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Tendez l’oreille, la saison 3 de Coorpcast est là !

ChatGPT, semaine de 4 jours ou encore impact de l’avion sur le climat. Ces sujets ne vous surprendront plus : ils font partie de l’actualité et des débats du moment.  

C’est pourquoi nous les avons réunis dans la saison 3 de Coorpcast, notre série d’audiolearning consacrée à des sujets d’actualité et de prospective, stratégiques pour les entreprises comme pour leurs collaborateurs.

Dans cet article, plongez dans les coulisses de la conception des épisodes de cette série de podcasts conçus par notre équipe d’ingénieurs pédagogiques !

– ChatGPT : l’interview exclusive

Dans le premier épisode de cette saison 3, sorti en exclusivité au lendemain du lancement du robot conversationnel ChatGPT en novembre, nous tentons de répondre à la question suivante : jusqu’à quel point l’humain peut-il être remplacé en société comme au travail ?

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– Dans les arcanes de ChatGPT

Quelques mois après la révélation au public de ChatGPT et alors qu’OpenAI lance GPT-4, sa nouvelle version affinée del ChatGPT, nous revenons sur notre épisode spécial de CoorpCast avec une prise de recul « humaine » sur le contenu généré par l’IA, son potentiel et ses limites.

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– Avion et climat : quel impact, quels enjeux ?

Faut-il avoir honte de voler ? Oui, on vous parle bien ici d’avions !

3 jeunes sur 4 estiment que les vols de loisirs doivent rester exceptionnels pour limiter leur impact sur le réchauffement climatique et 38% des jeunes interrogés déclarent éprouver un sentiment de culpabilité lorsqu’ils prennent l’avion (Greenpeace, 2022)

Dans cet épisode, nous décortiquons le vrai du faux concernant l’impact de l’avion sur le climat.

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– “Le slashing” ou l’art de combiner plusieurs vies pro

Un collaborateur issu de la génération millénial reste en moyenne 2,75 années dans son poste au sein d’une même entreprise (Zippia, 2023). En outre, 65 % des jeunes de la génération Z déclarent qu’ils quitteront leur emploi d’ici la fin de l’année (Lever Great Resignation, 2022)

Les analyses sur le rapport au travail des jeunes générations abondent, évoquant notamment la tendance à la multiplication des jobs et des activités professionnelles pour leur épanouissement personnel : le “slashing”.

Dans cet épisode, découvrez l’art de combiner plusieurs vies professionnelles.

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– Semaine de 4 jours : les expériences se multiplient en Europe

Entre juin et décembre 2022, plus de 60 entreprises employant quelque 3.000 collaborateurs au Royaume-Uni ont participé à une expérimentation de l’association 4 Day Week Global. L’objectif ? Un test à grande échelle de la semaine de quatre jours. Le résultat ? Plus de 90% d’entre elles se disent certaines de maintenir la semaine de quatre jours.

Espagne, Italie, Islande, France… De nombreux pays commencent à se poser la question de la semaine de 4 jours. Dans cet épisode, nous découvrirons les avantages et les inconvénients de cette nouvelle organisation du travail.

Pour en savoir plus, faites une demande de démo !

Go1 renforce son partenariat avec SAP et obtient la certification SAP Endorsed pour son application.

Après avoir récemment terminé le processus de certification premium de l’éditeur international SAP pour son application, Go1 est désormais partenaire SAP Endorsed. 

Les SAP Endorsed Apps sont des applications premium certifiées par SAP, des fonctions de sécurité supplémentaires et des tests approfondis. Celles-ci permettent aux utilisateurs de SAP SuccessFactors d’importer de manière transparente et sécurisée du contenu de la bibliothèque de Go1 directement dans SAP SuccessFactors. 

Les apprenants pourront ainsi accéder au contenu via une connexion unique, ce qui rendra l’apprentissage à la demande incroyablement facile et pratique. En outre, tous les résultats d’engagement et d’apprentissage seront synchronisés avec SAP SuccessFactors, assurant ainsi un suivi centralisé. 

Et ce n’est pas tout. La bibliothèque de contenus proposée par Go1 améliore les solutions d’apprentissage de SAP SuccessFactors en facilitant la découverte et la consommation de ces contenus et en aidant les entreprises à proposer des parcours de développement des compétences adaptés aux besoins de chaque collaborateur. 

En résumé ? Vous pouvez consolider votre contenu de formation et centraliser votre suivi. En d’autres termes, grâce aux expertises combinées de Go1 et de SAP SuccessFactors, il sera plus facile pour chacun d’accéder au contenu de formation, ce qui permettra aux entreprises d’optimiser l’expérience learning qu’ils proposent aux collaborateurs. 

En tant que partenaires stratégiques, Go1 et SAP SuccessFactors :

  • simplifient l’approvisionnement de la formation en donnant accès aux contenus de formation de plus de 250 fournisseurs dans le monde, sur un large éventail de compétences et dans plus de 26 langues, pour l’ensemble des équipes. Ces contenus sont directement disponibles dans SAP SuccessFactors Learning ; 
  • fournissent le contenu aux apprenants en direct, grâce à des intégrations transparentes et à l’authentification unique pour SAP SuccessFactors ; 
  • favorisent l’engagement des apprenants grâce à des parcours d’apprentissage personnalisés, des recommandations personnalisées et une variété de formats d’apprentissage, de la réalité virtuelle au micro-apprentissage en 5 minutes seulement ; 
  • mesurent les résultats de la formation en temps réel, de manière centralisée dans SAP SuccessFactors, afin d’optimiser votre activité.

