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Découvrez l’agentivité : le lien essentiel entre IA, soft skills et adaptabilité !

 

Avez-vous déjà entendu parler d’agentivité ?
On vous en explique la notion dans cet article. 

 

Si oui, passez tout de suite à l’étape suivante et téléchargez le rapport IA & RH dans lequel figure l’article suivant. 

Qu’est-ce que l’agentivité et pourquoi est-elle cruciale dans notre monde en constante évolution ? L’agentivité représente la capacité des individus à prendre des décisions et à agir de manière autonome, en prenant conscience des opportunités et des contraintes qui les entourent. C’est un concept qui trouve ses origines dans les travaux du psychologue américain Alfred Adler, père de la psychologie individuelle.

 

 

En développant l’agentivité, vous renforcez votre autonomie, votre responsabilité et votre capacité à résoudre les problèmes. Cela vous donne les compétences nécessaires pour faire face aux situations inattendues et éviter les problèmes indésirables. En revanche, le manque d’agentivité peut entraîner des difficultés à prendre des décisions, à assumer des responsabilités et à maintenir des relations saines.

 

Le rapport “IA & RH : quand le futur du travail est en avance publié par Tomorrow Theory, en partenariat notamment avec Coorpacademy by Go1, explore également la théorie de la cognition agentique, qui met en évidence comment le comportement agentique, tel que l’action, la prise de décision et la résolution de problèmes, peut favoriser le bien-être. Des leviers tels que la définition d’objectifs et le sentiment de contrôle sont identifiés pour développer l’agentivité.

 

L’agentivité peut être encouragée grâce à des pratiques telles que la formation aux compétences sociales, le travail d’équipe et la résolution de problèmes. En favorisant l’expression libre, l’engagement positif et le soutien des pairs, vous créez un environnement propice à l’autonomie et à la responsabilité personnelle.

 

 

L’agentivité en 3 points clés :

– L’agentivité est la capacité des individus à prendre des décisions et à agir de manière autonome, en prenant conscience des opportunités et des contraintes.

– Développer l’agentivité renforce l’autonomie, la responsabilité et la capacité à résoudre les problèmes, favorisant ainsi l’adaptabilité dans un monde en constante évolution.

– L’approche de l’agentivité, explorée dans notre rapport, offre des leviers concrets pour développer cette compétence, tels que la formation aux compétences sociales et le soutien des pairs, afin de façonner un avenir professionnel plus efficace !

 

Découvrez l’approche novatrice de l’agentivité développée par Humans Matter, une initiative française qui met l’accent sur la gestion du capital humain. Avec plus de 150 professionnels dédiés à ce sujet, leur expertise est incontournable dans le domaine.

 

Téléchargez dès maintenant notre rapport « IA & RH : quand le futur du travail est en avance » pour plonger au cœur de l’agentivité et exploiter tout son potentiel. L’agentivité est la clé pour façonner votre avenir professionnel et relever les défis avec confiance.

 

Boostez votre été avec le Digital Learning en découvrant ses avantages insoupçonnés

 

Pour ou contre : le port des tongs au bureau ?
Pour ou contre : travailler sur un transat’ ?
Pour ou contre : se former en détente ? 

 

Si vous êtes pour, continuez de lire cet article. 

 

L’été est souvent associé aux moments de détente, aux vacances et à la déconnexion. Pourtant, cette période estivale peut être bien plus qu’une simple pause. 

 

Dans notre dernier ebook intitulé « Digital Learning : comment continuer de se former sur la route des vacances ? », nous explorons diverses façons de profiter de cette période pour investir dans le développement des compétences. 

 

Un apprentissage sans frontières

Le Digital Learning vous offre la possibilité d’accéder à des cours et à des ressources pédagogiques où que vous soyez, que ce soit une destination de rêve ou une terrasse ensoleillée. Le monde devient votre salle de classe et l’apprentissage se fait sans contraintes géographiques.

 

Grâce à son accessibilité, le Digital Learning s’adapte à tous et garantit la possibilité de se former partout. Un avantage de taille pour garder les apprenants engagés dans leur montée en compétences, même au coeur de l’été.

 

 

La flexibilité à portée de main

Pour rendre l’apprentissage encore plus accessible, Coorpacademy by Go1 propose une application mobile qui vous permet de vous former directement depuis votre smartphone. Finies les contraintes d’un ordinateur, vous pouvez désormais emporter votre formation dans votre poche. Que vous soyez en attente à l’aéroport ou confortablement installé dans un train, les meilleurs contenus de formation sont à portée de main. La flexibilité du Digital Learning vous permet d’apprendre quand et où vous le souhaitez.

 

 

Un apprentissage divertissant

Lorsque l’on pense aux vacances, on imagine souvent des moments de détente et de divertissement. Pas forcément à l’apprentissage et à la formation. Cependant, le Digital Learning offre une dimension ludique à votre apprentissage. Notre bibliothèque de contenus comprend plus de 100 000 cours proposant des formats variés, innovants et amusants. Des quiz interactifs aux vidéos captivantes, en passant par les escape games éducatifs, il y en a pour tous les goûts. Et même si vous préférez vous détendre au soleil, vous pouvez continuer de vous former en gardant les yeux fermés grâce à l’audiolearning. 

