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Apprendre à vous taire pourrait changer votre vie.

 

Apprendre à vous taire pourrait changer votre vie. Ce conseil a priori avisé nous provient du Time Magazine, et on vous renvoie vers l’une des récentes unes de ce média britannique qui ne passe pas par quatre chemins pour transmettre son message : “zip it !” 

Zipt it, c’est “fermez-la” en français : on vous l’accorde, c’est un peu brutal, mais qui n’a pas déjà eu l’envie d’en donner l’ordre dans l’open space ? 

 

 

Sonneries de téléphone, conversations animées, claviers d’ordinateurs… L’open space est un lieu propice aux nuisances sonores qui n’aident pas à la concentration. Avouons-le, aussi antipathique qu’il puisse paraître, nous avons tous déjà été à deux doigts de nous transformer en Michael Scott, notre personnage favori de la série The Office. 

 

Ceci étant dit, finalement, que ferions-nous sans tous ces “Talkaholics”, ces collègues accros à leur débit de parole élevé mais qui à eux seuls mettent assez d’ambiance pour faire oublier la morosité de nos lundis ? 

 

De toute façon, la réalité, finalement, c’est qu’on l’est un peu tous – trop bavards et pas assez à l’écoute – chaque collaborateur, qu’on soit extraverti, qu’on soit introverti. Il n’y a pas de différence. 

 

Alors si on la fermait un peu plus ? 

C’est l’idée de l’ouvrage d’un auteur américain, Daniel Lyons, dont les bonnes feuilles sont publiées dans ce numéro du Time Magazine. Le titre du livre : “Shut the fuck up” est assez direct mais le sous-titre permet d’en contextualiser le thème : “le pouvoir de garder votre bouche fermée dans un monde toujours plus bruyant”. 

Parce que c’est en cultivant la rareté de nos prises de parole qu’on aura l’air bien plus intelligent. Comme le disait Orelsan, “apprends à la fermer, t’auras l’air mystérieux” ou encore dans un registre différent, Raymond Devos, “si on parle pour ne rien dire, de quoi allons-nous parler ?”

 

Et bien, nous allons parler d’écoute active. Car si se taire est une chose, comment s’assurer qu’on nous écoute vraiment attentivement ?  

 

Shut up and listen. L’écoute, en effet, se trouve au cœur de la relation humaine. Combien de fois avez-vous échangé avec une autre personne sans véritablement écouter les questions ou les réponses, et ouvert ainsi la porte à des maladresses ? 

 

Notre cours “Améliorer son écoute” co-édité avec les Éditions Eyrolles explore le concept de l’écoute active afin de vous apprendre à tendre l’oreille. 

 

3 conseils pour mieux écouter

Pratiquer l’écoute dite “active” consiste à concentrer pleinement son attention sur l’autre, pour s’assurer que l’on comprend pleinement ce qu’il dit. C’est une excellente manière d’échanger. La base, vous direz. Basique, simple. 

 

La bonne nouvelle, c’est qu’en la fermant, vous avez déjà complété la première étape de l’écoute active. N’oubliez pas également de taire la petite voix intérieure qui résonne parfois en vous lorsque vous échangez avec autrui.  

 

Reformulez les propos de votre interlocuteur ! C’est-à-dire en exprimant avec vos propres termes ce que vous avez compris des propos de l’autre, jusqu’à ce que votre interlocuteur valide votre reformulation parce qu’elle traduit fidèlement son message. Il s’agit donc de clarifier son propos. 

 

 

Enfin, mettez vos biais cognitifs à distance. Pour bien écouter, évitez que les indicateurs renvoyés par votre interlocuteur soient pollués par vos projections ou croyances personnelles. Faites confiance à votre intuition, mais faites attention à ne pas prêter à l’autre des sentiments ou des arrière-pensées qui sont en réalité les vôtres. 

 

Bref, on en a assez dit ! On la ferme désormais. 

Forvia : plus de 50 millions de questions répondues par les apprenants du Learning Lab

Le 3 février 2023, les équipes L&D de Forvia étaient présentes chez Coorpacademy by Go1 pour échanger sur les bonnes pratiques du Digital Learning et pour célébrer le cap franchi des 50 millions de questions répondues sur leur Learning Lab !

Cela représente au total 1,7 millions d’heures de Digital Learning sur des thématiques aussi diverses que le management et le leadership ainsi que sur les transformations digitales et durables, depuis le lancement du Learning Lab en 2016.

Avec plus de 100.000 apprenants connectés, le Learning Lab est devenu l’outil de référence pour la formation au quotidien au sein du groupe Forvia, pour les aider à fidéliser les talents et faire monter en compétences les différentes équipes.

Pour en savoir plus, regardez ci-dessous la vidéo et la publication sur LinkedIn de Jean-Pierre Sounillac, DRH de Forvia.


Se montrer busy : la règle d’or pour avoir une bonne image au travail ?

 

Attention à ne pas confondre le trop-plein d’activités avec de la productivité. On vous explique, grâce à cet article tiré de la Harvard Business Review. 

« Je suis sous l’eau », « je peux pas je suis dans le jus », « désolé mais je suis charrette » : nous avons tous déjà utilisé ou entendu l’une de ces expressions au travail (souvent à juste titre !). Mais depuis peu, il semblerait que la pression au travail à se montrer toujours surchargés soit devenue de plus en plus forte. Une étude de Gallup réalisée par Ashley Whillans, de la Harvard Business School, a révélé que le pourcentage de salariés américains déclarant n’avoir « jamais assez de temps » est passé de 70 % en 2011 à 80 % en 2018.