 

L’application Go1 est disponible dans le SAP Store, la place de marché numérique pour les solutions de SAP et de ses partenaires. Les clients existants peuvent également contacter leur Customer Success Manager Coorpacademy by Go1, pour avoir plus d’informations.

 

Go1 est fier d’annoncer ce partenariat, qui permettra à un plus grand nombre d’organisations de disposer de sa bibliothèque de contenus dans l’environnement d’apprentissage au sein duquel se trouvent déjà tous leurs employés. 

Sens au travail : Il est où le bonheur, il est où ?

Avez-vous déjà vu un collègue heureux, mais vraiment très heureux ? Du genre à arriver au bureau en sautillant, et à sourire jusqu’à en avoir des crampes ?

On vous repose la question différemment. Avez-vous déjà vu un collègue malheureux, très malheureux ? Genre, à la limite du burn-out. Ça y est, vous avez bien quelqu’un en tête. On s’en doutait !

Pensez à lui offrir des brins de muguet ce 1er mai. Si d’aventure elles comportent 13 clochettes, c’est la promesse du bonheur au travail, de la félicité éternelle. Rien que ça…

Laissons de côté le langage des fleurs un instant pour comprendre : c’est quoi le bonheur au travail ? Ou plutôt, c’est quand ?

En effet, le bonheur au travail a cette particularité d’être court-termiste, a priori ponctuel et associé à des souvenirs précis dans le temps. Par exemple, se sentir joyeux, se sentir utile ou encore apprendre de nouvelles choses sont des sentiments associés au bonheur au travail.

Contrairement au bonheur, le sens au travail est quant à lui plus constant et recherché par pas moins de 87 % des collaborateurs, qui leur accordent beaucoup d’importance (selon une étude réalisée par Deloitte).

Pour bien illustrer les différences entre le sens et le bonheur au travail, le psychologue américain Roy Baumeister énumère cinq facteurs principaux dans ses recherches :

– Comme on le disait juste avant, la temporalité : ressentir du bonheur au travail est lié à des souvenirs précis dans le temps, là où le sens est plus linéaire et continu, avec une cohérence tout au long du temps qui passe.

– Obtenir ce qu’on veut : le bonheur est la satisfaction de voir ses désirs se réaliser. Ce n’est pas le cas pour le sens au travail. Par exemple, on peut être heureux d’accepter un poste plus prestigieux sans que cela n’apporte plus de sens à son métier.

– La vie sociale en entreprise : développer des relations avec ses collègues est important pour le bonheur comme pour le sens au travail, mais cela prend des formes différentes pour chacun des deux cas. Aider les autres, cela apporte du sens. Recevoir cette aide soi-même apporte du bonheur.

– Les défis rencontrés : le stress ressenti au travail, les conflits qui peuvent émerger, les challenges à surmonter peuvent tous faire partie du sens qu’on accorde à une mission. Le bonheur n’inclut pas ces caractéristiques.

– L’identité personnelle : le sens au travail permet un développement personnel beaucoup plus fort. Le bonheur qu’on peut ressentir n’est pas lié à ce besoin d’identité.

Trouver enfin du sens à son travail serait d’ailleurs le premier facteur au bonheur. C’est lorsque notre travail nous stimule que nous ressentons le plus de motivation. Alors finalement, qu’est-ce qu’on préfère souhaiter à nos pairs : le bonheur – éphémère – ou plus de sens au travail ?

On vous laisse juges, mais en attendant, on s’empresse de compléter notre propre bouquet.

Le top des soft skills à développer en complémentarité avec l’IA

Arrivée de nouvelles IA, digitalisation et nouvelles formes de travail hybride… Comment les métiers sont-ils impactés face à ces évolutions ? Notre dernière enquête auprès de plus de 200 directions et responsables formation-RH en partenariat avec Féfaur (avril 2023) vient nous rassurer sur le fait que les humains ne sont pas devenus obsolètes en entreprise, bien au contraire. 

 

Les soft skills, propres à l’humain, sont devenues plus importantes que jamais pour se différencier des robots ! Mais par où commencer ?

 

-Je ne suis pas un robot 

Les soft skills, ou compétences comportementales, font référence aux qualités personnelles qui permettent aux individus de travailler efficacement avec les autres. Ces compétences sont liées aux qualités telles que la communication, la créativité, la résolution de problèmes, l’empathie, l’adaptabilité, la pensée critique, la collaboration ou le leadership.

 

L’IA est extrêmement utile pour effectuer des tâches répétitives et analyser des données en un temps record. Cependant, elle n’est pas capable d’égaler les compétences humaines qui sont nécessaires pour être performant et capable de travailler en équipe.

 

Les compétences comportementales sont bel et bien ce qui nous permet de faire preuve d’une chose que l’IA ne peut apprendre : le bon sens. Le cerveau humain a des subtilités que même la plus parfaite des IA ne pourrait égaler, comme par exemple : savoir communiquer efficacement, comprendre les émotions et être créatif.

 

-Les soft skills comme un outil pour utiliser l’IA 

Près de 45% des responsables formation-RH interrogés dans notre enquête identifient la transformation digitale comme leur principale préoccupation. Les collaborateurs doivent acquérir de nouvelles compétences et s’adapter rapidement aux outils technologiques. La capacité d’apprentissage rapide, la créativité, la gestion du temps et l’adaptabilité sont des compétences essentielles pour relever les défis de cette transition.