 

Téléchargez dès maintenant notre ebook « Digital Learning : comment continuer de former sur la route des vacances ? » pour en savoir plus sur les opportunités d’apprentissage qui s’offrent à vous cet été.

 

 

La FDJ remporte le Prix des Cas d’or du SIRH 2023 pour son projet de formation DigiLearn ! 

 

Nous sommes ravis d’annoncer que notre client, le groupe La Française des Jeux, a remporté le prix des « Cas d’or du SIRH 2023 » dans la catégorie « Formation » ! 

 

Ce prix reconnaît les meilleures solutions et dispositifs digitaux pour les Ressources Humaines. En plus de cette distinction, la FDJ s’est également vue décerner le « Grand Prix », ce qui témoigne de la qualité exceptionnelle de leur projet de formation, lancé en  2017 dans le but de booster la transformation digitale du groupe FDJ. 

 

Ensemble, nous célébrons ce succès et souhaitons partager avec vous l’histoire à succès de leur plateforme de formation DigiLearn, qui permet de former l’ensemble des collaborateurs à la RSE. 

 

 

Une expérience de formation unique

Jérôme Pesenti, Chef de formation chez FDJ, souligne l’importance de l’expérience de formation offerte par la plateforme DigiLean. 

 

DigiLearn : la plateforme du groupe FDJ

DigiLearn, une plateforme développée en collaboration avec Coorpacademy by Go1, est accessible à tous les collaborateurs du groupe FDJ. Elle a été conçue pour accélérer la digitalisation des parcours de formation en misant sur l’accessibilité, les formats courts et engageants, ainsi qu’un catalogue de contenus natifs et sur-mesure.

 

Et ça marche ! Les apprenants sont ravis, comme Sophie, une apprenante FDJ qui utilise régulièrement la plateforme DigiLearn : 

 

Objectifs et évolution de DigiLearn 

Le projet DigiLearn a été lancé en 2017 dans le but de booster la transformation digitale du groupe FDJ. Depuis, le projet a connu plusieurs étapes clés, notamment l’introduction de nouvelles formations axées sur les Soft Skills et l’ouverture de la plateforme aux différentes filiales en 2019. En 2021, le programme groupe RSE a été lancé via DigiLearn, suivi de la création d’une playlist sur la Diversité et l’Inclusion (D&I) en 2022. Enfin, en 2023, FDJ a innové en introduisant un critère d’intéressement basé sur la complétion d’une playlist sur l’environnement. 

 

 

Nous félicitons la FDJ pour cette reconnaissance bien méritée : à la fois le prix des « Cas d’or du SIRH 2023 » dans la catégorie « Formation » le « Prix du Jury ». Le projet DigiLearn a été un véritable succès en matière de formation à la RSE. Nous sommes fiers de collaborer avec la FDJ pour offrir une expérience de formation unique à tous leurs collaborateurs !

 

2050 : L’Odyssée RH – Épisode 6 : La série fiction sur le futur du travail

 

Note aux lecteurs : Dans cet épisode de notre série « 2050 : L’odyssée RH », nous nous plongeons dans un futur proche où les intelligences artificielles génératives ont transformé le monde du travail. Avec des avancées technologiques exponentielles et l’émergence de ChatGPT, nous allons explorer les implications de ces innovations sur le quotidien d’un salarié en 2050. Découvrons comment l’intelligence artificielle générative redéfinit les tâches professionnelles, l’apprentissage continu et la collaboration au sein des entreprises.

Bien sûr, toute ressemblance avec des faits et des personnages existants ou ayant existé serait purement fortuite et ne pourrait être que le fruit d’une pure coïncidence.

 

Quelque part dans le monde, à une date dont vous n’avez pas l’utilité, nous avons localisé une technologie poussée permettant de nous immiscer dans le quotidien des salariés. Ce voyage fantastique à travers les expériences de différents collaborateurs vous entraînera jusqu’aux confins du Future of Work et vous permettra de percer les enjeux de transformation des entreprises. Aujourd’hui dans notre odyssée, découvrez le quotidien de Skylar…

 

Skylar se réveilla dans son appartement ultra-moderne, baigné d’une lumière douce et tamisée. Les murs, équipés d’écrans interactifs, affichaient des informations en temps réel, tandis que les meubles intelligents s’ajustaient automatiquement à sa présence. 

 

« Bonjour Sage, quel temps fera-t-il aujourd’hui ? », demanda Skylar à son assistant virtuel ultra-connecté.

« Bonjour, Skylar. Aujourd’hui, nous prévoyons un temps ensoleillé avec une légère brise. La température atteindra 25 degrés Celsius. Le taux de pollution dans votre zone est actuellement élevé, veuillez éviter les zones très fréquentées et privilégier les espaces verts pour votre bien-être. N’oubliez pas de porter un masque antipollution pour protéger vos voies respiratoires », répondit Sage d’une voix synthétique.

 

En se préparant pour sa journée de travail, Skylar activa son miroir connecté. Celui-ci afficha son emploi du temps, ses objectifs professionnels et même des rappels personnalisés pour rester en bonne santé et équilibrer sa vie professionnelle et personnelle. Ses vêtements étaient dotés de capteurs intelligents en mesure de surveiller en temps réel son rythme cardiaque et son niveau de stress, lui fournissant des indications précieuses sur son bien-être général.

