formant ; c’est pourquoi il est essentiel d’accompagner les managers, pour en faire de réels acteurs de la conduite du changement et de la transformation des groupes.

 

#4 Les soft skills conditionnent l’employabilité de chacun

Les soft skills sont moins faciles à exhiber que les « hard skills » sur un CV ou lors d’évaluations annuelles ! Pourtant, elles font la différence dans un entretien d’embauche ou dans la phase d’onboarding, puis dans le travail au quotidien, par exemple, dans les missions et les projets qui exigent une collaboration. Nous l’avons déjà mentionné en filigrane : les soft skills sont pérennes, au contraire d’une partie des hard skills que nous disputerons les automates et les algorithmes ; on peut être assuré que les soft skills seront plus valorisées par les recruteurs. S’il vaut mieux raisonner comme certains (par exemple, le WEF) en diptyque « compétences durables vs. compétences périssables », alors les soft skills ont l’avantage d’être transférables d’un secteur à l’autre et de rester pertinentes toute la vie.

 

#5 Dans le choix d’un manager, l’entreprise privilégie les soft skills plutôt que les compétences techniques

Les deux — soft skills, hard skills — entrent dans la balance au moment de choisir un manager ; elles ne s’opposent pas. Une entreprise ne saurait pas se contenter de l’une (la capacité d’un candidat à prendre la parole en public, par exemple) ou de l’autre (sa connaissance des modes de réglage de systèmes essentiels à la bonne tenue d’une usine). Par ailleurs, la fidélisation des collaborateurs passe souvent par les perpectives de mobilité qui leur sont offertes, ce qui peut déboucher sur la promotion, du jour au lendemain, des meilleurs techniciens à des postes de manager qui devront alors être formés aux soft skills (lesquelles ne se devinent pas). Un parcours personnalisé permet au manager d’autoévaluer les soft skills qu’il possède déjà, parfois sans le savoir, puis de se voir recommander une formation sur mesure. L’apprentissage du leadership, dès le premier poste managérial, est le point de départ crucial pour se développer comme manager.

 

#6 Profil d’un dispositif de formation pour développer massivement et continûment les soft skills

Un tel dispositif de formation doit aisément s’insérer dans le flux de travail, et donc être accessible à tout moment sur les outils du quotidien. L’expérience vécue par les apprenants dans la solution Coorpacademy by Go1 est la plus fluide et la plus agréable possible, grâce à des contenus de qualité et des formats adaptés aux diverses thématiques ; par exemple, les collaborateurs pourront travailler leur sens critique avec un jeu : un Cluedo. L’individualisation doit aussi être au rendez-vous via l’auto-diagnostic et la recommandation d’un parcours 100 % personnalisé déjà évoqué. Le catalogue premium Coorpacademy permettra aux apprenants de s’ouvrir aux transformations du monde et de renforcer leur culture générale, partie intégrante des soft skills. Ces cours sont conçus par Coorpacademy by go1 ou par nos 80+ partenaires qui sont des majors de l’édition (Dunod, Eyrolles, Fabernovel, Forbes ou Video Arts…) ; le plus grand choix de sujets est disponible : technologie, big data, économie, transition environnementale…

 

#7 Coorpacademy by Go1 : un leader de ce marché en plein boom

Coorpacademy by go1 répond à tous les besoins en soft skills de ses clients, grâce à la plus riche bibliothèque de formations du marché, dans une logique de co-construction / co-curation des contenus accompagnée par nos équipes de Customer Success. Cet accompagnement des entreprises au jour le jour, nourri par les data comportementales des apprenants recueillies sur notre plateforme, explique leur haut niveau d’engagement : nos solutions de formation en ligne les convainquent aussi par la pertinence des sujets proposés dans leur montée en compétences. L’adaptation de nos modules et de leurs parcours de formation, ainsi que le choix des meilleures modalités pédagogiques pour mémoriser les connaissances, sont renforcés par le partenariat privilégié avec les chercheurs de l’EPFL, spécialisés dans les sciences comportementales. À quoi l’on ajoutera l’importance considérable que nous attachons à l’expérience finale de l’utilisateur, sous la forme notamment de formats ludiques qui permettent d’ancrer plus durablement les savoirs.

