Vous avez des collaborateurs en chômage partiel ? Découvrez le dispositif exceptionnel FNE Formation. En savoir plus

Poisson d’avril : cette année, vous ne serez pas piégés

Le 1er avril approche à grands pas, et avec lui vient la tradition du poisson d’avril.

 

Que vous décidiez de déranger le bureau de votre collègue ou de faire une farce par mail, cette journée (qui tombe un samedi, à notre plus grande déception), est la journée au cours de laquelle votre entourage tentera de vous faire des blagues. Mais cette année, vous n’allez pas vous faire avoir ! 

 

En effet, le poisson d’avril est également une occasion pour certains de diffuser des fausses informations ou de créer des canulars. Ces derniers peuvent se propager rapidement sur les réseaux sociaux, créant ainsi des malentendus ou des paniques inutiles. C’est pourquoi il est important de savoir comment déceler une fake news.

 

Alors, comment faire la différence entre une information fiable et une fake news ? Voici quelques astuces :

  1. Vérifiez vos sources : avant de diffuser une information, assurez-vous qu’elle provient d’une source fiable et crédible. Évitez les sites douteux, les blogs sans autorité, et les publications qui ne citent pas leurs sources.
  2. Faites preuve de bon sens : si une information vous paraît trop belle pour être vraie, c’est probablement le cas. Utilisez votre bon sens pour évaluer les informations qui vous sont présentées.
  3. Utilisez les outils à votre disposition : les outils en ligne comme Google ou Snopes peuvent vous aider à vérifier la véracité d’une information. Il existe également des sites spécialisés dans la vérification des faits, comme FactCheck.org.

 

En résumé, le poisson d’avril est une journée amusante où il ne faut pas hésiter à faire preuve de créativité pour amuser la galerie. Cependant, il est important de ne pas tomber dans la désinformation en ligne. Méfiez-vous des informations que vous recevez et prenez le temps de vérifier leur véracité avant de les partager. Ne soyez pas une victime de la désinformation en ligne !

 

Pour aller plus loin, faites une demande de démo et formez-vous gratuitement avec le cours “S’informer à l’ère de la désinformation” : 

S’informer à l’ère de la désinformation

 

 

Le trio gagnant du développement durable en entreprise : social, économique et environnemental

 

Cet article reprend et s’inspire de nombreux éléments d’un article de Courtney Norton, Content Writer, Go1 (retrouvez-en la version originale ici).

 

Le capitalisme financier, hérité des années 1970, touche aujourd’hui ses limites. Il ne prend pas suffisamment en compte ses externalités négatives : dégradation des écosystèmes, destruction de la biodiversité et réchauffement climatique. Pour retrouver le chemin d’une croissance durable et soutenable, les entreprises ont un rôle clé à jouer, pour doter notre système économique de nouvelles règles du jeu. 

 

Le dernier rapport d’évaluation du GIEC, publié le 20 mars, en souligne l’urgence. Il rappelle que les émissions de gaz à effet de serre dues aux activités humaines ont réchauffé le climat à un rythme sans précédent : la température de la surface du globe s’est élevée de 1,1 degré par rapport à la période pré-industrielle. Selon le rapport, quels que soient nos efforts actuels, le GIEC estime que le réchauffement de la planète atteindra 1,5 °C dès le début des années 2030.

 

Cependant, il est encore possible de limiter ce réchauffement à 2 °C, à la condition d’agir sans plus attendre pour prévenir les effets de ce réchauffement après 2030 afin de :

ramener les émissions mondiales nettes de CO2 à zéro ;

réduire fortement les autres émissions de gaz à effet de serre.

 

Attention néanmoins : agir en faveur d’un développement plus durable ne se cantonne absolument pas à planter des arbres. On vous explique. 

 

Plongeons dans l’univers du développement durable en entreprise et examinons quelques-unes des formes qu’il peut prendre. Nous proposerons également des mesures concrètes que les entreprises peuvent prendre pour améliorer la durabilité. Enfin, nous tenterons de répondre à la question : pourquoi se préoccuper du développement durable dans les entreprises ?

 

Durabilité sociale

La durabilité sociale est souvent écartée au profit d’autres types d’initiatives de durabilité jugées « plus importantes ». En réalité, elle joue un rôle clé dans la sécurité et le bien-être des collaborateurs sur le lieu de travail. Elle est tout aussi importante que la durabilité environnementale et économique.

