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Tendez l’oreille, la saison 3 de Coorpcast est là !

ChatGPT, semaine de 4 jours ou encore impact de l’avion sur le climat. Ces sujets ne vous surprendront plus : ils font partie de l’actualité et des débats du moment.  

C’est pourquoi nous les avons réunis dans la saison 3 de Coorpcast, notre série d’audiolearning consacrée à des sujets d’actualité et de prospective, stratégiques pour les entreprises comme pour leurs collaborateurs.

Dans cet article, plongez dans les coulisses de la conception des épisodes de cette série de podcasts conçus par notre équipe d’ingénieurs pédagogiques !

– ChatGPT : l’interview exclusive

Dans le premier épisode de cette saison 3, sorti en exclusivité au lendemain du lancement du robot conversationnel ChatGPT en novembre, nous tentons de répondre à la question suivante : jusqu’à quel point l’humain peut-il être remplacé en société comme au travail ?

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– Dans les arcanes de ChatGPT

Quelques mois après la révélation au public de ChatGPT et alors qu’OpenAI lance GPT-4, sa nouvelle version affinée del ChatGPT, nous revenons sur notre épisode spécial de CoorpCast avec une prise de recul « humaine » sur le contenu généré par l’IA, son potentiel et ses limites.

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– Avion et climat : quel impact, quels enjeux ?

Faut-il avoir honte de voler ? Oui, on vous parle bien ici d’avions !

3 jeunes sur 4 estiment que les vols de loisirs doivent rester exceptionnels pour limiter leur impact sur le réchauffement climatique et 38% des jeunes interrogés déclarent éprouver un sentiment de culpabilité lorsqu’ils prennent l’avion (Greenpeace, 2022)

Dans cet épisode, nous décortiquons le vrai du faux concernant l’impact de l’avion sur le climat.

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– “Le slashing” ou l’art de combiner plusieurs vies pro

Un collaborateur issu de la génération millénial reste en moyenne 2,75 années dans son poste au sein d’une même entreprise (Zippia, 2023). En outre, 65 % des jeunes de la génération Z déclarent qu’ils quitteront leur emploi d’ici la fin de l’année (Lever Great Resignation, 2022)

Les analyses sur le rapport au travail des jeunes générations abondent, évoquant notamment la tendance à la multiplication des jobs et des activités professionnelles pour leur épanouissement personnel : le “slashing”.

Dans cet épisode, découvrez l’art de combiner plusieurs vies professionnelles.

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– Semaine de 4 jours : les expériences se multiplient en Europe

Entre juin et décembre 2022, plus de 60 entreprises employant quelque 3.000 collaborateurs au Royaume-Uni ont participé à une expérimentation de l’association 4 Day Week Global. L’objectif ? Un test à grande échelle de la semaine de quatre jours. Le résultat ? Plus de 90% d’entre elles se disent certaines de maintenir la semaine de quatre jours.

Espagne, Italie, Islande, France… De nombreux pays commencent à se poser la question de la semaine de 4 jours. Dans cet épisode, nous découvrirons les avantages et les inconvénients de cette nouvelle organisation du travail.

Pour en savoir plus, faites une demande de démo !

Sens au travail : Il est où le bonheur, il est où ?

Avez-vous déjà vu un collègue heureux, mais vraiment très heureux ? Du genre à arriver au bureau en sautillant, et à sourire jusqu’à en avoir des crampes ?

On vous repose la question différemment. Avez-vous déjà vu un collègue malheureux, très malheureux ? Genre, à la limite du burn-out. Ça y est, vous avez bien quelqu’un en tête. On s’en doutait !

Pensez à lui offrir des brins de muguet ce 1er mai. Si d’aventure elles comportent 13 clochettes, c’est la promesse du bonheur au travail, de la félicité éternelle. Rien que ça…

Laissons de côté le langage des fleurs un instant pour comprendre : c’est quoi le bonheur au travail ? Ou plutôt, c’est quand ?

En effet, le bonheur au travail a cette particularité d’être court-termiste, a priori ponctuel et associé à des souvenirs précis dans le temps. Par exemple, se sentir joyeux, se sentir utile ou encore apprendre de nouvelles choses sont des sentiments associés au bonheur au travail.

Contrairement au bonheur, le sens au travail est quant à lui plus constant et recherché par pas moins de 87 % des collaborateurs, qui leur accordent beaucoup d’importance (selon une étude réalisée par Deloitte).

Pour bien illustrer les différences entre le sens et le bonheur au travail, le psychologue américain Roy Baumeister énumère cinq facteurs principaux dans ses recherches :

– Comme on le disait juste avant, la temporalité : ressentir du bonheur au travail est lié à des souvenirs précis dans le temps, là où le sens est plus linéaire et continu, avec une cohérence tout au long du temps qui passe.