Saint-Valentin : 5 softs skills essentielles pour renforcer vos relations

La Saint-Valentin approche à grands pas ! C’est donc le moment idéal pour vous concentrer sur vos compétences relationnelles. Oubliez Cupidon, votre vrai allié sont les soft skills, aussi appelées compétences douces. Alors le 14 février, que vous soyez en couple, entre amis ou en solo, utilisez vos soft skills pour faire de vos relations un succès ! 

Dans cet article, nous allons explorer 5 softs skills essentielles pour renforcer vos relations et créer une connexion plus profonde avec votre partenaire, vos amis ou encore vos collègues. 

 

  1. La communication :
    Vous ne serez pas surpris, la communication est l’un des piliers de toute relation saine et heureuse. En développant votre capacité à mieux communiquer, vous pouvez éviter les malentendus, les disputes inutiles et renforcer vos liens. Il est important de savoir écouter l’autre, de poser des questions pour clarifier les choses et de s’exprimer clairement. N’hésitez pas à vous former aux fondamentaux de l’écoute active pour faire durer vos relations sur le long terme ! 

  2. L’intelligence émotionnelle :
    L’intelligence émotionnelle, également connue sous le nom de quotient émotionnel (QE), est la capacité à évaluer correctement vos émotions ainsi que les émotions des autres dans toutes les situations, utiliser un bon jugement et se comporter de manière appropriée pour atteindre le résultat souhaité. Développer cette compétence vous permettra de prendre de meilleures décisions pour vos relations, et de mieux vous comprendre l’un et l’autre.  
  3. L’agilité :
    La vie peut être imprévisible et les situations peuvent changer rapidement. Avoir la capacité à être flexible et accepter les changements peut vous aider à naviguer dans les moments difficiles et à renforcer vos relations. Soyez ouvert d’esprit et considérez les changements comme des opportunités ! 
  4. La résilience :
    La résilience est clé pour surmonter les épreuves et les échecs que vous pourrez rencontrer dans vos relations. Savoir rebondir et aller de l’avant est crucial pour les maintenir, car la vie n’est pas un long fleuve tranquille. Et puis, on ne vous le souhaite pas forcément, mais toute relation peut connaître une fin. Alors autant développer sa résilience pour éviter la dépression post-rupture !
  5. La résolution de problèmes :
    Les problèmes sont inévitables dans toutes les relations, mais la capacité à les résoudre peut faire toute la différence. En apprenant à identifier les problèmes, à les aborder ensemble et à trouver des solutions, vous serez plus serein et vous éviterez les malentendus qui peuvent parfois prendre trop de place.

 

En développant ces 5 soft skills, vous pouvez renforcer votre relation et vivre une Saint-Valentin heureuse et épanouissante. Prêts à vous former ? Voici notre sélection de 5 cours pour renforcer vos relations, qu’elles soient amoureuses, amicales ou professionnelles.

 

  • Améliorer son écoute co-édité avec les Éditions Eyrolles

Améliorer son écoute

  • Développer l’intelligence émotionnelle co-édité avec Talentquest

Développer de l’intelligence émotionnelle

  • Testez vos facultés d’adaptation par Coorpacademy 

Testez vos facultés d’adaptation

  • Améliorer son jugement co-édité avec Olivier Sibony

Améliorer son jugement

  • Pensée créative et résolution de problèmes co-édité avec Talentquest 

Pensée créative et résolution de problèmes

Notre client FDJ – La Française des Jeux remporte la Learning Cup !

Nous étions ravis de récompenser la FDJ – Française des Jeux et de remettre le trophée de notre Learning Cup à Jérome Pesenti, chef de projet formation chez FDJ, et Sherlina Austin, cheffe de projet formation chez FDJ !

« Il est important de former chaque collaborateur au niveau individuel. La plateforme de formation en ligne de Coorpacademy by Go1 répond à nos enjeux et donne accès facilement et rapidement à des formations adaptées à chacun » Jérome Pesenti – Chef de projet formation chez FDJ

 

Chez Coorpacademy by Go1, la gamification est clé pour engager les apprenants ! Ce trophée a été remis dans le cadre de notre animation « Learning Cup » : une compétition entre les apprenants de nos différentes plateformes clientes, mettant en avant l’esprit d’équipe !

