Vous avez des collaborateurs en chômage partiel ? Découvrez le dispositif exceptionnel FNE Formation. En savoir plus

3 key points to remember from our conference on the Future of Digital Learning

At the Geneva HR Show, Jean-Marc Tassetto spoke on the Future of Digital Learning: Building premium training programs for the hybrid workplace!

Here are 3 key points to remember from this conference 👇

 

  • Training adapts to the needs of hybrid work

As work takes on more and more hybrid forms, training is adapting to meet new business needs.

  • Companies are facing increasing challenges in terms of inclusion and diversity

In order to lead organizations towards good practices in inclusion and diversity, training is essential as it allows all employees to become aware of these issues.

  • Training must be at the heart of a company’s retention plan to keep talent

94% of employees would be willing to stay with a given company if it invested more in professional development.

Pour quoi travailler si ce n’est pas pour le salaire ? 7 facteurs de motivation au-delà de la rémunération

 

La culture d’entreprise, la progression de carrière, l’éthique ou encore la flexibilité sont autant de facteurs d’importance pour les salariés, qu’ils placent au même niveau  que la question du salaire – voire plus ! Comment motiver vos collaborateurs dans ce contexte, au-delà de l’aspect de la rémunération ? 

Un article rédigé par Dom Murray, content writer de Go1, retrouvez sa version originale ici.

On dit que dans le monde, tout est affaire d’argent. Nous en connaissons tous les expressions, tant on parle souvent d’argent dans la vie. Le temps, c’est de l’argent. L’argent n’a pas d’odeur. L’argent est la racine de tous les maux. Mais surtout : l’argent ne fait pas le bonheur. 

Alors qu’autrefois, le salaire était le principal facteur de motivation dans la recherche d’emploi, aujourd’hui, il n’est plus qu’une considération parmi d’autres.

L’époque où l’on occupait le même poste pendant 40 ans est révolue. Dans un environnement professionnel hautement compétitif, les attentes en matière d’avantages sociaux, de développement professionnel, de progression de carrière et d’apprentissage sur le lieu de travail ont considérablement évolué. Aujourd’hui, de nombreux employés affirment que des facteurs tels que la culture d’entreprise, la progression de carrière, l’éthique, les valeurs, la flexibilité et les avantages sociaux sont aussi importants que le salaire, si ce n’est plus. 

Posons-nous alors la question : si nous ne travaillons pas pour un salaire, alors pour quoi ? Comment motiver les employés ? Nous commencerons par nous demander si le salaire a toujours de l’importance (indice : oui), avant d’explorer sept façons de motiver les employés au-delà du salaire. 

 

Le salaire a-t-il encore de l’importance ? 

En bref, oui. Le salaire compte toujours pour beaucoup. Rares seront ceux qui refuseront une augmentation de salaire. La différence, c’est que le salaire n’est plus l’alpha et l’oméga des avantages sociaux tel qu’il l’était autrefois. Il s’agit plutôt d’un élément parmi d’autres. 

Prenons cette hypothèse : un travailleur hésite entre deux offres d’emploi. L’une est rémunérée à hauteur de 80 000 dollars, l’autre à 90 000 dollars. Le hic ? L’employeur qui propose la meilleure rémunération a récemment fait l’objet d’un scandale en raison de son impact négatif sur l’environnement. Il y a également des rumeurs sur l’équilibre entre vie professionnelle et vie privée non respecté au sein de l’entreprise. À l’inverse, l’autre employeur est connu pour ses valeurs et sa culture d’accueil. Alors qu’auparavant, le salaire était peut-être l’unique facteur à prendre en compte là où le reste faisait l’objet d’une réflexion après coup, ce sont désormais des choix conscients que de nombreux employés font lorsqu’ils cherchent un nouvel emploi. 

Pour corroborer ce point, une étude de l’université de Princeton examine la corrélation entre le salaire et le bonheur. Les chercheurs ont constaté que « le fait d’avoir un revenu plus élevé augmente le bonheur, mais seulement jusqu’à un certain montant – environ 75 000 dollars par an. Au-delà, un salaire plus élevé n’influence plus autant le bonheur, et d’autres facteurs prennent le dessus. »

 

Par exemple, selon des études internationales, 56 % des collaborateurs déclarent que l’évolution et les opportunités de progression de carrière sont plus importantes que le salaire, tandis que 42 % préféreraient travailler à domicile plutôt que de recevoir une augmentation de salaire. Il y a 40 ans, ces statistiques seraient impensables. Mais de nos jours, les collaborateurs prennent en compte d’autres facteurs, ce qui témoigne d’une plus grande conscience sociale et d’une aspiration à un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie privée. 

Cela ne signifie pas pour autant que la rémunération n’est plus importante. Elle le reste. Mais elle n’est pas toujours le facteur le plus vital pour les employés. Pour souligner à nouveau la primauté du salaire, en 2021, 43 % des personnes ayant quitté leur emploi ont cité « un meilleur salaire » comme principale raison de changer d’emploi, ce qui en fait la réponse la plus courante devant la progression de carrière (32 %) et la possibilité de travailler de n’importe où (31 %). De plus, Pew a constaté que la moitié des personnes ayant changé d’emploi en 2021 ont vu leur salaire augmenter de 9,7 %, ce qui prouve que le salaire reste une motivation importante.