 

Au travail, cette pression peut se traduire par la nécessité de se montrer « busy » pour être perçu comme important, mais aussi comme productif. Dans cet article, nous allons analyser les effets négatifs que peuvent générer la culture de “la charrette” et la différence entre être productif et se montrer « busy ». 

 

Trop, c’est trop

L’article de la Harvard Business Review explique que la surcharge de travail peut entraîner des effets négatifs importants. Les travailleurs qui sont constamment débordés peuvent souffrir de stress, de burn-out, d’erreurs, de baisse de productivité et de mauvaise qualité de vie. Bien que la culture de la surcharge de travail soit souvent considérée comme productive, elle peut en réalité entraîner des coûts élevés en termes de santé mentale et physique des travailleurs. Des coûts qui se répercutent ensuite sur la performance de l’entreprise. 

 

Less is more

Être constamment occupé n’est pas gage de productivité réelle. Les collaborateurs qui se montrent productifs sont la plupart du temps organisés, savent prioriser les tâches importantes et sont efficaces dans leur travail. En revanche, se dire “sous l’eau” peut être motivé par la peur du jugement des collègues, l’effet de groupe (sous l’eau mais dans le même bateau), le besoin de reconnaissance ou encore l’incapacité à gérer son temps. Il est important de faire la distinction entre la productivité réelle et celle qui est imaginée : où le temps est rempli mais les tâches n’aboutissent pas de façon optimale…

 

Mieux gérer son temps, une compétence clé 

Comme manager pour ses équipes, ou pour soi-même, il est toujours utile de revoir ses notions afin d’améliorer en continu sa gestion du temps ! Avec à la clé : plus de productivité pendant les heures de travail, et donc plus de temps pour soi. 

Dans le cadre professionnel, avoir du temps est une chose, le gérer en est une autre. Mais alors, comment bien gérer son temps au travail pour être efficace ? C’est le sujet traité par le cours co-édité avec Dunod Formation et disponible dans notre bibliothèque de contenus. Composé de deux chapitres, ce cours est idéal pour apprendre à mieux gérer votre temps au travail et identifier vos priorités. 

 

3 points clés à retenir 

La loi de Pareto 

La loi de Pareto établit que 20 % de nos actions produisent 80 % de nos résultats. Nous perdons ainsi beaucoup de temps avec des tâches peu productives, qui apportent peu de valeur ajoutée à notre travail.

Cette loi ne s’applique pas uniquement à nos actions et résultats : elle établit par exemple aussi que 20 % des clients contribuent à 80 % du chiffre d’affaires, ou encore que 20 % des causes permettent de résoudre 80 % d’un problème.

 

Pour appliquer la loi de Pareto, acceptez de renoncer à certaines tâches, éventuellement en les confiant à d’autres personnes, et de réduire le temps consacré à d’autres. Vous pourrez ainsi vous focaliser sur les tâches plus productives.

Attention, si vous choisissez de renoncer à certaines tâches, pensez à bien communiquer auprès de vos collègues, pour bien clarifier la situation : vous éviterez ainsi d’être sollicité à mauvais escient.

 

La matrice Eisenhower 

Pour bien gérer votre temps, la matrice d’Eisenhower propose de trier les tâches en fonction de leur degré d’urgence et d’importance, et d’ainsi définir pour chacun l’action à entreprendre : par exemple, traiter vous-même et dans l’immédiat une tâche urgente et importante, mais déléguer une tâche urgente non importante.

Attention, ne vous laissez pas envahir par les tâches urgentes : pensez à bien réserver du temps à vos tâches importantes et non urgentes. Au risque de finir par devoir les bâcler dans l’urgence…

 

La règle d’or

Restez concentré sur l’essentiel ! Pour cela, vous devrez apprendre à tempérer votre perfectionnisme. Acceptez aussi de ne pas pouvoir toujours être exhaustif. Et n’hésitez pas à déléguer ! Pour plus d’efficacité, fixez une limite de temps pour chaque tâche. Cela vous contraindra par exemple à ne vous relire qu’une seule fois et pas trois…

7 considérations sur l’importance de former aux soft skills

Les soft skills montent en puissance, la formation qui en permet le développement aussi. Elles répondent aux nouvelles exigences qui ont émergé dans le monde du travail, notamment sous l’impact de l’automatisation des tâches. Coorpacademy by go1 accompagne cette vaste transformation en cours.

 

#1 Les formations aux soft skills sont toujours plus demandées dans les entreprises

Les soft skills sont des compétences de plus en plus poussées par les responsables formation. Au premier rang, la communication interpersonnelle boostée par l’expansion du télétravail qui exige des collaborateurs de mieux véhiculer leurs idées et d’être plus transparents sur l’avancée de leurs missions. Bien communiquer étant aussi une capacité clé du bon leader, la formation permet aux managers de progresser : capacité d’écoute, collaboration ou pensée critique sont aussi très demandées. Ces compétences ne sont pas réservées aux managers : l’agilité, l’adaptabilité et la résilience sont parmi les cours les plus joués du catalogue premium Coorpacademy, elles sont demandées par la plupart des apprenants.

