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C’était le G20 YEA à Buenos Aires… Interview exclusive de Jean-Louis Grégoire, DG International de Citizen Entrepreneurs

 

C’était le G20 YEA 2018 à Buenos Aires…

Interview exclusive de Jean-Louis Grégoire, DG International de Citizen Entrepreneurs

De jeunes dirigeants venus du monde entier se sont réunis, fin septembre en Argentine, pour le 10ème sommet annuel du G20 YEA (Young Entrepreneurs’ Alliance), équivalent du G20 politique et de son pendant business, le B20 (les représentants de grandes entreprises et d’organisations patronales des pays du G20).

Venus établir des préconisations à leurs gouvernements en matière d’éducation, thème central de ce G20 YEA, mais également en matière de mobilité et de fiscalité, près de 300 entrepreneurs (40 ans de moyenne d’âge) ont fait le voyage cette année. Les 33 entrepreneurs de la délégation française ont été sélectionnés par un jury et accompagnés par Citizen Entrepreneurs, l’association représentante de l’alliance des entrepreneurs du G20 en France, créée par Grégoire Sentilhes, entrepreneur et président de la société de gestion de fonds indépendante NextStage AM.

Pour ce sommet tourné vers les questions d’éducation, Citizen Entrepreneurs a demandé à Coorpacademy, pour sa R&D en sciences de l’apprentissage et ses connexions avec le monde scientifique, de l’accompagner dans l’élaboration d’un ouvrage de référence permettant de nourrir les débats et préconisations de ce G20.

Intitulé « Get ready for the skills Economy – Learn, Act, Share » ; cet ouvrage se présente sous forme de livre blanc avec une série de contributions issues du monde académique, entrepreneurial et institutionnel. Parmi les contributions : celles par exemple de Jean-Laurent Bonnafé, PDG de BNP Paribas ; Alain Roumilhac, Président de ManpowerGroup France, co-auteur d’un article avec Jean-Marc Tassetto, co-fondateur de Coorpacademy ; Mark Weinberger, CEO du cabinet de conseil EY ; Pierre Dillenbourg, Professeur à l’EPFL (École Polytechnique Fédérale de Lausanne) ; Alain Fayolle, Professeur et Directeur du Centre de Recherche de l’emlyon business school ; Lamia Kamal-Chaoui, Directrice du Centre pour Entrepreneurs à l’OCDE ; Chee Kit Looi, Professeur à la Nanyang Technological University de Singapour ; Corey Allen Billington, Professeur à l’University of Wyoming ; Sylvain Bureau, Directeur Scientifique de l’Institut Jean-Baptiste Say à l’ESCP Europe ; des experts de l’entreprise de conseil mondiale Accenture, etc.

En plein G20 YEA 2018, nous avons eu l’occasion de rencontrer Jean-Louis Grégoire, passionné d’entrepreneuriat et Directeur Général International de Citizen Entrepreneurs. Nous avons pu lui poser quelques questions.

Comment Citizen Entrepreneurs accompagne les entrepreneurs en France ?

L’objectif de Citizen Entrepreneurs en France est simple : nous souhaitons accompagner des entrepreneurs à l’international. De façon plus générale, nous entendons être un des porte-voix de la cause entrepreneuriale en France avec Citizen Entrepreneurs et à l’international avec le G20 YEA, et nous cherchons à identifier les futures pépites de demain, celles qui vont devenir des championnes. C’est notre raison d’être, depuis maintenant 10 ans, et ce que nous faisons au quotidien ; contrairement à beaucoup d’autres associations de ce type, nous sommes extrêmement présents à l’international.

Par ailleurs, en plus de promouvoir l’entrepreneuriat, qui est facteur de changement, de prospérité, de création d’emplois, nous souhaitons accompagner et encourager ces entrepreneurs à transformer le monde dans lequel nous vivons. Nous souhaitons les mettre en relation avec les autres entrepreneurs du G20, pour qu’ils puissent travailler ensemble à l’international : c’est là tout l’intérêt d’un G20 des Jeunes Entrepreneurs. Citizen Entrepreneurs assume par la même occasion un rôle de lobbying : l’association joue aussi un rôle d’intermédiaire entre les recommandations de jeunes entrepreneurs et le gouvernement. Nous tâchons de promouvoir l’entreprenariat, cette envie de créer et de transformer, à toutes les strates de la société.

Les entrepreneurs du G20 ont-ils des préoccupations communes ? Peut-on dire qu’il existe un ADN commun à tous ces entrepreneurs ?

Oui, nous pouvons dire qu’il existe un ADN commun entre ces entrepreneurs, et donc des préoccupations communes. Ce que j’ai pu constater, c’est qu’ils sont autonomes, qu’ils ont un projet et veulent faire de ce projet une réalité. Et ce sont des projets de création, des projets disruptifs, dans le sens innovant du terme. Si le projet n’est pas innovant, s’il n’est pas disruptif, il n’y a aucune chance que cela marche : ces entrepreneurs ont dans leur nature de penser out of the box, de sortir des sentiers battus.

Pour beaucoup d’entre eux, ils veulent donner une dimension sociétale à leurs projets, devenir des entrepreneurs citoyens, en rendant service à la communauté, à la société : cela fait partie de leur ADN.

Cet ADN commun, citoyen, sociétal, autonome et disruptif est moteur de transformation : ces nouveaux projets apportent de la création d’emplois, de la croissance supplémentaire, des changements sociaux, de la prospérité. En fin de compte, une véritable valeur ajoutée.

Quelles sont les préoccupations des jeunes dirigeants en matière d’éducation aujourd’hui ?