 

Image générée par  intelligence artificielle via Midjourney avec le prompt "a woman looking in a virtual assistant connected mirror, the mirror shows data and a calendar, in a natural light bathroom --v 5 --s 250"

Skylar, comme tous les citoyens de 2050, bénéficiait de la législation évoluée sur l’intelligence artificielle et les assistants virtuels. Ces réglementations garantissaient une meilleure protection des données personnelles et une transparence accrue quant à l’utilisation des informations collectées. Skylar avait le contrôle total sur ses propres données et la décision de partager ou non les informations provenant des capteurs intelligents lui revenait entièrement.

 

Respectant son besoin de confidentialité, Skylar avait configuré ses paramètres de confidentialité de manière à ce que seules les données pertinentes pour sa propre utilisation lui soient présentées. Elle se sentait rassurée par les mesures de protection mises en place, sachant que sa vie privée était respectée et que les informations sensibles étaient sécurisées. Les avancées législatives avaient permis de créer un équilibre entre les bénéfices de la technologie et la préservation de la vie privée.

 

Image générée par  intelligence artificielle via DALL-E avec le prompt "a 3d render of a futuristic ecological city, with building with vegetation"

 

En se rendant au bureau en transports en communs autonomes, Skylar pouvait observer les rues animées de la ville. La ville elle-même avait subi une transformation impressionnante pour faire face aux défis du changement climatique. Les rues étaient bordées d’arbres et de végétation luxuriante, offrant de l’ombre rafraîchissante aux passants et contribuant à la purification de l’air. Des jardins verticaux s’étendaient le long des immeubles, créant des oasis de verdure au milieu du paysage urbain. Les matériaux de construction intelligents étaient utilisés pour réguler la température intérieure des bâtiments, réduisant ainsi la dépendance aux systèmes de climatisation et les façades des immeubles étaient équipés de fenêtres qui ajustaient leur transparence en fonction de la lumière du soleil, optimisant ainsi l’efficacité énergétique. 

 

Arrivée dans son entreprise, Skylar pénétra dans un espace de travail futuriste. Les bureaux étaient modulables, s’adaptant aux préférences individuelles des employés. L’IA générative était omniprésente. Des affichages interactifs ornaient les murs des couloirs, fournissant des informations pertinentes sur les projets en cours, les avancées technologiques et les tendances du marché. Les salles de réunion étaient équipées de tables intelligentes qui captaient les discussions et généraient automatiquement des rapports détaillés.

 

Au-delà de son propre rôle, Skylar pouvait observer les changements induits par l’IA générative dans d’autres départements de l’entreprise. Les opérations de production étaient automatisées grâce à des robots intelligents et des systèmes d’apprentissage automatique avancés. Les machines interagissaient de manière fluide avec les travailleurs humains, créant une symbiose parfaite entre l’intelligence artificielle et les compétences humaines, indispensables au bon fonctionnement de l’entreprise. Les décisions étaient prises avec une analyse approfondie des données, permettant des prévisions précises et une prise de décision éclairée. Les employés étaient libérés des tâches routinières, leur permettant de se concentrer sur des aspects plus créatifs et stratégiques de leur travail. 

 

Assise devant son bureau, Skylar alluma son ordinateur et son collaborateur virtuel, qu’elle avait surnommé Orion, s’anima à l’écran. Orion était un système d’assistance générative évolué, alimenté par des algorithmes d’IA de pointe. Il était son compagnon de travail personnel, capable de la soutenir dans toutes ses tâches professionnelles. 

 

« Bonjour Skylar, comment puis-je t’aider aujourd’hui ? » demanda Orion d’une voix douce et synthétique.

Skylar sourit. « Salut Orion. Aujourd’hui, je voudrais me concentrer sur la personnalisation des formations pour nos employés. Peux-tu m’aider à analyser leurs performances individuelles et à identifier les domaines dans lesquels ils ont besoin de se perfectionner ? »

En quelques instants, une multitude de données apparurent à l’écran, présentant les forces et les points d’amélioration de chaque employé. Skylar se mit à parcourir les résultats, remarquant des tendances et des lacunes communes.

 

« Parfait, Orion ! Maintenant, je vais concevoir des programmes de formation adaptés à chacun. J’ai hâte de voir comment cela va les aider à progresser. »

 

Au fil des semaines, Skylar constata les effets bénéfiques de l’IA générative sur les employés. Grâce aux plateformes d’apprentissage personnalisées, ces derniers accédaient à des contenus adaptés à leurs besoins spécifiques. Les formations étaient devenues interactives, engageantes et hyper-individualisées, favorisant ainsi l’apprentissage continu et la montée en compétences. 

 

Après quelques mois, Skylar se rendit compte que son rôle avait évolué. Elle n’était plus seulement responsable de la formation, mais une architecte de l’apprentissage. Elle encourageait les employés à développer leurs compétences humaines uniques, telles que la créativité, la pensée critique ou encore la résolution de problèmes, qui distinguent l’humain du robot. 