Le but ? Suivre les cours de la playlist spécialement conçue pour l’animation et mettant avant les secrets et les avantages du travail en équipe, ainsi que les stratégies à mettre en place pour gagner sur tous les terrains. La playlist se composait des cours suivants : 

1 – Le coaching entre pairs co-édité avec Sia Partners

Le coaching entre pairs

2- Intelligence culturelle : un atout majeur sur le lieu de travail co-édité avec TMA World

L’intelligence culturelle : un atout majeur sur le lieu de travail

3- Animer des sessions d’innovations co-édité avec Talentquest

Animer des sessions d’innovation

4- Accroître la performance de l’équipe co-édité avec Eyrolles

Accroître la performance de l’équipe

5- Théorie des jeux : résolvez le dilemme du prisonnier édité par Coorpacademy

La théorie des jeux : résolvez le dilemme du prisonnier

6- Réussir sa négociation commerciale co-édité avec Dunod

Réussir sa négociation commerciale

7 – Prise de décision en équipes co-édité avec VideoArts

Prise de décision en équipe

 

FDJ – La Française des Jeux a été la plateforme avec la plus forte croissance d’activité (en nombre de questions répondues) lors de cette Learning Cup. Bravo aux apprenants pour leur engagement et aux équipes L&D de FDJ !

 

Organisation apprenante : passer de l’envie à l’action en 3 étapes !

 

Dans un monde en constante évolution, il est crucial pour les entreprises de se transformer en organisations apprenantes pour rester compétitives. Une organisation apprenante est une entreprise qui fait de l’apprentissage continu un élément clé de sa stratégie, afin d’améliorer les compétences et les performances de ses employés.

Comme pour la logique d’un entraînement sportif, l’idée est que plus vous en faites, plus vous devenez fort. Dans cet entretien, Solène Rascle, directrice adjointe des contenus et des partenariats de Coorpacademy by Go1, nous livre trois conseils pour devenir une organisation apprenante !

 

Pourriez-vous nous rappeler ce qu’est une entreprise apprenante ?  

Une entreprise apprenante favorise l’apprentissage des collaborateurs, en mettant à leur disposition des dispositifs de formation. Il s’agit d’une approche proactive visant à créer un environnement au sein duquel les employés peuvent continuer à apprendre, se développer et s’adapter aux transformations du monde, le tout dans le flux de leur travail. Mais cela l’organisation apprenante va au-delà de l’apprentissage individuel : c’est aussi l’apprentissage collectif, une organisation qui apprend et évolue. En effet, les organisations apprenantes sont en mesure de s’adapter plus rapidement aux changements et de prendre des décisions plus efficaces, ce qui les rend plus compétitives et plus résilientes. Développer une culture de l’apprentissage passe par plusieurs étapes et requiert une réelle volonté de la part des instances dirigeantes. 

 

Quels sont les principaux avantages liés à devenir une organisation apprenante ? 

Je vois trois principaux avantages :

  1. Rester compétitifs : dans un marché en tension, l’organisation apprenante permet de développer les compétences clés pour demain. Chez Coorpacademy by Go1, la couverture des sujets pertinents pour les entreprises s’appuie notamment sur le travail du Forum Économique Mondial, qui publie régulièrement son rapport Future of Jobs sur les compétences et les métiers de demain. Le constat : les collaborateurs ont besoin de mettre à jour leurs compétences. Et 75% des compétences clés sont des soft skills, des compétences transverses à tous les métiers. Il est donc crucial pour les entreprises de devenir des organisations apprenantes pour rester compétitives. C’est pourquoi notre catalogue de formation couvre 100% de ces soft skills. Nous avons décidé d’analyser les données de consommation des cours sur nos plateformes clientes afin de dessiner les grandes tendances d’apprentissage. Alors, sur quoi se sont formés nos apprenants en 2022 ? Certaines compétences restent clés comme la culture digitale, l’agilité, l’intelligence émotionnelle ou encore le management des équipes, et d’autres gagnent en popularité comme la pensée durable ou la compétence apprendre à apprendre qui a connu une augmentation de plus de 70% entre 2021 et 2022 ! 
  2. Rester agile : en devenant une organisation apprenante, une entreprise peut s’adapter aux évolutions du marché et développer des compétences transverses pour accompagner les grandes transformations (managériale, organisationnelle, culturelle, digitale et durable). En développant par exemple des compétences comme apprendre à donner et recevoir du feedback, mais aussi en explorant des sujets comme l’intelligence artificielle ou le développement durable. Cela est important pour s’adapter aux enjeux du monde d’aujourd’hui et de demain. 
  3. Attirer et retenir les talents : le marché du travail aussi est sous tension, et il y a un enjeu de recrutement : 97% des entreprises ont des difficultés à recruter (sondage Deloitte et Future of HR). Un défi que l’organisation apprenante peut relever. En effet, la formation est un levier d’attractivité car la majorité des collaborateurs (76%) ont envie de se former et estiment qu’apprendre au travail est essentiel pour leur épanouissement et leur développement. La majorité (4 sur 5) des collaborateurs souhaite se former sur de nouvelles compétences au travail. De plus, les collaborateurs d’une organisation apprenante sont plus engagés et plus motivés, ce qui peut améliorer la rétention des talents et réduire le turn-over. Presque tous les collaborateurs (94%) déclarent qu’ils resteraient plus longtemps dans une entreprise si celle-ci investissait dans leur développement personnel.