 

La question est la suivante : comment pouvons-nous faire monter la durabilité sociale dans l’échelle des priorités afin qu’elle occupe la place qui lui revient à côté de la durabilité environnementale et économique ?  

 

Comme souvent, la réponse réside dans l’éducation. 

 

Les ressources d’apprentissage disponibles ne se limitent pas aux formations axées sur la conformité. Bon nombre de plateformes de formation proposent des cours qui permettent à tous les membres de l’entreprise d’apprendre comment ils peuvent être plus durables sur le plan social.

 

Ces formations peuvent les aider à répondre à des questions telles que :

Que pouvons-nous faire pour améliorer la sécurité psychologique sur le lieu de travail ? 

Comment faire en sorte que chacun se sente représenté et écouté au sein de l’entreprise ? 

Comment la durabilité sociale peut-elle impacter positivement l’image de l’entreprise auprès du public ?

 

Durabilité environnementale

À moins que vous ne viviez coupé du monde, nous ne vous apprendrons pas que la durabilité environnementale est un sujet brûlant, pour les entreprises comme pour l’ensemble de la société.

Il va de soi que les entreprises ont des capacités différentes et des responsabilités en ce qui concerne la manière dont elles peuvent impacter la transformation durable. Toutefois, l’essentiel est que les entreprises fassent un effort important, tourné vers l’impact. C’est ce qu’en attendent les employés et les consommateurs.

La pression croissante exercée sur les entreprises pour qu’elles fassent la preuve de leur engagement écologique n’est pas qu’une simple rumeur destinée à les culpabiliser. En 2022, les jeunes diplômés des écoles les plus prestigieuses (AgroParisTech, HEC, ESSEC…) appelaient leurs camarades à déserter les entreprises qui ne s’engagent pas sur le sujet climatique, en distinguant bien l’engagement par de vraies mesures et le greenwashing. 

 

Une étude de  Korn Ferry sur l’engagement des employés en 2018 explique que cet engagement est bénéfique pour l’entreprise pour attirer et fidéliser les talents. Pour 55 % des collaborateurs, l’engagement social ou environnemental d’une entreprise est un critère plus important que le salaire, quels que soient l’âge, la profession ou le domaine d’activité. Cette même étude rapporte que pour les collaborateurs les plus jeunes, cette proportion s’élève à 76 % .

Voici quelques leviers dont les entreprises peuvent se saisir pour s’engager en faveur de la durabilité environnementale : 

Étudier le type d’énergie utilisé pour fabriquer les produits. S’ils sont fabriqués à partir de charbon, est-il possible de passer à une source d’énergie plus durable, comme l’énergie solaire ou éolienne ?

Pour les documents que vous imprimez habituellement sur papier, essayez de les conserver sous forme de fichier numérique. De nombreux programmes permettent de surligner les documents ou d’y ajouter des notes sous forme numérique, ce qui évite d’avoir à les imprimer. Vous seriez surpris de voir à quelle vitesse une ou deux feuilles de papier s’additionnent à des milliers de feuilles dans une entreprise !

Pour chaque poubelle que vous avez au bureau, prévoyez également une poubelle pour le recyclage. Vous constaterez que le simple fait d’avoir la possibilité de recycler signifie que beaucoup moins de choses seront jetées à la poubelle. Il s’agit d’un petit investissement financier à court terme pour un gain environnemental à long terme.

 

Durabilité économique

Le maintien de la viabilité économique d’une entreprise consiste en grande partie à trouver le juste milieu entre la réduction des dépenses inutiles et l’investissement dans des projets favorisant la croissance financière à long terme de l’entreprise.

 

Pour déterminer à quoi peut ressembler une bonne stabilité économique pour une entreprise donnée, il est préférable de prendre contact avec un conseiller financier ou un professionnel équivalent. Les entreprises pourront ainsi se faire une idée précise des mesures spécifiques qu’elles peuvent prendre pour accroître et maintenir leur viabilité économique sur le long terme, tout en assurant la durabilité sociale et environnementale. 

 

Pourquoi se préoccuper du développement durable dans les entreprises ?

Vous pensez peut-être que le développement durable est plus une « bonne chose » qu’une « nécessité » pour votre entreprise. Après tout, la priorité ne devrait-elle pas être la croissance financière et la création d’une équipe de collaborateurs hors pair ? En réalité, le développement durable va de pair avec ces deux éléments.

 

Si les durabilités environnementale, sociale et économique portent des fonctions commerciales distinctes, elles forment quand même un tout. Si les trois sont présentes, l’équilibre tient. Dès que l’une d’entre elles est retirée ou mal organisée, le château de cartes risque de s’effondrer.