Il n’est donc pas exact d’affirmer que le salaire est devenu moins important pour les employés, mais plutôt que d’autres avantages sont devenus plus importants. Ce point mérite d’être souligné : ces statistiques ne signifient pas que les employeurs peuvent s’en tirer en payant moins leurs employés s’ils offrent d’autres avantages. Le salaire reste de plus haute importance. Cela signifie plutôt que les entreprises doivent consentir d’autres avantages en sus, tels que la progression de carrière, la diversité et l’inclusion, la culture et la flexibilité, ainsi que le salaire, afin de créer une équation d’avantages sociaux plus complète et plus équilibrée.

 

7 façons de motiver les employés au-delà du salaire 

Ainsi, quels sont les autres facteurs que les demandeurs d’emploi prennent en compte en plus du salaire ? Et comment pouvez-vous améliorer votre taux de rétention en motivant vos employés au-delà du salaire ? 

Voici sept façons de motiver les employés qui ne se limitent pas à la rémunération. 

1. Flexibilité

Une récente enquête de Logitech a révélé que 42 % des interrogés préféreraient travailler à domicile plutôt que de recevoir une augmentation de salaire. De plus, 64 % d’entre eux ont déclaré que le travail à domicile permettait d’économiser du temps de déplacement, et donc de mieux concilier vie professionnelle et vie privée. Par ailleurs, le fait de devoir retourner sur un lieu de travail physique pousserait 41 % des collaborateurs à chercher un emploi dans une autre entreprise.

Le message est clair : les employés apprécient vraiment la flexibilité, et beaucoup la considèrent comme aussi importante que le salaire. 

  1. Éthique et valeurs 

79 % des collaborateurs n’accepteraient pas un poste mieux rémunéré au sein d’une entreprise à l’éthique douteuse, telle que ne pas agir contre le harcèlement sexuel, nuire à l’environnement, perpétuer les discriminations salariales en payant moins bien leurs collaboratrices ou vendre les données des utilisateurs sans leur permission. 

Pour aller plus loin, 73 % des personnes n’envisageraient même pas de postuler auprès d’une entreprise si ses valeurs ne correspondent pas aux leurs, tandis que 36 % des personnes ont quitté un emploi parce qu’elles n’étaient pas d’accord avec les normes éthiques d’une entreprise. Malgré cela, l’enquête mondiale “2021 Global Business Ethics Survey” révèle que seuls 14 % des collaborateurs pensent travailler dans une organisation dotée d’une forte culture éthique, ce qui signifie qu’il existe une importante marge d’amélioration.

  1. Empathie

Alors que la plupart des collaborateurs n’accepteraient pas une augmentation de salaire pour travailler dans une entreprise non éthique, 60 % d’entre eux accepteraient une baisse de salaire pour travailler dans une entreprise plus empathique.

En outre, 95 % des collaborateurs seraient plus enclins à rester dans une entreprise si celle-ci était plus empathique, tandis que 81 % changeraient d’emploi pour un salaire égal s’ils étaient plus empathiques.

  1. La progression de carrière

Selon Forbes, 56 % des collaborateurs affirment que l’évolution et les possibilités de carrière sont plus importantes que le salaire. 

Par ailleurs, 68% des collaborateurs affirment que la formation et le développement forment la politique la plus importante d’une entreprise, tandis que 76% déclarent qu’une entreprise serait plus attrayante si elle offrait une formation complémentaire.

Comme toujours, les employés réclament plus d’opportunités de progression de carrière et de formation et développement (L&D). Les entreprises jouent un rôle clé pour répondre à ces appels.

  1. La culture d’entreprise

Glassdoor a constaté que 56 % des collaborateurs estiment que la culture d’entreprise est plus importante que le salaire, ce chiffre passant à 66 % chez la génération des Millennials. 71 % sont d’accord pour dire que si la culture de leur entreprise se détériorait, ils chercheraient un nouvel emploi. 

Pour souligner ce point, 15 % des personnes ont refusé une offre d’emploi en raison d’une mauvaise culture d’entreprise. 

  1. Avantages sociaux

Près de 4 salariés sur 5 (79 %) préféreraient des avantages nouveaux ou complémentaires – tels que des congés payés, des horaires plus flexibles, des avantages liés au bureau, le remboursement des frais de scolarité, des primes de rendement, des réductions pour les salariés ou des options d’achat d’actions – à une augmentation de salaire.

Une culture d’entreprise forte et accueillante est donc essentielle pour attirer, engager et retenir les employés.

  1. Souriez plus, stressez moins

Enfin, 75 % des personnes hésiteraient à accepter un emploi mieux rémunéré si cela signifiait ressentir plus de stress.

En revanche, 80 % d’entre eux préfèrent travailler dans un environnement positif et s’entendre avec leurs collègues plutôt que de recevoir une augmentation de salaire.

 

Pour en savoir plus sur les bienfaits de l’apprentissage en entreprise, et les motivations qu’elle engendre, faites une demande de démo et rencontrez notre équipe !

Quels cours découvrir ce mois-ci ?

