🗓 Nous invitons nos clients à notre premier Digital Learning Club de l’année 2022 !
Comme chaque année, nos clients sont invités dans nos bureaux – en France et en Suisse – afin de partager un moment convivial. L’occasion de rencontrer vos pairs, d’échanger sur les bonnes pratiques du Corporate Digital Learning, et de découvrir les nouveautés à venir chez Coorpacademy.
Lors de cette première édition 2022, venez découvrir tout ce qui vous attend pour le prochain semestre -roadmap et nouveautés à venir – et ne manquez pas le partage d’expérience de nos clients et sans oublier, un délicieux buffet… Alors, on n’attends plus que vous !
La clé du succès d’une entreprise, quelle que soit sa taille, réside dans la gestion de ses ressources humaines. En effet, l’Humain étant au cœur de tout projet d’entreprises et le moteur qui permet de gagner la course à la croissance, il est essentiel d’apprendre à maîtriser les fondamentaux de la fonction RH.
De nombreuses entreprises sous-estiment l’impact de cette fonction pourtant stratégique. Pourquoi ? Cela varie naturellement d’une entreprise à l’autre : manque d’expertise ou d’intérêt, manque de temps, etc. Cependant, si les responsabilités sont les mêmes pour toutes les entreprises, les gestionnaires de PME doivent faire autant mais avec des ressources en moins.
Ainsi, la gestion des ressources humaines en PME est bien plus complexe que dans les grandes entreprises, d’où le besoin de former ses collaborateurs aux essentiels de la gestion RH.
Dès lors, voici quelques conseils directement issus de nos Tuto RH’, une série de microlearning disponible sur Team, la plateforme de formation en ligne conçue pour les PME. En effet, nous vous avons sélectionné un top 5 des problématiques RH du quotidien sur lesquelles monter en compétences en interne ! Sortez vos stylos, prenez des notes :
Mettre en place le télétravail
Selon un sondage de l’IFOP, le travail hybride serait un avantage compétitif selon 72 % des employés. Aujourd’hui indispensable pour l’attraction et la rétention des talents, la mise en place du télétravail requiert un certain nombre d’étapes afin d’en faire un succès. La première étape est avant tout d’identifier, comprendre et mesurer les besoins de vos collaborateurs, en réalisant par exemple un recueil des besoins.
2. Sécuriser les données du personnel
Un tiers des TPE-PME de moins de 250 salariés ont été touchées par une cyberattaque en 2020, selon une étude internationale menée par Hiscox et Forrester Consulting*. Un chiffre en constante augmentation. Pour vous assurer de la protection des données du personnel, il faut avant tout en faire l’inventaire ! En effet, vous devez pouvoir identifier les données, vérifier leur conformité, lister les personnes y ayant accès et vérifier leur légitimité, pour enfin vous assurer que le traitement est conforme à la réglementation en termes de support, d’outil, de délais et d’accès. De façon générale, les données recueillies et conservées devront être réduites au minimum. Interrogez-vous sur la pertinence des informations : avez-vous vraiment besoin de les conserver ?
3. Lutter contre les discriminations à l’embauche
Lorsque vous émettez une offre d’emploi et que vous effectuez une première sélection, vous allez pouvoir commencer les entretiens. Lors d’un entretien d’embauche, 3 critères sont essentiels pour le recruteur : l’écoute, savoir questionner et reformuler. Cependant, les questions posées ne doivent porter uniquement sur les compétences du candidat. Pour respecter les principes de non-discrimination, il faut avant tout les connaitre ! Ainsi, votre sélection ne devra jamais reposer sur l’un des critères suivants : âge, sexe, origine, orientation sexuelle, identité de genre, situation familiale, grossesse, etc. Et quand bien même cela partirait d’un bon sentiment, vous ne pourrez pas demander au candidat des éléments qui relèvent de sa vie privée.
4. Préparer le contrôle URSSAF des notes de frais
Toute entreprise peut être contrôlée par l’URSSAF et ce, à n’importe quel moment de l’année. Ce contrôle sert à vérifier les bases, les taux, le calcul et l’assiette des cotisations versées par tous les employeurs. Mais le remboursement des notes de frais, qui font partie des éléments très fréquemment regardés et souvent à l’origine de redressements, est soumis à des conditions et des règles bien précises. Dès lors, il est crucial de connaître les conditions de remboursement des frais professionnels.