 

Cela ne veut pas dire que le fait de ne pas se concentrer sur l’un de ces types de durabilité entraînera l’effondrement total de l’entreprise (il en faut généralement plus). Toutefois, si, par exemple, la durabilité environnementale est négligée, les durabilités sociale et économique d’une entreprise risquent d’en pâtir également.

 

Pour aller plus loin, découvrez le MOOC du C3D “Comprendre la crise écologique pour réinventer l’entreprise” disponible sur les plateformes Coorpacademy by Go1 ou en ligne,  réalisé en partenariat avec 6 réseaux reconnus sur ces sujets : l’ADEME, le Collectif Génération Responsable, le Comité 21, le MEDEF, l’ORSE et le UN Global Compact France.

5 bonnes nouvelles avec l’arrivée du printemps

 

Vous n’avez pas pu le rater… Il est passé à 13h19, en pleine pause déjeuner. Il a enveloppé tout votre corps d’une étreinte chaude et cela à réchauffé votre coeur en un instant. Depuis, vous ne pensez qu’à lui. Vous n’avez qu’une hâte, finir la journée pour aller le retrouver. Ce fameux rayon de soleil annonciateur du printemps. 

 

“Mais il n’y a plus de saisons”, certes (et si ici le sujet n’est pas l’urgence climatique, vous pouvez retrouver notre article “Le développement durable, une priorité pour les entreprises” pour approfondir le sujet) mais le printemps, ce sont les premiers bourgeons, les retours des couchers de soleil en entendant les oiseaux – où les terrasses pour les Parisiens, autre type d’oiseaux migrateurs –  bref, c’est une période de renouveau et de rafraîchissement. C’est le moment idéal pour prendre soin de soi et mettre en place de nouvelles habitudes qui vous donneront de l’énergie pour les mois à venir.

Voici donc 5 choses que vous pouvez refaire à l’arrivée du printemps :

  1. Nettoyer votre maison : Le fameux ménage de printemps ! Cette expression tire son origine du monde agricole, où, après l’hiver, il était nécessaire de vider caves et greniers pour faire la place aux nouvelles récoltes des saisons à venir. Ainsi, c’est le moment idéal pour faire un grand nettoyage de votre maison. Rangez, nettoyez et débarrassez-vous de tout ce qui encombre votre espace de vie. Cela vous permettra de vous sentir plus organisés et plus productifs. En effet, il a été prouvé que le cerveau fonctionne mieux dans un environnement ordonné.
  2. Prenez le vélo : Le retour des beaux jours vous permettra d’échapper aux problèmes de transports. Si vous avez la possibilité de vous rendre à votre lieu de travail en vélo, on vous recommande vivement de vous y mettre au printemps !
  3. Faire de l’exercice à l’extérieur : Avec les températures plus douces, le printemps est le moment idéal pour faire de l’exercice à l’extérieur. Que ce soit pour faire du jogging, du vélo ou simplement marcher, profitez du temps agréable pour sortir et vous dépenser.
  4. Tombez amoureux : Le printemps est connu pour être la saison des amours. Alors aimez ! Vous-mêmes, vos amis, votre famille. Faites de la place pour prendre soin de vos relations.
  5. Apprendre de nouvelles compétences : Le printemps est le moment idéal pour apprendre de nouvelles compétences, que ce soit pour progresser dans votre carrière ou pour votre propre plaisir. C’est une période idéale pour suivre des cours en ligne afin d’apprendre quelque chose de nouveau et stimuler votre cerveau.

 

En conclusion, le printemps est une saison pleine de possibilités et d’opportunités ! 

 

Apprendre à vous taire pourrait changer votre vie.

 

Apprendre à vous taire pourrait changer votre vie. Ce conseil a priori avisé nous provient du Time Magazine, et on vous renvoie vers l’une des récentes unes de ce média britannique qui ne passe pas par quatre chemins pour transmettre son message : “zip it !” 

Zipt it, c’est “fermez-la” en français : on vous l’accorde, c’est un peu brutal, mais qui n’a pas déjà eu l’envie d’en donner l’ordre dans l’open space ? 

 

 

Sonneries de téléphone, conversations animées, claviers d’ordinateurs… L’open space est un lieu propice aux nuisances sonores qui n’aident pas à la concentration. Avouons-le, aussi antipathique qu’il puisse paraître, nous avons tous déjà été à deux doigts de nous transformer en Michael Scott, notre personnage favori de la série The Office. 

