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Le jeu et le plaisir sont les clés de la réussite

Retrouvez ci-dessous l'interview menée par la journaliste Seraina Branschi et publiée initialement dans le Neue Zürcher Zeitung en langue allemande, sous le titre Mit Spiel und Spass zum Erfolg.

Coorpacademy offre aux entreprises une solution de formation continue flexible. Interview de Seraina Branschi Avec son entreprise, Jean-Marc Tassetto assure un apprentissage ludique.

La révolution digitale est un défi majeur pour les entreprises. Agilité et soft skills sont de plus en plus recherchées. Entreprises et collaborateurs ne savent pas comment répondre aux exigences toujours plus nombreuses et fluctuantes. De plus, on manque souvent de temps pour suivre des formations continues régulières et intensives. L’entreprise Coorpacademy a adapté sa plateforme d’apprentissage pour relever ces défis et offre ainsi la solution optimale. Jean-Marc Tassetto, PDG et cofondateur de l’entreprise, revient sur les évolutions de la formation continue dans la société actuelle.

« L’apprentissage tout au long de la vie » est aujourd’hui sur toutes les lèvres. Cette idée est perçue comme une réponse à notre incertitude quant aux aptitudes et compétences dont nous aurons besoin dans quelques années. Coorpacademy répond-elle à la nécessité de rester « toujours à la page » ?

Le futurologue Alvin Toffler avait coutume de dire : « les analphabètes du XXIème siècle ne seront pas ceux qui ne savent pas lire et écrire, mais ceux qui ne savent pas apprendre, désapprendre et réapprendre. » Alors que le monde change plus rapidement que jamais, que des emplois disparaissent et que d’autres voient le jour, personne ne peut prédire avec certitude quelles compétences seront nécessaires et décisives dans les années à venir. C’est pourquoi, chez Coorpacademy, nous proposons un catalogue de plus de 1 300 cours de compétences durables, c’est-à-dire de compétences douces ou « soft skills » que tout le monde peut apprendre. Parmi les compétences que la plateforme de Coorpacademy fournit aux apprenants en entreprise figurent notamment les compétences comportementales, digitales, d’intégration, culturelles et de communication. À terme, pour chaque apprenant, l’objectif est de renforcer ses compétences déterminantes pour l’embauche, de définir lui-même son parcours de formation et d’être paré pour l’avenir.

Comment Coorpacademy se démarque des autres « plateformes d’apprentissage et de gestion » ?

Le contenu est déterminant. Nous avons plus de 50 partenaires qui proposent des cours avec nous, dont notamment IBM, Forbes, Challenges ou Video Arts, pour ne citer qu’eux. Pour nous, l’originalité et la qualité des contenus sont primordiales. Par ailleurs, la manière dont nous transmettons le contenu joue un rôle important. Pédagogie inversée, éléments ludiques : le contenu est ingénieux et divertissant, appuyé par de puissants programmes de données et d’apprentissage automatique. Coorpacademy place les apprenants au centre de leur parcours d’apprentissage et de leur programme d’entraînement. Tout ce que nous faisons à Coorpacademy sert un même objectif : comprendre les apprenants et leur manière d’apprendre tout en offrant une expérience d’apprentissage personnalisée. Enfin, au lieu d’ajouter des fonctions ludiques à la formation des entreprises, nous nous basons sur des formats attrayants inspirés du monde du divertissement auxquels nous ajoutons l’apprentissage. L’apprentissage doit être source d’enthousiasme et de plaisir. Chacun devrait pouvoir apprendre à son propre rythme. C’est de là que vient notre slogan, « Enjoy learning ».

Sans remettre en question la nécessité de formations ciblées, notre quotidien ne nous laisse généralement pas le temps de nous y consacrer. Comment Coorpacademy résout ce problème ?

