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PÔLE D’INNOVATION SUISSE : 51 STARTUPS APPORTENT DES SOLUTIONS D’AVENIR

Nous sommes fiers d’avoir été sélectionnés parmi les 8 scale-ups de la catégorie "EdTech & New Work" du programme Kickstart Innovation !

Depuis sa création il y a 5 ans, Kickstart est devenu l’un des programmes d’innovation les plus importants d’Europe. Il a permis le lancement de plus de 120 pilotes et projets commerciaux entre des startups, des grands groupes et des entreprises dans des secteurs variés.

"De septembre à novembre, les startups sélectionnées auront la possibilité de co-construire, sous la forme de Proof-of-Concepts (POCs), des pilotes et des projets avec les partenaires de Kickstart et des grands groupes tels que AXA, Coop, Migros, Swisscom, Mobiliar, ETH Zürich, City of Zürich, PostFinance, Credit Suisse et bien d’autres", nous dit Katka Letzing, Co-Lead de Kickstart.

Découvrez le communiqué de presse, comment fonctionne ce hub de l’innovation en Suisse et comment Coorpacademy a été sélectionnée pour prendre part au programme !

COMMUNIQUÉ DE PRESSE – KICKSTART

PÔLE D’INNOVATION SUISSE : 51 STARTUPS APPORTENT DES SOLUTIONS D’AVENIR

De l’apprentissage personnalisé digital et des thérapies digitales gamifiés à l’authentification rendue possible par reconnaissance faciale, en passant par la réduction de l’utilisation du ciment via la capture du CO2 en tant que solution d’économie circulaire, la technologie de lumière LED antimicrobienne et la communication de données en temps réel dans les domaines de la technologie financière (FinTech) et de l’assurance (AssurTech), Kickstart s’engage à différents niveaux pour stimuler les activités d’innovation en Suisse. Plus de 50 startups à haut potentiel de croissance et originaires de 11 pays sont de la partie cette année.

Zurich, le 22 juillet 2020 – Depuis sa création il y a cinq ans, Kickstart est devenue l’une des plus grandes plateformes européennes d’innovation et a initié plus de 120 projets pilotes et commerciaux entre startups, organisations établies et entreprises de secteurs variés. « Malgré le COVID-19, Kickstart a reçu des candidatures de grande qualité émanant de plus de 55 pays et il y a eu, dans l’ensemble, une augmentation significative des entreprises de la deeptech affirmant leur volonté d’évoluer en Suisse », explique Katka Letzing, co-responsable de Kickstart. « De septembre à novembre, les startups auront la possibilité de co-créer en réalisant des démonstrations de faisabilité et en menant des projets pilotes et commerciaux avec des partenaires de Kickstart, des organisations et des entreprises de pointe telles que AXA, Coop, Migros, Swisscom, Mobiliar, ETH Zürich, la Ville de Zurich, PostFinance, et le Credit Suisse pour ne citer qu’elles. Cette année, Kickstart se réjouit de compter de nouveaux partenaires, dont Mövenpick, New Work SE , Energie 360 °, Roche, Holcim Switzerland, Nespresso, Canton de Vaud and more. Les startups auront également l’occasion de s’engager dans la région romande, à proximité du Grand Zurich. Les startups participant au programme 2020 allient un haut niveau d’innovation technologique à des solutions destinées à favoriser le développement durable. La startup spécialisée en technologies de la santé Kaia Health, par exemple, propose des thérapies numériques qui créent des traitements accessibles et fondés sur des données probantes pour soigner un éventail de troubles. En tant que startup spécialisée dans la FoodTech et la Retail Tech, Vital Vio conçoit, développe et fabrique des technologies LED antibactériennes pour une gamme croissante d’applications commerciales et résidentielles. La startup FinTech Keyless développe des solutions pour une authentification biométrique sécurisée et simultanée. La startup AssurTech Motions Cloud assure le traitement des sinistres en temps réel. La startup Neustark, spécialiste de la Smart City, travaille à la réduction du ciment en transformant le CO2 en éléments gazeux dans l’industrie du bâtiment. La startup EdTech Coorpacademy, qui développe une nouvelle approche du travail, fournit quant à elle du contenu d’apprentissage digital personnalisé pour l’acquisition de nouvelles compétences professionnelles. « Chaque année, Kickstart attire des startups qui occupent une position de leader dans leur domaine. Ce programme nous a donné l’occasion de travailler rapidement et efficacement avec ces entreprises émergentes, de développer plus vite nos propres idées commerciales, d’apprendre ce que cela signifie pour Migros et quels avantages peuvent être créés pour nos consommateurs », déclare Eliana Zamprogna, directrice technique du groupe Migros. « L’engagement de notre organisation a fortement augmenté au fil des ans. Nos employés Salariés ont la possibilité de concevoir les affaires, l’innovation et la technologie de différentes manières et à un rythme différent de celui qu’ils adoptent dans le cadre de leur travail quotidien. Ce programme a renforcé les compétences de leadership et de collaboration de notre organisation. »

Startups à fort potentiel de croissance (Scaleups) engagées cette année :

EdTech & New Work #KICKSTARTERS20:

BOOKR Kids (Hongrie) est un outil unique et ludique d’éducation à la lecture, conçu pour intéresser et enchanter les plus jeunes apprentis lecteurs.

Coorpacademy (Suisse) révolutionne l’univers de la formation digitale à destination des entreprises, avec son contenu premium et sa plateforme d’expérience d’apprentissage, auxquels de grandes marques mondiales n’hésitent pas à recourir pour former tous leurs employés.

Gravity Global (Suisse) permet d’économiser 90 % des coûts d’apprentissage en entreprise.

HRForecast (Allemagne) fournit des réponses Big Data et des solutions d’IA pour préparer au mieux les personnes et les organisations à l’avenir du travail.

Innential (Allemagne) est une plateforme d’apprentissage destinée aux entreprises et axée sur les données, qui crée des expériences d’apprentissage personnalisées pour les individus.

Sharpist (Allemagne) est la plateforme de développement personnel orientée vers les résultats et alimentée par le coaching digital.

SkillGym (Suisse) rend le développement des compétences relationnelles évolutif et incite ses utilisateurs, par le biais d’un jeu de rôle digital axé sur l’IA, à s’impliquer dans des conversations importantes.

Time is Ltd. (République tchèque) est une plateforme SaaS d’analytique avancée qui s’adresse aux dirigeants d’entreprise axés sur les données. Elle offre une approche holistique de la productivité organisationnelle, de la culture de la communication et de la configuration de la collaboration numérique.

FinTech & InsurTech #KICKSTARTERS20:

Build38 (Allemagne) sécurise les activités dans le monde des applications mobiles contre la fraude en ligne et les violations de données.

decentriq(Suisse) vise à changer la manière dont le monde accède aux données. Elle permet l’utilisation de données sensibles provenant d’autres organisations tout en garantissant la confidentialité et la sécurité de ces mêmes données.

Keyless (Royaume-Uni) est une société de cybersécurité deeptech qui construit la première plateforme mondiale d’authentification biométrique et de gestion de l’identité personnelle dans le respect de la vie privée. La plateforme Cloud Keyless permet aux entreprises d’adopter un mode sans mot de passe et de protéger leur personnel à distance. Elle offre également la garantie d’une authentification forte du client, d’un simple coup d’œil.

LAMIE direkt (Autriche) est un système AssurTech complet qui permet aux entreprises de créer des solutions d’assurance numériques au sein de leur écosystème existant

MotionsCloud (Allemagne) aide les compagnies d’assurance habitation et automobile à rationaliser et automatiser les processus de gestion des sinistres. Ces traitements sont exécutés par des modules de reconnaissance associés à la vision par ordinateur IA. Cette startup réduit la durée de gestion des sinistres à 3heures, diminue jusqu’à 75 % les coûts de traitement et améliore l’expérience des clients en matière de réclamations.

omocom (Suède) propose des solutions d’assurance innovantes et entièrement digitales pour les plateformes d’économie circulaire, y compris pour la location, le partage, la location, la revente (P2P, B2B, B2C). Ces innovations permettent d’accroître la confiance entre les partenaires d’une transaction et aident ainsi ces plateformes à se développer et à devenir plus viables.