 

Ceci étant dit, finalement, que ferions-nous sans tous ces “Talkaholics”, ces collègues accros à leur débit de parole élevé mais qui à eux seuls mettent assez d’ambiance pour faire oublier la morosité de nos lundis ? 

 

De toute façon, la réalité, finalement, c’est qu’on l’est un peu tous – trop bavards et pas assez à l’écoute – chaque collaborateur, qu’on soit extraverti, qu’on soit introverti. Il n’y a pas de différence. 

 

Alors si on la fermait un peu plus ? 

C’est l’idée de l’ouvrage d’un auteur américain, Daniel Lyons, dont les bonnes feuilles sont publiées dans ce numéro du Time Magazine. Le titre du livre : “Shut the fuck up” est assez direct mais le sous-titre permet d’en contextualiser le thème : “le pouvoir de garder votre bouche fermée dans un monde toujours plus bruyant”. 

Parce que c’est en cultivant la rareté de nos prises de parole qu’on aura l’air bien plus intelligent. Comme le disait Orelsan, “apprends à la fermer, t’auras l’air mystérieux” ou encore dans un registre différent, Raymond Devos, “si on parle pour ne rien dire, de quoi allons-nous parler ?”

 

Et bien, nous allons parler d’écoute active. Car si se taire est une chose, comment s’assurer qu’on nous écoute vraiment attentivement ?  

 

Shut up and listen. L’écoute, en effet, se trouve au cœur de la relation humaine. Combien de fois avez-vous échangé avec une autre personne sans véritablement écouter les questions ou les réponses, et ouvert ainsi la porte à des maladresses ? 

 

Notre cours “Améliorer son écoute” co-édité avec les Éditions Eyrolles explore le concept de l’écoute active afin de vous apprendre à tendre l’oreille. 

 

3 conseils pour mieux écouter

Pratiquer l’écoute dite “active” consiste à concentrer pleinement son attention sur l’autre, pour s’assurer que l’on comprend pleinement ce qu’il dit. C’est une excellente manière d’échanger. La base, vous direz. Basique, simple. 

 

La bonne nouvelle, c’est qu’en la fermant, vous avez déjà complété la première étape de l’écoute active. N’oubliez pas également de taire la petite voix intérieure qui résonne parfois en vous lorsque vous échangez avec autrui.  

 

Reformulez les propos de votre interlocuteur ! C’est-à-dire en exprimant avec vos propres termes ce que vous avez compris des propos de l’autre, jusqu’à ce que votre interlocuteur valide votre reformulation parce qu’elle traduit fidèlement son message. Il s’agit donc de clarifier son propos. 

 

 

Enfin, mettez vos biais cognitifs à distance. Pour bien écouter, évitez que les indicateurs renvoyés par votre interlocuteur soient pollués par vos projections ou croyances personnelles. Faites confiance à votre intuition, mais faites attention à ne pas prêter à l’autre des sentiments ou des arrière-pensées qui sont en réalité les vôtres. 

 

Bref, on en a assez dit ! On la ferme désormais. 

Forvia : plus de 50 millions de questions répondues par les apprenants du Learning Lab

Le 3 février 2023, les équipes L&D de Forvia étaient présentes chez Coorpacademy by Go1 pour échanger sur les bonnes pratiques du Digital Learning et pour célébrer le cap franchi des 50 millions de questions répondues sur leur Learning Lab !

Cela représente au total 1,7 millions d’heures de Digital Learning sur des thématiques aussi diverses que le management et le leadership ainsi que sur les transformations digitales et durables, depuis le lancement du Learning Lab en 2016.

Avec plus de 100.000 apprenants connectés, le Learning Lab est devenu l’outil de référence pour la formation au quotidien au sein du groupe Forvia, pour les aider à fidéliser les talents et faire monter en compétences les différentes équipes.

Pour en savoir plus, regardez ci-dessous la vidéo et la publication sur LinkedIn de Jean-Pierre Sounillac, DRH de Forvia.


Se montrer busy : la règle d’or pour avoir une bonne image au travail ?

 

Attention à ne pas confondre le trop-plein d’activités avec de la productivité. On vous explique, grâce à cet article tiré de la Harvard Business Review. 