La frontière entre vie professionnelle et vie privée s’estompe. De ce point de vue, il semble tout à fait impossible que les collaborateurs puissent consacrer du temps supplémentaire à la formation dans leur vie quotidienne. Ainsi, nous abordons cette question de la manière suivante : que fait-on régulièrement quand on a du temps ? On regarde un film, une émission de télévision ou une autre forme de divertissement. Bref : on s’amuse ! Nos cours sont conçus à partir de formats de divertissement que nous complétons avec des contenus d’apprentissage. Des vidéos courtes (moins de trois minutes), des learning nuggets de cinq minutes que l’on peut lancer avant une réunion ou en attendant un avion. On peut défier d’autres apprenants sur n’importe quel sujet. Grâce à l’escape game digital, on peut résoudre un problème en apprenant. En outre, les cours adaptatifs permettent de suivre différents parcours. Tous ces formats de cours sont disponibles partout et à tout moment, pour que chaque utilisateur aille à son propre rythme. Une fois débuté, chaque cours se poursuit sans problème.

Intuitivement, on comprend bien l’intérêt de suivre une formation, mais il peut s’avérer difficile d’en apporter la preuve, notamment pour les responsables RH. Qu’en pensez-vous ?

Nous avons publié un livre blanc sur le calcul du retour sur investissement des formations d’entreprise. Même s’ils ne sont pas encore complètement aboutis, il existe des moyens de calculer le retour sur investissement. L’apprentissage digital et en particulier les plates-formes d’expérience d’apprentissage contribuent à réduire les coûts par salarié.e et à assurer des formations plus efficaces. Des études montrent que les apprenants qui apprennent activement sur leur lieu de travail sont plus heureux, plus impliqués et plus productifs. Les formations en ligne permettent de réduire les coûts liés au manque d’implication, à la rotation ou au remplacement du personnel. Cela favorise également la mobilité interne.

Comment se combinent l’intérêt individuel des collaborateurs et les thèmes importants pour l’entreprise ?

Les deux se complètent : Coorpacademy propose un catalogue de cours toujours accessible pour les apprenants. L’entreprise peut créer ses propres cours, en rendre certains obligatoires. Néanmoins, les apprenants curieux auront toujours la possibilité de suivre leur propre parcours d’apprentissage personnalisé.

Aujourd’hui, l’apprentissage se fait de plus en plus en équipe. Avez-vous des solutions pour favoriser les échanges ?

Nous avons ajouté des fonctionnalités d’apprentissage social à la plateforme. Il existe par exemple des forums où les apprenants échangent sur un cours. On peut aussi demander de l’aide à ­un coach. Dans les Battles, les apprenants ont aussi la possibilité de montrer ce qu’ils ont appris. Certains clients organisent des lunch & learn, où les participants se retrouvent et apprennent ensemble sur la plateforme.

À quoi ressemble le paysage de la formation, selon vous ? Quelles sont les éventuelles lacunes actuelles du marché suisse et quels défis pose le monde de la formation digitale ?

La Suisse occupe une bonne position dans le secteur de l’EdTech, pour différentes raisons. Le professeur Pierre Dillenbourg évoque les différents atouts qui font de la Suisse un lieu de formation de premier plan. « Autour du lac Léman, près de l’EPFL, on trouve l’IMD, l’École hôtelière de Lausanne, deux hôpitaux universitaires et des laboratoires renommés. Et ce, uniquement autour du lac Léman ! La culture de l’excellence en éducation est unique dans la région. Et la capacité de trouver des fonds est bien meilleure qu’ailleurs en Europe. » En outre, les initiatives dans le domaine de l’EdTech se multiplient. L’engagement des institutions et des autorités n’est pas seulement un pari sur l’avenir, mais une condition pour que la révolution digitale ne soit pas perçue comme un obstacle à nos économies, mais comme une source de croissance économique. Un conseil partagé par l’Unesco qui estime que « chaque dollar dépensé dans la formation des jeunes peut générer 15 fois plus de croissance économique ». Certaines entreprises sont déjà bien avancées dans la transformation digitale. Leur objectif est maintenant d’utiliser l’apprentissage digital pour accélérer d’autres formes d’évolution, comme les transformations culturelles, structurelles, organisationnelles ou environnementales, et combler leurs lacunes. Le chemin est encore long.

Le digital complique-t-il le monde de la formation ?