Ratyng (Suisse) attribue des notes de crédit de Wall Street à « Main Street », c’est-à-dire à l’économie réelle et aide ainsi les entreprises à trouver de meilleurs partenaires commerciaux.

tilbago (Suisse) permet aux créanciers de recouvrer efficacement une dette en ligne.

TIMIFY (Allemagne) est une solution en ligne de réservation, de programmation et de gestion des ressources pour les petites, moyennes et grandes entreprises.

Yova (Suisse) propose des investissements qui combinent impact sur la durabilité et rendements attractifs — tout est numérique, facile à comprendre et transparent.

Food & Retail Tech #KICKSTARTERS20:

Ai Palette (Singapour) aide les entreprises à innover en matière de produits en prédisant les tendances alimentaires en temps réel à l’aide de l’IA et de l’apprentissage automatique.

Alpengummi (Autriche) est le premier chewing-gum naturel des Alpes, uniquement composé de ressources renouvelables et donc sans plastique, édulcorants artificiels et autres ingrédients potentiellement nocifs.

Boost Biomes (États-Unis) développe des traitements microbiens pour l’alimentation et l’agriculture afin de prolonger la durée de conservation des aliments et d’augmenter les rendements agricoles.

Greendeck(Royaume-Uni) utilise l’IA pour aider les détaillants et les marques à optimiser leurs prix et surveiller la concurrence.

iSense (Suisse) offre un complément au talent artistique en mettant à disposition des données sensorielles, des analyses, ainsi que le premier système de gestion de collecte de saveurs basé sur le cloud. Le choix et l’exploitation des parfums s’en trouvent facilités.

livealytics (Suisse) fournit un accès à l’Internet des objets (IoT) ainsi que des outils d’analyse comme services dont bénéficient les municipalités, l’immobilier, le marketing en direct, les espaces de vente et les salons professionnels. La solution est facile à déployer et à gérer. Elle enregistre différents indicateurs de fréquentation et fournit des analyses, des repères, des indicateurs de performance (ICP) et des recommandations d’une grande pertinence.

Novolyze (France) améliore la sécurité, la qualité et la durabilité de la production alimentaire.

Prognolite (Suisse) aide les restaurants à réduire le gaspillage alimentaire et à optimiser la planification du personnel en prévoyant la demande à venir grâce à des algorithmes d’apprentissage automatique.

Vital Vio (États-Unis) est une société Health Tech qui a créé une technologie de lumière LED antimicrobienne à diode unique (non-UV). Ce dispositif peut être utilisé en toute sécurité dans les foyers, les lieux publics et l’industrie. Il crée des environnements empêchant la croissance des bactéries, des champignons, des levures, des moisissures et du mildiou.

HealthTech #KICKSTARTERS20:

Kaia Health (Allemagne) est une entreprise de thérapies numériques qui crée des traitements accessibles et fondés sur des données probantes pour soigner un ensemble de troubles, notamment les douleurs dorsales, les douleurs au genou et à la hanche et la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO).

Klenico (Suisse) soutient les professionnels de la santé et les patients en les aidant à diagnostiquer les troubles mentaux.

mementor (Suisse) développe des applications numériques de santé dans le domaine de la médecine du sommeil et des domaines médicaux associés.

Pryv (Suisse) est un intergiciel prêt à l’emploi pour la gestion des données personnelles et du consentement. Pryv offre une base solide sur laquelle les entreprises construisent leur propre solution de santé numérique, afin de collecter, stocker, partager et utiliser légitimement les données personnelles.

SidekickHealth (Islande) est une entreprise nordique spécialisée dans les thérapies digitales qui soutient les personnes atteintes d’un large éventail de maladies chroniques. Cette aide peut revêtir différentes formes, telles que la surveillance à distance, l’adhésion au traitement et une formation spécifiquement adaptée à la maladie sous l’impulsion de l’IA et de la gamification. Cette approche se traduit par d’excellents taux de rétention et a permis une nette amélioration des résultats en matière de santé.

Uplyfe (Suisse) est un compagnon doté d’une IA qui assure un suivi médical. Il réagit au comportement de l’utilisateur en matière de nutrition et d’exercice et analyse ses symptômes pour l’aider à influencer sa santé d’une nouvelle manière.

Smart City & Technology #KICKSTARTERS20:

Animatico

Animatico (Suisse) crée des avatars interactifs pour une interaction fluide avec les appareils numériques.

FAAREN (Allemagne) permet à tous les concessionnaires automobiles de devenir des fournisseurs d’abonnement et de proposer leurs véhicules via le marché FAAREN aux clients finaux.

Greyparrot (Royaume-Uni) fournit un logiciel de reconnaissance des déchets basé sur l’IA pour surveiller et trier les matériaux recyclables à grande échelle.

HeatNeutral (Suisse) représente l’avenir d’une énergie thermique à zéro émission et climatiquement neutre. Cette startup produit les systèmes de chauffage les plus efficaces, rentables et évolutifs au monde pour les habitations et l’industrie qui utilisent des carburants neutres en CO2.

InstaDeep (Royaume-Uni) développe des produits d’IA et des solutions sur mesure pour les entreprises clientes. Cette startup se concentre sur des systèmes de prise de décision de nature à résoudre les problèmes existants dans un large éventail de secteurs. À cette fin, elle recourt à l’apprentissage automatique avancé, à l’apprentissage par renforcement et à l’apprentissage profond.

MOBBOT (Suisse) fournit un système d’impression 3D de béton destiné aux infrastructures durables.

Neustark (Suisse) développe une solution conteneurisée pour stocker le CO2 dans les matériaux de construction.

Peter Park System (Allemagne) transforme les parkings en centres de mobilité en fournissant aux opérateurs de parkings une reconnaissance automatique des plaques d’immatriculation, un logiciel basé sur le cloud et l’intégration d’applications de stationnement.

L’intrapreneuriat pousse les entreprises bien établies à générer une nouvelle croissance commerciale et crée un changement culturel durable

Outre les partenariats entre les startups et les organisations établies, Kickstart soutient la promotion de l’innovation dans les entreprises elles-mêmes. Neuf équipes d’intrapreneuriat, indépendantes au sein des entreprises, feront également partie de la cohorte 2020. Cette année, aux côtés de Swisscom, de La Mobilière et de Migros, de nouveaux partenaires ont été engagés avec leurs équipes internes, dont PostFinance, Holcim Suisse et Energie360°. « Sans innovation, il ne peut y avoir de croissance durable », explique Alice Dal Fuoco, responsable innovation chez PostFinance. « Pour soutenir la croissance de nos activités d’innovation, nous sommes ravis de collaborer avec des leaders de l’innovation externes tels que Kickstart. »

Intrapreneurship #KICKSTARTERS20:

#digitalreal (La Mobilière, FinTech & AssurTech) est une mesure de La Mobilière visant à sensibiliser le public aux cyber-risques.

Atendo (Holcim Suisse, Smart City & Technology) vise à éliminer le travail fastidieux et à créer une liaison numérique qui permet de récupérer en l’espace de quelques secondes seulement les documents d’appel d’offres et/ou des plans directeurs. L’entreprise offre ainsi un point de départ vers l’automatisation du processus d’offre.

Check&Connect (La Mobilière, FinTech & AssurTech) offre la possibilité aux PME d’évaluer facilement et à moindre coût la sécurité de leur propre infrastructure informatique. La startup leur fournit également un contact direct avec des experts ainsi que des services additionnels qui permettent aux PME de remédier aux faiblesses identifiées et de mettre en œuvre des mesures préventives.