5. Connaître la procédure du congé maternité
Pendant le congé maternité, le contrat de travail est suspendu, et cette interruption est assimilée à une période de travail effectif. L’employeur a certaines obligations pendant toute la période du congé maternité. D’ailleurs, la durée du congé maternité varie en fonction du rang de l’enfant ou des enfants à venir et en fonction de la grossesse (simple ou multiple). Il existe ainsi plusieurs cas de figures : pour une première et une seconde grossesse, la durée totale du congé maternité est de 16 semaines. À partir du troisième enfant, la durée passe à 26 semaines. Lorsqu’il s’agit d’une grossesse gémellaire, le congé est porté à 34 semaines et enfin, à partir d’une grossesse triple, le congé dure jusqu’à 46 semaines. Pour les papas, la période de congé paternité est fractionnable avec des périodes qui doivent durer 5 jours au minimum. Depuis le 1er juillet 2021, les jeunes pères peuvent consacrer 28 jours à leur nouveau-né en comptant les trois jours, auxquels ils ont déjà droit pour la naissance ou l’arrivée d’un enfant adopté.
Maîtriser les subtilités des ressources humaines est essentiel pour accompagner au mieux vos collaborateurs de la phase de recrutement à leur départ de l’entreprise. De l’entretien annuel, au versement des primes ou encore la gestion des heures supplémentaires, de nombreuses thématiques RH sont indispensables à la bonne gestion de votre entreprise. Pour monter rapidement en compétences sur ces sujets, la formation est un outil crucial, permettant de sensibiliser et de former les collaborateurs aux fondamentaux de la RH.
Pour aller plus loin, découvrez Team, une plateforme de formation en ligne, conçue pour former les collaborateurs des entreprises de moins de 250 salariés. Au programme, plus de 1900 cours organisés sous forme de playlists personnalisées et adaptées aux enjeux des petites et moyennes entreprises ! Cliquez ici pour en savoir plus et bénéficier d’un essai gratuit de 15 jours.
Le 28 avril 2022, vous étiez près de 60 participants lors du webinaire « Le E-Learning, levier incontournable de la formation des équipes », organisé par le Gouvernement de Monaco en partenariat avec le Monaco Economic Board, la Fédération des Entreprises Monégasques et le Syndicat des Ressources Humaines.
Lors de ce webinar, les intervenants, Jean-Marc Tassetto, CEO de Coorpacademy by Go1, et Nicolas Sosso, DRH adjoint du Gouvernement Princier, ont apporté de précieux éclairages sur la formation comme avantage concurrentiel, et sur les solutions mises à disposition des entreprises, salariés, fonctionnaires et étudiants, en Principauté.
Vous pouvez visionner, dès à présent et en intégralité, le replay de la conférence sur la plateforme Extended Monaco pour l’Entreprise ou un extrait ci-dessous :
Selon une étude, 95% des dirigeants estiment que la formation est cruciale pour l’avenir de leur entreprise. C’est pour cela que la plateforme Extended Monaco pour l’Entreprise s’appuie sur un plateau de e-learning, développé avec Coorpacademy by Go1.
Le webinar “Atelier du numérique” en 4 points clés :
1 ) Dans le digital learning, l’obsession, c’est d’engager.
Créée il y a 9 ans, Coorpacademy est une plateforme de Digital Learning dont le but était de réinventer l’ennuyeux e-learning historique. “Je dirigeais Google à l’époque, et même chez Google, on utilisait des solutions extrêmement ennuyeuses où l’on restait 50 minutes devant un écran à passer des slides Powerpoint” explique Jean-Marc Tassetto, co-fondateur de Coorpacademy. Il a donc fallu réinventer toute cette expérience du Digital Learning, pour la rendre plus engageante. Depuis, Coorpacademy est utilisée par des centaines d’entreprises, et propose des formations à plus d’1 million d’apprenants à travers le monde. Fort de son expérience, son co-fondateur rappelle l’obsession du Digital Learning qui est d’engager, de donner envie – aux salariés, aux collaborateurs – de se former.