Il multiplie les acteurs de la formation, certes, mais en fin de compte – et c’est là le plus important – cette diversité profite aux apprenants. Dans 20 ans, la digitalisation permettra aux apprenants de disposer d’une multitude de contenus de qualité. Les anciens acteurs de la formation devront se confronter à la digita­lisation pour accéder à l’incroyable pool de personnes qui auront besoin d’une formation dans le monde entier. En outre, les technologies de pointe telles que l’intelligence artificielle, la réalité augmentée et la réalité virtuelle offriront de nouvelles possibilités d’apprentissage. Nous vivons une époque passionnante pour l’apprentissage digital !

Jean-Marc Tassetto est PDG et cofondateur de la plateforme d’apprentissage digital Coorpacademy. Il a fondé la société en 2013 avec Arnauld Mitre et Frédérick Bénichou. Coorpacademy a reçu fin 2019 le label de qualité « SEF.High-Potentiel PME ».

Source : https://www.nzz.ch/themen-dossiers/x-days/mit-spiel-und-spass-zum-erfolg-ld.1571775

PÔLE D’INNOVATION SUISSE : 51 STARTUPS APPORTENT DES SOLUTIONS D’AVENIR

Nous sommes fiers d’avoir été sélectionnés parmi les 8 scale-ups de la catégorie "EdTech & New Work" du programme Kickstart Innovation !

Depuis sa création il y a 5 ans, Kickstart est devenu l’un des programmes d’innovation les plus importants d’Europe. Il a permis le lancement de plus de 120 pilotes et projets commerciaux entre des startups, des grands groupes et des entreprises dans des secteurs variés.

"De septembre à novembre, les startups sélectionnées auront la possibilité de co-construire, sous la forme de Proof-of-Concepts (POCs), des pilotes et des projets avec les partenaires de Kickstart et des grands groupes tels que AXA, Coop, Migros, Swisscom, Mobiliar, ETH Zürich, City of Zürich, PostFinance, Credit Suisse et bien d’autres", nous dit Katka Letzing, Co-Lead de Kickstart.

Découvrez le communiqué de presse, comment fonctionne ce hub de l’innovation en Suisse et comment Coorpacademy a été sélectionnée pour prendre part au programme !

COMMUNIQUÉ DE PRESSE – KICKSTART

PÔLE D’INNOVATION SUISSE : 51 STARTUPS APPORTENT DES SOLUTIONS D’AVENIR

De l’apprentissage personnalisé digital et des thérapies digitales gamifiés à l’authentification rendue possible par reconnaissance faciale, en passant par la réduction de l’utilisation du ciment via la capture du CO2 en tant que solution d’économie circulaire, la technologie de lumière LED antimicrobienne et la communication de données en temps réel dans les domaines de la technologie financière (FinTech) et de l’assurance (AssurTech), Kickstart s’engage à différents niveaux pour stimuler les activités d’innovation en Suisse. Plus de 50 startups à haut potentiel de croissance et originaires de 11 pays sont de la partie cette année.