CliMate (Swisscom, Smart City & Technology) encourage les gens à adopter un mode de vie plus durable en fournissant une plateforme communautaire dédiée aux défis environnementaux.

lab360 (Energie 360°, Smart City & Technology) crée l’avenir de l’énergie hydrogène.

Ormera (PostFinance, Smart City & Technology) est une solution Meter-to-Cash basée sur la blockchain qui automatise l’ensemble du processus de facturation de l’énergie autoproduite.

Roady (Swisscom, Smart City & Technology) aide l’utilisateur à se diriger vers les endroits conformes à ses goûts, et donc susceptibles de lui plaire.

The Ginius Way

Way (Swisscom, Food & Retail Tech) donne à l’utilisateur le temps de se consacrer aux choses importantes de la vie en prenant en charge ses tâches quotidiennes et ses corvées.

WoWMi (Migros, Food & Retail Tech) – The Beauty Timeout – est une plateforme qui combine, dans un écosystème holistique, des soins de beauté et de bien-être personnalisés avec des options et des services complémentaires.

Kickstart est une spin-off d’Impact Hub Zurich,​ une communauté internationale d’entrepreneurs, de techniciens et de créatifs. La plateforme d’innovation en matière d’écosystème gère des programmes destinés aux startups, aux « intrapreneurs », aux PDG et aux organisations établies. Elle organise notamment une semaine de lancement en septembre et une collaboration de six semaines, du 30 septembre au 8 novembre, pendant laquelle les équipes internationales s’engageront en Suisse. Les sites retenus par Kickstart cette année sont l’espace d’innovation ​Kraftwerk à Zurich et Impact Hub Lausanne.

Pour aller plus loin, veuillez prendre contact avec :

Sasha Steinmann, Communication Manager

+41 77 529 63 26

[email protected]

www. kickstart-innovation.com

À propos de Kickstart

Kickstart est l’une des plus grandes plateformes d’innovation multi-entreprises en matière d’écosystème à capital zéro en Europe. Elle gère un programme d’expansion destiné aux startups à forte croissance dans le but d’accélérer l’innovation technologique de rupture (« deep tech ») en Suisse. Les technologies axées sur la science et l’ingénierie sont capables de résoudre les plus grands défis de l’humanité. Ces défis exigent une collaboration sans précédent entre des organisations établies et les entrepreneurs les plus audacieux. Kickstart s’engage à créer des ponts et à rassembler diverses organisations telles que des startups, des entreprises, des villes, des fondations et des universités.

Chaque année, Kickstart fait venir jusqu’à 100 entrepreneurs en Suisse pour collaborer avec des acteurs clés en vue de la validation de concepts, de projets pilotes et d’autres partenariats d’innovation. En outre, grâce au programme d’intrapreneuriat, Kickstart aide les entreprises établies à accélérer l’innovation interne.

Kickstart est une spin-off d’Impact Hub Zurich lancée en 2015 par digitalswitzerland. En 2020, Kickstart gère cinq marchés verticaux : EdTech & New Work, FinTech & InsurTech, Food & Retail Tech, HealthTech, Smart City & Technology. Elle met également en place un programme d’intrapreneuriat et des initiatives pour une économie circulaire en partenariat avec des organisations issues de tous les secteurs : AXA, Coop, Migros, Swisscom, La Mobilière, ETH Zurich, Ville de Zurich, fondation Gebert Rüf, Holcim Suisse, fondation MAVA, fondation Mercator Suisse, PostFinance, Mövenpick, New Work SE, Office fédéral de l’énergie suisse (OFEN), Credit Suisse, CSEM, Energie 360°, Empa NEST, Hôpital universitaire de Zurich, Panter, SATW, startups suisses spécialisées dans la santé, Roche, Growpal, Ringier, Wenger & Vieli AG, Google for Startups, Nespresso, Canton de Vaud, WECOCO et bien d’autres encore.

Les communautés sont l’avenir de l’entreprise !

 

Coorpacademy a co-édité avec makesense un cours en ligne sur la création de communautés en entreprise. Elles peuvent apporter beaucoup aux organisations : stimuler l’innovation, fidéliser les salariés, diffuser de nouvelles méthodes de travail…Lucie Chartouny, Community Builder chez makesense et co-initiatrice de la communauté des paumé·e·s nous livre dans cette interview son expérience de construction de communautés. Il semblerait que la révolution du collectif en entreprise n’ait pas fini de nous surprendre !

Q. : Commençons par une question facile, ou presque ! Qu’est-ce qu’une communauté pour l’entreprise ? Communauté et entreprise vont-elles si bien ensemble ?

En réalité, il n’y a pas une seule bonne définition, car ce mot est utilisé différemment selon les personnes, les contextes et les cultures. Dans notre quotidien, on concentre cette définition sur les personnes qui choisissent de se regrouper en communauté pour une raison particulière. Et plus précisément, sur les groupes de personnes unies par une vision commune – comme rendre les produits de leur entreprise plus durables – ou par leur situation – par exemple un groupe de jeunes entrepreneurs – qui œuvrent ensemble pour atteindre un objectif partagé.

En tout cas, je suis convaincue que la communauté est l’avenir de l’entreprise.

En tout cas, je suis convaincue que la communauté est l’avenir de l’entreprise, c’est-à-dire que l’avenir de l’entreprise se construira autour d’une approche de communautés. Le fait d’avoir un groupe de personnes qui a envie d’agir ensemble, de faire avancer des sujets, permet – et on l’a vu en temps de crise – d’être à la fois proactif, résilient, tout en ayant une approche décentralisée, et donc au final de gagner du temps et de trouver les solutions plus pertinentes et plus proches du terrain.
Après, les communautés en entreprise présentent de vraies différences. Certaines servent à engager, à connecter soit des salariés soit des parties prenantes, sur des thématiques données, par exemple environnementales, ou de RSE. D’autres sont au service de la diffusion et du partage des bonnes pratiques et des outils. Enfin, la dernière typologie qu’on voit sont des communautés d’innovation et de création au service d’un objectif stratégique ou de mission d’entreprise, l’intérêt de la communauté dans ce cadre est que les remontées de terrain qui permet d’innover différemment d’une approche classique.

Q. : Le développement des communautés serait aussi celui de la démocratie au sein de l’entreprise ?

Les communautés peuvent avoir un impact en termes de gouvernance, mais cela ne se fait pas du jour au lendemain, cela prend du temps de transformer les dynamiques et les modes d’engagement des salariés. Chez makesense, on est convaincu que les communautés sont des modes d’engagement citoyen qui sont complémentaires à l’existant.

Q. : As-tu créé la communauté des paumées avec cette volonté de nouvel d’engagement citoyen ?

J’ai co-initié la communauté des paumé·e·s avec deux collègues Aurore Le Bihan et Simon Drouard en 2018. On est partis de nos ressentis personnels et non pas d’une approche intellectuelle autour de l’engagement. Tous les trois avions eu des phases de transition professionnelle.

On se sentait perdus, paumés et personnellement, je ne savais pas avec qui partager mon questionnement et je ne comprenais pourquoi je trouvais si peu d’informations sur la quête de de sens au travail.

On se sentait perdus, paumés et personnellement, je ne savais pas avec qui partager mon questionnement et je ne comprenais pourquoi je trouvais si peu d’informations sur la quête de de sens au travail. En en discutant avec Simon et Aurore, et puisque chez makesense on aime faire les choses avec une approche collective, on a voulu essayer d’aider tous ceux qui comme nous qui se posent plus de questions qu’ils n’ont de réponses. On a donc lancé le premier événement de la communauté paumé·e·s pour tout simplement se retrouver, raconter pourquoi on se sent paumé et essayer de s’entraider. Aurore, fan de podcast de son côté, a donné la parole à des paumé·e·s, qui avaient avancé dans leur réflexion ou dans des projets intéressants. Aujourd’hui, on a près de 15 000 membres un peu partout en France et il y a eu des centaines d’événements pour la plupart initiés et organisés par des “super paumé·e·s”, environ 200 membres très engagés à Nantes, Montpellier, Lyon, etc. et qui se sont reconnus dans le manifeste.