 

Comment assurer l’engagement des collaborateurs pour créer une véritable organisation apprenante ?

Avant tout, il est important de comprendre les challenges qui font émerger le besoin de développer une culture apprenante. Coorpacademy by Go1 aspire à rendre la formation accessible à toutes et à tous, en s’adaptant aux besoins individuels de chacun, à tout moment. La formation doit s’adapter aux contraintes et aux rythmes de vie et de travail des collaborateurs, et permettre d’apprendre en continu.

 

Pour parvenir à une culture apprenante, quels conseils pratiques donneriez-vous aux entreprises qui souhaitent franchir le pas ?

Voici mes trois conseils pour passer de l’envie à l’action.

  1. La personnalisation : cibler les sujets, identifier les besoins de formation de votre entreprise afin de proposer des formations pertinentes qui répondent aux besoins spécifiques et aux appétences des collaborateurs. Pensez à ajuster la durée des formations, les formats trop longs perdent les gens. Par exemple, proposer des formats plus courts, ajuster aussi le rythme. Chez Coorpacademy by Go1, nous avons développé notre protocole pédagogique, qui permet à chacun d’apprendre à son rythme grâce à la pédagogie inversée. Enfin, il est essentiel de varier les formats (test, audiolearning, ou encore formats immersifs pour mettre en pratique) et les outils mis à disposition pour se former : plateforme en ligne, application mobile (30% de nos formations sont suivies sur mobile). 
  2. Enjoy Learning ! Chez Coorpacademy by Go1, nous misons beaucoup sur la gamification. Notre pédagogie s’inspire des éléments du monde du jeu et s’adapte à la formation : les apprenants perdent des vies lorsqu’ils répondent mal à une question, à l’inverse ils se voient récompensés par des étoiles s’ils répondent correctement et valident des niveaux ; ils peuvent aussi challenger leurs collègues avec des battles, gagner des badges à la fin de certains parcours. Nous misons également sur l’innovation pédagogique afin de proposer des formats vraiment immersifs comme des escape games, des enquêtes pédagogiques ou de l’audio learning et des séries interactives. Nous sommes convaincus que pour assurer une culture de l’apprentissage, il faut d’abord faire de l’apprentissage un plaisir.

  3. Développer une culture learning : une culture de l’apprentissage peut s’insuffler en passant par plusieurs étapes. Tout d’abord, il est crucial d’accompagner les apprenants tout au long de leur parcours d’apprentissage, à commencer par l’identification des besoins : cartographie des compétences, assessment pour évaluer ses connaissances et se situer sur ses grandes compétences clés, et recommandation de formations spécifiques ou de parcours individualisés. Deuxièmement, pensez à communiquer sur la formation ! Il faut parler de la plateforme mise à disposition à l’aide de newsletters par exemple, mais cela repose aussi sur les managers qui deviennent de vrais ambassadeurs de la formation. Enfin, l’animation de votre communauté apprenante constitue la dernière pierre à votre édifice. Événementialisez la formation (avec des animations autour de la semaine du développement durable ou la semaine du handicap par exemple), développez des ateliers de groupe, communiquez et mettez en avant les fonctionnalités sur la plateforme, et suivez le résultat des animations ! Chez Coorpacademy by Go1, notre équipe de Customer Success Manager est là pour vous aider à faire vivre la formation et à donner envie à vos collaborateurs de se former !