– Obtenir ce qu’on veut : le bonheur est la satisfaction de voir ses désirs se réaliser. Ce n’est pas le cas pour le sens au travail. Par exemple, on peut être heureux d’accepter un poste plus prestigieux sans que cela n’apporte plus de sens à son métier.

– La vie sociale en entreprise : développer des relations avec ses collègues est important pour le bonheur comme pour le sens au travail, mais cela prend des formes différentes pour chacun des deux cas. Aider les autres, cela apporte du sens. Recevoir cette aide soi-même apporte du bonheur.

– Les défis rencontrés : le stress ressenti au travail, les conflits qui peuvent émerger, les challenges à surmonter peuvent tous faire partie du sens qu’on accorde à une mission. Le bonheur n’inclut pas ces caractéristiques.

– L’identité personnelle : le sens au travail permet un développement personnel beaucoup plus fort. Le bonheur qu’on peut ressentir n’est pas lié à ce besoin d’identité.

Trouver enfin du sens à son travail serait d’ailleurs le premier facteur au bonheur. C’est lorsque notre travail nous stimule que nous ressentons le plus de motivation. Alors finalement, qu’est-ce qu’on préfère souhaiter à nos pairs : le bonheur – éphémère – ou plus de sens au travail ?

On vous laisse juges, mais en attendant, on s’empresse de compléter notre propre bouquet.

Tout comprendre à ChatGPT : découvrez notre Podcast sur l’intelligence artificielle produit par de l’intelligence artificielle

Coorpacademy by Go1 vous propose en format audio-learning une interview exclusive de ChatGPT, le nouveau robot conversationnel de l’entreprise californienne OpenAI, rendu public fin novembre. Précision, et non des moindres, ce podcast de la série Coorpcast a été produit entièrement (ou presque) par une IA : structure, questions, réponses et voix.


Bonne écoute !

 

ChatGPT sait rédiger les devoirs de vos enfants, générer des textes précis et pertinents pour vos présentations, produire le code d’une application mobile sur mesure, inventer des histoires et des blagues qui n’ont encore jamais existé… le tout en l’espace de quelques secondes.

Mais peuvent-ils être empathiques ? Jusqu’à quel point l’humain peut-il être remplacé en société comme au travail ?

C’est ce que vient interroger une édition spéciale de CoorpCast, le podcast de Coorpacademy by Go1, en interviewant directement ChatGPT pour tout comprendre aux enjeux de son intelligence artificielle pour l’entreprise.

En cinq jours, ChatGPT avait déjà répondu aux questions de plus d’1 million d’utilisateurs en générant des textes pertinents et sensés sur tous les sujets possibles. Une prouesse technologique saluée dans le monde entier, mais qui pose aussi des questions sur la place de l’humain dans la création de nouveaux contenus.

“Dans cet épisode de CoorpCast, vous n’entendrez pas seulement une voix de robot, mais aussi les pensées d’un robot” précise Laurence Mijoin-Duroche, responsable de l’innovation pédagogique de Coorpacademy by Go1. “Nous avons pour habitude d’interroger les experts de nos formations. De la même façon, nous avons souhaité nous entretenir directement avec l’intéressé, à savoir ChatGPT lui-même.”

 

Arnauld Mitre, co-fondateur et VP de Coorpacademy by Go1, ajoute : “souhaitant offrir une approche différente de la formation aux utilisateurs depuis la création de Coorpacademy, nous nous passionnons pour  les évolutions technologiques majeures comme ChatGPT. Nous pensons que ce dernier a un potentiel de disruption fort en matière de formation et d’information. Il convient d’en mesurer l’ampleur !”

Si vous voulez en savoir plus sur l’audio-learning et l’importance de la  diversité des formats dans les parcours de formation en entreprise : contactez-nous.

En 2022… 20 + 20 questions pour tester vos compétences douces ! Testez vos connaissances en Communication ! (4/4)

 

Les soft skills sont essentielles dans un monde du travail en perpétuelle évolution. Grâce à ce test, évaluez votre niveau sur 20 compétences essentielles, réparties en 4 familles : Digital ; Leadership & Management ; Créativité & Agilité ; Communication.

Bienvenue dans la section « Communication » !

Dans cette partie, vous allez être testé sur 5 compétences :
– Écoute active
– Prise de parole
– Négociation et pouvoir de persuasion
– Expression écrite
– Sensitivité culturelle

Ce test est composé de 10 questions. Attention, il n’y a qu’une seule bonne réponse par questions !

Question 1 : Un collaborateur vient vous voir pour vous faire part de difficultés qu’il rencontre. Parmi ces tournures de phrase, laquelle est un bon exemple d’écoute active ?