Zurich, le 22 juillet 2020 – Depuis sa création il y a cinq ans, Kickstart est devenue l’une des plus grandes plateformes européennes d’innovation et a initié plus de 120 projets pilotes et commerciaux entre startups, organisations établies et entreprises de secteurs variés. « Malgré le COVID-19, Kickstart a reçu des candidatures de grande qualité émanant de plus de 55 pays et il y a eu, dans l’ensemble, une augmentation significative des entreprises de la deeptech affirmant leur volonté d’évoluer en Suisse », explique Katka Letzing, co-responsable de Kickstart. « De septembre à novembre, les startups auront la possibilité de co-créer en réalisant des démonstrations de faisabilité et en menant des projets pilotes et commerciaux avec des partenaires de Kickstart, des organisations et des entreprises de pointe telles que AXA, Coop, Migros, Swisscom, Mobiliar, ETH Zürich, la Ville de Zurich, PostFinance, et le Credit Suisse pour ne citer qu’elles. Cette année, Kickstart se réjouit de compter de nouveaux partenaires, dont Mövenpick, New Work SE , Energie 360 °, Roche, Holcim Switzerland, Nespresso, Canton de Vaud and more. Les startups auront également l’occasion de s’engager dans la région romande, à proximité du Grand Zurich. Les startups participant au programme 2020 allient un haut niveau d’innovation technologique à des solutions destinées à favoriser le développement durable. La startup spécialisée en technologies de la santé Kaia Health, par exemple, propose des thérapies numériques qui créent des traitements accessibles et fondés sur des données probantes pour soigner un éventail de troubles. En tant que startup spécialisée dans la FoodTech et la Retail Tech, Vital Vio conçoit, développe et fabrique des technologies LED antibactériennes pour une gamme croissante d’applications commerciales et résidentielles. La startup FinTech Keyless développe des solutions pour une authentification biométrique sécurisée et simultanée. La startup AssurTech Motions Cloud assure le traitement des sinistres en temps réel. La startup Neustark, spécialiste de la Smart City, travaille à la réduction du ciment en transformant le CO2 en éléments gazeux dans l’industrie du bâtiment. La startup EdTech Coorpacademy, qui développe une nouvelle approche du travail, fournit quant à elle du contenu d’apprentissage digital personnalisé pour l’acquisition de nouvelles compétences professionnelles. « Chaque année, Kickstart attire des startups qui occupent une position de leader dans leur domaine. Ce programme nous a donné l’occasion de travailler rapidement et efficacement avec ces entreprises émergentes, de développer plus vite nos propres idées commerciales, d’apprendre ce que cela signifie pour Migros et quels avantages peuvent être créés pour nos consommateurs », déclare Eliana Zamprogna, directrice technique du groupe Migros. « L’engagement de notre organisation a fortement augmenté au fil des ans. Nos employés Salariés ont la possibilité de concevoir les affaires, l’innovation et la technologie de différentes manières et à un rythme différent de celui qu’ils adoptent dans le cadre de leur travail quotidien. Ce programme a renforcé les compétences de leadership et de collaboration de notre organisation. »

Startups à fort potentiel de croissance (Scaleups) engagées cette année :

EdTech & New Work #KICKSTARTERS20:

BOOKR Kids (Hongrie) est un outil unique et ludique d’éducation à la lecture, conçu pour intéresser et enchanter les plus jeunes apprentis lecteurs.

Coorpacademy (Suisse) révolutionne l’univers de la formation digitale à destination des entreprises, avec son contenu premium et sa plateforme d’expérience d’apprentissage, auxquels de grandes marques mondiales n’hésitent pas à recourir pour former tous leurs employés.

Gravity Global (Suisse) permet d’économiser 90 % des coûts d’apprentissage en entreprise.

HRForecast (Allemagne) fournit des réponses Big Data et des solutions d’IA pour préparer au mieux les personnes et les organisations à l’avenir du travail.

Innential (Allemagne) est une plateforme d’apprentissage destinée aux entreprises et axée sur les données, qui crée des expériences d’apprentissage personnalisées pour les individus.

Sharpist (Allemagne) est la plateforme de développement personnel orientée vers les résultats et alimentée par le coaching digital.

SkillGym (Suisse) rend le développement des compétences relationnelles évolutif et incite ses utilisateurs, par le biais d’un jeu de rôle digital axé sur l’IA, à s’impliquer dans des conversations importantes.

Time is Ltd. (République tchèque) est une plateforme SaaS d’analytique avancée qui s’adresse aux dirigeants d’entreprise axés sur les données. Elle offre une approche holistique de la productivité organisationnelle, de la culture de la communication et de la configuration de la collaboration numérique.

FinTech & InsurTech #KICKSTARTERS20:

Build38 (Allemagne) sécurise les activités dans le monde des applications mobiles contre la fraude en ligne et les violations de données.

decentriq(Suisse) vise à changer la manière dont le monde accède aux données. Elle permet l’utilisation de données sensibles provenant d’autres organisations tout en garantissant la confidentialité et la sécurité de ces mêmes données.

Keyless (Royaume-Uni) est une société de cybersécurité deeptech qui construit la première plateforme mondiale d’authentification biométrique et de gestion de l’identité personnelle dans le respect de la vie privée. La plateforme Cloud Keyless permet aux entreprises d’adopter un mode sans mot de passe et de protéger leur personnel à distance. Elle offre également la garantie d’une authentification forte du client, d’un simple coup d’œil.