 

#2 Les soft skills gagnent en importance dans le monde du travail

La considération pour les soft skills ne date pas d’hier (confère la parution, dès 2016, du premier rapport du WEF sur l’avenir des métiers). Cependant, l’accélération est nette depuis la pandémie de Covid-19 et la réorganisation — télétravail, mise en place de flex-offices… — qui s’est ensuivie. L’IA (ChatGPT, Dall-e…) vient à son tour bousculer les métiers et les « hard skills » dont le taux d’obsolescence s’accroît, alors que les robots commencent à menacer les emplois. Le savoir-être des collaborateurs prime dans ce contexte, notamment leur intelligence des situations et leur capacité à collaborer. Un marché du travail en tension – 7 métiers sur 10 en tension, selon la Dares — parachève ce constat. L’attractivité d’une entreprise, spécialement pour les plus jeunes actifs, dépend de la place qu’elle fait à l’humain, aux valeurs, au sens, et par voie de conséquences, au développement des soft skills. Beaucoup d’entreprises l’ont compris : accompagner leurs collaborateurs dans leur montée en « compétences douces » est un facteur différenciant !

 

#3 Les soft skills sont pour tous !

Les soft skills couvrent un large territoire, outre la communication ou l’intelligence émotionnelle, bien sûr : le design thinking, l’équité, l’inclusion et la diversité font l’objet d’une forte demande de l’ensemble des collaborateurs. Développer massivement les soft skills, c’est faciliter l’émergence d’une culture commune, faite de respect de l’autre, qui essentielle à la cohésion entre les équipes ; même si certaines de ces compétences concernent plus particulièrement les managers : le leadership par exemple. La pratique du management et de l’animation / cohésion d’équipe s’apprennent à l’expérience, mais largement aussi en s’y formant ; c’est pourquoi il est essentiel d’accompagner les managers, pour en faire de réels acteurs de la conduite du changement et de la transformation des groupes.

 

#4 Les soft skills conditionnent l’employabilité de chacun

Les soft skills sont moins faciles à exhiber que les « hard skills » sur un CV ou lors d’évaluations annuelles ! Pourtant, elles font la différence dans un entretien d’embauche ou dans la phase d’onboarding, puis dans le travail au quotidien, par exemple, dans les missions et les projets qui exigent une collaboration. Nous l’avons déjà mentionné en filigrane : les soft skills sont pérennes, au contraire d’une partie des hard skills que nous disputerons les automates et les algorithmes ; on peut être assuré que les soft skills seront plus valorisées par les recruteurs. S’il vaut mieux raisonner comme certains (par exemple, le WEF) en diptyque « compétences durables vs. compétences périssables », alors les soft skills ont l’avantage d’être transférables d’un secteur à l’autre et de rester pertinentes toute la vie.

 

#5 Dans le choix d’un manager, l’entreprise privilégie les soft skills plutôt que les compétences techniques

Les deux — soft skills, hard skills — entrent dans la balance au moment de choisir un manager ; elles ne s’opposent pas. Une entreprise ne saurait pas se contenter de l’une (la capacité d’un candidat à prendre la parole en public, par exemple) ou de l’autre (sa connaissance des modes de réglage de systèmes essentiels à la bonne tenue d’une usine). Par ailleurs, la fidélisation des collaborateurs passe souvent par les perpectives de mobilité qui leur sont offertes, ce qui peut déboucher sur la promotion, du jour au lendemain, des meilleurs techniciens à des postes de manager qui devront alors être formés aux soft skills (lesquelles ne se devinent pas). Un parcours personnalisé permet au manager d’autoévaluer les soft skills qu’il possède déjà, parfois sans le savoir, puis de se voir recommander une formation sur mesure. L’apprentissage du leadership, dès le premier poste managérial, est le point de départ crucial pour se développer comme manager.

 

#6 Profil d’un dispositif de formation pour développer massivement et continûment les soft skills

Un tel dispositif de formation doit aisément s’insérer dans le flux de travail, et donc être accessible à tout moment sur les outils du quotidien. L’expérience vécue par les apprenants dans la solution Coorpacademy by Go1 est la plus fluide et la plus agréable possible, grâce à des contenus de qualité et des formats adaptés aux diverses thématiques ; par exemple, les collaborateurs pourront travailler leur sens critique avec un jeu : un Cluedo. L’individualisation doit aussi être au rendez-vous via l’auto-diagnostic et la recommandation d’un parcours 100 % personnalisé déjà évoqué. Le catalogue premium Coorpacademy permettra aux apprenants de s’ouvrir aux transformations du monde et de renforcer leur culture générale, partie intégrante des soft skills. Ces cours sont conçus par Coorpacademy by go1 ou par nos 80+ partenaires qui sont des majors de l’édition (Dunod, Eyrolles, Fabernovel, Forbes ou Video Arts…) ; le plus grand choix de sujets est disponible : technologie, big data, économie, transition environnementale…

 

#7 Coorpacademy by Go1 : un leader de ce marché en plein boom

Coorpacademy by go1 répond à tous les besoins en soft skills de ses clients, grâce à la plus riche bibliothèque de formations du marché, dans une logique de co-construction / co-curation des contenus accompagnée par nos équipes de Customer Success. Cet accompagnement des entreprises au jour le jour, nourri par les data comportementales des apprenants recueillies sur notre plateforme, explique leur haut niveau d’engagement : nos solutions de formation en ligne les convainquent aussi par la pertinence des sujets proposés dans leur montée en compétences. L’adaptation de nos modules et de leurs parcours de formation, ainsi que le choix des meilleures modalités pédagogiques pour mémoriser les connaissances, sont renforcés par le partenariat privilégié avec les chercheurs de l’EPFL, spécialisés dans les sciences comportementales. À quoi l’on ajoutera l’importance considérable que nous attachons à l’expérience finale de l’utilisateur, sous la forme notamment de formats ludiques qui permettent d’ancrer plus durablement les savoirs.