« Je suis sous l’eau », « je peux pas je suis dans le jus », « désolé mais je suis charrette » : nous avons tous déjà utilisé ou entendu l’une de ces expressions au travail (souvent à juste titre !). Mais depuis peu, il semblerait que la pression au travail à se montrer toujours surchargés soit devenue de plus en plus forte. Une étude de Gallup réalisée par Ashley Whillans, de la Harvard Business School, a révélé que le pourcentage de salariés américains déclarant n’avoir « jamais assez de temps » est passé de 70 % en 2011 à 80 % en 2018.

 

Au travail, cette pression peut se traduire par la nécessité de se montrer « busy » pour être perçu comme important, mais aussi comme productif. Dans cet article, nous allons analyser les effets négatifs que peuvent générer la culture de “la charrette” et la différence entre être productif et se montrer « busy ». 

 

Trop, c’est trop

L’article de la Harvard Business Review explique que la surcharge de travail peut entraîner des effets négatifs importants. Les travailleurs qui sont constamment débordés peuvent souffrir de stress, de burn-out, d’erreurs, de baisse de productivité et de mauvaise qualité de vie. Bien que la culture de la surcharge de travail soit souvent considérée comme productive, elle peut en réalité entraîner des coûts élevés en termes de santé mentale et physique des travailleurs. Des coûts qui se répercutent ensuite sur la performance de l’entreprise. 

 

Less is more

Être constamment occupé n’est pas gage de productivité réelle. Les collaborateurs qui se montrent productifs sont la plupart du temps organisés, savent prioriser les tâches importantes et sont efficaces dans leur travail. En revanche, se dire “sous l’eau” peut être motivé par la peur du jugement des collègues, l’effet de groupe (sous l’eau mais dans le même bateau), le besoin de reconnaissance ou encore l’incapacité à gérer son temps. Il est important de faire la distinction entre la productivité réelle et celle qui est imaginée : où le temps est rempli mais les tâches n’aboutissent pas de façon optimale…

 

Mieux gérer son temps, une compétence clé 

Comme manager pour ses équipes, ou pour soi-même, il est toujours utile de revoir ses notions afin d’améliorer en continu sa gestion du temps ! Avec à la clé : plus de productivité pendant les heures de travail, et donc plus de temps pour soi. 

Dans le cadre professionnel, avoir du temps est une chose, le gérer en est une autre. Mais alors, comment bien gérer son temps au travail pour être efficace ? C’est le sujet traité par le cours co-édité avec Dunod Formation et disponible dans notre bibliothèque de contenus. Composé de deux chapitres, ce cours est idéal pour apprendre à mieux gérer votre temps au travail et identifier vos priorités. 

 

3 points clés à retenir 

La loi de Pareto 

La loi de Pareto établit que 20 % de nos actions produisent 80 % de nos résultats. Nous perdons ainsi beaucoup de temps avec des tâches peu productives, qui apportent peu de valeur ajoutée à notre travail.

Cette loi ne s’applique pas uniquement à nos actions et résultats : elle établit par exemple aussi que 20 % des clients contribuent à 80 % du chiffre d’affaires, ou encore que 20 % des causes permettent de résoudre 80 % d’un problème.

 

Pour appliquer la loi de Pareto, acceptez de renoncer à certaines tâches, éventuellement en les confiant à d’autres personnes, et de réduire le temps consacré à d’autres. Vous pourrez ainsi vous focaliser sur les tâches plus productives.

Attention, si vous choisissez de renoncer à certaines tâches, pensez à bien communiquer auprès de vos collègues, pour bien clarifier la situation : vous éviterez ainsi d’être sollicité à mauvais escient.

 

La matrice Eisenhower 

Pour bien gérer votre temps, la matrice d’Eisenhower propose de trier les tâches en fonction de leur degré d’urgence et d’importance, et d’ainsi définir pour chacun l’action à entreprendre : par exemple, traiter vous-même et dans l’immédiat une tâche urgente et importante, mais déléguer une tâche urgente non importante.

Attention, ne vous laissez pas envahir par les tâches urgentes : pensez à bien réserver du temps à vos tâches importantes et non urgentes. Au risque de finir par devoir les bâcler dans l’urgence…

 

La règle d’or

Restez concentré sur l’essentiel ! Pour cela, vous devrez apprendre à tempérer votre perfectionnisme. Acceptez aussi de ne pas pouvoir toujours être exhaustif. Et n’hésitez pas à déléguer ! Pour plus d’efficacité, fixez une limite de temps pour chaque tâche. Cela vous contraindra par exemple à ne vous relire qu’une seule fois et pas trois…

7 considérations sur l’importance de former aux soft skills

Les soft skills montent en puissance, la formation qui en permet le développement aussi. Elles répondent aux nouvelles exigences qui ont émergé dans le monde du travail, notamment sous l’impact de l’automatisation des tâches. Coorpacademy by go1 accompagne cette vaste transformation en cours.