 

État des lieux

Dans un monde où les intelligences artificielles génératives sont omniprésentes, les salariés du futur travaillent main dans la main avec des « collaborateurs virtuels ». Ces assistants virtuels avancés, alimentés par des modèles de langage comme ChatGPT, sont capables de comprendre les besoins des utilisateurs, de répondre à leurs questions et de les assister dans leurs tâches quotidiennes. Que ce soit pour la recherche d’informations, la rédaction de rapports ou la planification de projets, ces collaborateurs virtuels offrent un soutien personnalisé et rapide.

 

Il est important de souligner que ce scénario futuriste n’est qu’une vision parmi tant d’autres possibilités. Nous sommes encore aux prémices de l’intelligence artificielle générative et des innovations technologiques qui transformeront notre façon de travailler. Cependant, il est essentiel de reconnaître que ces avancées nécessitent une réglementation et un encadrement appropriés. Les questions éthiques, la protection des données, la confidentialité et l’élimination des biais algorithmiques sont autant de défis à relever pour façonner un avenir responsable et équitable. 

 

La collaboration entre les experts en technologie, les législateurs, les chercheurs et la société civile dans son ensemble sera cruciale pour guider le développement de l’intelligence artificielle de manière éthique et bénéfique. Les discussions, les débats et les décisions informées permettront de créer des normes et des réglementations qui favoriseront un environnement technologique sûr et équilibré. 

 

Pour en savoir plus, téléchargez le rapport “IA & RH : Quand le futur du travail est en avance” , en partenariat avec Tomorrow Theory, et découvrez également :  

– Comment bien utiliser GPT-4
– Les cas d’usage actuels et à venir en RH
– Comment préparer la fonction RH à cette révolution

 

Pride Month : lutter contre les LGBTphobies au travail grâce à la formation !

 

Bonne réponse :  Il y a 50 ans jour pour jour, le 28 juin 1969, les clients d’un bar gay de New York se sont insurgés après une énième descente de la police dans l’un des seuls établissements de la ville où leur présence était tolérée. Un événement fondateur dans la lutte des droits de la communauté LGBTQ+. Ce sont les émeutes de Stonewall et elles sont à l’origine du Pride Month.  

 

70 % des personnes LGBTQ + en entreprise déclarent avoir fait leur coming out suivant les 12 mois après leur embauche (Boston Consulting Group (BCG) « Why the first year matters for LGBTQ + employees », octobre 2021) 

 

Dans cette étude publiée en octobre 2021, les répondants témoignent que dépassée cette période, il est plus difficile de se dévoiler. Les deux tiers des répondants n’ayant pas fait leur coming out pendant leur première année ne le feront jamais.

 

À l’occasion du Mois des Fiertés (Pride Month), nous souhaitions nous aussi prendre part à ce mois dédié à la lutte pour les droits LGBT+ et favoriser l’égalité et l’inclusion de toutes et tous dans l’entreprise.

 

Avant toute chose, petit point de vocabulaire. Le sigle LGBTQIA+ recouvre les termes suivants : Lesbienne, Gay, Bisexuel(le), Trans, Queer et Intersexe et Asexuel(le) ou Aromantique. Rappelons que ces termes sont importants puisque nommer, c’est faire exister. 

 

En 2022, c’est le Baromètre sur l’inclusion des personnes LGBT+ publié par l’IFOP qui révèle un chiffre crucial : 1 personne LGBT+ sur 2 déclare ne pas se sentir visible dans son organisation, et 60 % des répondants déclarent se sentir invisibles auprès d’une partie ou de tous leurs supérieur(e)s hiérarchiques direct(e)s. Ainsi, parmi les invisibles, 83 % le sont par choix pour préserver leur évolution de carrière et 67 % pour assurer leur bien-être quotidien au travail. Des statistiques qui témoignent du besoin accru de former à inclure les personnes LGBT+.

Comment faire de votre entreprise une vraie “safe space” ?

Créer une safe space pour ses collaborateurs, c’est s’assurer que son entreprise est un endroit où les collaborateurs de la communauté LGBT+ (ou autres groupes de minorités) peuvent se sentir en sécurité, assez pour être eux-mêmes au travail. C’est aussi favoriser leur bien-être mais ce n’est pas tout. Alors que la créativité et l’innovation sont des soft skills identifiées comme indispensables par le World Economic Forum, procurer un endroit assez bienveillant pour permettre à vos collaborateurs d’exprimer ces compétences est essentiel. 

 

Et ce n’est pas tout. Quatre personnes LGBT+ sur dix ont dû renoncer à des événements sociaux organisés par leurs collègues ou leur entreprise. Une perte réelle de convivialité et de collaboration. La raison principale de cette invisibilité et de ces renoncements est la peur de nuire à leur carrière et à leur bien-être au quotidien. Et cela ne devrait jamais être le prix à payer pour être soi-même.

 

Lutter contre les discriminations LGBTphobes

 

Les chiffres parlent d’eux-mêmes et mettent en évidence un environnement de travail marqué par la LGBTphobie, souvent sous-estimée par les personnes non-LGBT+. Les moqueries, les remarques vexantes et les expressions LGBTphobes sont malheureusement encore trop courantes. Il est grand temps de changer cela, et la formation est un atout majeur.