 

Ce mois-ci, vous avez toutes les occasions de monter en compétences !

Boostez votre créativité en apprenant à construire des équipes d’innovation. Suite à la Semaine du Développement Durable, apprenez à comprendre la finance durable et ses réglementations. Après la journée mondiale de la santé mentale, formez-vous pour améliorer votre écoute. N’oubliez pas vos collaborateurs à distance, apprenez à travailler dans une équipe hybride

 

Et surprise… Amusez-vous avec la nouvelle saison Trivial Pursuit !!!

 

Quels sont les cours que vous devriez consulter ce mois-ci ?

Comprendre la finance durable et ses réglementations

Améliorer son écoute

Travailler dans une équipe hybride

Construire des équipes d’innovation

Trivial Pursuit Saison 2 : Sciences & Nature

 

TRIVIAL PURSUIT, the associated logo, the distinctive design of the game board, trivia cards, game tokens, and scoring wedges are trademarks of Hasbro and are used with permission. © 1981, 2020 Hasbro. All Rights Reserved. Licensed by Hasbro.

 

Quel est le cours préféré de l’équipe pédagogique en ce moment ? 

Programmer, développer ou créer des applications mobile sans écrire une ligne de code vous paraît absurde ? Pourtant, c’est possible avec les outils no-code !

Alors qu’1% seulement de la population mondiale sait coder, le cours coup de cœur de l’équipe pédagogique “No code : un moteur pour l’innovation” co-édité avec FABERNOVEL vous permettra de donner vie à vos idées, sans coder.

Le no-code : un moteur pour l’innovation

 

Un guide de l’initié pour une curation de contenu efficace

Un article rédigé par Elise Willson, Content Writer at Go1. Pour retrouver l’article en version originale, cliquez ici. 

 

Avec l’aide d’une équipe d’experts en curation de contenu de Go1, nous vous proposons un guide complet et efficace de la curation de contenu.  

Merci à  Loretta Konidaris, Senior Manager of Talent Enablement ; James MacDiarmid, E-Learning Content Curation Manager ; Lea Ann Wardle, Customer Success Manager ; Ollie Callaghan, Customer Success Manager pour le temps et les connaissances qu’ils ont consacrés à la rédaction de ce guide. 

 

La curation de contenu est un rôle en constante évolution dans l’apprentissage et le développement. Elle peut être influencée par l’accessibilité, les intégrations techniques et la répartition des effectifs, sans oublier les besoins et les objectifs d’apprentissage des utilisateurs finaux.  

Il y a un vrai besoin de curation de contenu. Loretta Kolidaris, Senior Manager of Talent Enablement chez Go1, note que « si les apprenants passent la plupart de leur temps à essayer de trouver le contenu le plus pertinent, ils peuvent perdre rapidement leur motivation ». En d’autres termes, le simple fait d’avoir accès à l’apprentissage ne signifie pas nécessairement que vos collaborateurs vont apprendre. Il est donc essentiel de réduire les points de friction lorsque les apprenants veulent accéder au contenu, et de présenter ainsi des supports d’apprentissage pertinents et attrayants.   

Pour un débutant en matière de curation de contenu, il est facile de se sentir dépassé. Coincé entre la découverte des besoins de l’organisation et des apprenants, et une immense bibliothèque de ressources d’apprentissage, la paralysie de la décision est compréhensible.  

Pour aider à surmonter ces difficultés, nous avons interrogé certains de nos experts internes en matière de curation de contenu et avons rassemblé les points clés suivants pour une curation de contenu efficace.  

 

Découvrez vos espaces d’apprentissage et vos priorités 

Lorsque vous êtes confronté à un multitude d’options d’apprentissage, votre première étape sera de prendre du recul. Bien que cela puisse paraître contre-intuitif, vous devez profiter de cette occasion pour découvrir les besoins et les lacunes que l’apprentissage peut combler dans votre organisation.  

Cette étape aura une influence déterminante sur le succès de la mise en œuvre, l’engagement, la mesure de l’impact, etc. Ne manquez pas cette étape.  

Vous pouvez recueillir des informations sur les besoins d’apprentissage par de multiples moyens, qui deviennent de plus en plus accessibles grâce à l’intégration numérique.  

 

Par exemple, vous pouvez : 

– Commencer par tout apprentissage en cours, obligatoire ou lié à la conformité. 

– Utiliser des outils d’enquête pour recueillir les lacunes de compétences perçues (actuelles et futures) pour les individus, les équipes et les changements organisationnels.

– Utiliser les outils de développement professionnel pour découvrir les objectifs d’apprentissage communs et uniques. 

– Ouvrez des discussions avec votre équipe de recrutement pour découvrir les tendances en matière de lacunes ou d’opportunités d’amélioration des compétences. 

– Veillez à ce qu’il existe des voies clairement communiquées permettant aux personnes de soumettre leurs besoins d’apprentissage à votre équipe. 

 

Cette liste peut devenir longue et n’est pas nécessairement clairement définie dès le départ. Cependant, ces conseils devraient constituer la base de votre premier effort de curation.  