 

#1 Les formations aux soft skills sont toujours plus demandées dans les entreprises

Les soft skills sont des compétences de plus en plus poussées par les responsables formation. Au premier rang, la communication interpersonnelle boostée par l’expansion du télétravail qui exige des collaborateurs de mieux véhiculer leurs idées et d’être plus transparents sur l’avancée de leurs missions. Bien communiquer étant aussi une capacité clé du bon leader, la formation permet aux managers de progresser : capacité d’écoute, collaboration ou pensée critique sont aussi très demandées. Ces compétences ne sont pas réservées aux managers : l’agilité, l’adaptabilité et la résilience sont parmi les cours les plus joués du catalogue premium Coorpacademy, elles sont demandées par la plupart des apprenants.

 

#2 Les soft skills gagnent en importance dans le monde du travail

La considération pour les soft skills ne date pas d’hier (confère la parution, dès 2016, du premier rapport du WEF sur l’avenir des métiers). Cependant, l’accélération est nette depuis la pandémie de Covid-19 et la réorganisation — télétravail, mise en place de flex-offices… — qui s’est ensuivie. L’IA (ChatGPT, Dall-e…) vient à son tour bousculer les métiers et les « hard skills » dont le taux d’obsolescence s’accroît, alors que les robots commencent à menacer les emplois. Le savoir-être des collaborateurs prime dans ce contexte, notamment leur intelligence des situations et leur capacité à collaborer. Un marché du travail en tension – 7 métiers sur 10 en tension, selon la Dares — parachève ce constat. L’attractivité d’une entreprise, spécialement pour les plus jeunes actifs, dépend de la place qu’elle fait à l’humain, aux valeurs, au sens, et par voie de conséquences, au développement des soft skills. Beaucoup d’entreprises l’ont compris : accompagner leurs collaborateurs dans leur montée en « compétences douces » est un facteur différenciant !

 

#3 Les soft skills sont pour tous !

Les soft skills couvrent un large territoire, outre la communication ou l’intelligence émotionnelle, bien sûr : le design thinking, l’équité, l’inclusion et la diversité font l’objet d’une forte demande de l’ensemble des collaborateurs. Développer massivement les soft skills, c’est faciliter l’émergence d’une culture commune, faite de respect de l’autre, qui essentielle à la cohésion entre les équipes ; même si certaines de ces compétences concernent plus particulièrement les managers : le leadership par exemple. La pratique du management et de l’animation / cohésion d’équipe s’apprennent à l’expérience, mais largement aussi en s’y formant ; c’est pourquoi il est essentiel d’accompagner les managers, pour en faire de réels acteurs de la conduite du changement et de la transformation des groupes.

 

#4 Les soft skills conditionnent l’employabilité de chacun

Les soft skills sont moins faciles à exhiber que les « hard skills » sur un CV ou lors d’évaluations annuelles ! Pourtant, elles font la différence dans un entretien d’embauche ou dans la phase d’onboarding, puis dans le travail au quotidien, par exemple, dans les missions et les projets qui exigent une collaboration. Nous l’avons déjà mentionné en filigrane : les soft skills sont pérennes, au contraire d’une partie des hard skills que nous disputerons les automates et les algorithmes ; on peut être assuré que les soft skills seront plus valorisées par les recruteurs. S’il vaut mieux raisonner comme certains (par exemple, le WEF) en diptyque « compétences durables vs. compétences périssables », alors les soft skills ont l’avantage d’être transférables d’un secteur à l’autre et de rester pertinentes toute la vie.

 

#5 Dans le choix d’un manager, l’entreprise privilégie les soft skills plutôt que les compétences techniques

Les deux — soft skills, hard skills — entrent dans la balance au moment de choisir un manager ; elles ne s’opposent pas. Une entreprise ne saurait pas se contenter de l’une (la capacité d’un candidat à prendre la parole en public, par exemple) ou de l’autre (sa connaissance des modes de réglage de systèmes essentiels à la bonne tenue d’une usine). Par ailleurs, la fidélisation des collaborateurs passe souvent par les perpectives de mobilité qui leur sont offertes, ce qui peut déboucher sur la promotion, du jour au lendemain, des meilleurs techniciens à des postes de manager qui devront alors être formés aux soft skills (lesquelles ne se devinent pas). Un parcours personnalisé permet au manager d’autoévaluer les soft skills qu’il possède déjà, parfois sans le savoir, puis de se voir recommander une formation sur mesure. L’apprentissage du leadership, dès le premier poste managérial, est le point de départ crucial pour se développer comme manager.