 

Pour conclure, devenir une organisation apprenante est crucial pour rester compétitif dans un marché en constante évolution. Les avantages sont nombreux, en termes de développement des compétences clés de demain, d’agilité pour s’adapter aux changements et d’attractivité pour attirer et retenir les talents.

Les 3 conseils pratiques livrés dans cet article vous permettront de mettre en place des actions concrètes visant à créer un environnement où les employés peuvent continuer à apprendre, se développer et s’adapter aux changements.

La personnalisation, la gamification et la culture d’apprentissage sont des leviers simples et à la portée de tous pour devenir une organisation apprenante. Alors n’attendez plus pour développer cette soif d’apprendre au sein de votre organisation !

À la recherche du bureau parfait : la promesse des soft skills

Intelligence émotionnelle, compréhension situationnelle, savoir-être : comment outiller les collaborateurs avec ces soft skills, les compétences “douces” sans lesquelles une organisation ne peut performer au meilleur d’elle-même ?

Avec l’hybridation du travail (télétravail, flex-office…) et les avancées en matière d’IA (ChatGPT, Dall-e…), les métiers sont de plus en plus bousculés. Le monde du travail va continuer de se transformer en profondeur dans les mois et les années à venir. Dans ce contexte, le bureau va devenir de plus en plus un lieu de savoir-être, où chaque collaborateur devra faire preuve d’intelligence situationnelle et d’une capacité à travailler en équipe.

Pour cela, il est important d’accompagner les collaborateurs dans leur montée en compétences “douces” dont l’enjeu n’est pas toujours suffisamment bien cerné tant elles sont difficiles à mesurer comme à évaluer.

 

Travail hybride : un phénomène en pleine mutation 

Même si les mesures de distanciation sociale liées au Covid-19 en a fait un phénomène de plus en plus généralisé, le télétravail n’est pas une nouveauté. En 2018, la part de salariés français à avoir travaillé à distance s’élevait déjà à 29 %, selon l’étude “Le comptoir de la nouvelle entreprise”. Le nombre d’accords relatifs au télétravail avait même doublé entre 2017 et 2019, avant la pandémie. A priori, nous sommes également longtemps passés à côté de l’essentiel du télétravail, une forme de télétravail informel, qui jusqu’en 2020 pouvait représenter environ les deux tiers du volume des heures télétravaillées.

Depuis les confinements, le débat autour de l’organisation du travail ne se cantonne plus simplement à la dichotomie télétravail / présence au bureau. On parle désormais de travail hybride. Tout l’enjeu pour les organisations est de savoir accompagner les collaborateurs face à ces changements qui sont toujours en œuvre.

Avec ce phénomène d’hybridation du travail, le siège de l’entreprise devient un hub social pensé pour les activités qui ne sont possibles qu’en présentiel, avec des espaces dédiés, propices aux échanges entre collègues ou à de la créativité pour du brainstorming, et faits pour susciter un sentiment d’appartenance à l’entreprise. Le travail hybride s’inscrit donc dans une quête de contexte émotionnel.

 

De la sérendipité au besoin de concentration : le pouvoir des soft skills 

Certaines entreprises innovantes du monde de la tech, comme Google par exemple, sont historiquement plutôt hostiles au télétravail car elles tiennent à la sérendipité. Cette notion renvoie à l’idée que beaucoup de grandes choses sont nées par hasard, d’une rencontre fortuite et fructueuse, sans que cela n’ait été planifié.

La sérendipité, qui est favorisée par le fait de partager le même lieu de travail, influence l’organisation de l’espace au sein des entreprises de la tech depuis des décennies. Dès les années 1960, les Bell Labs, le légendaire département de R&D d’AT&T, avaient conçu des bureaux horizontaux en contraste avec les grandes tours verticales des banques des centre-villes, pour que les échanges entre les différents ingénieurs fassent naître des innovations inattendues.

Laszlo Bock, ancien DRH de Google et maître à penser de l’utilisation du big data en gestion des ressources humaines, avait publié en 2015 le best seller Work Rules!, dans lequel il expliquait que “le principal moteur de performance dans les secteurs complexes tels que le logiciel est l’interaction fortuite”.