A – « Si je comprends bien ce qui te tracasse, l’organisation de ton travail te pose souci par rapport à ta vie de famille ? »

B – « Je te propose de confier provisoirement une partie de tes tâches à ton collègue, ça devrait résoudre tes soucis d’organisation. »

C – « J’ai le sentiment que tu éprouves des difficultés à concilier ta nouvelle vie de famille et tes missions professionnelles. »

Question 2 : Parmi ces propositions, laquelle est caractéristique de l’écoute active ?

A – Reformuler les propos de son interlocuteur

B – Exprimer son point de vue

C – Bannir les silences

Question 3 : Soyez convaincant ! Après de longues semaines de travail, vous avez enfin dégagé un plan d’action pour redresser les ventes de l’entreprise. Vous devez maintenant exposer vos conclusions en comité exécutif. Pour convaincre au mieux cet auditoire, par quoi est-il préférable de débuter votre présentation ?

A – Par vos observations factuelles : elles justifient votre propos et posent le contexte

B – Par vos recommandations : elles constituent l’enchaînement logique qui mène à votre solution

C – Par votre message principal : il guide l’ensemble de vos développements

Question 4 : Trouver son public. Votre entreprise organise une conférence pour marquer le lancement d’un nouveau téléphone mobile à écran pliable. Le secret a été bien gardé et, en tant que chef de produit, c’est vous qui allez le dévoiler aux journalistes. Parmi ces propositions d’accroche, laquelle devez-vous privilégier pour démarrer votre intervention ?

A – « Je suis M. Martin, chef de produit dans cette entreprise depuis plus de 5 ans… »

B – « Savez-vous combien d’écrans de téléphone sont brisés chaque jour dans ce pays ? »

C – « La grande nouveauté du téléphone mobile que je vais vous présenter, c’est son écran pliable. »

D – « Tout d’abord, laissez-moi vous remercier d’être venus si nombreux assister au lancement du Mobile XII. »

Question 5 : Au cours d’une négociation un peu tendue, votre interlocuteur adopte une « position haute » : il cherche à avoir l’ascendant sur vous. Quelle position devriez-vous adopter dans ce cas ?

A – Une position basse, pour ne pas alimenter le conflit

B – Une position intermédiaire, pour vous adapter à ses réactions en temps réel

C – Une position haute, pour pouvoir défendre vos arguments avec aplomb

Question 6 : Dans le cadre d’une négociation, vous avez quatre arguments en main. Deux ont votre préférence. Comment allez-vous articuler votre discours ?

A – Vous commencez par les arguments qui ont votre préférence, puis vous présentez les deux autres

B – Vous commencez par les arguments qui vous plaisent le moins, puis vous présentez les deux autres

C – Vous vous contentez de présenter vos arguments les plus forts

Question 7 : Graine de star. Votre entreprise prépare une exposition de photos dont les bénéfices seront reversés à une association de protection de l’enfance. Vous avez besoin d’ambassadeurs dont la notoriété pourrait attirer l’attention sur cette cause. Vous décidez d’envoyer un e-mail à quelques célébrités. C’est la première fois que vous les contactez.

A – « Vous ne me connaissez pas, mais je me permets de vous écrire au sujet d’une exposition de photos organisée au bénéfice de l’association… »

B – « Je vous contacte pour vous inviter au vernissage de notre exposition de photos, organisée au profit de l’association… »

C – « Je m’appelle Sarah Michaud, je suis responsable mécénat chez General Automobiles. Nous organisons une exposition de photos au profit de l’association… »

Question 8 : Bien le bonsoir ! Dans le cadre de votre travail, vous écrivez un e-mail à l’attention d’un client que vous n’avez jamais rencontré. Parmi les formules de salutation suivantes, laquelle devez-vous privilégier pour conclure votre message ?

A – « Amicalement. »

B – « Bien à vous. »

C – « Je vous prie d’agréer l’assurance de ma considération distinguée. »

D – « Cordialement. »

Question 9 : Une question de culture. Le modèle de Lewis répartit les cultures en trois catégories : linéaire-active, multi-active et réactive. La catégorie linéaire-active peut être résumée ainsi : individu poli mais direct, plaçant la vérité avant la diplomatie, factuel et séparant vie professionnelle et privée. Parmi ces ensembles de pays, lequel correspond à cette définition ?

A – Brésil, Italie, Espagne

B – Allemagne, États-Unis, Suisse

C – Chine, Japon, Corée du Sud

Question 10 : Comment une personne de culture japonaise aura-t-elle tendance à exprimer son refus, lors de la négociation d’un contrat par exemple ?

A – « Je ne suis pas sûr, je vais y réfléchir. »

B – « Je préfère vous dire non pour ne pas vous faire attendre plus longtemps. »

C – « Je suis désolé, je ne peux pas satisfaire votre demande. »


Évaluez-vous !

Question 1 : Un collaborateur vient vous voir pour vous faire part de difficultés qu’il rencontre. Parmi ces tournures de phrase, laquelle est un bon exemple d’écoute active ?