N’oubliez pas de vous appuyer sur votre équipe de soutien, que ce soit chez Go1 ou chez votre fournisseur de formation. Ils ont accompagné d’innombrables équipes dans ce processus au fil des ans et connaissent tous les pièges courants. 

En tant que Customer Success Manager, Ollie Callaghan a vu la surcharge d’informations à l’œuvre : 

Beaucoup de clients pensent que tout leur univers va se résumer à devoir s’asseoir et regarder plus de 89 000 morceaux de contenu. Une fois que le processus est un peu mieux expliqué et que le premier lot de fournisseurs de contenus recommandés est proposé, ils commencent généralement à se sentir un peu mieux. 

Aligner les besoins d’apprentissage des employés et de l’organisation 

Dans le monde du travail moderne, les besoins d’apprentissage et de développement des employés et de l’organisation se chevauchent souvent.  

C’est grâce à une communication bidirectionnelle et ciblée entre les deux parties prenantes que la croissance composée peut réellement prendre son essor. Lorsque les employés sont considérés, engagés et qu’ils trouvent un but dans une organisation, ils sont plus enclins à aligner leur apprentissage sur les besoins de l’organisation pour un bénéfice mutuel.  

Ci-dessous, Loretta nous donne un aperçu de la manière dont les choses se passent ici, chez Go1 : 

Nous sommes toujours à l’écoute de nos employés par le biais d’enquêtes d’engagement et de groupes de discussion qui nous aident à comprendre les défis actuels. Par conséquent, les deux (besoins des employés et besoins de l’organisation) s’alignent souvent.  

Il est également important d’offrir autonomie et choix. Les systèmes et les processus permettent aux employés de diriger leur apprentissage individuel et leur propre carrière.  

En interne, chez Go1, le retour d’information de CultureAmp nous a aidés à établir des priorités, comme un cadre de performance et de retour d’information pour favoriser la cohérence, à concentrer les efforts sur le sentiment d’appartenance et à établir des budgets individuels qui répondent aux besoins d’apprentissage individuels. 

En tenant compte de l’expérience d’apprentissage de l’employé, vous favoriserez également la croissance et poursuivrez une curation de contenu efficace. De plus, il est essentiel d’établir des boucles de rétroaction claires.  

Dans le cadre de toute formation essentielle à la conformité, il existe généralement un espace pour améliorer l’expérience et réduire les frictions tout en répondant aux besoins de l’organisation. La formation obligatoire à la conformité doit être pertinente, interactive et faire gagner du temps tout en fournissant toutes les informations nécessaires. 

 

Commencer petit pour aller grand 

Une autre des Customer Success Managers vedettes de Go1, Lea Ann Wardle, a magnifiquement résumé cette conviction en disant : 

« Vous pouvez tout avoir, mais pas tout en même temps. Ne vous sentez pas obligé de tout déployer en même temps (ce serait accablant, ce ne serait pas fait et cela laisserait un mauvais goût dans la bouche des équipes), alors choisissez des échéances réalisables. « 

Ce qui est pertinent et engageant pour votre équipe sera différent de ce qui fonctionne pour une autre équipe. Une fois de plus, il est préférable de commencer petit et de s’appuyer sur ce qui fonctionne plutôt que de construire grand et de repartir de zéro.  

Avec chaque curation supplémentaire, vous pouvez vous appuyer sur des mesures, des informations qualitatives et des besoins nouvellement découverts.  

Pour citer James MacDiarmid, notre responsable de la conservation du contenu de formation en ligne, « à une époque où l’on dit que le contenu est roi, n’oubliez pas que la qualité est reine ». Si vous prenez le temps d’offrir de la qualité à vos employés, vous en verrez les dividendes dans leur engagement et leur croissance.   

Les idées et les conseils d’experts recueillis lors des conversations avec nos leaders d’opinion Go1 étaient trop complets pour être condensés dans un seul article. Alors, surveillez le blog pour d’autres conseils de curation de contenu à venir ! En attendant, commencez par ce qui précède : Découvrez vos espaces et priorités d’apprentissage ; Alignez les besoins d’apprentissage de l’organisation et des employés ; et commencez petit pour aller grand.  

 

Pour voir comment nous pouvons répondre aux besoins d’apprentissage de votre organisation, faites une demande de démo et rencontrez notre équipe !  

 

Pourquoi l’écoute des collaborateurs est essentielle dans le monde du travail d’aujourd’hui ?

 

Un article rédigé par Dom Murray. Retrouvez l’article original ici.

Peu de choses sont plus démoralisantes que le sentiment de ne pas être écouté au travail. Vous passez de la joie de partager une nouvelle idée fantastique – celle-ci pourrait changer la donne ! – à l’effondrement de voir votre idée rejetée avec à peine un mot de reconnaissance. À un moment donné, si vos idées sont continuellement ignorées, vous pouvez commencer à vous demander si quelqu’un vous entend ou si vous parlez à un mur de briques ! 

 

Malheureusement, la plupart des gens ne connaissent que trop bien ce sentiment. Comme nous allons le voir ci-dessous, l’écoute des collaborateurs est un domaine dans lequel de nombreuses organisations ne répondent pas aux attentes. 83 % des personnes pensent qu’elles ne sont pas écoutées « de manière juste ou égale » au travail, et 41 % ont quitté un emploi parce qu’elles ne se sentaient pas écoutées. 