 

Pour démanteler les discriminations, la première étape, c’est de comprendre et de déconstruire les préjugés. Il faut être à l’écoute, s’efforcer de connaître les réalités vécues par les personnes LGBT+, remettre en question nos préjugés et nos comportements. La formation n’est pas seulement un moyen de sensibilisation, mais aussi une invitation à l’action.

 

Ensemble, nous explorerons cinq questions clés pour mieux comprendre et lutter contre les discriminations LGBTphobes. Vous retrouverez également à la fin de cet article une liste de podcasts et de ressources pour aller encore plus loin.

 

Question 1

 

Bonne réponse : Les stéréotypes sont à la base de tout comportement discriminant. Ils sont le fruit d’une construction sociale. Viennent ensuite les préjugés qui sont la connotation affective du stéréotype et sont vecteurs de comportements discriminatoires.

 

Question 2

Bonne réponse : Si vous pensez être victime ou témoin de discriminations, n’hésitez pas à en parler à votre manager, votre Responsable des ressources humaines ou à un représentant du personnel.

 

Question 3

 

Bonne réponse : Les personnes intersexuées naissent avec des caractéristiques sexuelles qui « ne correspondent pas aux définitions typiques des corps masculins ou féminins ».

 

Question 4

Bonne réponse : Il est primordial de ne pas tolérer ce type de comportement et d’en référer au besoin à sa hiérarchie ou aux RH, que l’on soit victime ou témoin.

 

Question 5

Bonne réponse : Vous le saviez déjà, c’est vrai. Selon une étude du cabinet Goodwill Management, une politique de diversité a un impact sur la performance économique des entreprises, avec une hausse de la rentabilité de 5 à 15 %, selon les secteurs d’activité.

 

Pour aller plus loin, voici quelques podcasts et ressources à consulter : 

Podcasts

Émission de Paint, “Contre nature

Épisode “Pourquoi une personne LGBT+ sur deux reste au placard au travail ?” de Travail (en cours) par Louie Media 

Épisode “Devenir alliés des personnes LGBT+ en entreprise” par Le Tilt

 

Ressources

– Notre playlist  de cours spéciale « Mois des Fiertés »

– Les fiches pratiques de “L’autre cercle”

Barometre LGBT+ 2022 

 

Comment rendre la formation encore plus apprenante ? Tribune d’Arnauld Mitre, Chief Content Officer de Go1

 

Comment rendre la formation encore plus apprenante ? Cette question a été posée par Tomorrow Theory à Arnauld Mitre, Chief Content Officer de Go1. Ses réponses ont fait l’objet d’une tribune publiée dans leur dernier rapport “Rapport IA & RH : Quand le futur du travail est en avance”.

 

Drôle de question. A priori, il n’est pas censé exister de formation non-apprenante. Et pourtant, dans la réalité des choses, la formation ne jouit pas toujours d’une image très positive. Parce que ringarde ou obsolète. Parce que difficile ou aliénante. Parce que chronophage voire incompatible avec le court termiste de nos vies professionnelles. 

 

La recette magique réside dans un triptyque dont Coorpacademy by Go1 développe le savoir-faire depuis 10 ans. Comment donner à l’utilisateur envie d’apprendre ? Comment rendre sa formation réellement impactante ? Comment l’aider à se souvenir de ce qu’il a appris, et de le mettre en pratique ? 

 

Chez Go1, nous comptabilisons 34 millions de minutes d’apprentissage chaque mois sur des ressources puisées dans un catalogue réunissant plus de 100.000 contenus de formation. 100.000, c’est beaucoup. D’un côté, c’est rassurant : il y a de grandes chances que nous ayons en stock des contenus sur les thématiques de formation que nos apprenants recherchent – des sujets d’actualité aux hard skills, en passant par de la conformité. Mais de l’autre côté, cette quantité peut donner une sensation de vertige. 

 

Que faire devant cette infinité de ressources ? Si vous avez déjà passé des minutes voire des heures devant une plateforme de vidéo à la demande pour chercher votre film du soir, vous voyez où nous voulons en venir. C’est là que l’hyper individualisation du parcours apprenant joue un rôle clé. Grâce à un système de curation de contenus permis par du machine learning (chez Go1, nous utilisons notre outil Anders Pink, qui organise automatiquement des flux ciblés sur les sujets et les compétences que l’on souhaite apprendre), les apprenants trouvent le chemin le plus pertinent pour eux à l’intérieur de cette multitude. C’est la moindre des choses pour s’aligner sur le niveau d’expérience utilisateur qu’offrent nos applications personnelles. 

 

 

Enfin, la qualité des contenus et la diversité de leurs formats sont évidemment incontournables. Parce que nous n’apprenons rien quand nous nous ennuyons, la forme est effectivement tout aussi importante que le fond. Il faut donc chercher l’excellence dans les deux cas. 

 

Tournés vers le jeu et inspirés des meilleures pratiques de l’entertainment, nos formats sont également variés (escape games, cluedo, suspects, podcasts sur l’actualité, battles entre pairs…) pour couvrir l’ensemble des besoins d’un apprenant sur un sujet ou une compétence donnée (découverte, positionnement, montée en compétence, mise en pratique, révision…).