Nous engageons vraiment les apprenants dans la formation

Michelin employant 125 000 personnes dans le monde, utilise Coorpacademy comme plateforme d’acculturation au digital pour tous ses collaborateurs. Catharina Bot, Group Competency Manager sur les Métiers de l’IT et du Digital (3 000 personnes), est revenue, lors d’un des ateliers du programme We Love Our Clients by Coorpacademy, sur les avantages et le positionnement de la plateforme. L’un des principaux challenges de la formation en ligne, d’après Catharina Bot, est de réussir à “faire venir les apprenants et à renouveler sans cesse leur intérêt !” Elle nous détaille concrètement les actions déployées pour relever ce défi avec succès.

 

Q.1 : Pour parvenir à acculturer les collaborateurs sur le digital, qu’est-ce qui était important pour vous dans le choix de la plateforme de formation ?   

Le premier critère était de disposer de contenus complètement adaptés à nos besoins, c’est-à-dire traitant de “soft skills” associées au digital et accessibles en plusieurs langues. Ce contenu de formation devait être également disponible en mode microlearning, pour que les apprenants puissent se former en suivant des modules indépendants de cinq minutes sur les sujets de leur choix. 

Un autre besoin très attendu de notre côté, et très apprécié par les top learners, était de disposer d’une application mobile où l’on retrouve tous les cours de la plateforme et sa progression. Cela nous permettra aussi de toucher les agents de fabrication sur site, qui  représentent environ la moitié de la population Michelin.

Enfin, le dernier élément qui nous paraissait incontournable était la possibilité de structurer les parcours d’apprentissage en ligne pour éviter que l’apprenant ne se sente perdu dans les 1700 modules proposés, et ne se pose la question de quoi faire ! D’où la création et la mise en avant de “passeports digitaux” (3 certifications de niveau croissant sur le digital) regroupant les cours considérés comme fondamentaux. 

Pour résumer, la plateforme Digital Culture répond tout à fait à nos besoins !

Q.2 : Parlez-nous un peu de l’événement phare organisé annuellement chez Michelin autour du digital : la Digital Week ! 

La Digital Week est un événement annuel qui a déjà eu lieu 2 fois en présentiel, et qui a été transformé en événement 100% digital et à distance, pandémie oblige. L’objectif est de montrer à tous, l’ensemble des réalisations digitales faites dans le groupe, et de partager au plus grand nombre la vision de ce que le groupe veut faire dans ce domaine.

Nous avons dû composer avec le passage de la Digital Week au 100% distanciel, et pour en conserver le côté interactif et ludique, nous avons décidé d’utiliser la plateforme comme outil d’animation lors de cet événement.

Concrètement, nous avons déployé un programme de challenges utilisant la plateforme de formation. Cela nous a permis de toucher un public encore plus large que celui habituellement concerné par la Digital Week. Le digital ne doit effectivement pas rester l’apanage des métiers IT et digital mais bien infuser toutes les strates de l’organisation.

Q.3 : Comment alors avez-vous utilisé la plateforme de formation Digital Culture lors de l’événement de la Digital Week ?

Les animations visaient à faire découvrir la plateforme, à engager les apprenants, et bien sûr, à compléter intelligemment les autres ateliers et présentations à distance de la Digital Week. Nous visions l’objectif, lors de cette semaine, de construire une expérience cohérente et attractive pour promouvoir le Digital au sein du groupe.

Pour ce faire, nous avons dans un premier temps sélectionné les contenus les plus pertinents et nous avons lancé ce programme de challenges. J’ai en tête notamment trois animations. La première animation a consisté à mettre en place et promouvoir un “Digital IQ test” permettant aux apprenants d’évaluer leur niveau de compétences digitales au début de la semaine, et encore à la fin de l’événement. La deuxième, appelée “Star Week” permettait d’obtenir des étoiles bonus pour que les participants montent dans le classement. La troisième animation dite “Battle Week” récompensait quant à elle les participants qui avaient lancé et gagné le plus de duels (battles) sur des séries de questions ! 

Résultat, nous avons multiplié par 3 à 4 fois l’activité sur plateforme lors de la semaine de la Digital Week et la suivante.

Un des facteurs clés de succès repose sur la collaboration active avec notre Customer Success Manager chez Coorpacademy, Catherine McKernan, qui nous a aidé à créer et à coordonner les animations et la communication.

 

Q.4 : Avez-vous des conseils et des bonnes pratiques à partager pour réussir à engager les apprenants ?

Grâce aux parcours modulables et aux certificats, nous engageons vraiment les apprenants dans la formation. Cependant, on n’impose rien, on compte sur des événements, ou encore sur la communication de Coorpacademy, à travers les emails de relance personnalisés (Note : les emails de relance intelligents envoyés automatiquement par la plateforme en fonction de l’activité de l’apprenant). 