Ces résultats devraient tirer le signal d’alarme dans les bureaux des managers du monde entier, et ils ne sont que la partie visible de l’iceberg. Sous la surface, nous découvrirons un manque d’écoute généralisé qui, s’il n’est pas contrôlé, peut rapidement se transformer en une épidémie d’engagement. 

 

Une chose aussi simple que d’écouter les collaborateurs et de prendre leurs commentaires au sérieux peut faire la différence entre une équipe très performante qui attire et retient constamment les meilleurs talents et une équipe désengagée qui prend du retard sur ses concurrents. 

 

Alors, où les entreprises se trompent-elles ? Comment faire en sorte que chacun se sente écouté de manière juste et équitable au travail ? Nous commencerons par analyser pourquoi il est essentiel d’écouter les apprenants, avant de partager trois avantages commerciaux essentiels de l’écoute des collaborateurs et de donner des conseils pratiques pour que votre équipe se sente écoutée. Espérons que tout le monde y trouvera son compte. 

 

Pourquoi il est toujours essentiel d’écouter les collaborateurs, mais surtout maintenant 

Il n’est pas surprenant que l’écoute des collaborateurs ait toujours été essentielle. Après tout, personne n’aime être ignoré ! Pourtant, ces dernières années, avec les difficultés à rester connecté tout en travaillant à distance et le risque croissant de désengagement, l’importance de l’écoute des collaborateurs a augmenté de façon exponentielle. Dans l’idéal, votre équipe a déjà deux longueurs d’avance sur nous et pratique des techniques d’écoute active bien rodées. Cependant, les statistiques sont moins flatteuses. 

 

Les collaborateurs ne se sentent pas écoutés 

Selon une étude menée par le Workforce Institute dans son rapport The Heard and the Heard-Nots, 83 % des collaborateurs pensent qu’ils ne sont pas écoutés « de manière juste ou égale » au travail. Cette statistique devrait déjà être alarmante. Mais il y a pire, puisque 47 % des personnes interrogées affirment que les voix sous-représentées ne sont pas entendues, tandis que 60 % pensent que leurs points de vue et leurs opinions sont ignorés sur le lieu de travail. Enfin, 35% sont d’accord avec l’affirmation suivante : « mon manager ne se soucie pas de moi en tant que personne ».

 

Ces problèmes sont exacerbés chez les jeunes travailleurs. Seuls 16 % des travailleurs de la génération Z estiment pouvoir exprimer librement leurs points de vue et leurs opinions à leur supérieur, contre 67 % de leurs collègues plus âgés.

 

Plus loin dans le spectre des âges, 69% des parents se sentent ignorés par leurs managers. Ainsi, si tout le monde est affecté par ce manque d’écoute, comme d’habitude, ce sont les groupes défavorisés qui sont le plus réduits au silence. Les parents, les jeunes travailleurs et les voix sous-représentées, comme les personnes handicapées, les travailleurs LGBTQIA+ et de genre différent, et les personnes issues de groupes raciaux traditionnellement marginalisés, sont touchés de manière disproportionnée.

Ces résultats devraient inciter à l’action, car les lieux de travail qui prétendent valoriser la diversité et l’inclusion doivent s’efforcer de remédier à ces problèmes, en permettant aux groupes traditionnellement marginalisés de se sentir entendus sur leur lieu de travail. 

 

Une déconnexion émerge 

Bien que la plupart des collaborateurs ne se sentent pas écoutés, de nombreuses équipes ne reconnaissent pas qu’elles ont un problème d’écoute des collaborateurs. 

 

Une étude menée par Nudge révèle que 39 % des collaborateurs ne se sentent pas écoutés par leur organisation, alors que 78 % des dirigeants pensent qu’ils encouragent une culture du feedback. C’est là qu’apparaît un décalage important : il y a un fossé de 39% entre ce que les dirigeants croient et ce que les collaborateurs vivent au jour le jour ! 

 

Bien que cela puisse être difficile et nécessiter une introspection honnête, la première étape pour surmonter le problème des collaborateurs qui ne se sentent pas entendus est que les dirigeants reconnaissent ouvertement son existence. 

 

Ne pas être entendu nuit à la fidélisation

Soyons clairs : il ne s’agit pas simplement d’un cas de collaborateurs ignorés qui se sentent parfois blessés. Bien que ce serait déjà assez grave, en vérité, il s’agit d’un problème omniprésent et impactant qui peut sérieusement saboter la culture de votre équipe et vos efforts d’attraction et de rétention des talents. 

Par exemple, le rapport State of Employee Feedback 2021 d’All Voices révèle que 41 % des collaborateurs ont quitté leur emploi parce qu’ils ne se sentaient pas écoutés. De plus, 18 % ont envisagé de partir mais ont décidé de ne pas le faire, nuisant ainsi à l’engagement. 

 

De même, The Workforce Institute montre que 34 % des collaborateurs préféreraient chercher un poste dans une autre équipe ou une autre entreprise plutôt que de partager leurs points de vue et leurs préoccupations avec la direction, ce chiffre passant à 40 % chez les collaborateurs de la génération Z.