Q.: Faut-il que la raison d’être de la communauté soit très claire et affirmée, comme dans un manifeste, pour garantir le succès ?

C’est vrai que les membres de paumé·e·s partagent tous la conviction que la “paumitude” est une période utile saine, qui peut être vécue avec optimisme. Ce parti pris peut nous couper de personnes en grande souffrance, mais il faut être clair sur sa raison d’être.
La raison d’être des paumé·e·s, soit la quête de sens, est un sujet qui était déjà très actuel avec peu de propositions qui visaient à répondre à cette question, à part du coaching très individuel ou très développement perso, sans beaucoup d’offres où les choses se font en collectif. Je crois aussi que beaucoup de paumé·e·s se sont reconnus dans cette communauté parce que nous l’avons fait en s’amusant, en cherchant ce qui nous aurait fait rire à l’époque, comme le pastiche de Jacques Séguéla, en adoptant un ton qui se veut rigolo. Mais notre raison d’être qui se veut claire, et un manifeste, et des outils mis à disposition de tous, et le fait que cela ait été lancé dans d’autres régions de France que Paris, font que l’ensemble a marché !

Q.: À quel moment on peut parler de réussite d’un communauté ?

Cela peut paraître un peu bisounours, mais j’ai eu la sensation qu’on avait réussi quand, lors d’un événement avec les membres ambassadeurs les plus actifs, ces derniers ont raconté leur parcours et leur engagement au sein de paumé·e·s, et comment cela avait transformé leur vies, et comment la communauté les aidait. Ces témoignages forts m’ont fait prendre conscience que de très belles choses se passaient avec beaucoup de transformations personnelles. Par exemple, l’un d’entre eux a expliqué comment le fait d’organiser les événements lui avait permis de reprendre confiance en soi après son burn-out. En fait, les membres ont montré comment la communauté les avait transformés et que la somme des transformations individuelles peut faire changer les choses collectivement.

Q.: Si tu avais un conseil à donner pour réussir à construire une communauté, en dehors de celui de suivre le cours co-édité avec Coorpacademy, lequel serait-il ?

Lancer une communauté peut paraître assez vertigineux. Se dire “j’organise un événement et je pense que ce sujet est important, on y va”, il faut oser, surtout dans un contexte professionnel avec en plus les enjeux de carrière, de ce que vont penser ses collègues, son manager. C’est une vraie prise de risque. Mais, le truc est d’y aller pas à pas, de commencer par des petites choses, comme déjà organiser un café avec des collègues les plus bienveillants, avant de réserver l’amphi de l’entreprise !

Osez petit ! Et aussi, se lancer rapidement sans trop réfléchir et apprendre sur le tas.

Si j’avais un conseil à donner, je reprendrais celui que Gaëtan Maillet chez Décathlon avait donné lors d’une conférence sur la difficulté de faire vivre les communautés en entreprise : osez petit. Et aussi, se lancer rapidement sans trop réfléchir et apprendre sur le tas. C’est ce qu’on a fait pour les paumé·e·s, et c’était passionnant de voir le lancement d’une communauté de zéro à, aujourd’hui, des milliers de membres avec un grand niveau d’autonomie, où les “super paumé·e·s “jouent des rôles forts et portent les régions.

Q.: Il semble que la quête de sens, de soi, soit au coeur de la communauté des paumé·e·s. Est-ce selon toi un enjeu que les entreprises doivent porter ? D’après ton expérience auprès des organisations que tu as pu conseiller, quels sont les autres enjeux RH liés aux communautés dans les entreprises ?

Quand je suis arrivée il y a 4 ans chez makesense, la question de la quête de sens était moins à la mode, moins urgente et en entreprise, j’ai le sentiment qu’on ne voulait pas trop en entendre parler.

Déjà dire le mot communauté nous faisait passer pour des extraterrestres mais parler en plus d’une communauté orientée sur la quête de sens, c’était alerte rouge !

Déjà dire le mot communauté nous faisait passer pour des extraterrestres mais parler en plus d’une communauté orientée sur la quête de sens, c’était alerte rouge, avec la crainte que les collaborateurs finissent par démissionner ! Depuis fin 2019, j’ai vraiment le sentiment que cela a beaucoup évolué. Le mot communauté fait moins peur et en plus, on s’aperçoit de leur intérêt. Par exemple, on s’est rendu compte que dans une des communautés qu’on accompagne, certains de ses membres restent aujourd’hui dans cette entreprise grâce à la communauté, parce qu’ils rencontrent des personnes qu’ils ne rencontreraient pas autrement, ils apprennent plein de choses et ne s’ennuient pas. Les communautés peuvent devenir un vrai enjeu de rétention, de fidélisation des talents en entreprises. On a aussi pas mal de communautés autour du digital, pour des profils de data scientists, très demandés sur le marché du travail. Assez rapidement, ils peuvent s’ennuyer entreprises parce que leur métier est assez technique, peu compris, et avoir une communauté autour du digital leur permet de partager ce qui les anime à côté ou pendant le travail, de se stimuler les uns les autres pour continuer à apprendre jour après jour.
Ce qui est passionnant sur ce sujet de la fidélisation grâce aux communautés, c’est qu’on retrouve une quête de sens souvent liée à un engagement environnemental ou social de l’entreprise, à sa mission.

Aujourd’hui, la question du sens est complètement inévitable, les entreprises en sont conscientes.

Aujourd’hui, la question du sens est complètement inévitable, les entreprises en sont conscientes. Donc elles peuvent soit faire évoluer leurs communautés et leurs raisons d’être au départ pus liées à d’autres sujets, soit même créer des communautés autour de la collaboration, de la formation de leurs salariés pour les fidéliser.

Q.: Quel est le projet de communauté en entreprise que tu as accompagnée qui t’a le plus marqué ?

J’accompagne Ecowork, la communauté autour de la ville durable chez Vinci. C’est un exemple de communauté makesense pour moi très abouti. Au départ, nous organisions la plupart des événements, et petit à petit, on a autonomisé les membres. Aujourd’hui, ils sont eux-mêmes créateurs de méthodologies pour transformer leurs réponses à un appel d’offre et avoir le réflexe environnemental au bon moment. Ils sont eux-mêmes organisateurs d’after-work autour de l’économie circulaire ou sur d’autres thématiques. Il y a des programmes ambassadeurs assez poussés, des programmes de formation autour des sujets de environnementaux et cela permet petit à petit de faire basculer la vision de l’environnement au sein de Vinci.

Tous les salariés avec qui on travaille sont vraiment en demande.

Tous les salariés avec qui on travaille sont vraiment en demande. Ils sont aussi souvent très très engagés personnellement, avec une vraie volonté de mieux comprendre les enjeux environnementaux, et de transformer leurs métiers pour pouvoir être dans leur vie professionnelle ambassadeurs de l’écologie comme ils le sont dans leur vie personnelle. La communauté leur permet de reprendre le pouvoir sur une partie de leur quotidien en étant connectés aux bonnes personnes et en disposant des bonnes méthodologies de travail. Les nouvelles communautés sont beaucoup liées aux nouvelles méthodologies de travail. Chez Vinci, Ecowork a augmenté la collaboration entre leurs multiples filiales, entre les salariés et au service de l’environnement.

Merci Lucie, ce sujet des communautés est passionnant et infini !

Envie d’en savoir plus ? Découvrez le cours Comment construire une communauté de makesense sur les plateformes Coorpacademy.