Toujours pour booster la motivation des collaborateurs, nous proposons des lots à gagner (bons d’achat) lors des animations et jeux organisés sur la plateforme. Les gagnants sont également mis en avant et valorisés via un Sharepoint dédié. 

Prochainement, nous allons diffuser une campagne de promotion interne, basée sur des témoignages des apprenants, suite à une collecte assidue, pour que chacun voie ce que la plateforme peut lui apporter et augmenter ainsi le nombre de personnes et leur assiduité !

Enfin, une autre piste que nous creusons est de proposer des contenus sur-mesure très spécialisés, et ceci pour répondre à la demande naturelle des métiers d’avoir leurs formations spécifiques sur cette plateforme.

On essaie de se réinventer sans cesse pour développer jour après jour l’engagement de nos collaborateurs dans la formation.

Un plan de comm 360° pour lancer un nouveau programme de formation RSE

Dans le cadre de nos ateliers du programme We Love Our Clients, Jérôme Pesenti, Chef de projet RH sur la formation digitale chez FDJ a partagé les bonnes pratiques déployées pour lancer leur programme d’acculturation à la RSE. L’objectif est simple : former 80 % des collaborateurs du groupe FDJ à la RSE en 9 mois.

 

Q.1 : Comment allez-vous réussir à toucher 80% des 2 000 collaborateurs du Groupe en quelques mois ?

 

La condition indispensable était d’avoir une plateforme de formation commune et accessible à toutes nos grosses filiales. C’est le cas avec la plateforme Coorpacademy.

Sur la plateforme Coorpacademy, nous avons créé un parcours de 11 modules d’acculturation à la RSE chez FDJ. Nous avons choisi d’inclure des modules préalablement créés avec Coorpacademy et nos experts en interne, ainsi qu’une mini-série tournée avec des acteurs. L’avantage est que nous sommes parvenus à imbriquer ce format innovant dans celles de Coorpacademy, pour avoir les mêmes fonctionnalités et l’expérience utilisateur que nous recherchions.

 

Q.2 : Quelles actions de communication avez-vous mises en place pour faire venir 2000 collaborateurs de différents profils et filiales sur ce programme de formation ?

 

Nous avons conçu un plan de comm 360° : on a fait tout ce qu’on pouvait faire !

Sur l’Intranet, nous avons publié un article présentant le programme et ses enjeux. Des newsletters ont été envoyées à l’ensemble des collaborateurs.

Pour engager les apprenants, il faut communiquer : à la fois en interne, mais aussi à travers les mails de Coorpacademy, qui ont de très bon taux d’ouverture et de clics.

Pour toucher plus de monde, nous avons donc établi un plan d’emailing en plusieurs vagues pour toucher le plus de monde possible.

Nous comptons aussi sur le jeu et l’aspect gamifié de la plateforme.  Nous allons chercher le côté joueur des collaborateurs, parce que, chez FDJ, le jeu est dans notre ADN ! Pendant un mois et demi, nous avons poussé un challenge « acculturation RSE ». Pour gagner des points, les collaborateurs devaient réaliser tout le cours RSE et faire des battles. Ce jeu, où les gagnants sont ceux qui remportent le plus de battles a touché les apprenants les plus joueurs (environ 10%) et leur a permis d’ancrer les connaissances par la répétition des questions / réponses.

 

Q.3 : Ce programme répond à une volonté du Groupe FDJ d’accélérer son virage RSE et sa transformation durable. Comment le Groupe soutient-il l’ambition d’acculturer l’ensemble des collaborateurs ?

 

C’est vrai que tout le Groupe est impliqué.

Nous avons mobilisé tous nos référents RH auprès des différentes populations et nous avons la chance d’avoir deux sponsors officiels en les personnes de Pierre-Marie Argouarc’h, Directeur des Relations Humaines et Transformation Groupe et de Vincent Perrotin, Responsable RSE Groupe.

Par ailleurs, la décision est officielle : la réalisation de ce programme sera un ces critères d’intéressement cette année de tous les salariés FDJ SA.

Q.4 : Quels sont les résultats à date ?

Fin juin 2021, soit 3 mois après le lancement, 20% des équipes ont déjà terminé les 11 modules de formation. Ils ont acquis les connaissances de base sur la RSE chez FDJ, et nous sommes confiants pour atteindre l’objectif de 80% des salariés formés. L’ensemble des collaborateurs aura ainsi le même socle commun de connaissances sur les sujets de la RSE dans le Groupe.

Un Escape Game digital pour sensibiliser au recrutement et à l’intégration des personnes en situation de handicap

SQLI, groupe européen de services dédiés au digital, de 2200 collaborateurs, utilise Coorpacademy comme solution de digital learning depuis 2 ans. Dans le cadre des ateliers de notre programme We Love Our Clients, Alexis Guillotin, Responsable Développement et Formation Groupe, a partagé avec nous les coulisses de l’animation la plus originale de 2020, à destination des apprenants et récompensée il y a quelques mois par un Award Coorpacademy.

Q.1 : D’où est venue l’idée de  proposer un Escape Game digital sur votre plateforme de formation en ligne ?

 

Nous avions l’idée de profiter de la Semaine Européenne pour de l’Emploi des Personnes Handicapées (SEEPH) pour mener des actions de sensibilisation au recrutement et à l’intégration des personnes en situation de handicaps. Cette semaine a eu lieu en novembre dernier et donc nos projets ont été bouleversés à cause du confinement imposé à cette époque.