Bonne réponse : Réponse A« Si je comprends bien ce qui te tracasse, l’organisation de ton travail te pose souci par rapport à ta vie de famille ? »

L’écoute active est un accompagnement, qui vise à instaurer des conditions permettant à notre interlocuteur de s’exprimer librement. Reformuler les propos de l’autre vont l’aider à clarifier ses sentiments. À l’inverse, il faut veiller à ne pas être directif en proposant des solutions ni à essayer d’analyser son interlocuteur.

Pour aller plus loin, consultez le cours « 1h chrono pour arrêter de stresser et rester zen » des Éditions Dunod.

Question 2 : Parmi ces propositions, laquelle est caractéristique de l’écoute active ?

Bonne réponse : Réponse A – Reformuler les propos de son interlocuteur

L’écoute active privilégie les attitudes qui laissent l’autre s’exprimer pleinement. La reformulation des propos de son interlocuteur en est l’un des outils, tout comme l’utilisation de silence ponctué de signes d’écoute, qu’on appelle « accusés de réception ». La formulation d’un jugement est en revanche à proscrire.

Pour aller plus loin, consultez le cours « 1h chrono pour arrêter de stresser et rester zen » des Éditions Dunod.

Question 3 : Soyez convaincant ! Après de longues semaines de travail, vous avez enfin dégagé un plan d’action pour redresser les ventes de l’entreprise. Vous devez maintenant exposer vos conclusions en comité exécutif. Pour convaincre au mieux cet auditoire, par quoi est-il préférable de débuter votre présentation ?

Bonne réponse : Réponse C – Par votre message principal : il guide l’ensemble de vos développements

Il serait plus efficace, en entreprise, de communiquer ses idées de manière pyramidale. Commencez par votre message principal qui exprime l’idée en quelques mots, puis descendez vers les points-clés qui soutiennent ce message et, enfin, vers les observations à l’appui. Ce principe de la communication pyramidale en entreprise convient à tout type de communication : courrier électronique, mémo, présentation orale, messagerie vocale, etc.

Pour aller plus loin, consultez le cours « Résoudre des problèmes complexes avec la méthode 4S » de Bernard Garrette et Olivier Sibony.

Question 4 : Trouver son public. Votre entreprise organise une conférence pour marquer le lancement d’un nouveau téléphone mobile à écran pliable. Le secret a été bien gardé et, en tant que chef de produit, c’est vous qui allez le dévoiler aux journalistes. Parmi ces propositions d’accroche, laquelle devez-vous privilégier pour démarrer votre intervention ?

Bonne réponse : Réponse B – « Savez-vous combien d’écrans de téléphone sont brisés chaque jour dans ce pays ? »

Pour bien accrocher votre public, les premières secondes sont cruciales. Venez-en au fait dès le départ : évitez les présentations interminables et les formules de politesse inutiles. Vous pouvez démarrer par une question, raconter une anecdote, partager un chiffre important, par exemple. Attention cependant : ménagez le suspense et ne révélez pas votre message immédiatement.

Pour aller plus loin, consultez le cours « Préparez votre talk » de Brightness.

Question 5 : Au cours d’une négociation un peu tendue, votre interlocuteur adopte une « position haute » : il cherche à avoir l’ascendant sur vous. Quelle position devriez-vous adopter dans ce cas ?

Bonne réponse : Réponse A – Une position basse, pour ne pas alimenter le conflit

Lorsque votre partenaire adopte une position haute, votre objectif premier doit être de ne pas alimenter le conflit. Pour cela, il est essentiel de ne pas porter atteinte à l’ego de votre interlocuteur et, par conséquent, d’adopter une position basse ; on parle de rapport « complémentaire » ou « asymétrique ». Cependant, n’oubliez pas qu’adopter une position basse ne doit pas vous empêcher de mener la négociation et d’en rester maître !

Pour aller plus loin, consultez le cours « Préparer et gérer les négociations complexes » des Éditions Eyrolles.

Question 6 : Dans le cadre d’une négociation, vous avez quatre arguments en main. Deux ont votre préférence. Comment allez-vous articuler votre discours ?

Bonne réponse : Réponse C – Vous vous contentez de présenter vos arguments les plus forts

Dans une négociation, évitez d’avancer des arguments que vous considérez plus faibles et limitez-vous aux deux ou trois arguments les plus forts. En effet, si vous choisissez de tous les exposer en commençant par les plus forts, votre interlocuteur risque de rebondir sur le dernier sujet évoqué. Si vous optez pour l’ordre inverse, vous risquez de vous faire interrompre avant de pouvoir conclure votre démonstration et ainsi passer du temps à défendre vos points faibles.

Pour aller plus loin, consultez le cours « Psychologie et techniques de communication » des Éditions Eyrolles.