 

Renforcer le sentiment d’appartenance

Une autre raison pour laquelle l’écoute des collaborateurs est essentielle est qu’elle renforce le sentiment d’appartenance de chacun. 

 

En fait, le Workforce Institute a constaté que les collaborateurs ayant un niveau d’appartenance très élevé sont 4x plus susceptibles de se sentir écoutés que ceux ayant un faible niveau d’appartenance. Pourtant, 39 % des collaborateurs ne se sentent pas appréciés au travail. 

 

Pour démontrer ce point, le rapport Inside the Mind of Today’s Candidate de LinkedIn a demandé aux travailleurs : « Qu’est-ce qui vous donnerait le sentiment d’être à votre place dans l’entreprise où vous travaillez ? »

 

Sans surprise, les trois réponses les plus courantes concernaient le fait d’être entendu au travail. 59 % des personnes interrogées ont répondu « être reconnu pour mes réalisations », 51 % ont répondu « avoir la possibilité d’exprimer librement mes opinions » et 50 % ont déclaré ressentir un plus grand sentiment d’appartenance au travail lorsque leurs contributions aux réunions sont valorisées.

 

Notamment, 55% des femmes ont indiqué que leurs « contributions aux réunions ne sont pas valorisées », contre 48% des hommes. Sideways6 corrobore ces résultats, en montrant que 39 % des femmes ont le sentiment que leurs idées ne sont pas écoutées, contre 30 % des hommes.

Malheureusement, cela est logique, étant donné la prévalence de tendances sur le lieu de travail telles que le « hepeating » – un phénomène si commun qu’il a son propre portmanteau. Comme l’explique Yahoo, « le hepeating est le processus par lequel un homme répète quelque chose qu’une femme a dit, qui peut être tombé à plat la première fois, et en reçoit ensuite le crédit ». 

 

Ainsi, s’il est important d’écouter tout le monde, il peut être particulièrement vital de s’assurer que les employées se sentent entendues, surtout dans les lieux de travail dominés par les hommes. 

 

En définitive, ces statistiques soulignent que de nombreux collaborateurs aspirent à être entendus. Montrer aux collaborateurs que vous les entendez et que vous appréciez leurs contributions peut créer un plus grand sentiment de connectivité, d’utilité et d’appartenance.

 

3 avantages commerciaux à écouter les collaborateurs 

Dans un monde idéal, nous devrions écouter les voix de chacun de manière équitable et égale au travail parce que c’est la bonne chose à faire. Cependant, comme nous le savons tous, les résultats financiers l’emportent souvent sur tout le reste dans le monde des affaires. 

 

Heureusement, écouter les collaborateurs n’est pas seulement la bonne chose à faire du point de vue de la diversité et de l’égalité – cela présente également des avantages commerciaux significatifs. Voici trois avantages commerciaux de l’écoute des collaborateurs :

 

  1. Écouter les collaborateurs stimule l’engagement

Les collaborateurs très engagés ont trois fois plus de chances de se sentir écoutés au travail (92 %) que les collaborateurs très désengagés (seulement 30 %). 

 

En outre, 74% se sentent plus engagés au travail lorsqu’ils pensent que leur voix est entendue. 

 

  1. Lorsque les collaborateurs se sentent écoutés, ils sont plus productifs

Selon le Workforce Institute, 74 % des collaborateurs sont plus efficaces dans leur travail lorsqu’ils se sentent écoutés. En outre, 71 % d’entre eux se sentent plus confiants pour partager leurs idées et leurs commentaires à l’avenir. 

 

  1. Écouter les collaborateurs peut augmenter les bénéfices 

Selon le Workforce Institute, 88 % des collaborateurs dont l’entreprise surpasse ses concurrents sur le plan financier se sentent écoutés, contre seulement 62 % des collaborateurs des entreprises peu performantes sur le plan financier. 

 

Des conseils pratiques pour que votre équipe se sente écoutée 

Parfois, les réponses les plus simples sont aussi les meilleures. Commençons donc par l’essentiel : le moyen le plus simple de faire en sorte que votre équipe se sente écoutée est d’écouter activement tout le monde et de favoriser une culture du retour d’information.

Comment ? Nous allons le découvrir.  

 

Où les employeurs font-ils fausse route ? 

Pour que votre équipe se sente écoutée, vous devez d’abord comprendre où vous faites actuellement fausse route. 

Selon Nudge, les collaborateurs souhaitent fournir davantage de commentaires sur les sujets suivants, mais ne se sentent pas à l’aise ou ne sont pas incités à le faire : 

 

– Efficacité, processus de travail et protocole (47%)

– Rétroaction sur leur gestionnaire (41%)

– Problèmes de santé et de sécurité (35%)

– Amélioration des connaissances (30%)

– Partage des meilleures pratiques (26%)

– AMAs/Questions pour les dirigeants (17%, contre seulement 9% des dirigeants)

 

Pour que les collaborateurs se sentent écoutés, commencez par aborder ces sujets spécifiques. 

 

Prenez le feedback au sérieux !