Nous avons dû relever un double défi. Le premier était de créer un événement pour l’ensemble du groupe, simultanément dans plusieurs pays, plusieurs langues et qui puisse se faire à distance !

Se posait aussi la question du contenu, et de sa diffusion pour réussir la sensibilisation au handicap. Dans cette optique, nous avons retenu notre plateforme Coorpacademy  de digital learning Onegenius pour toucher l’ensemble des collaborateurs. Nous avons travaillé sur le contenu avec l’agence T by Talenteo, agence qui nous accompagne sur les sujets du handicap puis, avec l’aide de Coorpacademy nous avons décidé de l’adapter pour l’intégrer sur la plateforme Onegenius, afin de bénéficier de son aspect gamification.

Nous avions remarqué le franc succès d’un format ludique auprès de nos équipes : celui de l’Escape Game digital ! Il  permet d’apprendre sans s’en apercevoir, en résolvant des énigmes pour passer au niveau suivant ! Nous avons donc réutilisé notre contenu initial existant, en le faisant entrer dans ce nouveau format afin de sensibiliser nos collaborateurs  tout en gardant le côté gamification.

Q.2: Comment s’est déroulée la mise en place de cet Escape Game ?

 

L’Escape Game : Sensibilisation au handicap a été créé, traduit puis mis en ligne en un temps record d’un mois. L’idée était de bien faire comprendre comment les cinq handicaps que nous avions listés (essentiellement des handicaps non visibles) impactent le quotidien et donc le travail des personnes concernées.

Nous avons décidé de renverser les situations : chaque niveau de l’Escape Game fait arriver l’apprenant dans un univers où les personnes, par exemple, souffrant de troubles de déficit de l’attention, d’autisme ou encore de déficience visuelle sont majoritaires. À l’apprenant de s’adapter !

Le pitch était le suivant : “Voyagez à bord d’un vaisseau dans d’autres dimensions où les handicaps que vous connaissez sont majoritairement partagés. Exercez-vous grâce à notre module de simulation afin de mieux comprendre les conséquences quotidiennes de chacun de ces troubles et maladies.” 

Q.3 : Quelles actions de communication avez-vous menées pour promouvoir ce jeu événement ?  Êtes-vous satisfait des résultats ?

 

Nous avons monté une communication très rythmée pour qu’un maximum de collaborateurs tentent de résoudre l’Escape Game et soient effectivement sensibilisés au handicap dans le cadre de cette semaine européenne.

Première étape, nous avons envoyé un teasing une semaine avant par mail.

Tous les membres du CODIR ont participé à la promotion et ont été des relais actifs.

Puis, chaque jour de la semaine, les apprenants étaient relancés par mail pour les inviter à voyager vers une nouvelle dimension, cinq handicaps étant ainsi traités. Enfin, tous les collaborateurs ont reçu un email récapitulatif reprenant l’ensemble des étapes et des solutions aux énigmes de ce voyage pas comme les autres, pour que chacun puisse terminer ou refaire le jeu à sa guise.

Nous sommes satisfaits des résultats puisque nous avons observé une hausse de 280% des connexions sur la plateforme la semaine de l’animation.

Et, tous les pays ont joué le jeu ! Au-delà du bilan chiffré, dans cette année particulière, l’Escape Game a contribué à fédérer les équipes et à favoriser les échanges entre eux, en prime de les sensibiliser à la diversité et aux handicaps.

Dans quel monde souhaitons-nous vivre dans 30 ans ?

 

Depuis une soixantaine d’années, l’économie mondiale se structure autour d’un idéal de consommation de masse et de croissance infinie. Mais dans un monde de ressources finies, ce modèle commence à montrer ses limites. Comment, dès lors, transformer cette ligne qui va de l’extraction à la fin de vie du produit, en cercle vertueux ? C’est l’objectif du nouveau cours « L’économie circulaire : de la ligne droite au cercle vertueux » co-édité avec MySezame, organisme de formation spécialisé dans la transformation durable et qui est l’une des 135 entreprises françaises à être certifiée B Corp, le label des entreprises à impact du 21ème siècle !

Nous avons interviewé Célestine Julien chez MySezame, Responsable Parcours Inter-Entreprise (GR20²°), qui a collaboré à la création du cours sur les plateformes Coorpacademy.

1- En quelques phrases, qui est MySezame et que faites-vous ? 

MySezame est un organisme de formation spécialisé sur les sujets du business à impact.
Nous engageons et formons les dirigeants et leurs équipes aux transformations et innovations business liées aux enjeux sociétaux au travers de rencontres inspirantes et d’ateliers de mise en action. Notre ambition est de créer une bascule des individus dans l’entreprise pour les engager à refondre collectivement les modèles d’affaires et de réussite, afin de rendre l’économie soutenable, durable et inclusive.

2- Pourquoi avoir choisi de publier une formation sur l’économie circulaire ? À quels enjeux cela répond-il ?

L’économie circulaire ouvre la voie à une nouvelle manière de penser l’économie où la collaboration est la pierre angulaire du système. En effet, les déchets des uns deviennent les ressources des autres permettant, in fine, une diminution de la pression de l’activité humaine exercée sur la planète. La collaboration, par sa définition, souligne l’importance de travailler ensemble pour atteindre un objectif commun. La notion de résultat et de coresponsabilité est donc importante. Exit l’individualisme si l’on veut répondre aux enjeux sociaux et environnementaux de notre siècle, il est temps de faire système avec la nature et l’ensemble des agents économiques : citoyens, consommateurs, collaborateurs, entreprises, industries, pouvoirs publics… pour créer un système vertueux.