2 ) Des collaborateurs mieux formés sont des collaborateurs plus efficients, moins stressés et prêts à affronter l’avenir incertain.
Quasiment 100% des dirigeants qui ont déployé des programmes de montée en compétences constatent des effets bénéfiques. Lors de ce webinar, Jean-Marc Tassetto est revenu sur les avantages de la formation en ligne. Un des premiers effets bénéfiques porte sur la productivité. En effet, des collaborateurs mieux formés sont des collaborateurs plus efficaces dans leurs tâches. Il y a également des effets qui, suite à la crise sanitaire, sont très importants. Notamment l’amélioration de l’acquisition et de la rétention des talents. C’est-à-dire que la formation a un impact très positif sur le recrutement et sur la rétention des meilleurs talents. De plus, des collaborateurs mieux formés sont des collaborateurs qui sont plus à même d’aborder l’avenir incertain. Si l’avenir a toujours été incertain, le nôtre l’est particulièrement, tout comme il est complexe. Ainsi, la formation est un outil crucial pour soulager le niveau de stress et d’angoisse des collaborateurs en les formant mieux aux enjeux d’aujourd’hui et aux enjeux de demain qui, par définition, sont moins bien maîtrisés.
3) Le Digital Learning, c’est tout sauf une vidéo posée sur une étagère digitale.
Pour mesurer l’efficacité d’une solution de digital learning, c’est avant tout l’engagement. Eh oui, encore faut-il que les apprenants se connectent et aillent sur la plateforme ! Il y a 10 ans, le e-learning européen représentait moins de 10% d’apprenants connectés. Le e-learning était tellement ennuyeux, tellement péjoratif, que les responsables de formation ne le proposaient plus aux cadres dirigeants. Jean-Marc Tassetto rappelle qu’aujourd’hui, dans nos entreprises – Coorpacademy réunit une soixantaine de collaborateurs et vient d’être racheté par un groupe australo-américain de 600 collaborateurs – il y a eu un vrai tournant positif : de plus en plus de gens dont la culture digitale c’est le smartphone, WhatsApp, ou encore les jeux. C’est ici que tout réside. Il faut que le Digital Learning s’appuie sur la culture digitale réelle des collaborateurs d’entreprise. C’est pourquoi Coorpacademy s’appuie sur cette culture du jeu, du smartphone, des battles, des chats, des micro-vidéos, du microlearning, pour réécrire une pédagogie. Ainsi, le Digital Learning est tout sauf une vidéo posée sur une étagère digitale. Ça, ce serait un apprentissage passif, et ça ne marche pas.
4) Qu’est-que Extended Monaco Entreprises ?
Lors de ce webinar, Diego Bonaventura, responsable de l’économie numérique de la Principauté de Monaco, est revenu sur la volonté du Gouvernement de former les entreprises monégasques. En effet, dans un monde qui est dynamique, qui est en perpétuelle mutation, il faut apprendre et ré-apprendre à vendre, à acheter, à gérer ses clients, et où la technologie façonne les nouveaux usages et les modes de consommation qui impactent nos modèles économiques, il est indispensable de comprendre comment tout cela fonctionne.Il est donc indispensable de se former et comme tout va vite, il faut se former de façon continue. C’est pour cela que le Gouvernement Princier de Monaco a voulu ouvrir un accès à la plateforme Coorpacademy disponible sur le plateau Extended Monaco Entreprise. Comment en bénéficier ? Sur le site eme.gouv.mc, il vous suffit d’aller sur la rubrique « Se former au numérique ». Il vous sera proposé deux parcours différents en fonction de la typologie. Si vous êtes un actif monégasque, c’est-à -dire de la Principauté de Monaco, donc vous êtes salariés en Principauté, dans ce cas vous pouvez tout simplement faire une demande par la rubrique de contact. Votre demande sera traitée dans les 48h, durant lesquelles nous reviendrons vers vous pour ouvrir une licence et vous faire profiter des formations dispensées sur la plateforme Coorpacademy. Si vous êtes un entrepreneur et que vous n’avez toujours pas ouvert votre compte sur la plateforme Extended Monaco Entreprise, il vous faudra alors créer un compte et répondre à un questionnaire d’auto-diagnostic qui vous permettra de comprendre quel est votre niveau de maturité numérique. Suite à ce test, vous serez redirigé de façon très personnalisée vers la plateforme Coorpacademy qui, en fonction de votre niveau, vous proposera tout un panel de formations.