Question 7 : Graine de star. Votre entreprise prépare une exposition de photos dont les bénéfices seront reversés à une association de protection de l’enfance. Vous avez besoin d’ambassadeurs dont la notoriété pourrait attirer l’attention sur cette cause. Vous décidez d’envoyer un e-mail à quelques célébrités. C’est la première fois que vous les contactez.

Bonne réponse : Réponse B – « Je vous contacte pour vous inviter au vernissage de notre exposition de photos, organisée au profit de l’association… »

La première phrase d’un e-mail va déterminer si la personne continue ou non à le lire. Lorsque vous ne connaissez pas la personne à laquelle vous écrivez, inutile de le lui rappeler. Commencez plutôt par l’objet de votre message. Attendez d’avoir capté l’attention de votre lecteur pour vous présenter.

Pour aller plus loin, consultez le cours « Les bases de la rédaction des e-mails en anglais » de Global Exam.

Question 8 : Bien le bonsoir ! Dans le cadre de votre travail, vous écrivez un e-mail à l’attention d’un client que vous n’avez jamais rencontré. Parmi les formules de salutation suivantes, laquelle devez-vous privilégier pour conclure votre message ?

Bonne réponse : Réponse D – « Cordialement. »

Lorsque vous écrivez un message professionnel à une personne que vous ne connaissez pas, abstenez-vous d’employer des formules de conclusion familières telles que « Bien à vous » ou « Amicalement ». Par ailleurs, les anciennes formules de politesse, du type « Je vous prie d’agréer… », tendent à disparaître au profit de formules plus courtes, comme « Cordialement ».

Pour aller plus loin, consultez le cours « Utiliser le mot juste » de Bescherelle.

Question 9 : Une question de culture. Le modèle de Lewis répartit les cultures en trois catégories : linéaire-active, multi-active et réactive. La catégorie linéaire-active peut être résumée ainsi : individu poli mais direct, plaçant la vérité avant la diplomatie, factuel et séparant vie professionnelle et privée. Parmi ces ensembles de pays, lequel correspond à cette définition ?

Bonne réponse : Réponse B – Allemagne, États-Unis, Suisse

Dans le modèle de Lewis, les linéaires-actifs communiquent pour donner et recevoir des informations, les multi-actifs communiquent pour exprimer des opinions et établir des relations, et les réactifs communiquent pour créer une harmonie. Dans une culture linéaire-active (Allemagne, États-Unis, Suisse…), les individus ont tendance à être factuels, directs et à séparer vie professionnelle et vie privée.

Pour aller plus loin, consultez le cours « Relations interculturelles franco- allemandes » de CultureActive & Faurecia.

Question 10 : Comment une personne de culture japonaise aura-t-elle tendance à exprimer son refus, lors de la négociation d’un contrat par exemple ?

Bonne réponse : Réponse A – « Je ne suis pas sûr, je vais y réfléchir. »

Une personne de culture asiatique aura tendance à ne pas refuser quelque chose de manière directe afin de préserver l’harmonie et de ne pas faire perdre la face à son interlocuteur. Toutefois, selon le modèle de Lewis, cette typologie est à nuancer en fonction des pays d’Asie et, bien sûr, des comportements individuels qui peuvent ne pas correspondre à 100 % à la typologie qui leur est associée.

Pour aller plus loin, consultez le cours « Relations interculturelles franco- allemandes » de CultureActive & Faurecia.

Coorpacademy est officiellement certifié QUALIOPI

Nous avons le plaisir de vous annoncer que Coorpacademy est officiellement certifié Qualiopi.

Rendue obligatoire au 1er janvier 2022 pour tous les prestataires d’actions concourant au développement des compétences, cette certification atteste de la qualité́ du processus et des services proposés par les prestataires de formation et permet également d’accéder à un financement public ou mutualisé.

Cette certification est un gage supplémentaire du sérieux et de la qualité des prestations de Coorpacademy, qui satisfait donc d’ores et déjà aux exigences du Référentiel National Qualité édité par le Ministère du Travail.

Merci à nos équipes pour la qualité du travail accompli et à nos clients pour la confiance qu’ils nous accordent !

Qualiopi est le nom de la marque de certification qualité des prestataires d’actions de formation. Elle a pour objectif d’attester la qualité du processus mis en œuvre par les prestataires d’actions concourant au développement des compétences. Cette certification est une obligation légale pour bénéficier de fonds publics ou mutualisés. La loi n° 2018-771 du 5 septembre 2018 pour la liberté de choisir son avenir professionnel prévoit dans son article 6  une  obligation  de  certification,  par  un  organisme  tiers (CERTIFOPAC),  des  organismes  réalisant  des  actions concourant  au  développement des  compétences  sur  la  base  d’un  référentiel  national  unique,  s’ils  veulent bénéficier de fonds publics ou mutualisés (financement par un opérateur de compétences, par la commission mentionnée à l’article L. 6323-17-6, par l’État, par les régions, par la Caisse des dépôts et consignations, par Pôle emploi  ou  par  l’Agefiph). 
À noter :  le référentiel national qualité est organisé autour de 7 critères reliés à 22 indicateurs qui s’appliquent à l’ensemble des prestataires (tronc commun), auxquels s’ajoutent 10 indicateurs spécifiques à l’apprentissage ou aux formations certifiantes. 