 

Avec l’accélération de la digitalisation et les nouvelles innovations en matière d’intelligence artificielle (GPT4, Midjourney, DALL-E), les entreprises doivent accompagner leurs collaborateurs dans la prise en main de ces outils. Pour le faire, les soft skills sont primordiales. Les compétences comme l’esprit critique permettront aux collaborateurs d’utiliser ces nouveaux outils avec parcimonie, vigilance et intelligence. 

 

S’adapter avec vigilance : c’est la recommandation de la majorité des experts en application des IA ces temps-ci, comme en témoignent les nombreuses retombées médiatiques à ce sujet. The Economist y a d’ailleurs consacré sa couverture européenne et un dossier décliné en plusieurs focus le 21 avril dernier.

 

– On met la main à la pâte ? 3 soft skills que l’IA nous envie

 

Les répondants à notre enquête ont énuméré plusieurs soft skills qu’ils considèrent comme prioritaires. Nous avons donc constaté que les responsables formation-RH voient se dessiner trois soft skills principales

 

-La capacité à travailler en équipe arrive en première place, avec pas moins de 82% des réponses. En effet, face aux nouvelles organisations hybrides, les besoins en matière de collaboration s’intensifient. 

-En deuxième position arrivent les compétences de communication (69%). En effet, pour travailler à distance notamment, savoir communiquer est un atout absolument majeur. 

-Enfin, l’intelligence émotionnelle ou l’empathie (64% des réponses). Elles sont des compétences de plus en plus identifiées comme cruciales dans la création et le maintien d’un environnement de travail sain et productif.

En conclusion, les entreprises doivent investir dans le développement de ces compétences chez leurs employés afin d’apprendre à utiliser et à tirer le meilleur parti de l’IA, ainsi que pour favoriser sa compétitivité et sa performance ! Les soft skills sont aussi un vrai levier d’attractivité. En effet, pour les jeunes actifs, la place que l’entreprise accorde à l’humain, aux valeurs, à la raison d’être, et par conséquent au développement des soft skills est crucial. La majorité des entreprises l’ont compris : accompagner leurs collaborateurs dans leur montée en compétences “douces” est un facteur différenciant ! Et même… incontournable. 

 

Pour aller plus loin, découvrez l’intégralité de notre enquête dans notre ebook “Soft skills : question de survie pour l’entreprise ?” : c’est par ici !

 

Earth Day : développez vos compétences vertes en 2023 

 

La Journée de la Terre, célébrée chaque année le 22 avril, nous donne l’occasion de rappeler l’importance de protéger notre planète et de sensibiliser le public aux enjeux environnementaux. 

 

Le constat est unanime : l’urgence climatique à laquelle nous faisons face collectivement ne peut être résolue sans l’implication forte des entreprises, qui ont un rôle crucial à jouer dans la transition écologique. 

 

En effet, les entreprises sont responsables d’une part significative des émissions de gaz à effet de serre et ont un impact direct sur l’environnement, notamment par leur consommation d’énergie et de matières premières. Mais la responsabilité des entreprises ne s’arrête pas là. 

 

Les consommateurs et les collaborateurs attendent d’elles qu’elles prennent en compte les enjeux environnementaux dans leur stratégie et leur fonctionnement, et qu’elles s’engagent concrètement dans la transition écologique. Selon une étude IFOP, 81 % des Français jugent que les entreprises ont un rôle à jouer pour réduire leur impact sur l’environnement et 78 % estiment que les entreprises doivent s’engager pour la transition écologique (2021).

 

Des initiatives commencent à être prises pour aller en ce sens. Par exemple, en France, en avril 2023, les organisations patronales et des syndicats sont parvenus à un accord interprofessionnel pour favoriser la prise en compte d’enjeux de transition écologique dans les entreprises. 

 

Compte tenu de l’urgence, nous ne sommes qu’au début des efforts qui restent à fournir et nous ne pouvons qu’encourager des initiatives les plus ambitieuses et les plus concrètes possibles pour aller de l’avant, sans plus tarder. 

 

En outre, les changements attendus de la part des entreprises ne touchent pas que leurs modèles économiques, leurs produits et leurs services. Leur transformation ne peut avoir lieu sans accompagner ce qui les constitue : l’humain ! 

 

Il est donc nécessaire de former les collaborateurs à tous les niveaux de l’entreprise car chaque décision prise a un impact – petit ou grand – sur l’environnement, que ce soit lié à un métier polluant, des usages nocifs pour la planète ou encore à un manque de connaissance sur les éco-gestes. Toutes les industries sont concernées. 

 

C’est pourquoi nous vous proposons cette année un quiz que nous vous encourageons à réaliser et à diffuser, afin de sensibiliser notre société aux enjeux environnementaux comme de rappeler l’importance de la formation pour accompagner la transition écologique des entreprises. 

 

Ce quiz reprend les fondamentaux de plusieurs nos cours :

-Passer à l’action pour la transition écologique, C3D-PRE
-Vers un numérique durable, Fabernovel
-Vers la neutralité carbone, Faurecia University
-Comprendre la crise écologique, C3D-PRE
-L’économie circulaire : de la ligne droite au cercle vertueux, MySezame

 

Quiz “Journée de la Terre : mettez vos compétences au vert”

Nous avons sélectionné 10 questions, issues directement de nos cours conçus par notre équipe pédagogique. Retrouvez en fin d’article les réponses aux questions, pas de triche ! 