Partons d’un constat simple : avant, l’éducation était descendante. C’est le professeur qui parlait aux élèves, et cela s’arrêtait là : il n’y avait pas d’interactivité.

La rapidité du monde actuel et l’arrivée de nouvelles technologies à une vitesse folle amènent ce besoin, pour tout le monde, de remettre constamment ses connaissances à niveau. Et cette remise à niveau prendra plusieurs formes. Par exemple, sur les quatre technologies majeures actuelles que j’ai identifiées, trois sont apparues (ou ont pris énormément d’ampleur) dans les 36 derniers mois. Le Big Data, et ces nouvelles méthodes pour gérer d’immenses flux de données ; l’Intelligence Artificielle, qui mixe les Big Data à des algorithmes pour faciliter les prises de décision ; la technologie Blockchain, déjà extrêmement importante à tous les niveaux, pour tous les secteurs pour la désintermédiation et la transparence des échanges ainsi que la traçabilité qu’elle implique. Avec l’arrivée soudaine de ces trois technologies majeures, l’éducation se retrouve devant un défi de taille : il faut une remise à niveau des compétences très régulière, il faut une éducation transversale.

Interagir entre étudiants, travailler en projet ; il y a en effet plus d’idées dans plusieurs têtes réunies que dans une seule, et cela favorise les nouvelles informations, les nouveaux projets. Promouvoir des approches par projet dans l’enseignement est important : cela regroupe les compétences mais développe aussi la pensée critique, la communication, l’appétence à gérer des problèmes complexes… Et, pour l’instant, ce travail en « mode projet » n’existe que très peu dans l’enseignement.

Nous le voyons tout de même un peu dans les pays anglo-saxons, lorsque des universités, des centres de recherche et des entreprises se regroupent et collaborent sur des sujets communs. Il faudrait aboutir à des clusters d’enseignement, sur des sujets communs. Faire travailler le public, le privé, le monde académique ensemble. Regrouper des chercheurs qui savent faire de la recherche fondamentale, les centres de R&D qui font de la recherche appliquée, les gouvernements qui facilitent la commercialisation au travers de lois et d’une fiscalité favorisant l’innovation.

Si j’ajoute à tous ces changements la nécessité de travailler de manière intersectorielle, cela va amener de profonds bouleversements dans nos habitudes. Les préoccupations en matière d’éducation ? Mettre en place une éducation transversale, intersectorielle, et surtout continue, à tous les niveaux de la société.

Pourquoi, pour vous, l’éducation est-elle l’un des piliers fondamental de l’entrepreneuriat de demain ?

Par définition, un entrepreneur est disruptif, il va arriver avec quelque chose de nouveau qui va profondément modifier, bouleverser nos manières de faire. L’arrivée des VTCs a complètement déstabilisé le modèle original des taxis et du transport de personnes ; les entreprises de taxis plus « classiques » ont dû s’adapter pour tenter de revoir leur mode de fonctionnement. Mais c’est là où réside tout le problème d’un entrepreneur : s’il ne continue pas à disrupter, à revoir son mode de fonctionnement, quelqu’un va le faire à sa place et il va se faire disrupter – surtout à la vitesse à laquelle les choses avancent.

C’est ici que l’éducation continue est importante ; pour se maintenir dans ce cercle – certes vertueux, mais un peu contraignant – de la disruption, de l’innovation. L’entrepreneur est en quelques sortes « condamné » à remettre ses connaissances à niveau (donc à innover) constamment grâce à l’éducation continue ; s’il ne le fait pas, d’autres le feront à sa place. Ainsi les entreprises dans le digital (travaillant donc avec Internet) ne disposent pas de barrières à l’entrée, d’où la nécessité pour un entrepreneur d’être leader sur son marché, d’en avoir une vision globale et de croître le plus vite possible sous peine de se faire disrupter par un concurrent.

Qu’avez-vous pensé de ce G20 des Jeunes Entrepreneurs à Buenos Aires ?

Nous étions entourés par deux grandes organisations, complémentaires par leur savoir et leurs domaines d’expertise : d’un côté, Accenture, capable de deviner l’orientation que prendront les nouvelles technologies de manière précise ; d’un autre, EY, qui a un très bon ressenti du monde entrepreneurial, de la perception des entrepreneurs. À ce sommet de Buenos Aires, nous sommes venus chercher des bonnes pratiques, les nouvelles orientations, les nouvelles tendances de marché.

J’ai pu observer qu’il y avait de moins en moins d’entrepreneurs indépendants, mais de plus en plus d’entreprises formées autour de compétences complémentaires : nous observons de plus en plus de structures co-fondées avec des co-fondateurs, aux compétences transversales et complémentaires (type ingénieur/commercial).

J’ai aussi pu observer les bonnes pratiques mises en place dans d’autres pays, notamment en matière de fiscalité. S’inspirer de l’Inde, du Canada, de l’Australie, du Royaume-Uni, voir comment ils font en matière de fiscalité et ensuite « rapporter la bonne parole » en France, dans le cadre de notre rôle de lobbying. Depuis 2012, la France a bien progressé – en témoigne le mot start-up nation un peu sur toutes les lèvres – cependant, il y a encore beaucoup à faire : il faut passer de start-up nation à scale-up nation, le développement de ces jeunes pousses passera par l’international. Mais déjà, au sein de notre délégation française, 60% des entreprises avaient une véritable compréhension des enjeux internationaux et avaient commencé à se développer à l’international.

Ce G20 annuel étant placé sous le signe de rencontres internationales entre entrepreneurs. Nous entendons jouer un triple rôle : être force de proposition auprès des gouvernements du G20 (lobbying), faire du networking (échange de bonnes pratiques) et faire du business pour que les entrepreneurs développent leurs propres activités à l’international.