La marque « Qualiopi » vise à : 
- attester de la qualité du processus mis en œuvre par les prestataires d’actions concourant au développement des compétences ; 
- permettre une plus grande lisibilité de l’offre de formation auprès des entreprises et des usagers.

https://travail-emploi.gouv.fr/formation-professionnelle/acteurs-cadre-et-qualite-de-la-formation-professionnelle/article/qualiopi-marque-de-certification-qualite-des-prestataires-de-formation

Coorpacademy, c’est quoi ?

 

Découvrez Coorpacademy, ses points différenciants et son expérience d’apprentissage dans cette courte vidéo de présentation !

Face aux incertitudes de l’avenir, une seule certitude : la nécessité de se former en permanence. Et avec les outils d’hier, c’est tout simplement impossible.

La solution ? Une plateforme de digital learning qui s’adapte aux contraintes de nos quotidiens professionnels.

Avec sa plateforme digitale centrée sur l’apprenant et son catalogue exclusif de plus de 1 000 cours, Coorpacademy est la solution pour se former aux compétences comportementales qui permettront d’apprendre les compétences de demain. Pour encore plus d’impact, la plateforme Coorpacademy s’adapte en permanence à la façon d’apprendre de chacun grâce à ses analytics comportementaux et ses algorithmes de machine learning. 

Coorpacademy, au-delà de son catalogue, permet également aux entreprises de créer leurs cours sur mesure et de les déployer en quelques clics sur leurs plateformes personnalisées.

Mais alors, qu’est-ce qui différencie l’expérience d’apprentissage de Coorpacademy des autres ? Une méthode unique avec la pédagogie inversée permettant de commencer par les questions avant d’accéder au cours si vous êtes déjà expert sur un sujet. Le mode Battle et le classement pour vous mesurer à vos collègues, la flexibilité de la plateforme pour commencer un cours au bureau et le finir dans le métro, et les certifications pour valider l’acquisition de nouvelles compétences.

Voilà pourquoi plus de 100 entreprises ont choisi Coorpacademy et que plus de 800 000 apprenants dans le monde s’y forment quotidiennement avec un taux d’engagement allant jusqu’à 90 %. N’attendez plus pour transformer votre entreprise en organisation apprenante. 

Coorpacademy, maintenant vous savez.

Une plateforme d’e-learning pour que ses salariés se forment à n’importe quel moment et n’importe où

 

En décembre, nous remettions à SQLI le trophée « Bespoke content creation » qui célébrait la grande diversité de contenus conçus et produits en 2020 par SQLI et Coorpacademy. Parmi ces contenus, un Escape Game digital pour sensibiliser au handicap, un parcours important sur la gestion de projet pour leurs chefs de projet et 6 cours complets sur la gestion des pratiques (périmètre, charges, coûts, qualité…), en français et en anglais.

Ce mardi 26 janvier 2021, Sylvie Verstraeten, DRH de SQLI, était l’invitée d’Elisabeth Assayag et d’Emmanuel Duteil dans l’émission la France bouge, pour parler de cette récompense, de la plateforme OneGenius en collaboration avec Coorpacademy et des différents parcours de formation prévus pour 2021.

Découvrez l’interview téléphonique. Vous pouvez aussi lire son transcript ci-dessous :

Europe 1 : « Nous passons un coup de fil dans l’émission la France Bouge à un patron d’une entreprise, ou à un DRH qui nous raconte comment on s’adapte à la crise afin d’améliorer le bien-être des salariés. Comme vous, Sylvie Verstraeten, DRH de SQLI. SQLI est une entreprise française qui existe depuis 30 ans, vous concevez des sites de e-commerce, 2200 collaborateurs partout dans le monde. Vous avez remarqué que vos salariés avaient des métiers très prenants et, il y a un an, vous avez mis en place une plateforme de e-learning pour qu’ils puissent se former à n’importe quel moment, n’importe où. 

Sylvie Verstraeten : C’est exactement ça ! Nous nous sommes rapprochés d’un spécialiste du domaine, Coorpacademy, et nous avons créé cette plateforme pour l’ensemble de nos collaborateurs, partout dans le monde puisqu’elle est accessible partout, dans n’importe quelle langue, autour de différentes thématiques. Ce sont plutôt des thématiques qui concernent le management de projet, notre spécialité, mais aussi des thématiques de management. Plus récemment, nous nous sommes adaptés à l’actualité avec des cours sur le management à distance, le télétravail. 