 

Lucie Chartouny, Community builder chez makesense, est la co-initiatrice de la communauté des paumé.e.s, qui regroupe des milliers de millenials en quête de sens et de soi dans leur vie professionnelle notamment. Elle aide au quotidien les organisations à redonner du sens au projet collectif et les accompagne dans la construction et le développement de communautés en leur sein.
makesense
Créée en 2010, la communauté mondiale de makesense compte près de 100 antennes. Leur objectif est de mobiliser les gens - citoyens, entrepreneurs, organisations - afin qu'ils travaillent ensemble pour s'attaquer aux grands problèmes sociaux et environnementaux de notre temps. Ils s’appuient sur leur expérience de la croissance des communautés dans des cultures, des pays et des contextes différents pour élaborer des modèles et des formations visant à formaliser les meilleures pratiques dans ce domaine émergent. Au cours des six dernières années, ils ont formé et soutenu des dizaines d'organisations - des entreprises aux institutions mondiales en passant par les petites entreprises en démarrage - auprès de leurs communautés.

Et la Battle devint Massive !

 

La Massive Battle est une nouvelle fonctionnalité que nous avons développée en collaboration avec un de nos clients, parce que nous croyons à l’open innovation et que nous plaçons les besoins des entreprises et de nos apprenants au centre de notre démarche.

Avant d’aborder la massive battle, qu’est ce qu’une battle ?

C’est un élément de jeu sur la plateforme en mode duel de questions.

Il s’agit de défier la personne de son choix sur le cours de son choix ! Celle des deux qui répondra correctement au plus grand nombre de questions – ou le plus rapidement en cas d’égalité, remporte la Battle, et 5 points bonus, et une meilleure connaissance du cours.

Il y a généralement 6 à 8 questions, ce qui correspond à 2 questions par chapitre, issues du niveau du cours concerné.

Après cette version simple de la battle, voici désormais la massive battle !

Comme son nom le laisse supposer, il y a beaucoup plus de deux personnes qui jouent à la Massive Battle. En fait, tout ou partie des apprenants de la plateforme y participent et ils sont tous mis au défi par un seul d’entre eux.

Quel besoin ? Engager tous les apprenants d'une manière ludique sur un cours en particulier
Massive Battle, mode d'emploi en 4 étapes !

1- Choisissez l’apprenant qui enverra la battle !

Il vous faut choisir la personne qui envoie la battle et défie les autres. Il est important de noter que la personne qui envoie la battle ne gagnera jamais aucun point quelle que soit l’issue de chaque battle engagée avec les autres apprenants. Le lanceur de battle sélectionné « prête » son nom le temps de l’animation et se transforme en « automate » des battles.

👉 Astuce n°1 : Choisissez de préférence un apprenant connu d’un maximum de personnes dans votre organisation, un directeur d’unité ou encore mieux un dirigeant !

👉 Astuce n°2 : Cette personne peut aussi être un apprenant fictif comme un profil spécialement créé sur votre plateforme à cet usage, par exemple Battle Master ou Innovation Master, si vous lancez une battle sur le thème de l’innovation.

2- Choisissez la population (ou cohorte) qui recevra la Battle

Vous avez le choix d’envoyer la battle à toutes les personnes inscrites sur votre plateforme, ou uniquement à une ou plusieurs à des cohortes sélectionnées.

3- Choisissez le cours sur lequel portera la battle

Choisissez le cours ainsi que  le niveau (base, avancé ou coach) sur lequel vous voulez défier les apprenants.

👉  Astuce : Choisissez le cours pour appuyer un  parcours d’apprentissage ou un certificat que vous avez déjà mis en place !

4- Choisissez le niveau de difficulté de la battle envoyée

Avant d’accepter la battle, l’apprenant a le choix réviser le cours en question. Mais vous avez la main sur le niveau de difficulté de la battle.

👉  Facile : Votre lanceur de battle répond « automatiquement » juste à 20 % des questions. Ce qui signifie que toutes les personnes qui acceptent la battle gagneront leur duel si elle répondent correctement à plus de 20% des questions.

👉  Moyen : Le niveau de réponses justes du lanceur est automatiquement de 50%, donc le joueur doit répondre correctement à plus de 50% des questions pour gagner.

👉 Difficile : Le niveau de réponses justes du lanceur est ici de 80%, donc le joueur devra avoir plus de 80% de réponses correctes pour remporter le duel.

Vous êtes convaincu(e), vous êtes prêt(e) ? Contactez votre Customer Success Manager préféré qui paramètrera vos choix et appuiera sur le bouton pour vous !

 

Connaissez-vous le Binge Learning ?  

L’équipe pédagogique de Coorpacademy est en pleine production de “Suspects”, sa première série de fiction en 3 épisodes pour exercer ses softs skills.

Après le format inédit de l’Escape Game en 2019 qui explorait les fonctionnalités de la plateforme, après la multiplication des formats immersifs où l’apprenant est plongé dans des situations presque réelles pour appliquer de nouvelles compétences, l’équipe pédagogique a décidé en 2020 d’aller encore plus loin dans la narration interactive. 

 

D’abord la fiction, après la formation ! 

Laurence Mijoin-Duroche, learning manager chez Coorpacademy, a eu l’idée cette fois de renverser la logique de construction habituelle des cours : d’abord imaginer une fiction à laquelle intégrer des éléments pédagogiques, et non l’inverse. Dans ce format résolument nouveau dans le domaine de la formation en ligne, les connaissances abordées seront traitées en filigrane et présentées de façon quasi-subliminale à l’apprenant/joueur/spectateur. En faisant des choix qui modifient le cours de l’histoire, celui-ci sera acteur de sa formation, sans se rendre compte qu’il est en train d’apprendre.

C’est ainsi que la production de ce nouveau format a été lancée en plein confinement, mais avec une équipe débordant de motivation et d’idées de scénarios. Cette nouvelle série pédagogique sera donc une vraie fiction, en vidéo interactive, et racontée en trois épisodes, où le joueur fera ses propres choix et apprendra de ses décisions.

 

Si vous avez aimé le film Searching – Portée disparue, les séries Calls ou Criminal, vous aimerez Suspects de Coorpacademy

La fiction étant le point de départ, l’équipe pédagogique s’est volontairement laissée influencer par certains films ou séries policières, avec l’idée d’une enquête et d’interrogatoires à mener.

L’ambiance “less is more” !

Série Calls de Canal +
Série Calls de Canal +

La série Calls de Canal+ repose uniquement sur des dialogues uniquement issus d’enregistrements sonores qui s’affichent à l’écran. Avec quelques effets de lumière, les voix des comédiens, l’histoire et le suspens prennent corps.

Une mise en scène reposant sur des successions d’écran.

Film Searching – Portée disparue

Le film Searching – portée disparue montre l’enquête d’un père de famille dont la fille a disparu… uniquement au travers des actions qu’il effectue sur son écran d’ordinateur et son smartphone : mails, webcam, consultation de dossiers, enquête sur le web…

L’idée d’un duo d’enquêteurs aux profils différents.

Série Criminal sur Netflix

Dans la série Criminal de Netflix, une enquêtrice, fine psychologue, assiste à des interrogatoires derrière une vitre sans tain et conseille un inspecteur, aux méthodes un peu plus bourrues.

Paris, 2031. Un brevet révolutionnaire pour la planète a été volé

Un centre de recherches a mis au point la formule d’un carburant révolutionnaire qui, produit et vendu à grande échelle, pourrait permettre de réduire drastiquement le réchauffement climatique. Un brevet qui vaut potentiellement des millions… Or à peine développée, la formule a été dérobée. Trois suspects doivent être interrogés. Un duo d’inspecteurs est sur l’affaire : Alice Postel, spécialiste en analyse comportementale, et Carl Sanchez, jeune détective fraîchement arrivé au sein de la police judiciaire. Ce dernier doit faire ses armes. Mais il ne sera pas seul : Alice, derrière son écran d’ordinateur, va suivre tous les interrogatoires et lui souffler des conseils dans l’oreillette. En s’appuyant sur ses connaissances en soft skills, bien sûr…

Et … la montée en compétences dans tout ça ?