D’un autre côté, certains dénoncent les excès des cultures de présentéisme extrême qui poussent les salariés à passer soirs et week-ends au bureau pour profiter des repas gratuits et des tables de ping pong. On a aussi critiqué l’open space, sa pollution sonore et ses distractions qui empêchent la concentration au travail.

Le succès du livre Deep Work en 2016 a sans doute marqué un tournant à cet égard : l’ingénieur Cal Newport y proposait de nouvelles règles pour apprendre à mieux se concentrer dans un monde où tout est fait pour nous distraire. Pour lui, la concentration a plus de valeur que les rencontres fortuites.

 

La quête de l’émotion ouvre l’ère des soft skills !

ChatGPT (un robot conversationnel), Dall-e (générateur de visuels), Deepl (service de traduction) : ces nouveaux outils de travail gratuits générés par de l’IA se sont développés de façon spectaculaire en fin d’année 2022. David Autor, économiste au MIT, explique qu’il est trop tôt pour savoir ce que ce type d’IA aura comme impact sur l’organisation du travail. La question est néanmoins légitime : et si l’humain venait à être remplacé ?

Certains commentateurs commencent effectivement à tirer la sonnette d’alarme. Mais quoi qu’on pense de ces disruptions qui arrivent sur le lieu de travail et qui pourraient bien entendu donner lieu à d’importantes dérives, ces transformations arrivent. Ce n’est qu’une question de temps. À partir de là, il faut accepter de procéder, plus tôt que tard, et de façon éthique, à un redéploiement des collaborateurs de certaines tâches vers d’autres tâches.

La bonne nouvelle est que ces tâches seront plus humaines. C’est là que se trouve le cœur du sujet : le besoin de valorisation et de développement des soft skills des collaborateurs, ces compétences “douces” liées au savoir-être, à l’intelligence émotionnelle, à la compréhension du monde qui nous entoure, et qui constituent la valeur ajoutée unique des individus.

En réalité, le développement des soft skills n’est pas un phénomène nouveau lui non plus. Les entreprises reconnaissent depuis des années qu’elles ont besoin d’équipes agiles, capables de s’entendre entre elles pour collaborer au quotidien et tendre vers les mêmes objectifs. Depuis 2016, ce mouvement s’est institutionnalisé avec la publication du tout premier et désormais bien connu rapport du World Economic Forum sur l’avenir du travail et des métiers. Les avancées technologiques en matière d’IA accélèrent néanmoins cette tendance. Nous ouvrons une nouvelle ère à l’heure de la robotisation : celle des soft skils.

 

Les entreprises qui comprennent qu’il faut se préparer à cette nouvelle ère, où les soft skills prendront une place prépondérante, prendront beaucoup d’avance par rapport à leurs concurrents. Elles sauront à la fois proposer les bons outils – notamment de formation personnalisée – à leurs collaborateurs pour les aider à être les plus performants possibles chez eux comme au bureau, et mettre à disposition des espaces de travail propices à l’échange, à la collaboration et sans que cela soit contradictoire, à la concentration.

3 situations où vos soft skills sont sollicités, sans même vous en apercevoir !

 

Si développer ses soft skills est extrêmement utile en entreprise, c’est aussi le cas dans la sphère personnelle. Alors que le mois d’août progresse tranquillement et que la moitié du bureau est en congé, nous avions envie de traiter d’un sujet un peu plus léger et rarement évoqué : les situations inattendues où l’on développe ses compétences dites “douces” ! 

 

Les départs en vacances pour tester sa capacité à prendre des décisions

Nous en parlions la semaine dernière, l’apprentissage est étroitement lié au voyage, parce qu’il nous bouscule et nous permet de progresser. Néanmoins, pour être très pragmatique, le voyage est formateur car il mobilise des soft skills essentielles. Partir quelque part, que la destination finale soit plus ou moins proche, demande de l’organisation, mais parfois, tout ne se passe pas comme prévu. Entre les bouchons rencontrés sur la route des vacances, les imprévus menaçant de retarder un train ou encore les intempéries qui demandent de changer les plans, les vacances sont souvent l’occasion de développer sa capacité à prendre des décisions face aux problèmes rencontrés. 