Merci Jean-Louis !

Télécharger le livre blanc du G20 YEA 2018 : https://info.coorpacademy.com/SkillsEconomyPaper

En savoir plus sur Citizen Entrepreneur : http://www.citizen-entrepreneurs.com/

 

 

Instruire n’est pas synonyme d’apprendre

À quoi ressemblera le métier d’enseignant demain ? Pour répondre à cette question, LinkedIn vous invite à participer à la série #ProfDuFutur. Pour cela, il suffit de réagir en commentaire ou de publier un post, un article ou une vidéo avec les hashtags #ProfDuFutur #MétierDuFutur. Cet article a été publié en premier lieu par Frédérick Bénichou, co-fondateur de Coorpacademy, sur LinkedIn pour la série #ProfDuFutur. Pour le lire dans sa forme originale, c’est ici.

L’impact évident de l’Intelligence Artificielle sur l’éducation est perçu avec enthousiasme par les uns et avec attentisme et parfois même résistance par les autres. Cet impact se structure en trois niveaux comme le dit Pierre Dillenbourg, professeur à l’EPFL (Dillenbourg et al., Machine Teaching, in: Get ready for the skills economy: Learn, Act, Share; G20 Young Entrepreneurs’ Alliance Summit 2018) :

1- Impact sur les méthodes d’apprentissage : L’IA permet de plus en plus facilement d’adapter les parcours pour correspondre au mieux aux besoins d’un apprenant individuel.

2- Impact sur les contenus : Les produits générés par l’IA sont partout autour de nous ; la pensée computationnelle devient compétence clé pour tous : les élèves mais aussi le corps enseignant.

3- Impact sur la gestion des élèves : Analyse et prise de décision d’une précision inconnue jusqu’alors, basées sur le big data et le comportemental.

1. Expérience d’apprentissage : aujourd’hui et demain

La transformation des méthodes pédagogiques est déjà bien entamée. Cependant « instruire n’est pas synonyme d’apprendre » : ce qui est en jeu est ici moins la méthode d’instruction que les processus d’apprentissage.

Pour s’approprier des sujets, les élèves doivent être engagés, impliqués, moteurs. Pour créer cet engagement, les modalités de la formation ont déjà bien changé…

Bye bye à l’approche « one size fits all », au contrôle complet de l’enseignant(e), et aux séquences d’apprentissage longues, linéaires et au timing fixe. Bonjour à l’apprentissage flexible, (semi-)autonome, décomposé en épisodes de micro-learning. Ce nouveau mode d’apprentissage, représenté dans le monde digital par la dénomination définie par Gartner comme “Learning Experience Platforms”, fonctionne parce qu’il correspond au rythme de vie de ceux qui apprennent : fragmentation de la capacité de concentration, lecture sur écran, temps masqué en mobilité…

Dans le futur proche, l’évolution des modes d’apprentissage devra pousser l’éducation scolaire à préparer les enfants à développer leur autonomie et les compétences méta-cognitives nécessaires pour devenir des « lifelong learners » actifs. Préparer les élèves d’aujourd’hui à la formation continue est sans aucun doute l’enjeu majeur des prochaines années.

2. La pensée computationnelle : compétence pour TOUS les métiers du futur

Les enseignant-e-s ressentent chaque jour l’impact du digital sur leur profession. Les nouveaux outils disponibles sont multiples : logiciel de gestion d’école et de coordination entre enseignant-e-s/direction/élèves, plateforme de gestion de classe et d’activité pédagogique en ligne, smartboards, ressources éducatives libres, smartphone-apps/ jeux éducatifs, etc. Mais on ne pourra se satisfaire d’utiliser les nouvelles technologies pour enseigner les mêmes contenus, pour aider les élèves à développer les mêmes compétences !

Plusieurs études ont démontré que l’école doit préparer les enfants à un monde qui sera radicalement différent. Ainsi, le World Economic Forum estime que 65% des enfants entrants à l’école aujourd’hui auront un métier que nous ne connaissons pas encore et qu’ils en changeront près de 9 fois.

Parmi les compétences les plus pertinentes dans une économie et société de plus en plus digitale se trouve la pensée computationnelle. Toute personne active professionnelle ou simplement citoyenne en aura besoin pour pouvoir comprendre, analyser de manière critique et influencer le monde d’aujourd’hui et de demain.

De quoi s’agit-il ? On ne parle pas de la programmation en soi. Ce mode de pensée comprend des facteurs tels que la séparation des problèmes en parties plus petites (modularisation), le développement d’instructions étape par étape pour la résolution d’un problème (algorithme), l’observation de régularités dans les données (identification de patterns), la maîtrise de différents niveaux d’abstraction (encapsulation), la gestion de la complexité et des problèmes ouverts, etc.

La pensée computationnelle commence à entrer dans les programmes scolaires. Après les grandes écoles comme l’École polytechnique de Lausanne ou l’Université Nationale de Singapour qui enseignent la pensée computationnelle à tous les étudiants de toutes les branches, certaines écoles primaires et secondaires s’y mettent.

Pour les professeurs, c’est le challenge. Ce n’est qu’en travaillant leurs célèbres « 21st century skills », dont en premier rang la pensée computationnelle, qu’ils pourront participer pleinement à la transformation digitale de l’éducation, en tant qu’acteurs.

C’est ce que réclame, par exemple, François Taddéi, directeur du Centre de recherches interdisciplinaire de l’université Paris Descartes. C’est également le point de vue de la Commission Européenne qui définit les compétences digitales des enseignants.

3. Ces Learning Analytics qui changent le travail des enseignants

Aujourd’hui les logiciels de gestion de classe permettent d’analyser si et comment un élève a fini un exercice ou examen ; l’indicateur principal reste le taux de réussite ou de complétion.