 

#6 Profil d’un dispositif de formation pour développer massivement et continûment les soft skills

Un tel dispositif de formation doit aisément s’insérer dans le flux de travail, et donc être accessible à tout moment sur les outils du quotidien. L’expérience vécue par les apprenants dans la solution Coorpacademy by Go1 est la plus fluide et la plus agréable possible, grâce à des contenus de qualité et des formats adaptés aux diverses thématiques ; par exemple, les collaborateurs pourront travailler leur sens critique avec un jeu : un Cluedo. L’individualisation doit aussi être au rendez-vous via l’auto-diagnostic et la recommandation d’un parcours 100 % personnalisé déjà évoqué. Le catalogue premium Coorpacademy permettra aux apprenants de s’ouvrir aux transformations du monde et de renforcer leur culture générale, partie intégrante des soft skills. Ces cours sont conçus par Coorpacademy by go1 ou par nos 80+ partenaires qui sont des majors de l’édition (Dunod, Eyrolles, Fabernovel, Forbes ou Video Arts…) ; le plus grand choix de sujets est disponible : technologie, big data, économie, transition environnementale…

 

#7 Coorpacademy by Go1 : un leader de ce marché en plein boom

Coorpacademy by go1 répond à tous les besoins en soft skills de ses clients, grâce à la plus riche bibliothèque de formations du marché, dans une logique de co-construction / co-curation des contenus accompagnée par nos équipes de Customer Success. Cet accompagnement des entreprises au jour le jour, nourri par les data comportementales des apprenants recueillies sur notre plateforme, explique leur haut niveau d’engagement : nos solutions de formation en ligne les convainquent aussi par la pertinence des sujets proposés dans leur montée en compétences. L’adaptation de nos modules et de leurs parcours de formation, ainsi que le choix des meilleures modalités pédagogiques pour mémoriser les connaissances, sont renforcés par le partenariat privilégié avec les chercheurs de l’EPFL, spécialisés dans les sciences comportementales. À quoi l’on ajoutera l’importance considérable que nous attachons à l’expérience finale de l’utilisateur, sous la forme notamment de formats ludiques qui permettent d’ancrer plus durablement les savoirs.

Journée internationale des femmes 2023 : Coorpacademy by Go1 prend la parole en faveur d’un monde digital plus inclusif !

 

Cette année, la journée internationale des femmes se déroule sous le thème de l’innovation et des technologies pour l’égalité des sexes (ONU). Chez Coorpacademy by Go1, promouvoir l’accès à la la technologie et à l’éducation numérique est au cœur de notre mission. 

Le 8 mars, plusieurs membres de notre équipe se mobilisent en vidéo pour un monde digital plus inclusif ! Mais pourquoi est-ce important ? Regardons les chiffres de plus près… 

 

Le manque d’inclusion dans le numérique a des répercussions insoupçonnées. En incluant plus de femmes et d’autres groupes marginalisés dans le secteur des technologies, on favorise l’innovation et la prise en compte de plus d’utilisateurs dans la conception de ces solutions ! Ce qui a un impact direct sur l’économie et la compétitivité du pays, mais aussi des groupes marginalisés en question. 

 

Il est urgent de lutter pour un monde digital plus inclusif. Aujourd’hui, en France, seulement 13 % des métiers techniques sont occupés par des femmes et à peine 10 % des entreprises de la Tech sont dirigées par des femmes. 

Pour lutter efficacement, il existe de nombreuses solutions de formation pour accompagner les femmes, de tous les âges, dans leur montée en compétences mais également pour sensibiliser l’ensemble des collaborateurs des entreprises à l’inclusion des groupes marginalisés. Cela passe par la déconstruction des idées reçues, par la mise en place de programmes d’accompagnement, par des ateliers de sensibilisation, etc. Les solutions proposées sont variées, aussi variées que les racines de ce problème. 

En effet, si nous avons tous un rôle à jouer en entreprise pour encourager la diversité et l’inclusion, le point de départ évident est d’encourager les filles et les jeunes femmes à s’orienter vers ces métiers. 