 

Questions

1.

 

2.

 

3.

4 : Quels sont les trois leviers utilisés pour améliorer un bilan CO2 ?

5.

 

6.

 

7.

 

8.

 

9.

 

10.

 

Réponses : 

Question 1 : La transition écologique est avant tout un problème technique et technologique : Faux.

Point clé
Au-delà de l’aspect technique, la transition écologique implique aussi de transformer nos normes sociales et politiques.

Le saviez-vous ?
Charge à nous de faire évoluer les technologies existantes ou d’en développer de nouvelles pour qu’elles soient compatibles avec la transition écologique. Les inquiétudes du GIEC n’ont été prises en compte que trop tard. En partie parce que les moyens scientifiques pour mesurer les effets de l’activité humaine sur le climat n’ont été développés que tardivement. C’est la preuve que l’innovation technologique et scientifique a aussi un rôle à jouer dans la prise de conscience collective.

 

Question 2 : Quelle est la première étape pour mettre en place une stratégie de transformation durable en entreprise ? : La mesure d’impact

Point clé
Pour agir sur ses impacts environnementaux, il faut d’abord les connaître et les mesurer !

Le saviez-vous ?
De nombreuses méthodes existent pour mesurer ses impacts environnementaux : Bilan Gaz à Effet de Serre, Empreinte biodiversité, Empreinte eau, Empreinte écologique…

 

Question 3 : Quels sont les trois types d’émissions de gaz à effet de serre ?

Point clé
Type 1 : Émissions directes provenant de sources détenues ou contrôlées.

Type 2 : Émissions indirectes provenant de la production d’énergie, du chauffage et de l’électricité dans nos installations.

Type 3 : Toutes les émissions indirectes (qui n’étaient PAS incluses dans le type 2) qui se produisent dans la chaîne de valeur de l’entreprise déclarante, y compris les émissions en amont et en aval.

Le saviez-vous ?
Dans un effort pour réduire son empreinte carbone, la société WeWork a interdit à ses employés de consommer de la viande. Cette décision a suscité des réactions mitigées, bien que la société estime que cela permettra d’éviter plus de 200 kg d’émissions de CO2 ainsi que d’épargner 15,5 millions d’animaux d’ici 2023.

 

Question 4 : Quels sont les trois leviers utilisés pour améliorer un bilan CO2 ?

Point clé
Il existe 3 leviers pour réduire l’impact du CO2 sur le climat : réduire, éliminer et compenser le CO2.

Le saviez-vous ?
La réduction du carbone fonctionne en utilisant moins de ressources et de sources d’énergie renouvelables. La compensation peut être mise en œuvre par des actions humaines pour séquestrer le CO2. Enfin, le CO2 peut être physiquement retiré de l’atmosphère et enfermé pendant des décennies, des siècles ou des millénaires, par exemple dans le sol ou dans des matériaux.

 

Question 5 :Quel pourrait être, en 2025, la part du numérique dans les émissions de gaz à effet de serre ?

Point clé
La part du numérique dans les émissions de gaz à effet de serre annuelles dans le monde pourrait atteindre 8 % en 2025 si nous n’adoptons pas une démarche de sobriété numérique.

Le saviez-vous ?
La Green Web Foundation, fondée en 2006 et basée aux Pays-Bas et en Allemagne, œuvre pour qu’Internet soit un jour entièrement alimenté par de l’énergie renouvelable.

 

Question 6 :  À quoi peut servir la norme ISO26000 ?

Point clé

Il n’existe pas d’indicateur universel de l’impact social et environnemental des activités numériques d’une entreprise. La norme ISO26000, cependant, offre un cadre de référence utile pour évaluer la politique mise en place par les fournisseurs et prestataires en matière de RSE.

 

Le saviez-vous ?
La norme ISO26000 apporte des lignes directrices en matière de RSE qui sont applicables par tout type d’entreprise, quelle que soit sa taille ou sa localisation.

 

Question 7 : Quelle conséquence sur le plan écologique aurait une augmentation de 1,5 degré de la température moyenne de la planète ?

Point clé 

C’est ce qui se produit avec le réchauffement climatique : pour l’instant, on commence à observer des conséquences, de façon disparate, mais si l’on dépasse les 1,5 degré d’augmentation des températures, ou pire, les 2 degrés, les conséquences pourraient être réellement dramatiques, et mener à un emballement climatique.

 

Le saviez-vous ?

Par exemple, une augmentation de température de 1,5°C provoquerait la disparition de 70% des coraux. Avec une augmentation de 2°C, la totalité des coraux pourrait disparaître.

 

Question 8 : Pour éviter une accélération brutale de la crise écologique, il faut nous transformer…

Point clé
Pour éviter de dépasser ces seuils et de nous retrouver dans un processus de crise écologique globale irréversible, il est nécessaire de prendre les devants et agir dès maintenant sur les questions écologiques, sans attendre que les conséquences soient trop graves, car il sera alors sans doute trop tard.


Le saviez-vous ?

En écologie, une crise écologique se définit en tant qu’érosion pérenne de la biodiversité d’un écosystème ou d’une espèce donnée dont l’impact sur le reste de l’écosystème considéré altère définitivement cet écosystème. Combinée avec le réchauffement climatique, l’érosion de la biodiversité forme une crise écologique globale.