Dans l’école du futur, les enseignants auront accès à des data plus massives, mais également plus complètes et surtout comportementales.

En extrapolation du mouvement EdTech qui translate les Learning Management Systems vers les Learning Experience Platforms, des véritables learning analytics arrivent aussi dans ces plateformes destinées aux écoles. Ces learning analytics seront basées sur des données plus complètes : elles dessineront le parcours et l’approche d’apprentissage de chaque élève, avec par exemple la curiosité, la régularité ou la capacité collaborative de l’élève. Prenons l’exemple de la persévérance pour illustrer la valeur de ces nouveaux indicateurs. Des chercheurs comme Angela Duckworth (voir son TED talk) ont pu démontrer que la persévérance est fortement corrélée avec la performance académique.

Si tout le monde est persuadé des évolutions en cours et à venir, nous constatons chaque jour des résistances au changement, des appréhensions qui rendent l’appropriation du sujet bien difficile. Il n’y a qu’à voir des initiatives dignes de la science fiction comme Neuralink (Elon Musk). Quoi que l’on en pense, une chose est acquise : nous ne pourrons pas éviter la vague. Mieux vaut apprendre à la surfer. Les années à venir promettent d’être passionnantes.

Un article de Frédérick Bénichou, co-fondateur de Coorpacademy, publié sur LinkedIn dans la collection #ProfDuFutur. L’article est disponible ici.

Coorpacademy obtient la certification du Learning & Performance Institute

 

Coorpacademy vient juste de célébrer son 5ème anniversaire et nous sommes ravis de vous annoncer notre dernière bonne nouvelle venue tout droit du Royaume-Uni, quelques mois seulement après notre installation à Londres.

Figure d’autorité reconnue dans le secteur de la formation, le Learning & Performance Institute (LPI) a accrédité la Learning Experience Plaftorm de Coorpacademy, centrée sur l’utilisateur et utilisée par 700 000 personnes dans le monde. Les points forts mis en avant par LPI : les apprenants ont accès à un catalogue de plus de 750 cours (+ de 700 vidéos courtes et 6000 questions), co-édités avec une trentaine de partenaires (Brightness, les Éditions Dunod, Euronews, les Éditions Eyrolles, Fabernovel, les Éditions Hachette, IBM, Management, Usbek & Rica, Wolters Kluwer…). Le tout en adéquation avec les nouveaux modes de consommation : les apprenants peuvent accéder à leurs formations sur n’importe quel support, où et quand ils veulent.

Pour le Learning & Performance Institute, la plateforme de Coorpacademy aide ses 100 clients représentatifs de la quasi-totalité des secteurs d’activité (notamment les secteurs du luxe, du retail, de l’automobile, de la grande distribution, des transports, des banques et assurances…) à être plus efficaces en:

– Les aidant à devenir des entreprises apprenantes

– Développant les compétences comportementales et l’acculturation digitale de leurs salariés

– Renforçant l’engagement de leurs salariés et leur employabilité grâce à une meilleure connaissance des outils digitaux

– En intégrant facilement des cours custom et des cours d’onboarding de l’entreprise

3 mois après le référencement par les analystes de chez Gartner comme Learning Experience Platform (LEP) dans son Market Guide for Corporate Learning Suites, cette nouvelle accréditation confirme notre ambition d’être un partenaire stratégique des grandes entreprises et PMEs au Royaume-Uni.

Le marché anglais de la formation est en train de se transformer et tend vers une culture d’apprentissage continu en phase avec le monde du travail d’aujourd’hui. C’est un moment clé, à la fois pour une entreprise de la tech comme la nôtre mais également pour les entreprises qui ont pris conscience de l’urgence de mieux accompagner la montée en compétences de leurs collaborateurs. 

Découvrez-en plus sur le Learning & Performance Institute ici. Notre profil sera bientôt disponible sur leur site web.

Pour plus d’informations sur cette accréditation et les indicateurs clés de performance associés, vous pouvez nous contacter à [email protected].

Anticiper le monde de demain : pourquoi ce nouveau cours avec Brightness ?

 

Quand Johannes Gutenberg invente l’imprimerie au milieu du XVème siècle, est-il conscient des impacts que sa géniale invention aura sur la transmission du savoir et le monde de demain ? Tout comme Thomas Edison, en 1879 avec l’invention de l’ampoule à incandescence : savait-il que cette innovation allait complètement bouleverser nos modes de vie et la façon dont nous nous éclairons ? Au cours de l’histoire de l’Humanité, des inventions majeures ont radicalement transformé le monde et l’ont façonné tel que nous le connaissons aujourd’hui.

Et aujourd’hui, qu’en est-il ? Certains spécialistes parlent de “plusieurs Gutenberg simultanés.” Jamais le monde ne s’est transformé si rapidement. L’évolution des technologies de l’information a amené des changements radicaux dans les business models, et l’avènement de nouvelles technologies comme la blockchain ou l’intelligence artificielle couplée au machine learning rend le futur de plus en plus incertain. De quoi demain sera fait ? Quelles seront les futures innovations de l’ampleur de l’imprimerie, de l’ampoule ou du téléphone ? Comment vont évoluer des technologies comme la robotique, les biotechnologies ou encore la réalité virtuelle ? C’est face à ces incertitudes que Brightness intervient.