Enfin, il est important de lutter pour un monde digital plus inclusif en sensibilisant au cyberharcèlement. En 2022, 65 % des Françaises de moins de 35 ans auraient vécu au moins une situation de cyberviolence au cours de leur vie (Ipsos). Malgré que de nombreuses lois protègent du cyberharcèlement et des raids numériques, « ces dispositifs juridiques ne fonctionnent pas sans éducation à l’utilisation des réseaux sociaux et au consentement », souligne Carlotta Gradin, Vice-Présidente plaidoyer d’ONU Femmes France.

Pour le 8 mars, transmettez le message autour de vous pour promouvoir les femmes dans la Tech et poussez pour un monde digital toujours plus inclusif ! Téléchargez notre kit de com en cliquant ici.

Vidéo interactive : le nouveau format incontournable pour engager vos apprenants ! 

L’efficacité du format vidéo dans le secteur de la formation en ligne n’est plus à démontrer. Cependant, à mesure que les habitudes de consommation de contenus en ligne évoluent, de nouveaux outils pour maintenir l’attention des apprenants se développent. 

Afin de booster l’engagement de nos apprenants, Coorpacademy by Go1 adopte un nouveau mode d’apprentissage, la vidéo interactive ! Grâce à K.Air, un outil Kumullus, la vidéo devient un support interactif dans lequel vous pourrez capter l’attention de vos collaborateurs et améliorer la performance de vos formations.

Fiction, formation : le meilleur des deux mondes

Vous avez adoré l’épisode intéractif de Black Mirror “Bandersnatch” ? Ou plutôt jouer les aventuriers en incarnant le héros de You vs Wild sur Netflix ? Vous connaissez déjà la vidéo interactive !

Si la célèbre plateforme de streaming place désormais les contenus interactifs au cœur de sa stratégie, c’est qu’elle a bien compris que ce format ludique permet d’éveiller la curiosité des téléspectateurs et de leur donner envie de prolonger le temps passé sur la plateforme.

Déjà inspiré par ces nouveaux formats d’apprentissage, Coorpacademy by Go1 lançait il y a 3 ans la série pédagogique interactive Suspects. L’apprenant se trouve dans la peau d’Alice Postel, spécialiste en analyse comportementale, et conseille dans l’ombre le jeune détective Carl Sanchez pour l’aider à mener son interrogatoire face à différents suspects. Le but étant bien sûr d’user de ses soft skills pour trouver le ou les coupable(s) au bout du troisième et dernier épisode.

 

Quelques chiffres

Face à la multitude de contenus disponibles sur les réseaux sociaux, les utilisateurs sont de plus en plus passifs. Perte de concentration et mauvaise rétention de l’information sont des conséquences de cette inactivité, notamment dans le domaine de l’apprentissage.

Selon Kumullus, face à une vidéo d’apprentissage, notre attention baisse significativement dès 2 minutes et elle ne dépasse pas les 10 secondes pour un message publicitaire en vidéo !

Une étude menée par Kumullus montre également que l’engagement des audiences est multiplié par 4 avec la vidéo interactive (*)

(*) étude menée auprès de +1,2 millions de personnes sur une campagne d’engagement client en assurances

Comment ça marche ? 

Grâce à l’outil K.Air, il est possible d’ajouter des interactions directement dans la vidéo de cours. Ces interactions peuvent prendre différentes formes : quiz et activités pédagogiques, médias de toutes sortes, documents à télécharger, ou infos supplémentaires.

Lorsque l’apprenant est en train de visionner sa vidéo de cours, il pourra voir dans la barre de lecture les interactions à venir.

Une fois que l’apprenant arrive au niveau d’une interaction, celle-ci s’ouvre sous forme de fenêtre pop-up pour dévoiler son contenu. Ci-dessus, un exemple de question à choix multiples.

Lors de la vidéo, l’apprenant peut également voir apparaître sur l’écran de lecture une icône telle que celle ci-dessus. C’est une information supplémentaire sous forme de “Le saviez-vous ?”. Si l’apprenant ne clique pas dessus, celle-ci ne s’ouvre pas automatiquement. Cela pousse davantage l’apprenant à être attentif et actif dans sa formation !

 

N’attendez plus et testez dès à présent ce nouveau format sur deux cours disponibles au catalogue :

Maîtrisez l’art de la présentation” co-édité avec Video Arts

Feed-back : mode d’emploi” par Coorpacademy

 

Voir l'étude de cas