Il faut également rappeler que ce programme est gratuit. “Toujours dans la volonté d’accessibilité et avec ce motto fort de vouloir placer la formation au centre de notre programme de transformation numérique, le Gouvernement finance ces formations” rappelle Diego Bonaventura. Ces formations sont donc accessibles gratuitement pour l’ensemble des salariés de la Principauté et bien sûr, tous les actifs et sans limites de licences. Par exemple, un entrepreneur qui a 10 salariés peut tout à fait inviter ses salariés à aller sur eme.gouv.mc et les orienter vers la plateforme Coorpacademy qui est ouverte gracieusement et financée par le Gouvernement !
Avec un accès gratuit pour tous les professionnels en Principauté, la plateforme Extended Monaco est une opportunité à ne pas manquer pour monter en compétences et être en mesure d’affronter les défis de demain !
Pour en savoir plus sur les formations mises à votre disposition, rendez-vous sur la rubrique « Se former au numérique » du site eme.gouv.mc.
🧠 « Notre corps et notre cerveau sont encore, jusqu’à preuve du contraire, nos premiers outils de travail »
🧑💻 Le travail hybride s’intensifiant, nos métiers sont devenus de plus en plus sédentaires. Ainsi, la qualité de vie au travail est devenue une vraie priorité, à la fois pour la performance des équipes mais aussi pour l’attraction et la rétention des talents !
🎬 Découvrez l’interview de Anne-Charlotte Vuccino, CEO de YOGIST® – Well At Work, qui nous partage son retour d’expérience sur les bienfaits de la méthode Yogist en entreprise et nous explique sa perception de l’évolution de la QVT.
Trop stressées, trop sédentaires, les temps sont durs… Comment soulager et prévenir les maux du bureau et du travail à distance ?
Anne-Charlotte Vuccino : Depuis les confinements avec le télétravail obligatoire, puis avec le passage au mode de travail hybride, on est devenu encore plus sédentaires. Assis, toute la journée, devant nos écrans, à ne pas bouger suffisamment et ne plus prendre de pause, ni mentale ni physique.
Aujourd’hui, la méthode Yogist en entreprise, que ce soit au bureau ou chez soi, elle apprend aux travailleurs à travailler ou à télétravailler sans s’abîmer, en bougeant, en respirant, en oxygénant leur corps et leur cerveau qui sont, jusqu’à preuve du contraire, encore leurs premiers outils de travail.
Se détendre n’est pas si facile… Comment l’apprendre à un maximum de collaborateurs ?
Anne-Charlotte Vuccino : Très clairement, le digital nous permet aujourd’hui de toucher énormément plus de gens que si l’on avait enseigné ces exercices, ces méthodes en présentiel dans un bureau. Ça nous permet évidemment de décupler l’effet et les bienfaits de ces enseignements, et surtout de mettre à la disposition des collaborateurs des contenus, des techniques immédiatement accessibles quand ils en ont besoin, qu’ils soient chez eux ou au bureau. Et ça, ça change évidemment la donne.
La Qualité de Vie au Travail : tendance de fond ou cerise sur le gâteau ?
Anne-Charlotte Vuccino : Depuis la crise du Covid, la prévention santé en entreprise est devenue centrale. Il a fallu protéger les collaborateurs contre cette maladie, mais ce que j’ai vu, c’est que la qualité de vie au travail est devenue aussi un enjeu majeur. Ce n’est plus seulement un accessoire, une cerise sur le gâteau quand tout va bien. C’est devenu une priorité au sommet de la pile des préoccupations, parce que c’est vraiment un levier d’attraction et de rétention des talents. Et puis évidemment que lorsqu’on est bien dans son corps, dans sa tête, lorsqu’on n’a pas de troubles, musculosquelettiques, d’hyper-connexion ou de stress, on travaille évidemment mieux. Donc ça doit devenir encore plus un enjeu de performance pour le collaborateur et pour l’entreprise.
Ta meilleure astuce pour recharger instantanément tes batteries ?