 

Question 9 : Quelles sont, dans l’ordre, les étapes du processus vertueux qu’une entreprise peut mettre en œuvre pour repenser l’ensemble de ses activités sous l’angle de l’économie circulaire ?

Point clé
La bonne réponse : Écoconception, Approvisionnement responsable, Écologie industrielle, Allongement de la durée de vie

Pour limiter son impact sur l’environnement et s’inscrire dans une logique d’économie circulaire, l’entreprise peut :

-Écoconcevoir ses produits ou services pour anticiper l’impact de son activité
-S’assurer que ses approvisionnements soient responsables
-Repenser son mode de production grâce à l’écologie industrielle
Allonger la durée de vie de ses produits


Le saviez-vous ?
L’économie circulaire offre de nombreux avantages aux entreprises qui s’engagent dans cette voie. Par exemple, elle permet une meilleure maîtrise des coûts via l’usage réduit de matières premières qui sont de plus en plus chères du fait de leur raréfaction. En outre, l’entreprise est poussée à innover pour produire moins, mais mieux, ce qui peut lui offrir de nouvelles perspectives économiques avec l’accès à de nouveaux marchés.

 

Question 10 : Que peut-on dire de la biocapacité de la Terre ?

Point clé

Il s’agit de la capacité de la Terre à régénérer ses ressources en un an, Elle est dépassée chaque année depuis les années 1970

Depuis les années 1970, nous abusons de la biocapacité de la Terre, c’est-à-dire que nous consommons plus de ressources naturelles que ce que la planète est capable de produire en un an.

 

Le saviez-vous ?
Le GIEC, Groupe d’Experts Intergouvernemental sur l’Évolution du Climat, a été créé en 1988 et rassemble 195 États membres. Il synthétise l’état des connaissances sur le changement climatique et le rôle de l’activité humaine. Il informe ensuite les États afin qu’ils puissent définir des politiques adaptées pour répondre aux enjeux identifiés.

 

 

Pour aller plus loin, découvrez notre playlist de cours “Passez en mode green” constituée de tous nos contenus de formation sur le sujet !

Vous souhaitez en savoir plus sur notre offre de Digital Learning ? Rencontrez nos experts dans le cadre d’une démo de nos solutions en cliquant ici.

 

Nouveaux contenus interactifs : découvrez les projets guidés Coursera et la réalité virtuelle !

Saviez-vous que l’apprentissage interactif peut être 45 % plus efficace que l’apprentissage théorique seul ? 

Nous sommes ravis d’annoncer l’ajout de nos nouveaux contenus premium interactifs à notre bibliothèque premium, afin d’engager les apprenants dans une expérience d’apprentissage immersive et pratique !

Notre mission est de répandre l’accès à une bibliothèque de contenus la plus diversifiée et complète au monde, adaptés au style de chaque apprenant. Aujourd’hui, découvrez les deux nouveaux contenus qui viennent renforcer notre offre de formation : les projets guidés Coursera et les cours de réalité virtuelle.

  1. Permettez à vos collaborateurs  de maîtriser rapidement les compétences acquises, grâce aux Projets Guidés de Coursera : des sessions de formation pratiques, avec les conseils d’un expert, étape par étape

Les Coursera Guided Projects couvrent un large éventail de compétences, telles que l’analyse de données, la conception, le développement de logiciels, le marketing numérique, l’informatique dématérialisée, etc. Nous y proposons par exemple “Introduction à JavaScript”, “Apprendre et concevoir une présentation PowerPoint attrayante” ou encore “Introduction aux fonctions SQL Window”. 

Les projets guidés s’appuient sur une approche courte et basée sur des tâches pour aider les apprenants à développer rapidement des compétences professionnelles en utilisant les technologies et les outils les plus récents. Une interface intégrée permet aux apprenants de mettre en pratique ce qu’ils apprennent tout en suivant les conseils de formateurs experts via des vidéos, sans quitter la plateforme Coorpacademy by Go1. Chaque projet peut être réalisé en moins de deux heures. 

Des études montrent en effet que si une nouvelle information n’est pas mise en pratique, nous l’oublions à 75 % au bout de six jours seulement ! Ce niveau d’apprentissage appliqué améliore la rétention de l’information, favorisant une croissance et un développement continus.

– Devenez le héros de votre formation : rentrez directement en immersion dans votre cours en ligne avec la réalité virtuelle (RV)

Dans le cadre de l’extension de l’offre Go1, nous avons également élargi notre partenariat avec Talespin, une plateforme d’informatique spatiale qui favorise la montée en compétences des talents pour l’avenir du travail, afin d’ajouter des cours de réalité virtuelle (RV) où les apprenants pourront s’immerger dans leur apprentissage. 

Grâce aux cours d’apprentissage immersifs proposés par iAM Learning, AMC, Chart Learning Solutions et bien d’autres, les apprenants peuvent monter en compétences et appliquer leurs connaissances dans divers domaines tels que le leadership, les négociations ou encore le traitement des plaintes. 

Que les apprenants accèdent à ces cours par le biais d’un casque de RV ou d’un ordinateur de bureau, ils peuvent directement s’engager dans des scénarios d’apprentissage et de pratique de jeux de rôle avec des instructeurs humains virtuels. La formation à la RV pour les compétences non techniques peut augmenter de 275 % la confiance dans la gestion d’une situation, car elle offre aux apprenants un espace sûr pour mettre en pratique ce qu’ils ont appris.