Mais cette année, l’organisation des vacances a été encore plus complexe que d’habitude, dû à la pandémie. Avec la campagne de vaccination et le pass sanitaire, prévoir ses vacances demandait une certaine préparation en amont. Réactivité et sens de l’organisation ont permis aux plus réactifs de partir en vacances, sans se soucier des complications engendrées par la pandémie, à l’exception des restrictions sanitaires imposées dans certaines destinations. 

En entreprise, s’organiser est crucial pour atteindre ses objectifs. Mais c’est le cas partout et les règles d’or de l’organisation sont aussi bonnes à suivre en entreprise que pour organiser son prochain voyage. Une des premières règles d’une bonne organisation : pas plus de 5 tâches importantes par jour. En vacances, c’est le même principe, avec l’objectif d’en profiter !

Les vacances à plusieurs pour faire émerger le leader qui est en vous

Si les départs en vacances sont formateurs, partir en vacances à plusieurs est aussi l’occasion de développer des compétences essentielles en entreprise. Que l’on décide de partir en famille, ou entre amis, les individus du groupe vont devoir s’adapter en fonction des uns et des autres. La diversité des personnalités et des besoins de chacun demande une vraie cohésion de groupe et inévitablement, chaque individu rentrera inconsciemment dans son rôle. D’ailleurs, l’industrie cinématographique raffole des vacances, et surtout entre amis. Le groupe permet de développer des personnages opposés, mais complémentaires, auquel tout le monde peut s’identifier. Comme l’explique Fabien Onteniente, réalisateur de la saga Camping, “ce qu’on voulait raconter depuis le début, c’était un type de vacances…” ! Car au-delà des personnages, le sujet des vacances permet au scénariste de créer des situations cocasses ou encore des conflits. Alors, même si votre bande d’amis n’est pas aussi déjantée que Les Bronzés, ou que personne n’attend Patrick, elle vous permet tout autant de développer votre capacité à résoudre des conflits ou à mener un groupe en tant que leader. 

Quand on passe des vacances à plusieurs, le choix des activités, l’organisation de la journée, et le bon déroulement du séjour repose souvent sur une décision de groupe. Néanmoins, les leaders du groupe influencent en grande partie la décision finale sans même s’en apercevoir. 

Si l’objectif des vacances est de profiter, alors le leader du groupe doit insuffler l’envie et donner les moyens de s’amuser. Bien sûr, pas de pression, c’est les vacances tout de même ! Mais dans chaque groupe se joue des rapports humains, et les leaders savent influencer le groupe et les décisions finales. 

Préparer la rentrée pour apprendre à gérer son temps

Mi-août, c’est le moment pour les rayons des supermarchés de se remplir d’agendas et de stylos quatre couleurs, et pour les parents de préparer la rentrée. Cette période de l’année est souvent stressante et demande une organisation infaillible. Cela peut paraître anodin, mais retrouvez-vous devant un rayon fourniture un 25 août au sein d’une grande enseigne de distribution et vous comprendrez très vite pourquoi préparer la rentrée est un excellent moyen de développer vos compétences en prise de décision et en gestion du temps.

Entre la multitude de choix, la liste interminable de fournitures et les exigences des premiers concernés (c.-à-d. les enfants), il faut savoir prioriser et faire des choix efficacement. De plus, le “budget fourniture” est souvent exorbitant, demandant aussi une certaine dextérité à analyser les prix et à veiller à respecter le budget établi. Ainsi, la course aux fournitures est la période idéale pour développer sa capacité à prendre des décisions, malgré les contraintes et l’urgence. 

Mais préparer la rentrée n’est pas qu’une question de fournitures. Il faut également préparer l’année scolaire à venir ! C’est là que vos capacités en gestion du temps vont être cruciales, car la rentrée est souvent synonyme de paperasse administrative : inscription à la cantine – ou non ; inscription aux activités extrascolaires, mise en place des calendriers – vacances et voyages scolaires, activités, échéances de paiement ; cette période de l’année demande une bonne dose d’organisation et d’anticipation, des compétences extrêmement convoitées dans les entreprises.

 

En conclusion, même lorsqu’une décision ne semble pas importante, ou qu’une situation paraît anodine, nous mobilisons toujours nos soft skills pour répondre à notre environnement et nous adapter. Ainsi, nous évoluons en continu, de partout, à travers ce que nous vivons au quotidien et des enseignements que nous en tirons. 

 

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