Anne-Charlotte Vuccino : Quand je suis en train de gérer beaucoup trop de choses en même temps, quand j’ai plein de fenêtres ouvertes dans mon ordinateur interne et bien je fais une pause. Une pause physique ou une pause mentale. Oxygéner le cerveau, c’est aussi lui permettre de repartir au combat avec les idées plus claires. Et pour ça, on a un exercice tout simple chez Yogist, ça s’appelle le compte à rebours. On utilise des chiffres pour respirer de vingt-cinq à zéro, une inspiration et une expiration par chiffre, en fermant les yeux et en se concentrant uniquement sur ce chiffre-là. Si on perd le compte, ça veut dire qu’on a pensé à quelque chose d’autre, donc on repart de vingt-cinq et à la fin des vingt-cinq respirations, je vous assure que vous serez beaucoup plus calme avec les idées beaucoup plus claires, avec les énergies et les batteries complètement rechargées.
Quelque part dans le monde, à une date dont vous n’avez toujours pas l’utilité, nous avons localisé une technologie poussée permettant de nous immiscer dans le quotidien des salariés. Ce voyage fantastique à travers les expériences de différents collaborateurs vous entraînera jusqu’aux confins du Future of Work et vous permettra de percer les enjeux de transformation des entreprises. Aujourd’hui dans notre odyssée, découvrez le quotidien d’Hélix…
“Le verdict est tombé mardi soir. Une grande entreprise leader du secteur industriel en France vient d’être jugée pour inaction climatique due à l’utilisation de charbon dans sa production. Pour rappel, depuis le 28 janvier 2037, l’ensemble de la production d’énergie et de chaleur, y compris industrielle, ne doit plus utiliser de charbon. En effet, depuis déjà 15 ans, de moins en moins de Français se chauffent au charbon. Ainsi, tous les industriels devaient sortir du charbon avant 2035. Suite à la loi de 2037, les entreprises n’ayant pas organisé cette transition devront répondre aux sanctions prévues. Au total, l’entreprise devra payer…”
Hélix éteignit son casque de réalité virtuelle où il regardait les informations du jour. Il était 19h et son temps quotidien était atteint. Au-delà, sa consommation aurait enfreint la loi sur la sobriété numérique. Hélix pensait à cette histoire de charbon. Lui-même référent écologique au sein d’une grande entreprise financière, il avait dû se battre dans les années 2030 pour faire reconnaître de manière large et uniformisée les impacts sur le climat et sur la biodiversité des projets financés. En effet, à cette époque, alors que son poste venait d’être créé, il avait initié un large programme de sensibilisation et d’information autour de ce sujet, pour accélérer la transition écologique de son entreprise. Le projet avait connu un grand succès grâce à son organisation. Il avait d’abord lancé le projet sur des petites communautés au sein de l’entreprise, pour finalement atteindre tout le groupe, jusqu’aux décideurs cruciaux qu’il était essentiel de convaincre.
En y repensant, son entreprise avait bien failli y passer s’il n’avait pas entamé ce projet de transformation, et il regretta même longtemps de ne pas avoir entamé ce projet plus tôt. Heureusement, son action avait abouti. Certes il avait fallu du temps, faire preuve de beaucoup de persuasion, et investir – peut-être perdre – de l’argent, mais le jeu en valait la chandelle.
Car aujourd’hui, tous les acteurs privés et publics prennent systématiquement en compte les risques liés au climat (anticipations des effets du changement climatique, perte de valeur d’un actif après son achat du fait des politiques climatiques telle que les actifs liés aux énergies fossiles) et les opportunités associées (investissements devenant rentables du fait de politiques climatiques comme le prix du carbone).
Historiquement, le milieu de la finance investissait massivement dans des secteurs adossés aux énergies fossiles et donc néfastes pour l’environnement. En bref, il a fallu se battre pour réinvestir dans des activités plus respectueuses du climat. Aussi, une grande campagne de sensibilisation des risques financiers liés au climat avait réussi à faire pencher les investisseurs encore réticents. Ces risques financiers d’origine climatique étaient multiples. Tout d’abord les risques physiques qui pouvaient prendre la forme d’une destruction de stock d’actifs suite à des évènements météorologiques extrêmes favorisés par le réchauffement climatique. En témoigne l’année 2021 : feux de forêt géants, inondations, cyclones dévastateurs etc. Ces évènements ont un impact sur les populations, sur les économies et sur les revenus d’investissements. Mais ces risques impactaient aussi de nombreux secteurs et ainsi, détériorer les flux de revenus : récoltes plus faibles du fait de canicule, recettes du tourisme taries s’il n’y a plus de neige dans les stations de ski etc.