Nous avons une responsabilité commune où chacun et chacune d’entre nous peut agir à son échelle et faire sa part.

 

3- L’économie circulaire est-elle le terreau de la 4ème Révolution industrielle ? Est-elle le nouveau paradigme économique vers lequel se diriger absolument ?

Si je vous dis que dans 30 ans (je vous laisse voir l’âge que vous aurez) l’ONU prévoit +2 milliards d’habitants sur Terre, que la Banque mondiale prévoit une augmentation de 70% de nos déchets (là où aujourd’hui il existe déjà un 7ème continent de plastique dans l’Océan) et qu’actuellement, chaque année, nous consommons déjà en 6 mois, à échelle mondiale, l’ensemble des ressources que la Terre est capable de générer en un an. Ces quelques chiffres et la perspective qu’ils esquissent est assez catastrophique. Cependant, ils ont le mérite de nous faire prendre conscience d’une chose essentielle : notre mode de développement actuel, basé sur une économie linéaire, n’est pas pérenne.

Alors posons-nous la question, dans quel monde souhaitons-nous vivre dans 30 ans ?

Un monde où lorsque nous ferons de la plongée en mer nous observerons plus de plastique que de poissons, où nous serons contraints de nous nourrir de pilules aux goûts acidulés car nous aurons épuisé nos ressources, où les machines auront remplacé beaucoup de choses inintéressantes qu’on avait l’habitude de faire mais aussi des choses qu’on aimait faire, où l’on sera tellement connecté qu’on chattera avec un inconnu au bout du monde mais qu’on ne connaîtra pas son voisin, où la science nous permettra d’avoir 3 enfants tous nés de sexe masculin parce que ce serait plus pratique pour d’obscures raisons, où on entendra toutes les semaines qu’un pays disparaît de la carte pour manque d’eau, sans parler des conflits, des catastrophes naturelles et autres désastres humanitaires…

Ou alors, dans 30 ans, nos déchets seront devenus des ressources grâce à la collaboration de tous les acteurs économiques, on connaîtra notre voisin et notre voisine, et avec eux, on troquera, on partagera, on échangera en toute convivialité. On mangera des légumes biologiques produits en permaculture à moins de 150kms et sur la ferme-terrasse de son immeuble. On aura 3 enfants qui seront tous différents, très créatifs et empathiques, parce que l’école elle aussi aura changé. Elle leur aura appris à lire, à écrire et à compter, mais pas que. Elle leur aura aussi appris à gérer leurs émotions. À monter des projets. À réussir avec plutôt que contre les autres. À poser des questions plutôt qu’à réciter des réponses. À prendre soin d’eux, des autres, de leur environnement.

On préservera nos ressources, on les partagera, on vivra ensemble sur une même planète.

 

4- La première perspective que vous évoquez est effrayante, et… la deuxième semble loin de notre monde actuel. Comment l’économie circulaire nous ferait-elle éviter le pire ?

Disons que la vague est là. La question est de savoir si on surfe dessus ou si on se laisse noyer.

On ne va pas se mentir, la tâche est grande. Mais si l’on fait le choix du verre à moitié plein, la peur se dissipe et fait place à un incroyable champ des possibles !

L’économie circulaire est un premier pas pour agir et refonder collectivement notre modèle de développement afin de le rendre plus durable et souhaitable.

Elle implique de faire un pas de côté et d’envisager de manière différente l’ensemble du fonctionnement de notre économie. Elle ouvre de nombreuses opportunités pour tous les agents économiques en repensant notamment leurs relations au territoire, leurs activités, mais aussi la contribution sociétale qu’ils souhaitent avoir. Elle peut donc être un formidable levier d’engagement, à tous niveaux, autour d’un projet sociétal commun et révolutionnaire !

 

5- Quelles sont les entreprises (que MySezame accompagne ou pas d’ailleurs) dont la transformation durable vous semble particulièrement marquante et réussie ? Ont-elles un secret ?

Il y a déjà 30 ans, Ray Anderson a lancé une transformation totale de son entreprise, leader mondial de production de moquette très polluante, pour en faire une entreprise « impact zéro ». Résultat ? Une croissance sans faille des résultats. Une planète qui va mieux. Des consommateurs convaincus. Des salariés qui s’engagent. (Je vous invite à découvrir plus en détail cet exemple phare dans le cours. 😉)

Et de ce côté de l’Atlantique, en France, la Camif, une entreprise historique créée en 1947 pour équiper les professeurs en meubles par le biais de la vente par correspondance se réinvente. En 2008, l’entreprise fait faillite et est reprise par Emery Jacquillat qui a su engager toutes ses parties prenantes et acteurs du territoire autour d’une mission : « Proposer des produits et services pour la maison, conçus au bénéfice de l’Homme et de la planète. Mobiliser notre écosystème (consommateurs, collaborateurs, fournisseurs, actionnaires, acteurs du territoire), collaborer et agir pour inventer de nouveaux modèles de consommation, de production et d’organisation. » Véritable laboratoire d’expérimentation, la Camif place la RSE et l’économie circulaire au cœur de son fonctionnement. Aujourd’hui rentable, elle prouve que croissance et responsabilité sociale, sociétale et environnementale peuvent aller de pair.