Europe 1 : Cela fonctionne ? Quels sont les résultats ?

Sylvie Verstraeten :

Cela fonctionne très bien ! Nous avons plus de 1300, 1312 très exactement, collaborateurs qui se sont connectés en un an, ce qui est beaucoup. Ce qui est intéressant aussi, c’est que nous avons 89 % des cours qui sont terminés, ce qui est un très bon résultat. Cela démontre que les collaborateurs s’y intéressent, et surtout que cela répond à leurs besoins et à leurs attentes. 

Europe 1 : Ce qui est drôle aussi, c’est que vous avez voulu les motiver. Je crois que vous avez créé des parcours de formation avec des labels à atteindre, comme si nous étions dans un jeu vidéo. Pour continuer, il faut réussir à aller au monde d’après et valider chacun des mondes ? 

Sylvie Verstraeten : Exactement ! SQLI est une entreprise dédiée au monde du digital, c’est ce qu’on a fait aussi avec nos collaborateurs et aussi au travers du jeu : on a créé deux labels, un label que nous avons appelé les “Team Leader RH” qui est orienté vers le management et le suivi RH des collaborateurs. A la fin de ce label, on reçoit un diplôme ! Nous avons aussi créé un label “Management de projets” avec 13 modules, et nous pouvons aussi à l’issue de ces modules gagner le titre de Manager de projets SQLI. Les collaborateurs peuvent aussi se défier entre eux, c’est amusant, et là aussi nous l’abordons par le jeu, en créant des concours entre eux et des défis. 

Europe 1 : Mais quelle en est après la conclusion ? Si un salarié par exemple n’est pas manager et qu’il suit ce programme, est-ce que grâce à ça vous pouvez vous dire : “C’est bon, tu as réussi, tu as coché toutes les cases, tu peux donc devenir manager” ?

Sylvie Verstraeten : Alors, il y a d’autres choses à faire pour devenir manager, mais c’est l’une des portes d’entrée. Ce qui est important, c’est de se former aux techniques du management pour ensuite en effet les mettre en pratique.

Europe 1 : Merci Sylvie. 

Sylvie Verstraeten : Merci à vous ! »

Un partenariat pour développer l’audiolearning entre Coorpacademy et Bookboon

 

Bookboonle premier éditeur mondial d’ebooks et d’apprentissage audio pour les professionnels, et Coorpacademy, une start-up EdTech offrant des plateformes d’expérience d’apprentissage intelligentes à plus d’un million d’apprenants, ont signé un accord de distribution international.

Alors que presque 100 % des formations en entreprise ont été annulées ou reportées, continuer à investir dans la formation en ligne est un défi majeur pour les entreprises en ces temps incertains. Une nouvelle façon de consommer du contenu en ligne a récemment pris son essor : les podcasts. Le contenu audio, évitant la fatigue de l’écran devenu omniprésent, connaît un essor sans précédent et son utilisation fait désormais partie de la vie quotidienne de chacun. Selon le rapport Voxnest réalisé l’année dernière, l’écoute des podcasts a augmenté en moyenne de 53% en Europe au cours du premier semestre 2020, et cette tendance devrait se poursuivre en 2021.

C’est une des raisons du partenariat entre Bookboon et Coorpacademy : permettre aux salariés et aux entreprises d’utiliser également les formats audio pour leurs formations. Les apprenants sur les plateformes de Coorpacademy peuvent bénéficier d’une offre complémentaire de plus de 3 500 contenus, disponibles à l’écoute (livres audio et podcasts) et à la lecture, en 12 langues. Avec des thèmes tels que le travail à distance, l’efficacité personnelle et la gestion des équipes et des projets, ces cours sont conçus pour le monde des affaires et ses problématiques de transformation.

En complément du catalogue exclusif de Coorpacademy dédié aux soft skills, les apprenants peuvent accéder aux contenus  premium de Bookboon, comme l’explique Armelle Lavergne, Directrice du Contenu de Coorpacademy :

“Diversifier les modes d’apprentissage afin de proposer des contenus aux formats variés, adaptés à toutes et à tous, est un de nos axes de développement stratégique. Avec les audiobooks et talks publiés par Bookboon, nos apprenants pourront accéder à des savoirs de qualité du premier éditeur européen d’ebooks pour les pros.”

Kristian Buus Madsen, PDG de Bookboon, ajoute :

« Coorpacademy offre une expérience d’apprentissage numérique efficace et intelligente. Bookboon Learning complète cette offre avec des ebooks et des titres audio strès pertinents pour toutes les situations d’une journée d’apprentissage chargée – des ebooks pour l’apprentissage au bureau et à la maison et des contenus audio pour les déplacements. Les contenus d’apprentissage doivent être encore plus flexibles, ciblés et courts de nos jours – pour s’adapter à l’évolution de l’environnement professionnel et aux défis de la vie professionnelle et privée. C’est là que le partenariat entre Bookboon et Coorpacademy prend tout son sens. »

Renouveler ses compétences : l’interview de Jean-Marc Tassetto par Stéphane Soumier sur B Smart

Jean-Marc Tassetto, co-fondateur de Coorpacademy, était l’invité de Stéphane Soumier sur B SMART.