Enfin, si cela avait pris du temps, c’était néanmoins possible. Il restait des retardataires, mais c’était maintenant eux que l’on pointait du doigt. À l’époque, ce n’était pas la norme. D’ailleurs, il avait lui-même poussé le projet suite à un rendez-vous avec son banquier, un jour de novembre 2029, qui lui avait recommandé de nouveaux produits d’investissements responsables.
“Tiens, tu te rappelles quand j’ai entamé le projet Green or Nothing ?” dit-il à son compagnon qui préparait le repas. “C’était quand même un moment important de ma carrière. J’y repense et je me dis que l’investissement était énorme, mais il a été si bénéfique. Si nous n’avions pas anticipé les évolutions du marché et les réglementations, nous aurions dû nous transformer dans l’urgence et finalement, cela nous aurait coûté plus cher. Peut-être même la pérennité de l’entreprise”
“Oui c’est vrai. En fait, c’est comme quand on part en vacances et que j’oublie de faire ma valise en fonction de la météo. On se retrouve à faire toutes les friperies de la ville pour trouver des vêtements adaptés sur place. Ça nous coûte plus cher et peut-être même la pérennité de notre couple !”
“T’es bête” répondit Hélix en rigolant. Il repartit dans ses pensées. Demain était un jour important pour lui. On serait le 7 novembre 2050, et se tiendrait alors la COP 56. Il allait y participer avec un collectif de salariés, de dirigeants, de référents écologiques et avocats de la biodiversité pour participer aux questions autour de la transition écologique. Ces collectifs, apparus dès la COP26 de 2021 et qui comptaient une trentaine de personnes, sont aujourd’hui indispensables et représentent des milliers de salariés dans le monde.
À l’époque, le credo était “Il suffit de 10 % des collaborateurs pour changer toute l’entreprise », aujourd’hui, nous sommes très fiers de pouvoir dire “c’est grâce à 10% des entreprises que le monde change”.
État des lieux
D’ici à 2050, les entreprises auront été bouleversées par la transition écologique. Suite aux conséquences du dérèglement climatique, elles n’auront pas eu le choix que de se conformer à de nouvelles réglementations, notamment dans les secteurs les plus influents. La neutralité carbone est atteinte pour la majorité des entreprises.
De nouveaux métiers auront été créés pour répondre à ces nouvelles exigences, comme par exemple le rôle d’un référent écologique, qui assurerait la prise en compte des impacts sur le climat et sur la biodiversité lors de chaque projets.
Enfin, la prise en compte des questions environnementales ne sera plus isolée ou portée par quelques individus. Priorité mondiale, les rassemblements autour des solutions à apporter pour préserver l’environnement et lutter contre le dérèglement climatique seront au cœur du débat et invitera le plus grand nombre à y participer. Organisations non gouvernementales, institutions publiques, secteur privé et société civile trouvent des voies de coopération pragmatique qui permettent de trouver des solutions globales.
Il est vendredi après-midi, et comme chaque semaine, vous vous connectez à votre plateforme de formation en ligne. Vous remarquez une notification :
Depuis que votre entreprise a mis en place une solution de digital learning pour former sur les soft skills, vous avez pris pour habitude, vous et vos amis de l’open-space, de vous défier sur différents cours. En effet, cette plateforme permet aux utilisateurs une expérience d’apprentissage gamifiée, où répondre correctement fait remporter des vies et où les utilisateurs peuvent s’envoyer des battles pour se tester sur différents sujets ! Cette plateforme vous a vraiment motivé à vous former régulièrement, et vous trouvez ça plus chaleureux et divertissant de tester vos connaissances sur un sujet en interagissant avec vos pairs, d’autant que cela vous aide à vous concentrer pour retenir le contenu du cours. D’ailleurs, c’est arrivé à plusieurs reprises que vous en parliez ensemble à la pause café, évoquant des informations apprises dans le cours ou comparant vos résultats. Depuis vos débuts sur la plateforme, vous avez d’ailleurs atteint le niveau Coach sur la plupart des cours, et vous pouvez ainsi aider vos pairs sur certains sujets.