À chaque épisode, un seul suspect sera interrogé et Carl récupérera des informations intéressantes en fonction de l’interrogatoire qu’il a mené. Si Alice – c’est-à-dire l’apprenant, ne lui pas soufflé les bons conseils, tout le monde – Alice, Carl et l’apprenant, pourront suivre les cours proposés pour améliorer les soft skills qui leur ont fait défaut. Peut-être s’agira-t-il de  travailler les compétences :

  • de négociation et pouvoir de persuasion
  • de résolution de problèmes
  • d’écoute active
  • d’esprit critique
  • d’intelligence émotionnelle
  • de gestion des conflits

Qui a dit qu’il était facile de mener un interrogatoire ? En tout cas, l’enquête ne sera résolue qu’au bout du troisième et dernier épisode, quand les trois suspects auront été interrogés. Et, cela promet quelques séances de binge learning en perspective.

 

Suspects bientôt sur Coorpacademy

Un épisode par mois dès le 13 octobre.

Disponible en français et en anglais.

Ça y’est j’ai tout compris ! J’ai testé les différents formats pédagogiques en ligne !

 

J’étais plongée dans les données sur lesquelles s’appuient nos équipes R&D, à la recherche de chiffres qui illustreraient le mieux possible pourquoi il fallait proposer des cours en ligne qui ne prennent pas toujours la même forme. Quand tout à coup, révélation !

On a tous le souvenir d’une fulgurance de compréhension, d’un déclic venu de nulle part ou plus exactement d’un peu partout…

Cela peut provenir d’une simple reformulation, d’un détail observé en situation réelle, d’une relecture à tête froide, d’une manipulation concrète (oui aux Kapla pour comprendre les soustractions) ! Mais la fulgurance peut aussi se manifester après avoir été poussé(e) dans ses retranchements avec des questions… (Comment es-tu arrivé(e) à ce résultat ? Te souviens-tu de… ?)


Les chemins du cerveau restent mystérieux.

À défaut de connaître la carte détaillée de chacun d’entre nous pour emprunter l’itinéraire le plus direct vers la compréhension et la mémorisation d’un sujet, autant proposer un maximum de véhicules pour les atteindre.

C’est ici que cela se corse ! Quel véhicule proposer ?

Les cours en ligne peuvent s’appuyer sur de l’image fixe, de la vidéo (personnifiée ou en motion design), du son, du texte, du clic et des récompenses ! Alors on met tout dans un shaker et on agite joyeusement ? En fait, non : le cours en ligne, c’est précis comme une recette de pâtisserie ou de cocktail, pour filer la métaphore. Il ne faudrait surtout pas que ce soit indigeste (j’arrête ici de filer la métaphore).

Le préalable cependant est de bien comprendre les principes de base. Les vidéos de cours se doivent d’être courtes, 3 minutes maximum pour garantir leur visionnage et leur impact. Le principe est de portionner et de séquencer intelligemment ce qu’il faut apprendre en utilisant tous les ingrédients dont on dispose.


Je voulais ici vous partager les recettes testées et les résultats !

1- Le 5’learning

1 vidéo + 4 à 6 questions

Ce qui fait la différence 😋

* Une notion précise est traitée en une portion de 5 minutes en mode “microlearning”.
* On fait les questions librement avant ou après la vidéo.
* Parfait avant une réunion pour réviser une notion, avant un vol ou pendant un trajet en métro pour se rafraîchir la mémoire !

2-  Le format classique

9 vidéos (+ PDF) et questions associées.

C’est le format traditionnellement le plus utilisé, il est construit en 3 niveaux (base / avancé / coach) avec un enchaînement cohérent d’une dizaine de 5’learning.

Ce qui fait la différence 😋

* La progressivité : valider très vite les questions d’un niveau signifie que l’on a déjà atteint ce stade d’expertise, on n’est donc moins poussé à regarder la vidéo, et on passe plus de temps à approfondir ce qu’on ne connaît pas encore.
* La curiosité : les questions apprennent autant que la vidéo avec un système de réponse en deux temps : le point clé à retenir et un Le Saviez-vous ? pour approfondir ou élargir le sujet.

3- L’assessment

De 5 à 40 questions, sans vidéo

Des séries de questions, sans vidéo, pour se tester et s’évaluer au début ou la fin d’un parcours de cours et être orienté vers la suite !

Ce qui fait la différence 😋

*Le feedback qualitatif et personnalisé à l’issue des assessments apporte bien plus qu’une simple note.
* L’assessment permet aussi d’ancrer les connaissances, comme par exemple les étapes d’un processus de sécurité à retenir.

4- Le format immersif

Nombre de vidéos et de questions variables (variables mais précis!)

Le principe est de simuler une situation réelle pour que l’apprenant puisse faire “comme si”, qu’il puisse s’entraîner et donc mettre en application ses connaissances. Chacun peut avoir son propre parcours en fonction de sa maîtrise du sujet, et être orienté différemment selon son profil.

Ce qui fait la différence 😋

* Rien ne vaut le passage à la pratique, même virtuelle, pour apprendre de ses erreurs.
* La possibilité de recommencer autant de fois que l’on veut et de profiter des recommandations en fin de cours permet de s’améliorer sans cesse.

4-1- Les mini-séries

12 à 15 vidéos et 1 question après chaque vidéo

Dernier né de cette famille de formats immersifs 👶: la mini-série co-éditée avec notre partenaire Video Arts.

Le cours a pour objectif d’apprendre à s’affirmer ou à développer son assertivité. À travers une série de saynètes en vidéo – drôles et bien vues, ce qui est à faire et à ne pas faire est concrètement illustré pour que chacun (se) visualise et comprenne réellement comment développer cette compétence.


Après ça, vous ne pourrez pas confondre assertivité et agressivité…

Pour encore mieux mémoriser, il est proposé de répondre à une question de vérification des acquis à la fin de chaque vidéo. Un format redoutable, efficace… à l’insu de l’apprenant 🚴‍♂️!

4-2- Les cours dont vous êtes le héros

L’apprenant est aux manettes, lui sont présentés des contextes, parfois avec des vidéos, et son cheminement question après question, réponse après réponse, le fait réfléchir et avancer vers son résultat personnalisé.

Ce qui fait la différence 😋

* Les scénarios ! Imaginer les débuts, les déroulés différents, les fins : ce format à embranchements, ludique, mais au contenu contrôlé et validé par nos ingénieurs pédagogiques, assure et l’engagement et l’apprentissage.
* Plusieurs modèles ou variantes de Cours dont vous êtes le héros existent, en fonction de l’objectif pédagogique.

Le théâtre réveillera le créatif qui est en vous !

Un des derniers exemples de Cours dont vous êtes le héros traite de la créativité, compétence on ne peut plus adaptée à la démultiplication des scénarios. Guillaume Lafon, ingénieur pédagogique chez Coorpacademy a travaillé avec les auteurs Luc de Brabandere et Anne Mikolajczak, tous deux  spécialistes de la créativité en entreprise, l’un ingénieur et « Fellow » au Boston Consulting Group, l’autre philologue.

Mais il a également fait appel à Mathilde Gentil, scénariste professionnelle et fondatrice de la Gosh Compagnie qui fait entre autres du théâtre dont vous êtes le héros, où le public décide des actions qui vont avoir lieu sur scène. Au final, si vous pensiez qu’il n’y a pas 36 solutions à un même problème, vous serez étonnés de découvrir que dans ce cours sur la créativité… qu’il y en a 32 ! Il ne tient qu’à vous de jouer et rejouer ce cours pour apprendre comment organiser et animer une session de créativité, partager le plaisir des idées et, qui sait, révéler le créatif qui sommeille en vous !