 

 

Devenir une organisation pleinement apprenante, c’est avant toute chose mettre à la disposition des apprenants des outils et des contenus qui s’adaptent à leurs contraintes. Cela peut paraître évident et simpliste, mais la réalité est que la plupart des solutions proposées encore en entreprise supposent l’inverse car leur usage est obligatoire pour le bon fonctionnement des organisations. Ce n’est pas le cas de la formation digitale, qui demande de l’autorégulation de la part des utilisateurs afin de les transformer en apprenants. 

 

Dans un environnement mouvant et incertain, acquérir les soft skills nécessaires à une autonomie d’apprentissage est pourtant une nécessité absolue, pour tous les collaborateurs quelle que soit leur entreprise et quel que soit le secteur d’activité. 

 

 

 

Engager les salariés sur les green skills : retour sur le Digital Learning Club du 8 juin 2023 !

 

Ce jeudi 8 juin, Coorpacademy by Go1 a réuni ses clients dans le cadre de son Digital Learning Club à Paris. Deux fois par an, cet événement réunit nos entreprises clientes pour un moment d’échanges autour de nos actualités et de leurs expériences learning, avec des partages de bonnes pratiques. 

Cette édition s’est tenue autour du thème « Engager les salariés sur les green skills : mode d’emploi”. Comment guider les collaborateurs vers une meilleure prise de conscience écologique ? Comment recruter et fidéliser des salariés de plus en plus avides de ces questions ? Comment faire le lien concrètement entre RH et RSE ? Ces questions étaient au cœur des échanges et ont fait l’objet d’un panel de discussion avec des experts. 

 

Panel d’intervenants : comment engager les salariés sur les green skills ?

Stéphanie Osmont, directrice de l’innovation sociale et environnementale du groupe La Poste, Julie de La Sablière, présidente de Little Wing, et Christian Nouel, avocat et président de la Fondation Croissance Responsable, sont intervenus pendant notre Digital Learning Club dans le cadre d’un panel animé par Amélie Barloy Lancrenon, directrice des partenariats et des contenus chez Coorpacademy by Go1. 

Lors de cet échange, les panélistes ont partagé leurs idées en matière de montée en compétences vertes des collaborateurs et ont plus globalement échangé sur les enjeux de transformation des entreprises pour atteindre leurs objectifs de transition durable.

 

Nous en retenons notamment trois points clés : 

Tous concernés : la RSE est partout 

La Poste s’engage à “franchir la barre des 50.000 Fresqués en interne d’ici aux Jeux Olympiques de Paris” explique Stéphanie Osmont. Cet exemple du nombre de collaborateurs à viser dans le cadre de la formation à la Fresque du climat est venu rappeler que communiquer autour d’objectifs précis et mesurables constitue un levier crucial de la transition durable des entreprises. 

La Fresque du climat permet aux collaborateurs d’être sensibilisés aux enjeux de l’urgence climatique et de faire de la pédagogie autour des solutions à disposition  et de favoriser la mise en mouvement des participants pour que chacun prenne sa part à titre personnel et professionnel. Ce type d’animation est l’une des briques de l’engagement sociétal des entreprises aujourd’hui, qui doivent de moins en moins prôner une politique RSE en silo, mais plutôt tendre vers un réel engagement sociétal. 

 

L’entreprise engagée : une demande explicite des collaborateurs 

Les entreprises ont déjà eu à muter de nombreuses fois dans l’histoire récente, prouvant que leur transformation est loin d’être impossible. Lorsque les entreprises se sont adaptées à la révolution digitale, l’enjeu était de créer le plus d’alignement possible entre les vies personnelles et professionnelles des collaborateurs (adoption des outils du quotidien, reskilling sur la plupart des métiers…). 

Julie de La Sablière effectue ce parallèle afin d’expliquer que de la même façon, les entreprises doivent prendre la mesure des demandes et des attentes de leurs équipes sur la transition écologique. Il s’agit d’abord de les écouter, ce qui est encore trop peu systématique. Il y a pourtant une attente, une envie forte de pouvoir se former, mais aussi de disposer d’un « pouvoir d’agir » au sein de son organisation. Si un actif sur 2 estime que son niveau de compétences n’est pas à la hauteur des enjeux écologiques (Unédic avec Elabe), tous les salariés voient aujourd’hui l’intérêt de se former à ces questions. L’attente est réelle.

Son conseil aux dirigeants d’entreprise ? “Prendre des décisions fortes et donner des moyens d’actions aux collaborateurs : pour cela, il faut aligner les équipes de direction, mettre en place les bonnes solutions de formation, mais aussi et surtout accompagner les collaborateurs dans la prise en compte de ces enjeux, souvent très anxiogènes quand ils ne sont pas tournés vers l’action.”

 

Montrer l’exemple : le devoir des grands groupes 

Pour Christian Nouel, ce parallèle entre la transformation digitale et la transition durable des entreprises est intéressant également du point de vue de la place du juridique dans ces processus. Là où pour Internet, le droit avait pris un train de retard, il est un pilier incontournable de la transition durable obligeant, entre autres, les entreprises à repenser leur stratégie et adapter leur gouvernance.