L’histoire de Brightness débute en 2009, quand l’agence prend racine à la création de TEDxParis, le premier TEDx européen, des événements TED indépendants. Michel Lévy-Provençal, son créateur, s’associe à Nawal Hamitouche pour créer l’agence Brightness. Son but : former les dirigeants et leurs équipes à devenir acteur de la transformation du monde grâce à la formation à la prise de parole en public et aux enjeux de l’innovation, et ce au travers de formations, workshops et événements. En 2013, Brightness créé L’Échappée Volée, le premier do-tank qui met l’innovation au service du bien commun. Un do-tank, qui provient de l’expression think-tank (un laboratoire d’idée), mêle travail intellectuel et expérimentations sur le terrain. L’Échappée Volée vient de rassembler, pour sa 5ème édition, 3000 personnes et plus de 40 speakers à la Seine Musicale, en région parisienne. Pour son fondateur, « L’Échappée Volée est au développement des talents ce que TED est à la diffusion des idées. »

Pour clôturer cette conférence qui mêle talks inspirants, performances artistiques et innovations, Brightness et Coorpacademy sortent un nouveau cours sur l’anticipation du monde de demain. Devant la vitesse des transformations et l’évolution des modèles et des idées, les organisations ont compris qu’il est plus risqué d’être attentiste que d’expérimenter et d’initier des démarches de transformation en leur sein. Ces mêmes organisations ont aussi compris que ces démarches passent par une formation des talents, des dirigeants et de leurs équipes, aux nouveaux enjeux et aux nouvelles transformations.

S’il est impossible de prédire le futur, ce cours apporte les clés pour l’anticiper au mieux. Les promesses de l’intelligence artificielle, entre IA faible et IA forte, la transformation des organisations et des modèles managériaux, les mutations de la société : ce tout nouveau cours, le 4ème co-édité avec Brightness, vous permettra de rester en éveil face aux transformations et d’anticiper au mieux les clés d’un futur incertain qui s’annonce passionnant. En synchronisation et en complémentarité avec l’Échappée Volée, qui « crée les conditions pour se retrouver, découvrir des idées nouvelles et des personnalités hors du commun, des signaux faibles qui méritent d’être reconnus et soutenus parce qu’ils contribuent à inventer un nouveau monde » selon Michel Lévy-Provençal, co-fondateur de Brightness.

Pour découvrir le cours, c’est ici. Vous y trouverez les clés pour anticiper le monde de demain au mieux.

Notre catalogue de cours passe à l’allemand

 

Parce que Coorpacademy est née en Suisse et que vous étiez nombreux à nous le demander, la langue allemande fait enfin son entrée dans le catalogue de cours de Coorpacademy !

A cette occasion, nous sommes heureux de vous présenter, en avant-première et en allemand, les 15 premiers cours qui pourront être intégralement suivis en allemand, soit 160 modules de microlearning! Au programme : des cours “Coorpacademy Originals” et des cours co-édités avec des partenaires experts (IBM, Usbek & Rica, Fabernovel Institute), issus de 3 de nos collections phares : Culture Digitale, Futur du Travail et Efficacité Professionnelle, pour préparer la transformation digitale de votre organisation, faire monter en compétences vos collaborateurs et développer leur employabilité ! Bonne découverte !

Vous avez sans doute entendu parler de blockchain, une technologie qui s’apprête à bouleverser le monde de la finance, de l’énergie et bien d’autres. Avec ce cours co-édité avec IBM, décryptez son fonctionnement, entre minage, smart contracts et consensus.
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Le potentiel de cette technologie provoque l’enthousiasme dans un grand nombre de domaines, du médical aux crypto-monnaies. Découvrez dans ce cours co-édité avec IBM les applications de cette technologie.
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Électroménager intelligent, assistants vocaux, voitures autonomes… Les robots sont partout ! Mais qui sont-ils vraiment ? Découvrez leur portrait… robot dans ce cours co-édité avec Usbek & Rica, le média qui explore le futur.
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Les réseaux sociaux ont modifié nos modes de vie et de consommation. Mais comment bien les utiliser dans un cadre professionnel ? Comment rendre son entreprise visible sur LinkedIn ou Facebook ? Découvrez leur fonctionnement et apprenez à les utiliser efficacement dans le cadre professionnel.
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Pour le consommateur actuel, l’expérience d’achat doit être la plus continue possible, et utiliser une multitude de canaux de communication. Découvrez comment mettre en place une stratégie omnicanale !
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Le smartphone est maintenant incontournable dans nos modes de consommation. Comment lancer son entreprise dans le mobile ? Avec une application ou un site ? Découvrez-le dans ce cours !
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Minimum Viable Product, Minimum Lovable Product, lean startup… Ces notions qui proviennent du monde des startups s’inscrivent dans la recherche constante de la meilleure expérience utilisateur possible : découvrez-les !
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Découvrez dans ce cours qui utilise la technique d’Adaptive Learning - une technique d’enseignement personnalisé - si vous êtes prêt à ouvrir votre boutique en ligne !
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Il est maintenant rare de trouver quelqu’un qui n’a pas commandé un produit sur Internet… Mais comment vendre en ligne ? Quelles sont les futures tendances du e-commerce ? Tout est dans ce cours !
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Difficile de passer à côté de la vidéo pour sa communication professionnelle. Ce cours vous donnera les clés pour produire vos vidéos, choisir votre plateforme d’hébergement ou encore les diffuser efficacement !
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Avez-vous déjà entendu parler de la recherche booléenne ? Ou du Quality Score ? Avec ce cours, découvrez toutes les facettes et fonctionnements des moteurs de recherche, nos portes d’entrée sur Internet…
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Ce cours d’Adaptive Learning co-édité avec Fabernovel Institute vous enseigne le Design Thinking, qui se caractérise par l’implication de l’utilisateur final. Le tout dans une mise en situation dont vous êtes le héros !
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Pour favoriser l’émancipation et la créativité des employés, le management s’éloigne du simple coercitif. Dans ce cours co-édité avec le professeur François Fourcade, découvrez un nouveau modèle managérial, collaboratif et innovant.
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Entreprises “libérées”, recherche de sens dans les missions des collaborateurs, nouveaux outils digitaux : comment s’adapter à ces transformations en entreprise ? Ce cours co-édité avec Management vous en donne les clés !
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Nous vous souhaitons une bonne découverte de ce catalogue en allemand ! Enjoy Learning! Gerne lernen!