On vous promet encore plein d’autres innovations, qui seront aussi passionnantes que notre dernier Escape Game en ligne. Au passage, le temps record pour résoudre l’Escape Game est de 15 minutes… Si vous pensez faire mieux ou si vous voulez simplement essayer, c’est par ici.


Pour synthétiser, tous les formats de cours développés utilisent les ressources en ligne à disposition(vidéo, image, texte, son, animation …).  Chaque type de cours tire sa force d’une combinaison unique des ressources en ligne, et de sa capacité à activer ce qui nous fera comprendre une nouvelle notion ou compétence.

En reprenant la liste initiale et empirique de ces déclencheurs, je les retrouve finalement (et heureusement) à doses différentes selon les formats. Les déclencheurs liés à la mise en situation ou manipulation sont très prégnants dans les formats immersifs ; ceux liés à la relecture et à la visualisation se retrouvent quasi partout grâce au supports vidéos, à leurs sous-titrages, et autres PDF associés; ceux liés à la reformulation et au questionnement sont également très présents, grâce au design étudié des questions/réponses pour renforcer leur impact ainsi qu’à la liberté d’apprentissage qui permet de répondre aux questions d’abord, et de suivre le cours ensuite (pédagogie inversée).

Chaque cerveau y trouve son compte, chacun peut trouver son véhicule !

Bérangère Chauvenet

Commencer une nouvelle série et se former

Le petit nouveau : le format Mini-Série

Dans les formats de cours en ligne immersifs, voici le dernier-né : la mini-série, co-éditée avec Video Arts.

Pour rappel, dans le format immersif, le principe est de simuler une situation réelle pour que l’apprenant puisse faire « comme si », qu’il puisse s’entraîner et donc mettre en application ses connaissances. Chacun peut avoir son propre parcours en fonction de sa maîtrise du sujet, et être orienté différemment selon son profil.

En effet, rien ne vaut le passage à la pratique, même virtuelle, pour apprendre de ses erreurs. La répétition possible (et jusqu’à plus soif !) du cours permet de s’améliorer sans cesse, en profitant également des recommandations en fin de cours.

C’est quoi une mini-série ?

Concrètement, il s’agit d’un enchaînement de 12 à 15 vidéos avec 1 question suivant chaque vidéo.

Ni agressif, ni soumis : assertif !

Le premier cours  de ce format a pour objectif d’apprendre à s’affirmer ou à développer son assertivité. À travers une série de saynètes en vidéo – drôles et bien vues, ce qui est à faire et à ne pas faire est illustré pour que chacun (se) visualise et comprenne réellement comment développer cette compétence.



Après ça, vous ne pourrez pas confondre assertivité et agressivité !

Pour encore mieux mémoriser, il est proposé de répondre à une question de vérification des acquis à la fin de chaque vidéo.

Un format redoutable, efficace… à l’insu de l’apprenant 🚴‍♂️!

Ce format n’aurait pas vu le jour sans la collaboration avec notre partenaire Video Arts.

Video Arts est un spécialiste de contenu video dédié à la formation. Son credo : aller au-delà de la théorie et modifier les comportements. L’apprentissage est souvent destiné à fournir aux apprenants des faits et des informations. C’est une bonne solution si vous voulez développer leurs connaissances sur un sujet donné, mais qu’en est-il si vous souhaitez qu’ils modifient leur comportement ? La vidéo permet, très rapidement, de faire passer des idées complexes sur le comportement humain. Et Video Arts fait passer le message de manière à ce que les apprenants le mémorisent durablement. Depuis la création de la société en 1972 par John Cleese (ex-membre des Monty Python) , son contenu pédagogique est réputé pour stimuler, impliquer et divertir les apprenants, en les amenant à réfléchir, à ressentir et à faire les choses de manière différente.

En alliant les deux processus pédagogiques, la mini-série a vu le jour et est déjà plébiscitée par les apprenants.

Très simple et très utile. Les exemples sont clairs et bien joués par les acteurs !

À vous de jouer maintenant !

Le télétravail, tout le monde s’y met et on vous aide !

 

Comment être efficace à distance ? Avec l’épidémie de Covid-19, les entreprises sont appelées à faire télétravailler leurs salariés dès que cela est possible. Mais organisations et collaborateurs ne sont pas tous au même niveau pour gérer le télétravail

C’est pourquoi nous avons mis à disposition sur toutes nos plateformes de formation, une playlist spéciale « Efficace à distance » regroupant l’essentiel pour bien télétravailler et passer en mode agile !

Dans certains de ces cours, nos auteurs experts ont listé des outils susceptibles de vous aider dans votre nouveau quotidien pour mieux gérer les interactions à distance.

Les outils pour bien télétravailler

Communiquez en permanence avec les messageries instantanées ou en vidéoconférences.

  1. Slack est une plateforme de messagerie instantanée (texte, appel et visio) qui permet de regrouper les personnes et les informations dont vous avez besoin pour travailler. Slack peut s’interfacer avec de nombreux services et applications déjà en place comme Salesforce, Google Drive… 
  2. Microsoft Teams est une plateforme du même type où vous pourrez inviter toutes les personnes avec lesquelles vous travaillez à discuter, participer à des réunions, passer des appels et collaborer en un endroit unique, où que vous soyez.
  3. Sans oublier Skype, Zoom et consorts (Google Hangouts Meet, appear.in, join.me) pour des vidéoconférences en toute simplicité.

Collaborez virtuellement mais en vrai !

Avec Dropbox, Google Drive ou Microsoft OneDrive, vous pouvez stocker en ligne vos fichiers et également autoriser la consultation et la modification (en direct et à plusieurs) des documents type Word, Excel et Powerpoint.

Gérez vos projets à distance et planifiez intelligemment les réunions.

  1. L’un des outils les plus connus, Trello, vous permettra, avec ses tableaux, listes et cartes d’organiser vos projets et de définir leur ordre de priorité de façon amusante, souple et enrichissante. 
  2. Pour les agendas, utilisez vos calendriers électroniques type Google Calendar en les associant pourquoi pas à des Assistants Virtuels comme Clockwise ou Julie Desk qui vous aideront à mieux planifier sans subir les aller-retour parfois déconcertants pour fixer une réunion.

Les bons outils font le bon travailleur, certes, mais “l’homme est un être sociable” (Aristote). 

Le télétravail implique d’utiliser ces outils au mieux pour que la communication à distance soit la plus fluide et efficace possible. L’objectif est de rester performant mais aussi de limiter les risques de mauvaise compréhension, le sentiment d’isolement et le stress que cela peut induire. La façon de manager ses équipes et gérer les émotions sont donc fondamentales, et ce sont des compétences sur lesquelles chacun peut se former et s’améliorer. 

La playlist « Efficace à distance » de formations en ligne comprend donc des cours sur les nouvelles méthodes de management agile et sur la gestion du stress et des émotions. Chaque détail compte, y compris faire de simples exercices de respiration de 5 minutes pour se détendre.

Vous l’aurez compris, notre équipe d’ingénieurs pédagogiques a regroupé pour tous nos apprenants les cours les plus adaptés à la situation exceptionnelle actuelle pour améliorer le quotidien de travail de chacun, de façon très concrète. Que ce soit pour s’organiser personnellement, pour gérer ses projets, ou encore pour manager une équipe à distance, découvrez :

  1. des méthodes pour structurer son travail et gérer son temps,
  2. des outils en ligne pour collaborer et communiquer en équipe,
  3. des nouvelles façons de travailler en mode agile,
  4. des techniques simples pour rester zen, gérer ses émotions et celles des autres.

Testez notre playlist et ses 6 heures de formation disponibles, que ce soit en cours complets de 30 à 45 minutes, ou en courts modules de 5 minutes.

Prenez soin de vous et bon télétravail !

Retrouvez d’autres outils disponibles et expliqués sur le Blog du Modérateur, ainsi que des conseils de management sur HBR.