Dans cette interview, il revient sur l’importance du renouvellement des compétences, l’impact du blended learning (l’association de l’apprentissage distanciel et présentiel) et sur l’importance de la formation en continu pour accompagner les transformations des entreprises, accélérées par cette année 2020 tumultueuse.

Découvrez cet échange en vidéo !

Le Learning Lab de Faurecia dépasse les 20 millions de questions répondues !

 

Il y a 6 ans, la Faurecia University, l’université d’entreprise de l’équipementier automobile et champion industriel français Faurecia, lançait l’initiative Learning Lab, une plateforme de formation en ligne en collaboration avec Coorpacademy pour impliquer efficacement chaque collaborateur dans l’entreprise, son évolution et ses transformations.

Le Learning Lab forme maintenant plus de 100 000 collaborateurs de Faurecia, et a remporté un Silver Brandon Hall Award, un prix international prestigieux dans le secteur de la formation.

Il y a 1 an, David Jestaz, Vice-Président de la Faurecia University, et Arnauld Mitre, co-fondateur de Coorpacademy, célébraient les 10 000 000 de questions répondues sur la plateforme.

Aujourd’hui, nous célébrons (déjà) les 20 000 000 de questions répondues, soit plus de 700 000 heures de formation ! Le tout en seulement 12 mois !

Un jalon majeur, signe de la réussite structurelle de la formation en ligne chez Faurecia et de l’engagement et de l’implication de chaque collaborateur dans les transformations stratégiques de l’entreprise, dans un monde qui évolue très rapidement.

David Jestaz, VP de la Faurecia University, publiait d’ailleurs à ce sujet :

Il y a quelques jours, notre Learning Lab – la plateforme de formation digitale de Faurecia – a dépassé le seuil des 20 millions de questions répondues depuis son lancement mi-2015. Qu’est-ce que représente une « question » ? Chez Faurecia, chacun des 400+ cours que nous proposons renferme en moyenne 12 questions de validation des connaissances. 

Ce seuil des 20 millions de questions représente près de 700 000 heures de formation en ligne, délivrées à quasiment 100 000 collaborateurs connectés de Faurecia, des usines au siège.

L’adoption de la formation en ligne a progressé à un rythme soutenu chez Faurecia : quand il a fallu 18 mois pour atteindre le million de questions répondues, il n’en a fallu que 12 pour les 10 derniers millions !

Chaque moi, près de 17 000 collaborateurs se connectent et ces chiffres ont doublé pendant le confinement. 50 000 employés ont suivi les cours en ligne sur les nouvelles mesures sanitaires et les nouveaux protocoles de sûreté sur site. 

Le Digital Learning est un succès structurel chez Faurecia et nous avons identifié plusieurs raisons à cette réussite.

  1. Le Learning Lab a été déployé en totale collaboration entre les différents services de l’entreprise (les Opérations, la Finance, les Ventes, les Achats) ainsi qu’avec la Faurecia University, pour l’implanter solidement dans nos routines de travail et pour répondre aux besoins du business mais aussi des apprenants. 
  2. Les fonctions RH travaillent fortement à promouvoir la montée en compétence, l’apprentissage continu, tout au long de la vie et la sauvegarde de l’employabilité de chacun. Les équipes RH sont les vecteurs locaux et régionaux, en permettant et en gérant particulièrement l’accès aux ressources digitales sur site, dans les usines par exemple. 
  3. Les services de Faurecia sont assez agiles pour partager et s’aligner à la fois sur les fondamentaux mais aussi sur leurs transformations grâce aux contenus digitaux. Par exemple, plus de 50 cours ont été développés en 2019 pour expliquer les nouvelles bases et les nouveaux fondamentaux du Système d’Excellence de Faurecia. 
  4. Les collaborateurs de Faurecia, dans le monde entier, font preuve d’un fort appétit pour l’apprentissage et le développement personnel, avec 10 nationalités différentes représentées dans le Top 20 des apprenants. 
  5. La fiabilité de notre partenaire de formation en ligne Coorpacademy, qui fait fonctionner le Learning Lab depuis 2015 et l’alimente de technologies, de contenus et de services. 

Nous sommes convaincus que l’apprentissage et la formation vont continuer à jouer un rôle clé dans la résilience face à la crise mais aussi dans les transformations structurelles de l’entreprise pour un développement durable à moyen terme. Nous sommes très fiers de partager cette étape de notre voyage vers la croissance durable et ces leviers pour sa réussite. 

Pour lire l’article de David Jestaz, en anglais, c’est ici.

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