Pour en savoir plus, vous pouvez vous rendre sur cette page qui présente Coorpacademy en allemand en cliquant ici.

Lancement du Jeu Concours Instagram « Show us where you learn »

 

Sur la plateforme de Coorpacademy, vous pouvez apprendre où vous voulez, quand vous voulez, sur n’importe quel support. Et parce qu’une image vaut plus que 1000 mots, nous lançons le jeu concours “Show us where you learn!” Profitez de la mi-temps d’un match de Coupe du Monde pour faire un cours de microlearning en 5 minutes, détendez-vous dans un parc lors d’une après-midi ensoleillée en découvrant l’origine de la blockchain ou remplacez, pendant quelques minutes, votre lecture à la plage pour apprendre à bien délivrer un talk : avec Coorpacademy, les occasions d’apprendre sont plurielles et nombreuses !

Pour participer, rien de plus simple ! Suivez les étapes suivantes et vous pourrez peut-être gagner un week-end surprise pour deux d’une valeur de 300€ !

  1. Suivez @coorpacademy sur Instagram
  2. Envoyez-nous en privé sur Instagram une photo de la plateforme Coorpacademy de l’endroit où vous apprenez (accessible sur www.coorpacademy.com). Nous la relayerons sur le compte Instagram officiel de Coorpacademy si elle respecte les critères d’une photo réussie ci-dessus ; l’esthétique et l’originalité seront également prises en compte ! 
  3. Commentez la photo du jeu concours en utilisant la mention #Mylearningspot, et en taggant la personne avec qui vous aimeriez partir.

À la fin du concours, les photos gagnantes seront choisies par un jury et les gagnants avertis par messages privés. À gagner, 3 prix : un week-end surprise pour deux d’une valeur de 300€ pour le premier prix, une Google Home pour le deuxième et une Google Home mini pour le troisième ! Restez à l’écoute pour plus d’informations ! Fin du concours : 1er Septembre 2018.

En attendant, keep learning everywhere, et rendez-vous sur Instagram !

Ce concours n’est en aucun cas sponsorisé par Instagram ou par Google. En participant, vous confirmez que vous avez plus de 18 ans.

Pour lire le règlement complet et les mentions légales, c’est ici.

Interview exclusive avec Éric Pommat, Directeur Digital et Business Development chez Dunod

 

Coorpacademy démarre une collaboration avec les Editions DUNOD.

La célèbre maison d’édition du groupe Hachette Livre, est – entre autres – le 1er éditeur business en France.

Avec des signatures fortes comme Mercator, Strategor, Communicator et des collections emblématiques comme La Boîte à outils, les 5 Clés ou 2h chrono, DUNOD n’a jamais cessé d’innover.

Du livre au digital learning, DUNOD accompagne avec succès les collaborateurs de toute entreprise dans leurs besoins de formation, sur des thématiques métiers mais aussi sur des soft skills (créativité, confiance en soi, gestion du stress, gestion du temps…), avec une pédagogie éprouvée.

En coédition avec ce partenaire, nous venons de lancer un premier cours sur le thème de la pleine conscience au travail. Deux autres cours sont d’ores et déjà programmés : Boostez ma créativité avec le Mind-Mapping et Efficace dans mon job à l’ère digitale !

A l’occasion de cette toute nouvelle collaboration, nous avons rencontré Eric Pommat, Directeur du Développement.

Dunod est une maison d’édition créée il y a plus de deux siècles. Comment pensez-vous que les livres et le digital learning peuvent – et doivent – cohabiter dans la formation tout au long de la vie ?

Actuellement, nos livres au format papier coexistent avec le digital learning. Tout comme ils coexistent avec leurs versions e-book ou l’écosystème des produits de la formation professionnelle – dont ils font partie – comme la formation présentielle et les conférences d’actualité, la galaxie du gratuit allant des vidéos YouTube aux blogs en passant par les MOOC ou le social learning  ; ou encore des formats pédagogiques plus innovants tels que le tutorat inversé, le peer-to-peer ou les learning expeditions…

Ces offres coexistent car elles répondent à des besoins et usages différents. C’est une très bonne nouvelle pour les apprenants de pouvoir accéder à cette diversité, et nous nous en réjouissons !

Chez Dunod, au-delà du produit, ce sont les usages qui nous intéressent. Les usages en matière de formation évoluent, portés par les possibilités offertes par le numérique, par les besoins de formation qui ont évolué – aujourd’hui, on doit apprendre tous les jours – et facilités par l’évolution progressive de la réglementation du secteur.

Et aujourd’hui, il y a autant d’usages que d’individus ! Nous ne voyons pas l’émergence du digital learning comme la mise en danger du livre car ils correspondent à des usages différents. Nous y voyons en revanche une belle opportunité de développement, très cohérente et assez évidente pour une maison d’édition comme la nôtre : le digital learning est en effet un métier très proche de l’édition, beaucoup plus que ne l’est la formation présentielle, d’ailleurs ! Nous disposons notamment de contenus, d’un vaste réseau d’experts, etc.

Avec ses livres, Dunod a finalement commencé à être acteur de la formation à distance… il y a 2 siècles !

Pourquoi avoir choisi Coorpacademy pour permettre au savoir issu de vos livres d’être transmis différemment ? Quelle valeur voyez-vous dans cette diffusion digitalisée et gamifiée ?