L’enquête 2021 sur l’état du feedback des collaborateurs révèle que la première chose dont les collaborateurs ont besoin (68,4 %) pour se sentir écoutés est que leur entreprise prenne le feedback au sérieux et mette en œuvre des changements significatifs. C’est aussi simple que cela ! 

 

Pourtant, à l’heure actuelle, 40 % des collaborateurs n’ont pas l’impression que leurs commentaires débouchent sur des changements concrets. De plus, plus d’un tiers des collaborateurs (34%) pensent que leur entreprise n’écoute pas leurs idées pour améliorer l’activité. 

 

Par conséquent, de nombreuses entreprises ne recueillent pas de commentaires honnêtes et précis (si tant est qu’elles en recueillent – nous y reviendrons plus loin).  Au contraire, 43% des collaborateurs sont plus enclins à dire aux dirigeants ce qu’ils pensent qu’ils veulent entendre plutôt que ce qu’ils ressentent réellement. 

 

Ce constat devrait inquiéter fortement de nombreux dirigeants. Posez-vous la question suivante : favorisez-vous un lieu de travail psychologiquement sûr où chacun se sent à l’aise pour partager ses idées ouvertement et sans jugement ? Ou créez-vous simplement une bulle de rétroaction fermée ?

 

Pour clarifier, prendre au sérieux les commentaires des collaborateurs ne signifie pas qu’il faille donner suite à tous les commentaires que vous recevez. Chacun est différent, ce qui pourrait rapidement devenir contradictoire, sans parler d’un cauchemar logistique. Cependant, vous devez vous efforcer de créer un lieu de travail où chacun se sent à l’aise pour faire part de ses commentaires, sachant qu’ils seront entendus et pris au sérieux, et non ignorés ou traités après coup.

 

Améliorer les processus de feedback 

Par conséquent, pour montrer aux collaborateurs que vous êtes à leur écoute, l’étape la plus importante consiste à leur faire comprendre que vous prenez leurs commentaires au sérieux et que vous êtes prêt à donner suite à leurs idées le cas échéant. Prendre au sérieux le feedback des collaborateurs peut sembler évident, mais un nombre surprenant d’équipes échouent à ce premier obstacle. Et pour de nombreuses entreprises, le processus de retour d’information doit être complètement revu.

 

Pour souligner ce point, 36,1 % des collaborateurs souhaitent que leurs dirigeants mettent en avant les changements apportés grâce aux commentaires des collaborateurs. Cependant, il s’agit là d’un problème en soi, car 36 % des collaborateurs déclarent qu’ils n’ont pas de programme de feedback ou qu’ils ne sont pas au courant de l’existence d’un tel programme dans leur entreprise. 

 

Par conséquent, informer tout le monde de l’existence de vos canaux formels de feedback est un excellent moyen de s’assurer que votre équipe se sent écoutée.  Si vous n’avez pas encore de canaux de feedback officiels, la première étape consiste à les créer. 

 

Ces résultats sont conformes à la récente enquête sur les implications des talents, qui a montré que 60 % des équipes font ce qu’il faut en augmentant les « efforts d’écoute des collaborateurs ». Bien qu’il s’agisse d’un bon début, seulement 31 % d’entre elles mènent actuellement des enquêtes régulières sur le feedback des collaborateurs.  

 

Là encore, un décalage important apparaît entre ce que les dirigeants pensent qu’il se passe et ce que les collaborateurs vivent. Nudge constate que 84 % des dirigeants affirment que leur entreprise dispose de canaux pour recueillir les commentaires des collaborateurs. En revanche, seuls 24 % des collaborateurs déclarent que leur entreprise leur demande un retour d’information aussi souvent qu’ils le souhaiteraient, tandis que 22 % disent qu’elle ne le leur demande jamais. 

 

Malgré cela, 65 % des collaborateurs souhaitent davantage de retour d’information, tandis que le taux de rotation du personnel est inférieur de 14,9 % dans les entreprises qui offrent un retour d’information régulier. En outre, 35,5 % des collaborateurs se sentiraient davantage écoutés si les dirigeants soulignaient l’importance du retour d’information. Comme toujours, le changement commence au sommet. 

 

Plus important encore, 40,7 % souhaitent que leur organisation normalise le fait de donner et de recevoir du feedback sur le lieu de travail. Déstigmatiser le retour d’information est essentiel pour créer un lieu de travail psychologiquement sûr et permettre aux collaborateurs de se sentir à l’aise pour partager leurs pensées et opinions honnêtes. 

 

Encourager la confidentialité 

Enfin, de nombreux collaborateurs souhaitent des canaux de feedback plus sûrs et plus anonymes. Les canaux de feedback anonymes encouragent les collaborateurs à exprimer librement leurs opinions sans crainte de jugement ou de répercussion et se sentent donc plus écoutés au travail.

 

Par exemple, le rapport « State of Employee Feedback 2021 » de All Voices a révélé que 57,3 % des personnes souhaitent que leur entreprise garantisse l’anonymat et la confidentialité lorsqu’elles donnent leur avis. Le rapport précise que « les collaborateurs seraient plus disposés à donner leur avis s’il était anonyme. Les employeurs doivent réfléchir à des moyens de fournir des canaux anonymes et confidentiels afin d’obtenir un feedback plus authentique. » 

 

En outre, le Workforce Institute constate que 47 % des collaborateurs (53 % chez les plus jeunes) sont « plus enclins à donner leur avis de manière anonyme sur un site tiers… que par des canaux internes, comme les enquêtes sur l’engagement des collaborateurs ».