Le secret de ces réussites ? Une volonté sincère de rendre l’entreprise contributive et engagée pour le bien commun. La rentabilité économique n’est plus le seul objectif à atteindre, la contribution à la résolution des enjeux sociaux et environnementaux l’est tout autant.

 

6- À qui s’adresse le cours que vous avez co-édité avec Coorpacademy ? Quel est l’objectif principal ?

Ce cours s’adresse à tous les salariés, de tous secteurs et métiers et peut toucher également le consommateur et citoyen qui vit en chacun de nous. A travers des exemples concrets et variés qui illustrent ce changement de paradigme, le cours permet de comprendre les grands principes de l’économie circulaire et d’identifier les « facteurs clés de succès » qui permettent aux agents économiques de s’inscrire dans cette démarche vertueuse !

Les coups de cœur de l’équipe pédagogique en 2021

Au 💙 de la création et de la co-édition des formations du catalogue premium de Coorpacademy, nos ingénieurs pédagogiques ont un 💙 gros comme ça et il leur arrive invariablement d’avoir des coups de 💙 pour des cours en particulier !

Décembre

Le saviez-vous ? Plus une organisation valorise les interactions et favorise les apprentissages informels, plus les équipes développent une approche collaborative orientée « solutions » dans leur travail au quotidien.

Ce mois-ci, l’équipe pédagogique a eu un coup de cœur pour le cours Coaching entre pairs co-édité avec Sia Partners, essentiel pour mettre en place une organisation apprenante.

Novembre

Le coup de cœur de l’équipe pédagogique du mois de Novembre est le cours Nudge : inciter pour mieux manager co-édité avec les Éditions Eyrolles.

Un cours pour découvrir comment la disposition de l’espace de travail et les bonnes attitudes managériales peuvent constituer de réels éléments incitatifs pour obtenir le comportement souhaité de la part de vos collaborateurs !

Octobre

Ce mois-ci, notre équipe pédagogique a eu un coup de cœur pour le cours sur la Cybersécurité co-édité avec Video Arts.

Découvrez en vidéo pourquoi le sujet est particulièrement important pour eux 💙.

Septembre

Le coup de cœur du mois de l’équipe pédagogique est le cours Comprendre la crise écologique. Co-édité avec le Collège des Directeurs du Développement Durable, ce cours est indispensable pour comprendre les mécanismes à l’origine de la crise écologique, leurs interactions et leurs conséquences.

Août

Ce mois-ci, notre équipe pédagogique a eu un coup de cœur pour les 2 nouveaux quiz Trivial Pursuit sur le digital et l’environnement, pour apprendre en s’amusant !

Juillet

Le coup de 💙 du mois de nos ingénieurs pédagogiques, c’est le cours «Discriminations et Diversité» co-édité avec Wolters Kluwer pour faire de la diversité une force et une source de créativité.

Juin

En ce mois de juin, l’équipe pédagogique a adoré le cours «La prospective stratégique» co-édité avec Usbek & Rica. Ce cours vous permettra d’apprendre à appréhender l’avenir en étudiant les futurs possibles, pour orienter la stratégie de votre entreprise, dans un monde incertain.

👉 En savoir plus sur le cours La prospective stratégique

Mai

Ce mois-ci, l’équipe pédagogique a eu pour coup de cœur le cours «Repenser son mode de management» co-édité avec Olivier Sibony, qui revient sur les erreurs fréquentes que nous commettons (presque) tous, dans des domaines aussi variés que le recrutement ou les projections financières.

👉 En savoir plus sur le cours Repenser son mode de management 

Avril

Ils viennent de craquer ce mois-ci pour le cours « Apprendre à Apprendre » co-édité avec Learn Assembly, parce que le sujet leur tient particulièrement à cœur, évidemment.

👉 En savoir plus sur le cours Apprendre à apprendre

S’il fallait retenir 3 conseils pour mieux vivre son télétravail

A l’heure où le télétravail est plus que d’actualité, il n’est pas toujours facile de bien le vivre, surtout sur le long terme.

On se dit que télétravail, c’est prendre son ordinateur, le poser sur sa table dans le salon et puis hop la journée démarre.

Ce n’est pas si simple ! Grâce à cette vidéo faite en partenariat avec Brut, Armelle Lavergne, directrice des contenus chez Coorpacademy, nous propose 3 conseils extraits de nos formations co-éditées avec des experts pour vivre son télétravail du mieux possible.

Les 3 conseils à retenir
  • N°1 : Préparer son environnement de travail
  • N°2 : Développer son agilité
  • N°3 : Se former

 

Apprendre en ligne est vraiment un moyen de continuer à se motiver. C’est une source de satisfaction de tous les jours :

« J ’apprends, je fais marcher mon cerveau. »

Un bon moyen de lutter contre la morosité ambiante et continuer à avancer !

 

Vous pouvez retrouver les cours dédiés au télétravail au sein de notre catalogue de formations en ligne, qui traite de tous les sujets relatifs aux transitions numériques, organisationnelles et durables.

👉 Télétravail : santé, motivation et sécurité

👉 Télétravail : de la théorie aux bonnes pratiques

👉 Travailler à distance

👉 Passez en mode agile !

👉Réussir vos réunions

👉 Efficace dans mon job : les 9 outils à connaître

 

Voir l'étude de cas