Ce qui nous séduit chez Coorpacademy, c’est avant tout le concept de la plateforme : un format pédagogique homogène et innovant (s’inspirant de la pédagogie inversée), engageant (format court, granulaire, gamifié), en phase avec les codes actuels.

C’est aussi une promesse utilisateurs claire et une approche éditorialisée rare dans le secteur du digital learning – qui colle bien à notre ADN de maison d’édition – avec des partis pris dans lesquels nous nous retrouvons : qualité portée au contenu et à la pédagogie, vidéos en motion design, par exemple.

Nous voyons dans les cours Dunod by Coopacademy une façon originale de diffuser nos contenus en répondant à de nouveaux usages, de toucher de nouvelles cibles et d’autres marchés : BtoB, monde anglophone par exemple.

Et puis, nous avons envie de croire aux modèles de plateformes de formation « à la Netflix ». Cela va dans le sens de l’histoire et de la réforme annoncée de la formation professionnelle.

Oui, Coorpacademy coche beaucoup de cases !

Notre premier cours sur la Pleine Conscience au travail vient tout juste de paraître. Identifier nos “voleurs d’attention”, revenir à soi à l’instant présent, mettre en pratique des exercices pour renforcer son attention, figurent parmi les notions abordées. Pouvez-vous nous en parler ?

Pour concevoir le cours « Pleine Conscience au travail », nous nous sommes appuyés sur l’expertise de Nathalie Van Laethem, qui a publié chez Dunod la Boîte à outils de la Pleine Conscience.

A l’ère digitale, plus que jamais, nous vivons dans une économie de l’attention. Comme le dit Tristan Harris, l’ex-philosophe produit de Google: « Technology is hijacking our minds ».

« Nous sommes dans une ère où notre attention est convoitée par une horde d’ingénieurs travaillant pour des organisations ayant beaucoup de moyens ». (Cal Newport dans son ouvrage « Deep Work »). En bref, notre attention est aujourd’hui un bien rare et précieux, piratée par les géants de la Silicon Valley…

Dans nos vies professionnelles – dont les frontières sont d’ailleurs de plus en plus floues avec nos vies personnelles – nous interrompons la lecture de nos mails pour passer à un message WhatsApp, avant de consulter un récapitulatif de fil Twitter, et nos notifications Facebook.

Nous sommes comme happés et nous perdons la sensation de nous-mêmes.

La méditation de Pleine conscience (Mindfulness en anglais) est une pratique laïque, de développement personnel, qui permet d’arrêter – un instant – le pilote automatique, de se rappeler à soi et de porter notre attention au moment présent : à nos sensations, émotions, mental, à ce que nous faisons et à la situation telle qu’elle est.

Les études scientifiques prouvent que la Pleine conscience permet de réduire le niveau de cortisol, l’hormone du stress !  

En pleine conscience, nous allégeons nos tensions et gagnons en tranquillité, nous ouvrons notre champ de perception et gagnons en compréhension de nous et des autres.

L’objectif de ce cours est de faire découvrir ces nombreux bienfaits de la Pleine conscience et de pratiquer instantanément les exercices, tels que le rappel à soi.

Merci Éric !

Pour jouer ce cours, rendez-vous sur la plateforme Coorpacademy !

VIVA Technology 2018 : retour sur ces 3 jours de salon

 

Les 24, 25 et 26 mai derniers, le paysage tech français était en ébullition. Pour cette 3ème édition du salon, plus de 100 000 personnes, 8 000 startups et 2 000 investisseurs se sont rassemblés à Paris Expo Porte de Versailles.  Invités de marque (Emmanuel Macron, Président de la République, Mark Zuckerberg, CEO de Facebook ou encore Ginny Rometty, Chairwoman, Présidente et CEO d’IBM, entre autres) étaient présents lors de cette édition sous le signe du Futur du Travail, de la HRevolution (Révolution RH) et du « Girl Power » (40% des speakers étaient des femmes). Coorpacademy était accueillie sur le Lab de ManpowerGroup France, qui a rassemblé grands groupes et startups du recrutement et des Ressources Humaines d’échanger pendant cet événement phare de la tech. À cette occasion, nous avions pu rencontrer Gwenaëlle de la Roche, Directrice Marketing et Prospective de ManpowerGroup France, dont l’interview est disponible sur notre blog.

C’est tout le paysage tech français qui était présent à Paris sur ces 3 jours. Avec pour objectif de présenter les innovations qui façonneront le monde de demain. Dans le domaine des transports, par exemple, on a pu découvrir le « Pop.Up » d’Airbus, un engin à mi-chemin entre drône et voiture qui permettrait d’effectuer des trajets sur des routes embouteillées, les futurs « taxis-volants » d’Uber. Dans la zone d’EDF Discovery, ce sont les robots qui ont fait le show dans une belle danse synchronisée.

Au niveau des thématiques, l’étude de Publicis Sapient, VivaData, qui a analysé les thématiques, sujets et verbatim de l’ensemble des conférences et des publications relatives au salon révèle des tendances fortes. les mots les plus utilisés ont été « People » (Personnes, ou collaborateurs) et « Think » (Penser). Le verbe « penser » a d’ailleurs été utilisé 65 fois dans la conférence d’Eric Schmidt, ancien patron d’Alphabet (la holding de Google). A l’heure de l’Intelligence Artificielle et du Big Data, l’humain doit penser continuellement le monde de demain : les entreprises, qu’elles soient startups ou grands groupes établis, l’ont bien compris et recherchent inlassablement les talents de la tech qui participeront aux innovations du futur.