 

Quel que soit le canal de feedback que vous préférez, le message ne pourrait être plus clair : les collaborateurs veulent un feedback de meilleure qualité et plus sécurisé pour se sentir écoutés et engagés au travail. Ne pas le faire peut conduire à une véritable épidémie d’engagement. 

 

Pour en savoir plus, abonnez-vous à la newsletter Coorpacademy by Go1 pour rester au courant des dernières tendances du digital learning. Vous pouvez faire une demande de démo en cliquant ici.

 

Plongez vos apprenants dans votre propre univers d’apprentissage !

 

Pour permettre à nos clients de personnaliser leurs parcours de formation, notre produit évolue. Engagez davantage vos collaborateurs dans la formation en créant un environnement à votre image, pour refléter au mieux vos besoins en formation. Ces pages personnalisées sont aussi appelées “Page Univers”.

 

 

Pourquoi créer une page Univers ?

Une page Univers vous permet de créer un espace personnalisé dans le but de mettre en avant certains contenus, que ce soit des playlists de cours, des vidéos ou encore des évènements à venir. Cela vous permettra de relier différents formats de formation (évènement, modules e-learning, informations, visuels internes, etc) entre eux au sein d’un même espace et ainsi de guider efficacement vos apprenants dans leur parcours d’apprentissage.

 

6 raisons de créer une page Univers :

Vous souhaitez mettre en avant le lancement d’un nouveau programme de formation ? Les pages Univers pourront vous permettre de promouvoir votre programme en y ajoutant tout le contexte nécessaire.

 

Vous avez un parcours de formation qui nécessite un peu plus de contexte ? La page Univers peut vous permettre de détailler un parcours de formation spécifique et d’intégrer les modules de formation directement au sein de la page afin de rediriger les apprenants vers les cours qui y figurent !

Besoin de cibler différentes populations d’apprenants pour des parcours de formation spécifiques ? Ces pages Univers peuvent faire l’objet de page dédiée par métier, afin d’orienter les apprenants vers les cours qui leur correspondent.

 

Un événement à venir ? La page Univers est l’occasion de promouvoir votre événement et d’y préciser les dates, de rediriger vos collaborateurs sur une page d’inscription.

 

Vos apprenants ont des choses à dire ! La page Univers peut aussi être un endroit dédié à la parole de vos collaborateurs. Mettez en avant des témoignages apprenants, afin qu’ils puissent partager leurs expériences sur la plateforme et leurs retours sur les cours qu’ils auront joués !

Comment créer sa page Univers ?

Pour créer votre page Univers, il faudra vous rapprocher de votre Customer Success Manager.

 

Concrètement, ça donne quoi ? 

Avant

 

Après

Où en est la transformation digitale des Ressources Humaines ? Découvrez le Baromètre RH 2022

Où en sont les entreprises françaises de leur digitalisation et de leur transformation des Ressources Humaines ?

Pour le savoir, nous nous sommes associés à Future of HR pour réaliser le Baromètre « Transformation digitale des Ressources Humaines » édité en partenariat avec Deloitte.

Les entreprises semblent avoir trouvé leur nouveau rythme de travail depuis la crise Covid. Une tendance qui s’est confirmée entre 2021 et 2022 :

70% des entreprises ont mis en place 2 jours de télétravail par semaine, contre 30% en 2021

35% des entreprises ont laissé la liberté dans le choix des jours de télétravail contre 20% l’année dernière

La pénurie de Talents touche toutes les entreprises : 97% d’entre elles éprouvent des difficultés à recruter. Parmi les postes les plus compliqués à pourvoir, la fonction IT ressort particulièrement. 

50% des directions RH estiment que les candidats ont des attentes trop importantes lors du processus de recrutement :

Presque la totalité de ces candidats ont des exigences salariales trop élevées

Un tiers d’entre eux demandent une plus grande flexibilité (mobilité, télétravail…) sur leur nouveau poste

1 candidat sur 4 désire avoir un bon équilibre de vie

Seule 1 entreprise sur 10 utilise la formation comme levier d’attractivité des nouveaux talents

Enfin, la digitalisation de la fonction RH poursuit son accélération : l’usage de la signature électronique est de plus en plus répandu d’autant qu’elle permet une réduction des coûts importante pour un tiers des entreprises utilisatrices.

Méthodologie 

169 directions RH issues de 132 entreprises de tous les secteurs d’activité, ont été interrogées entre le 21 juin et le 19 aout 2022. Parmi elles, 50% comptent + de 5000 salariés, 26% comptent entre 1000 à 5000 salariés, 14% entre 500 et 999 salariés et 9% moins de 500 salariés.

A propos de Future of HR : Future of HR est la plus grande plateforme de débats et de contenus dédiée à la transformation de la fonction RH. Notre objectif : accompagner les directions RH et les organisations dans l’accélération de la transformation de leur fonction, à travers un panorama des tendances et innovations en la matière.

 

Voir l'étude de cas