Il est également nécessaire de susciter un effet de groupe de telle sorte que les grandes entreprises permettent à celles de taille plus petite d’atteindre les objectifs de durabilité qui leur sont assignés par la loi et la réglementation. L’écosystème doit ainsi faire preuve de solidarité et se mettre en marche, autour d’objectifs ambitieux et communs. Pour y parvenir, Christian Nouel insiste sur la nécessité d’adopter “une vision totalement holistique”. 

 

 

Green Skills Pack :  cap sur la semaine du développement durable !

Après un déjeuner de networking auquel participait le CEO de Go1, Andrew Barnes, le Digital Learning Club a repris avec un quiz interactif animé par Nandi Dossou, Head of Customer Success & Support de Coorpacademy by Go1, et gagné haut la main par notre entreprise cliente LCL ! 

S’en est suivie la présentation de notre “Green Skills Pack” sur mesure pour nos clients. Les responsables de notre équipe Customer Success, Capucine Forbin et Morgane Poilleux, ont expliqué comment tirer parti de la semaine du développement durable en septembre prochain, mais aussi comment promouvoir la transition écologique tous les autres jours de l’année. L’engagement des collaborateurs est assuré par des animations dédiées et des contenus intéressants et ludiques, que nous organisons dans des playlists pensées pour atteindre vos objectifs de montée en compétences vertes. 

À noter, notre cours réalisé avec le C3D (Collège des Directeurs du Développement Durable), “Comprendre la crise écologique”, a été le plus suivi du catalogue de Coorpacademy by Go1 ce mois-ci ! 

 

Télécharger le Green Skills Pack

 

Merci à toutes et à tous pour votre participation active et toutes les idées partagées à l’occasion de notre Digital Learning Club !

 

Formation haute en couleurs : Playlist de cours spéciale “Mois des Fiertés »

 

Retrouvez la version originale en anglais de cet article, à ce lien.

En juin, c’est la Pride Month. À cette occasion, nous vous proposons une playlist sur l’inclusion dans le monde du travail : « Recognize the Rainbow : Sensibilisation LGBTQIA+ », que vous trouverez sur nos plateformes de formation. Cette playlist propose une sélection complète de cours pour aider à former vos collaborateurs sur la manière d’inclure tout le monde dans une équipe.

 

Quels sont les partenaires de contenu à consulter ce mois-ci d’après Go1 ?

Ej4 (une marque de HSI) :

– Thèmes couverts : Diversité, Équité et Inclusion (DEI), compétences commerciales, leadership, communication, lutte contre le harcèlement, sécurité alimentaire, bien-être, soins de santé, ventes, finances… et à peu près tout ce qui se trouve entre ces thèmes !

– Meilleurs cours pour la Pride Month : LGBTQ sur le lieu de travail : Comprendre les pronoms, Intelligence émotionnelle : Développer la conscience de soi, Communication interpersonnelle, Développer la confiance en soi, Growth Mindset.

– Plus de 2 500 cours Premium, allant d’une durée de 1 à 20 minutes.

– De super contenus de microlearning ! La plupart des cours suivent une structure similaire : vidéo + questionnaire + ressource téléchargeable.

 

Kokoroe

– Thèmes couverts : Leadership, développement personnel, diversité et inclusion, santé et bien-être, digital.

– Plus de 150 cours Premium, allant d’une durée de 8 à 18 minutes.

– Meilleurs cours pour la Pride Month : Promouvoir l’inclusion des personnes neurodivergentes, Inclusion : Pourquoi c’est important, LGBTQI+ : Inclusion sur le lieu de travail, Handicap sur le lieu de travail : Meilleures pratiques, Big Data : Ce que vous devez savoir.

 

UmbrellaHR

– Couverture des sujets : Gestion des ressources humaines, diversité et inclusion, santé mentale et bien-être, conformité RH, harcèlement et intimidation.

– Plus de 5 cours Premium, allant d’une durée de 25 à 40 minutes.

– Meilleurs cours pour la Pride Month : Guide de la santé mentale et du bien-être, Inclusion sur le lieu de travail, Intimidation et harcèlement, Introduction aux LGBTQ, Ethnicité sur le lieu de travail.

 

Quels sont les nouveaux partenaires de contenu ajoutés à la bibliothèque de contenus de Go1 ?

 

isEazy

– Thèmes couverts : Compétences commerciales, vente, leadership, travail d’équipe, logiciels, développement durable, DEI.

– Plus de 1 200 cours Premium, allant d’une durée de 20 à 70 minutes.

– Meilleurs cours pour la Pride Month : Créer et consolider son identité numérique, Apprendre l’agilité pour booster son développement personnel, Gestion de la diversité dans le secteur public.

– Le contenu est disponible dans les langues suivantes : français, espagnol, portugais et anglais.

 

 

Quel est le cours coup de cœur de l’équipe pédagogique de Go1 ?

Ce mois-ci, nos ingénieurs pédagogiques ont découvert le cours « Mouvement LGTBQI+ : pour un environnement inclusif » de notre nouveau partenaire de contenu isEazy.  Ce cours leur a permis de mieux comprendre la communauté LGBTQI+ et d’apprendre à éliminer les biais et les préjugés. Leur approche du sujet est intéressante et nous le recommandons à tous ceux qui souhaitent en savoir plus sur la manière de créer un environnement inclusif dans leurs organisations et au sein de leurs équipes.