Nous sommes très enthousiastes à l’idée que vous testiez ces contenus engageants et impactants, comme à l’idée de continuer à diversifier notre bibliothèque premium. Si vous voulez commencer, voici une petite liste de nouveaux contenus interactifs à découvrir dans la bibliothèque Coorpacademy by Go1 sans plus tarder. 

– Projets guidés Coursera recommandés 

1) Techniques de superposition pour Adobe Photoshop [Intermédiaire] 

Compétences acquises : Conception graphique, infographie, Adobe Photoshop.

 

2) Déployer une image de conteneur de site Web dans AWS ECS et AWS Fargate [Débutant] 

Compétences acquises : Applications en nuage, architecture informatique, informatique en nuage.

 

3) Créer un tableau de bord interactif de gestion des indicateurs de performance clés (KPI) dans Tableau [Débutant] 

Compétences acquises : Analyse commerciale, visualisation des données, logiciel Tableau.

 

– Cours de réalité virtuelle recommandés 

1) Leadership agile par iAM Learning 

Compétences acquises : Écoute active, empathie, conscience des autres, sécurité psychologique, régulation des émotions, établissement des prochaines étapes, questionnements, conscience de soi, pensée analytique, état d’esprit de croissance, résolution de problèmes et communication verbale.  

 

2) Conversations difficiles : gérer les plaintes par Chart Learning Solutions 

Compétences acquises : Écoute active, gestion des conversations difficiles, résolution de problèmes, présence, empathie, professionnalisme et confiance. 

 

3) La désescalade par AMC 

Compétences acquises : Écoute active, empathie, sécurité psychologique, régulation des émotions, établissement des prochaines étapes, clarté, cadrage et conscience du risque.

 

Enquête “Former aux soft skills, question de survie pour l’entreprise ?” – ce qu’en pensent les responsables RH-learning

 

Ces derniers mois, nous avons enfilé notre casquette d’enquêteur… Plusieurs centaines de directeurs et responsables RH et formation ont répondu à l’enquête de Coorpacademy by Go1 en partenariat avec le cabinet Féfaur sur les stratégies qu’ils mettent en place pour développer les soft skills dans leur entreprise. 

 

Les entreprises françaises sont en pleine mutation (arrivée de nouvelles IA, digitalisation et nouvelles formes de travail hybride) et pour survivre dans ce nouvel environnement, les soft skills sont devenues incontournables. Dans cet article, nous vous livrons les 3 points clés à retenir de notre étude, et un lien de téléchargement pour la découvrir en intégralité ! 

 

1. Les soft skills : premier levier pour s’adapter aux nouvelles formes de travail hybride


Les soft skills sont cruciales pour les entreprises, qui les considèrent comme la clé pour affronter les transformations du monde du travail et attirer les talents nécessaires à leur succès. 83% des responsables formation-RH mentionnent les nouvelles organisations du travail comme étant leur principale préoccupation et raison de développer les soft skills. Les compétences en communication, la résolution de problèmes et la prise d’initiative sont des atouts précieux pour s’adapter aux changements qui opèrent dans l’entreprise. 

 

La pénurie des talents, en deuxième position (50%), est également une des raisons pour lesquelles les soft skills sont essentielles. Les entreprises ont du mal à recruter et fidéliser des employés dotés des compétences recherchées, en particulier les soft skills comme le travail en équipe, la résolution de problèmes et la prise d’initiative. Les compétences en communication sont également très recherchées. 

 

Enfin, pour près de 45% des responsables formation-RH interrogés, la transformation digitale est leur principale préoccupation. Les collaborateurs doivent acquérir de nouvelles compétences et s’adapter rapidement aux outils technologiques. La capacité d’apprentissage rapide, la créativité, la gestion du temps et l’adaptabilité sont des compétences essentielles pour relever les défis de cette transition.

 

2. Les soft skills : pas réservées aux seuls managers !

Selon l’enquête Coorpacademy by Go1 x Féfaur, près de la moitié des entreprises (soit 49%) privilégient désormais le développement des compétences non techniques pour tous leurs employés, quels que soient leur poste ou leur niveau hiérarchique. Cette tendance reflète une prise de conscience croissante des avantages des « soft skills », qui peuvent profiter à toute l’équipe et favoriser la croissance de l’entreprise dans son ensemble. Il reste encore à convaincre l’autre moitié des entreprises qu’elles bénéficieraient massivement de cette formation à tous les niveaux. Chaque employé peut bénéficier de l’apprentissage de ces compétences pour améliorer sa performance et son bien-être au travail. 

 

Au niveau managérial, comme le montre l’enquête à télécharger ici,  65% des entreprises pensent que les soft skills sont absolument incontournables lorsqu’il s’agit de recruter ou de promouvoir un manager. C’est effectivement clé de s’assurer que les managers aient les compétences nécessaires pour bien encadrer leurs équipes.

 

3. Le Digital Learning : levier clé pour développer les soft skills


Le Digital Learning est un outil apprécié pour l’apprentissage des soft skills, grâce à sa flexibilité, son accessibilité, sa personnalisation et son suivi des compétences. Les responsables formation-RH saluent le potentiel du Digital Learning dans la massification de l’accès aux formations en soft skills pour briser les barrières traditionnelles. La variété des formats proposés et l’adaptabilité de cet outil sont également appréciées par les professionnels du learning & development (L&D) interrogés. La personnalisation des formations en fonction des retours d’expérience et l’évolution des employés est jugée importante par 46% des répondants. La dimension sociale et collaborative du Digital Learning est également valorisée par 25% des sondés, favorisant l’échange de connaissances. Enfin, 20% des répondants soulignent la possibilité d’évaluer l’efficacité des formations et le transfert des compétences acquises dans le milieu professionnel grâce au suivi des soft skills en action. 