Sur le Lab de ManpowerGroup France, l’attention était portée sur le Futur du Travail et la révolution RH qui se déroule actuellement. Mettre la technologie au service du potentiel humain, rendre les processus plus justes et plus performants, créer une société apprenante… La conférence « Netflix du savoir : le graal ? » d’Arnauld Mitre, co-fondateur de Coorpacademy, a interpellé le public sur la nécessité de ne pas dissocier contenant et contenu dans l’expérience d’apprentissage, avec en filigrane, la Learning Experience de Coorpacademy. Des plateformes dans plusieurs domaines, Netflix en tête dans l’audiovisuel, l’ont montré : l’expérience utilisateur ne suffit plus. Il faut maintenant proposer au consommateur, à l’apprenant, la meilleure expérience (la plateforme et tout ce qui peut y créer l’engagement) au meilleur contenu (les cours co-édités avec des partenaires sachants – IBM, Hachette, Eyrolles… – dans le cas de Coorpacademy). Et ainsi engager l’apprenant pour que le fait de suivre un cours ne soit ni une contrainte, ni une corvée, ni une étape obligatoire, mais une expérience gratifiante, enrichissante et formatrice. Car, selon John Cleese des Monty Python, « les gens n’apprennent pas quand ils dorment, mais ils apprennent très peu lorsqu’ils s’ennuient. »

« Learning Experience Platform » : une nouvelle génération d’acteurs identifiée par Gartner et incarnée par Coorpacademy

 

Après 4 ans d’existence, la plateforme Coorpacademy vient d’être identifiée par le cabinet d’analyses américain Gartner comme un acteur majeur des technologies et services d’apprentissage numériques destinés aux entreprises

Dans son nouveau guide « Gartner Market Guide for Corporate Learning Suites« , paru en mai 2018, Gartner fait émerger un nouveau segment de marché, les « Learning Experience Platform«  (LEP), reflétant ainsi le nouveau paysage des services et outils numériques destinés aux entreprises dans le domaine de la formation. Coorpacademy est référencée comme un acteur représentatif de ce segment avec 7 autres plateformes digitales.

L’auteur de l’étude, Jeff Freyermuth, considère qu’un nombre croissant d’entreprises sont à la recherche de systèmes de nouvelle génération qui sont des plateformes ouvertes, permettant une meilleure expérience d’apprentissage grâce à une plus grande personnalisation via de l’adaptive learning, des recommandations ou encore des parcours individuels de formation.

L’étude Gartner recommande aux décideurs qui souhaitent transformer la gestion de leur capital humain de prendre en compte en premier lieu,« l’expérience de l’apprenant et la facilité d’utilisation de la solution », qui doivent être considérées comme « des critères prioritaires pour tout nouveau projet d’apprentissage ». Par ailleurs, l’étude préconise que « les LEP émergentes doivent être évaluées pour améliorer ou étendre les plateformes existantes, de type LMS (Learning Management System).« 

Jean-Marc Tassetto, co-fondateur de Coorpacademy, salue ce rapport : « Coorpacademy est née en 2013 de cette vision du marché ; l’étude Gartner pose un nom aujourd’hui sur ce nouvel écosystème de la formation en entreprise qui repose sur l’engagement de l’apprenant avec les LEP, versus un ancien système de gestion centralisée avec les LMS traditionnels », déclare-t-il. « Il s’agit d’une évolution vraiment passionnante du marché de la formation professionnelle, et nous sommes fiers d’être listés comme l’un des 7 acteurs représentatifs de ce nouveau segment. »

Traditionnellement, la formation en entreprise était centralisée et descendante mais aujourd’hui le salarié souhaite prendre le pouvoir, c’est lui qui veut décider du « quoi », du « quand » et du « comment » il se forme. C’est d’ailleurs l’essence même de la nouvelle réforme de la formation professionnelle et du CPF crédité en euros et non plus en heures.


« L’étude souligne l’importance de se concentrer sur l’expérience de l’apprenant et la nécessité de comprendre les nouvelles manières d’apprendre, à distance, de plus en plus sur mobile, et à la convenance et au rythme de l’apprenant, ainsi que les nouvelles techniques pédagogiques, comme la vidéo, le jeu ou la collaboration, pour rendre la formation en entreprise plus engageante », continue Jean-Marc Tassetto. « La forte croissance de Coorpacademy est liée à cette recherche constante de l’engagement de l’apprenant, avec des taux d’engagement sur notre plateforme supérieurs à 80%, car de nombreux DRH ou directeurs de la formation ne veulent plus aujourd’hui de niveaux d’engagement de 10 à 20% qui ne sont tout simplement plus acceptables. »

Depuis ses débuts en 2013, Coorpacademy se focalise sur l’expérience de l’apprenant et innove régulièrement en s’appuyant sur son équipe de R&D et ses développeurs, ainsi que sur l’expertise des laboratoires de recherche de l’EPFL (École Polytechnique Fédérale de Lausanne), en pointe sur les technologies éducatives.

Parmi les dernières innovations en date : le nanolearning avec le chatbot vocal ou encore « 5-minute learning ».

Coorpacademy forme ainsi une communauté mondiale de 700 000 apprenants professionnels, dont 40% localisés hors Europe.

Note concernant Gartner : Gartner ne soutient aucun des fournisseurs, produits ou services présenté dans ses rapports de recherche, et ne conseille pas aux utilisateurs de technologie de se limiter aux fournisseurs les mieux classés. Nos rapports de recherche expriment les opinions de nos chercheurs et ne doivent pas être interprétés comme des déclarations de faits. Gartner décline toute garantie, explicite ou implicite, concernant cette étude, y compris toute garantie de qualité marchande ou d’adéquation à un usage particulier.

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