 

Pour plus d’informations, inscrivez-vous à notre newsletter pour rester au courant des dernières tendances en matière de formation et de développement. Vous pouvez également faire une demande de démo dès aujourd’hui pour découvrir comment Coorpacademy by Go1 peut répondre aux besoins d’apprentissage de votre équipe.

 

IA & RH : une révolution pour la formation et le développement des compétences

 

Avant toute chose, veuillez répondre à une question : 

 

Vous avez choisi votre réponse ? Bien, cela veut dire que ce qui va suivre vous intéresse (et que vous avez un film à regarder ce soir). 

 

L’intelligence artificielle (IA) générative et les ressources humaines (RH) sont au cœur d’une révolution qui façonne le futur du travail. Bouleversement de nos façons de travailler et de nos modes de communication, adoption de nouveaux outils et émergence de nouveaux défis : il est crucial pour les professionnels des RH de comprendre et d’anticiper ces changements afin de rester compétitifs et de créer un environnement de travail où l’humain et l’IA peuvent coexister et s’épanouir. 

Dans ce contexte, le rapport « IA & RH : Quand le futur du travail est en avance« , conçu en partenariat avec Tomorrow Theory, décrypte le futur du travail à travers le prisme des IA génératives, de leur impact sur les ressources humaines (RH) et plus largement sur le travail.

Dans cet article, nous nous concentrerons sur l’impact de l’IA sur la formation à travers 3 applications concrètes de l’intelligence artificielle en faveur du développement des compétences des collaborateurs ! 

 

– Recommandations contextuelles de formation

L’une des applications possibles de l’IA dans la formation professionnelle repose évidemment sur l’une des caractéristiques les plus importantes de cet outil : sa capacité à récolter des données. 

 

Dans un contexte préparé, les IA génératives sont en mesure d’analyser les compétences, les intérêts et les besoins en matière de développement professionnel des collaborateurs pour créer des parcours de formation sur mesure. La data récoltée par l’IA sur la plateforme de formation permet à cette dernière d’identifier quand pousser un cours, au bon apprenant, au bon moment. Ainsi, un collaborateur peut-il recevoir des recommandations de formation spécifiques en fonction de ses compétences actuelles, de ses objectifs de carrière et de ses lacunes éventuelles. Par exemple, un employé travaillant dans le domaine de la conception graphique pourrait recevoir des suggestions pour améliorer ses compétences en illustration numérique, en typographie ou en conception d’interface utilisateur.

 

– Apprentissage personnalisé

La data est au cœur de l’expérience apprenante. Si la data nous permet d’identifier les compétences à développer pour chacun, elle nous permet également de proposer le bon format d’apprentissage à chaque apprenant. 

 

Le cas d’usage est encore précoce, et nécessiterait beaucoup d’interconnexions avec les systèmes existants de l’organisation, mais les IA génératives peuvent prendre en compte les préférences d’apprentissage individuelles des collaborateurs, en recommandant des ressources et des méthodes d’apprentissage adaptées à leur style. Un collaborateur qui apprend mieux en écoutant des conférences pourra se voir recommander des podcasts ou des webinaires, tandis qu’un employé qui préfère l’apprentissage interactif pourra se voir suggérer des ateliers ou des simulations.

 

– Identification des compétences émergentes

Le World Economic Forum publiait récemment son top 10 des soft skills à développer pour 2027. Vous ne souhaitez pas lire les dizaines et dizaines de page en détail ? Une idée : et si vous pouviez faire ce travail de prospective par vous-même ?

 

Même si GPT-4 ne se connecte pas encore à Internet en temps réel, l’IA Bard de Google peut le faire, profitant de Google Trends au passage. Ainsi, les IA génératives peuvent déjà analyser les tendances du marché du travail et les besoins en compétences pour identifier les compétences émergentes et les intégrer aux programmes de formation. Cela permettra aux collaborateurs de rester à jour et de se préparer aux changements futurs dans leur domaine. Si la première partie est prête, ce n’est pas le cas de l’intégration, qui sera encore une fois l’écueil majeur, comme pour la plupart des cas d’usage.

 

Ces applications potentielles sont plus ou moins matures. Vous pourrez découvrir dans le rapport quel est le niveau de maturité de chacune de ces applications, ainsi qu’une note de maturité éthique. En effet, cette technologie évolue à grande vitesse, mais les détails techniques et éthiques sont encore à perfectionner.

 

Intégrer l’IA dans la formation est une vraie opportunité pour améliorer l’expérience apprenante et garantir un apprentissage unique à chacun. La création de programmes d’apprentissage personnalisés et l’adaptation des parcours de formation en fonction des besoins individuels doivent être au cœur des préoccupations des professionnels des RH et de la formation. 

 

En effet, il ne suffit pas de se demander comment l’IA générative impactera nos vies professionnelles, il faut aussi se poser la question de savoir comment nous souhaitons que cela se passe. Pour cela, nous ouvrons le débat. Allez-vous y prendre part ?

 

Téléchargez le rapport « IA & RH : Quand le futur du travail est en avance« , en partenariat avec Tomorrow Theory, et découvrez également :  

– Comment bien utiliser GPT-4
– Les cas d’usage actuels et à venir en RH
– Comment préparer la fonction RH à cette révolution

Voir l'étude de cas