 

En conclusion, les résultats de l’enquête Coorpacademy by Go1 x Féfaur mettent en évidence l’importance croissante accordée aux soft skills dans les entreprises et leur impact sur la performance globale de l’organisation. Les responsables formation-RH cherchent à intégrer ces compétences clés dans les parcours de formation continue comme à utiliser les outils de Digital Learning pour offrir des expériences d’apprentissage flexibles, personnalisées et adaptées aux besoins individuels. Cette approche de formation centrée sur l’apprenant favorise l’acquisition et le développement des soft skills indispensables pour réussir dans un monde professionnel en constante évolution. Allez… On repose notre casquette d’enquêteur pour reprendre notre cœur de métier : l’accompagnement dans la montée en compétence par le Digital Learning. 

 

 

Vous souhaitez télécharger l’enquête ? Cliquez ici ! 

Vous souhaitez en savoir plus sur notre offre de Digital Learning ? Rencontrez nos experts dans le cadre d’une démo de nos solutions en cliquant ici.

Place au slashing, ou quand le travail devient pluriel

 

Imaginez. Vous avez 18 ans, le bac fraîchement en poche. La question que l’on vous pose depuis le CP revient. Qu’allez-vous faire plus tard ? Vous avez le droit à 10 choix maximum. On finit par vous accepter partout et c’est comme ça que vous devenez un “slasheur”. 

 

 

Non, ce n’est pas l’intitulé d’un nouveau métier mais bel et bien une énième dénomination pour décrire un phénomène récent sur le marché du travail. Vous n’aimez pas les anglicismes ? Tant pis pour vous, le terme « slasheurs » est issu du mot anglais « slash », qui désigne la barre oblique utilisée pour accoler des mots et conférer à l’ensemble un caractère simultané, par exemple, lorsque l’on souhaite énumérer deux métiers que l’on exerce simultanément.

 

Pour la leçon d’histoire, il a été introduit pour la première fois en 2007 par l’Américaine Marci Alboher dans son ouvrage One Person, Multiple Careers.  Vous ne l’avez peut être jamais entendu, mais il est bien présent dans le Larousse qui le définit de la manière suivante : « personne, généralement issue de la génération Y, qui exerce plusieurs emplois et/ou activités à la fois ».

 

Si peu de statistiques existent encore sur le sujet, une étude menée par le Salon des micro-entreprises en 2015 comptait déjà 4,5 millions de Français étant des “slasheurs”, soit 16% des actifs. Depuis, avec l’hybridation du travail et les attentes des travailleurs qui évoluent, la tendance à cumuler plusieurs jobs pour s’épanouir dans sa vie professionnelle est définitivement en marche.

 

Ces nouvelles attentes sont surtout revendiquées par la Génération Z, qui sont 44% à déclarer “ne pas savoir s’ils souhaitent exercer le même métier toute leur vie” (Moodwork, 2021).  De plus, selon une étude de l’OCDE, les moins de 30 ans devraient exercer en moyenne 13 métiers dans leur vie, dont la plupart n’existent pas encore. Il est donc crucial pour les collaborateurs d’apprendre à devenir plus agiles afin de se préparer pour le futur des compétences. 

 

 

Vous pourriez objecter que le slashing, ce n’est pas pour vous. Lors de vos choix Parcoursup (ou autre plateforme/moment d’orientation), vous n’aviez pas atteint la limite de 10 choix. Mais ne parlez pas trop vite, vous n’avez peut-être pas encore trouvé les métiers “slash” de vos rêves : 85% des emplois de 2030 n’existent pas encore. 

 

Ainsi, “slasher” entre plusieurs métiers pourrait devenir la norme. Cependant, cela représente quelques défis : gestion du temps, agilité, priorisation et sécurité de l’emploi. 

 

Développer ses soft skills est essentiel pour répondre avec résilience aux transformations du monde du travail. Dès lors, voici notre sélection de 3 cours pour apprendre à travailler au pluriel. 

 

Coorpcast – Épisode 13 « Le slashing : plusieurs jobs, plusieurs vies » édité par Coorpacademy

Pour aller plus loin sur ce sujet, ne manquez pas notre épisode de podcast consacré au sujet ! 

 

Mieux gérer son temps coédité avec Dunod Formation

Savoir gérer son temps est essentiel pour être réellement efficace au travail. Une mauvaise gestion de votre propre organisation peut avoir des répercussions sur vos collègues et les équipes avec lesquelles vous travaillez. Et si vous décidez de “slasher”, il sera essentiel de savoir jongler entre différents métiers et organiser votre emploi du temps en fonction de vos priorités ! 

Ce cours vous donnera des conseils et des clés pour tirer le meilleur parti de votre temps au travail.

Mieux gérer son temps au travail

 

Testez vos facultés d’adaptation édité par Coorpacademy 

Par définition, le futur du travail est en évolution constante. Afin de vous y adapter, il va falloir adopter les meilleures pratiques pour devenir agile comme un chat et retomber sur vos pattes en douceur. Testez votre capacité d’adaptation à travers ce quiz en 9 étapes, élaboré à partir des trois cours de notre playlist de cours “Savoir s’adapter”.