Coorpacademy lance un prototype d’assistant conversationnel

Le nanolearning de Coorpacademy copie

Coorpacademy lance un prototype d’assistant conversationnel, à partir de Google Assistant, connecté à ses contenus de formation

Coorpacademy expérimente une nouvelle manière de se former, exploitant les récents progrès des interfaces vocales. La start-up vient, en effet, de développer un prototype d’assistant conversationnel, à partir de Google Assistant, connecté à ses contenus de formation. Il s’agit de la première expérimentation de ce type en Suisse, la voix remplaçant ainsi totalement l’interface digitale de navigation (mobile ou desktop).

Ce prototype d’assistant conversationnel – connecté au catalogue de formation de Coorpacademy – est issu du processus d’innovation interne à l’entreprise : chacun des collaborateurs bénéficie en effet d’une demi-journée par semaine pour se consacrer à des développements de son choix. C’est dans ce cadre que ce projet a été initié par deux développeurs de l’équipe de Paris et partagé avec l’équipe R&D de l’entreprise, basée sur le campus de l’EPFL (Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne – en pointe sur les nouvelles modalités d’apprentissage).

L’expérimentation est dès aujourd’hui disponible via Google Assistant. Elle devrait être également déployée sur Facebook, Twitter et via d’autres assistants conversationnels comme Siri ou Cortana.

Ce projet intervient dans la continuité du lancement, en octobre 2017, du format d’apprentissage « microlearning » sur la plateforme Coorpacademy.

Ce format permet d’explorer l’ensemble du catalogue de formation, par séquences d’apprentissage de 5 minutes, accessibles indépendamment, sans contrainte de temps, d’ordre ou de niveau. Il donne accès à plus de 600 modules au total.

L’interface vocale permet d’aller un cran plus loin avec le lancement d’un nouveau format dit de “nanolearning”. L’utilisateur peut accéder directement à la question d’un cours, lui offrant ainsi une expérience toujours plus flexible, personnalisée et simple d’usage. Cette expérience inédite d’apprentissage – rendue possible par les avancées de l’intelligence artificielle – est accessible via Google Home ou tout simplement sur un smartphone via “Google Assistant”.

Pour démarrer l’expérience, il suffit de demander, à l’assistant personnel vocal, de se connecter à Coorpacademy (« Ok Google, je voudrais parler à Coorpacademy »).

Il est ensuite possible d’interagir avec l’assistant, en lui demandant d’être testé sur un des sujets de la collection Culture Digitale (« Pose moi une question sur… au choix : le Big Data, la révolution mobile, les réseaux sociaux, la vidéo en ligne, la génération de trafic…»). En phase de test, l’expérimentation sera bientôt étendue à l’ensemble du catalogue de formation de la plateforme.

Frédérick Bénichou, cofondateur de Coorpacademy : « L’expérience d’apprentissage de Coorpacademy a été pensée, dès le début, pour s’adapter au rythme de l’apprenant. Quatre ans plus tard, sur la base des datas de comportement collectées sur plus de 500 000 utilisateurs, nous savons que nous avons fait le bon choix : une des clés de l’engagement en formation résidant dans la facilité d’accès aux contenus de formation et la liberté laissée à l’apprenant dans son parcours et rythme de formation. L’étape ultime est de pouvoir se former sans s’organiser un temps spécifique, c’est ce vers quoi nous tendons en investissant sur les interfaces vocales. »

Retrouvez l’article de Challenges sur le sujet : Coorpacademy et Google créent le premier prof virtuel

La chronique de Jean-Marc Tassetto dans la Harvard Business Review

JMT-HBR

Pour développer votre employabilité, prêtez-vous au jeu !

Finies les formations longues, ennuyeuses et trop généralistes pour être réellement personnalisées. Le jeu est un levier de plus en plus efficace pour développer l’apprentissage en entreprise. D’autant que le « gaming » à l’ère du web ouvre de nouvelles voies. Tous les acteurs de l’économie sont touchés par la révolution numérique

Jean-Marc Tassetto, co-fondateur de Coorpacademy, signe une chronique dans HBR France (Extraits choisis)

Le rapport SAP – The Boson Project estime que 60% des emplois de 2030 n’existent pas encore. Difficile d’évaluer aussi l’impact de l’intelligence artificielle sur cette transformation du marché du travail dans les années à venir. Les questions de l’employabilité des individus, de l’identification et de l’acquisition de compétences nouvelles sont donc des sujets critiques pour notre économie du futur.  Les actifs vont devoir – plus que jamais – se former tout au long de leur vie. Mais quels sont les leviers de motivation de l’apprentissage au sein de l’entreprise ?(…)

Jouer et apprendre font appel aux mêmes facteurs de motivation : envie de progresser, se confronter aux autres, avoir une expérience sociale. Il faut une expérience complète d’apprentissage qui utilise des codes du « gaming ». (…)

Par ailleurs, l’e-learning de première génération négligeait trop l’importance de l’apprentissage avec les pairs. Les contenus de formation se limitaient à des vidéos parfois très longues et ennuyeuses. Il est donc important que la formation en ligne de nouvelle génération propose de l’interactivité entre les apprenants. (…)

D’autres éléments, associés au gaming, vont également contribuer à augmenter l’engagement d’un apprenant et ainsi faire en sorte que la montée en compétences soit régulière. Parmi eux, la personnalisation des contenus et des parcours de formation. (…)

En conclusion, pour apprendre avec plaisir et se laisser “gagner” par les codes du jeu, il faut que l’ensemble des politiques managériales de l’entreprise soit cohérent avec le dispositif de formation. Par exemple, valoriser les collaborateurs actifs sur la plateforme d’apprentissage et le nombre de badges gagnés, donner la possibilité de pouvoir mettre en pratique ses nouvelles compétences ou encore favoriser la mobilité au sein de l’entreprise. Ainsi portée à l’échelle de la stratégie de l’entreprise, la formation par le jeu à l’ère numérique devient une innovation managériale. Elle vient renforcer le plaisir au travail et contribue à la mise en place d’une organisation apprenante.

Cette chronique a été initialement publiée sur le site de Harvard Business Review France

Retrouvez aussi HBR France sur LinkedIn

 

Interview exclusive de Clara Gaymard et de Gonzague de Blignières, co-fondateurs de RAISE

« 100% des grandes entreprises collaborent avec des jeunes entreprises, en tant qu’investisseur (prise de participation), partenaire (relation commerciale et ou incubateur, accélérateur, lab) ou parrain (événements, prix, fondations, mécénat, initiatives RH, mentoring» : il s’agit de l’une des principales conclusions de la récente étude David avec Goliath 2017 menée par le groupe Raise en collaboration avec Bain & Company.

Sans titre (34)

Mais comment s’assurer de la pérennité et des bénéficies de ces initiatives de collaboration ouverte ? À l’occasion de la sortie de notre cours « Innovez avec les start-up » créé avec le soutien de RAISESHERPAS, le Fonds de Dotation du groupe RAISE, nous sommes allés à la rencontre de Clara Gaymard et de Gonzague de Blignières, co-fondateurs de RAISE.

Regards croisés…

RAISE est un intermédiaire reconnu entre les grands groupes et les start-up, quelles sont les raisons de son succès ?

En moins de cinq ans, RAISE est parvenu à construire un écosystème vertueux unique dans lequel nous créons des ponts entre tous les acteurs qui font la croissance de notre pays – grands groupes du CAC 40, ETI, startups. Les grands groupes y jouent un rôle primordial en étant à la fois actionnaires des différentes structures d’investissement de RAISE (RAISE Investissement, RAISE Immobilier et RAISE Ventures) et accompagnateurs du Fonds de dotation RAISESHERPAS.

Continuer la lecture de « Interview exclusive de Clara Gaymard et de Gonzague de Blignières, co-fondateurs de RAISE »

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