Vous décidez de cliquer sur la notification pour lancer la battle. Vous avez révisé quelques informations du cours au préalable, en réalisant un microlearning de 5 minutes sur chaque chapitres du cours. Maintenant que la battle est lancée, c’est à vous de l’emporter !
6/6. Vous gagnez la battle de justesse. Louis a également eu 6 bonnes réponses mais vous avez été plus rapide à répondre aux questions ! Heureusement que vous aviez révisé, cela vous a sûrement assuré la victoire. Vous vous empressez de proposer à votre collègue une petite pause café pour débriefer.
“Alors Louis, t’en as pensé quoi de ce cours ?”
“Haha et bien franchement, je saurais dorénavant que chaque fois que j’utilise une connexion réseau qui n’est pas celle de mon réseau d’entreprise, je n’aurais aucun contrôle sur ce qui est connecté à mon appareil. Moi j’utilisais souvent le Wifi dans le train par exemple, mais c’est mieux d’éviter d’utiliser le Wifi public apparement.
“Ouais, c’est vrai qu’en déplacement on peut vite oublier ces règles de base pour être plus flexible ! Tu devrais en parler au service informatique, il pourrait installer un logiciel VPN qui te permettra de te connecter à partir d’un réseau externe !”
“Tu as raison ! Dis-donc, t’as vraiment bien révisé toi…”
“Tu devrais aussi t’y mettre car la semaine prochaine, c’est une Massive Battle qui est organisée sur la plateforme !”
Vous reprenez place à votre bureau et avant de vous remettre au travail, vous décidez d’envoyer une nouvelle battle à un autre collègue, afin de vous préparer à la Massive Battle de la semaine prochaine.
Qu’en pensent les chercheurs ?
Une étude récente menée par des chercheurs de l’université de Washington a montré que l’apprentissage actif, fondé sur la collaboration et l’interaction, avait un effet positif sur les résultats scolaires des étudiants.
Ainsi, l’étude a révélé que l’absence d’apprentissage actif peut en fait nuire aux chances de réussite scolaire d’un étudiant. Par exemple, suite à l’expérience, il a été démontré que les étudiants qui suivent un enseignement traditionnel basé sur des cours magistraux ont 1,5 fois plus de chances d’échouer que ceux qui participent à des cours comportant un apprentissage actif.
Ce qu’il faut retenir
Le collaborative learning en entreprise est une forme d’apprentissage qui lie la capacité d’apprendre avec et grâce aux autres. Pour favoriser le collaborative learning, il est important de permettre des échanges et le partage entre pairs, afin de diffuser les connaissances. Si l’apprentissage collaboratif renforce l’esprit d’équipe, il est aussi plus efficace. Il permet aux employés d’apprendre en continu, à travers leurs échanges au quotidien et leurs retours d’expérience.
Comment cela se traduit chez Coorpacademy by Go1 ?
Chez Coorpacademy, pour favoriser l’apprentissage collaboratif, nous encourageons les apprenants à se défier et à tester leurs nouvelles compétences dans un mode de jeu très interactif et ludique. Celui des battles. Cet élément de jeu sur la plateforme en mode duel de questions permet à chaque apprenant de défier la personne de son choix sur le cours de son choix ! L’apprenant qui répondra correctement au plus grand nombre de questions – ou le plus rapidement en cas d’égalité – remporte la Battle, 5 points bonus, et une meilleure connaissance du cours. Dans le cadre de notre programme d’animation de la plateforme et pour favoriser l’engagement des apprenants sur la plateforme, la battle peut aussi devenir massive ! Dans la Massive Battle, tout ou une partie des apprenants de la plateforme y participent et ils sont tous mis au défi par un seul d’entre eux. Ainsi, cette fonctionnalité permet aux équipes RH et formation d’animer la plateforme de formation pour pérenniser l’engagement des apprenants !