Testez vos facultés d’adaptation

 

 

Testez-vous : la clé d’un apprentissage engageant

Pourquoi apprendre (ou plutôt réapprendre) une information que vous connaissez déjà ? À l’ère des réseaux sociaux et de l’ultra connectivité, on peut vite se sentir dépassés par la surcharge d’informations.

C’est pourquoi chez Coorpacademy by Go1, nos modules de cours sont conçus avec la pédagogie inversée. On vous pose une question pour vous tester, avant même de vous faire digérer l’information.

Ainsi, notre équipe pédagogique a imaginé un nouveau format pour tester vos connaissances : les Pop Quiz ! Une interro surprise pour faire le point sur ce que vous savez déjà, en 5 minutes chrono.

Chaque Pop Quiz est composé d’une série de questions. Si vous y répondez correctement, vous remportez 50 étoiles pour la complétion du cours ! Mais alors, sur quels sujets allez-vous vous tester ?

Cybersécurité : avez-vous le virus ?

Découvrez (ou redécouvrez) les bonnes pratiques à adopter en matière de cybersécurité. Mots de passe, sites suspects, et e-mails frauduleux n’auront plus aucun secret pour vous.

À l’issue de ce cours, vous serez capable de :

-Évaluer vos connaissances en matière de cybersécurité

-Muscler vos réflexes et vos bonnes pratiques en ligne

Diversité au travail : évitez les faux pas !

Vous vous demandez si vous êtes un collaborateur inclusif ? (Re)découvrez les bonnes pratiques à adopter en matière de diversité et d’inclusion. Cohabitation intergénérationnelle au travail, équipes multiculturelles ou collègues en situation de handicap, ce test pourrait susciter des questions que vous ne vous étiez peut-être jamais posées.

À l’issue de ce cours, vous serez capable de :

-Évaluer votre niveau de connaissances en matière de diversité et d’inclusion

-Adopter des pratiques inclusives au travail

-Sensibiliser vos collègues au sujet de la diversité et de l’inclusion

Optimisez vos connaissances : apprendre ou à laisser !

Les bonnes pratiques à adopter pour optimiser votre apprentissage. Savez-vous comment stimuler votre mémoire ? Renforcer votre attention ? Apprendre de vos pairs ? C’est le moment de le prouver !

À l’issue de ce cours, vous serez capable de :

-Stimuler votre mémoire

Renforcer votre attention

Apprendre de vos pairs

Record d’emploi des cadres : quel impact sur la mobilité professionnelle ?

La situation du marché du travail est exceptionnellement favorable. Cette réalité se confirme avec la publication de la dernière enquête de l’Association pour l’emploi des cadres (Apec), publiée mardi 4 avril 2023.

Selon cette enquête réalisée chaque année par l’Apec, le marché de l’emploi des cadres dans le privé se porte mieux que jamais, et ce à tous les niveaux de l’entreprise. 

 

Au total, ce sont 308.300 cadres qui ont été recrutés en 2022 en CDI (ou CDD d’au moins un an). Que faut-il retenir de ce chiffre record ? 

-C’est effectivement la première fois que la barre des 300.000 est franchie. 

-C’est aussi plus de 30.000 par rapport à ce qui avait été anticipé il y a un an de cela, en 2022. 

-C’est, enfin, plus de 10% qu’en 2019, qui marquait le dernier record. 

 

De plus, l’année 2023 s’annonce encore plus prometteuse avec les intentions d’embauches de cadres qui continuent d’être tirées surtout par le secteur des services à valeur ajoutée : informatique, ingénierie, conseil, juridique, comptabilité. 

Face à ces tendances, la “grande démission” semble bien loin… voire s’avérer être un mythe pour le cas de la France. 

 

Ce n’est pas tout. Selon l’Apec, 63.500 promotions internes ont eu lieu en 2022. Là encore, il s’agit d’un chiffre record. On peut s’en féliciter, néanmoins, cela peut aussi générer de la frustration auprès des cadres non promus dernièrement, pour lesquels on peut constater une forte volonté d’évolution au cours de leur carrière. 

 

Selon une large enquête menée par l’Institut Montaigne auprès de 5.000 actifs français (février 2023), 55% des travailleurs souhaitent évoluer vers un poste différent au sein de leur entreprise. 

En attendant, les obstacles ressentis à ce type de mobilité restent importants, avec : 

-37% des salariés qui souhaitent quitter leur entreprise dans les 2 ans ;

-22% qui déclarent avoir déjà envisagé une reconversion professionnelle, mais qui ne l’ont pas fait. 

 

Comment répondre à ce nouveau rapport à la mobilité professionnelle ? 

Les DRH doivent effectivement tenir compte de ces tendances dans leur stratégie de rétention des collaborateurs. Selon l’Institut Montaigne, seule une minorité des collaborateurs en entreprise (environ 10%) sont réellement prêts à franchir le pas de changer de secteur d’activité pour répondre à cette envie d’évolution professionnelle. 

Le fait de grandir professionnellement passe par une formation de qualité, adaptée aux besoins des métiers et des grandes transformations que traversent les entreprises. Les collaborateurs attendent de leur employeur qu’ils soient moteurs dans leur développement professionnel. Dans ce cadre, la formation digitale est un levier de fidélisation très fort pour répondre à cette demande renouvelée de la part des salariés. 

Pour en savoir plus, rencontrez nos experts dans le cadre d’une démo de nos solutions en cliquant ici.

 

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