LAMIE direkt (Autriche) est un système AssurTech complet qui permet aux entreprises de créer des solutions d’assurance numériques au sein de leur écosystème existant

MotionsCloud (Allemagne) aide les compagnies d’assurance habitation et automobile à rationaliser et automatiser les processus de gestion des sinistres. Ces traitements sont exécutés par des modules de reconnaissance associés à la vision par ordinateur IA. Cette startup réduit la durée de gestion des sinistres à 3heures, diminue jusqu’à 75 % les coûts de traitement et améliore l’expérience des clients en matière de réclamations.

omocom (Suède) propose des solutions d’assurance innovantes et entièrement digitales pour les plateformes d’économie circulaire, y compris pour la location, le partage, la location, la revente (P2P, B2B, B2C). Ces innovations permettent d’accroître la confiance entre les partenaires d’une transaction et aident ainsi ces plateformes à se développer et à devenir plus viables.

Ratyng (Suisse) attribue des notes de crédit de Wall Street à « Main Street », c’est-à-dire à l’économie réelle et aide ainsi les entreprises à trouver de meilleurs partenaires commerciaux.

tilbago (Suisse) permet aux créanciers de recouvrer efficacement une dette en ligne.

TIMIFY (Allemagne) est une solution en ligne de réservation, de programmation et de gestion des ressources pour les petites, moyennes et grandes entreprises.

Yova (Suisse) propose des investissements qui combinent impact sur la durabilité et rendements attractifs — tout est numérique, facile à comprendre et transparent.

Food & Retail Tech #KICKSTARTERS20:

Ai Palette (Singapour) aide les entreprises à innover en matière de produits en prédisant les tendances alimentaires en temps réel à l’aide de l’IA et de l’apprentissage automatique.

Alpengummi (Autriche) est le premier chewing-gum naturel des Alpes, uniquement composé de ressources renouvelables et donc sans plastique, édulcorants artificiels et autres ingrédients potentiellement nocifs.

Boost Biomes (États-Unis) développe des traitements microbiens pour l’alimentation et l’agriculture afin de prolonger la durée de conservation des aliments et d’augmenter les rendements agricoles.

Greendeck(Royaume-Uni) utilise l’IA pour aider les détaillants et les marques à optimiser leurs prix et surveiller la concurrence.

iSense (Suisse) offre un complément au talent artistique en mettant à disposition des données sensorielles, des analyses, ainsi que le premier système de gestion de collecte de saveurs basé sur le cloud. Le choix et l’exploitation des parfums s’en trouvent facilités.

livealytics (Suisse) fournit un accès à l’Internet des objets (IoT) ainsi que des outils d’analyse comme services dont bénéficient les municipalités, l’immobilier, le marketing en direct, les espaces de vente et les salons professionnels. La solution est facile à déployer et à gérer. Elle enregistre différents indicateurs de fréquentation et fournit des analyses, des repères, des indicateurs de performance (ICP) et des recommandations d’une grande pertinence.

Novolyze (France) améliore la sécurité, la qualité et la durabilité de la production alimentaire.

Prognolite (Suisse) aide les restaurants à réduire le gaspillage alimentaire et à optimiser la planification du personnel en prévoyant la demande à venir grâce à des algorithmes d’apprentissage automatique.

Vital Vio (États-Unis) est une société Health Tech qui a créé une technologie de lumière LED antimicrobienne à diode unique (non-UV). Ce dispositif peut être utilisé en toute sécurité dans les foyers, les lieux publics et l’industrie. Il crée des environnements empêchant la croissance des bactéries, des champignons, des levures, des moisissures et du mildiou.

HealthTech #KICKSTARTERS20:

Kaia Health (Allemagne) est une entreprise de thérapies numériques qui crée des traitements accessibles et fondés sur des données probantes pour soigner un ensemble de troubles, notamment les douleurs dorsales, les douleurs au genou et à la hanche et la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO).

Klenico (Suisse) soutient les professionnels de la santé et les patients en les aidant à diagnostiquer les troubles mentaux.

mementor (Suisse) développe des applications numériques de santé dans le domaine de la médecine du sommeil et des domaines médicaux associés.

Pryv (Suisse) est un intergiciel prêt à l’emploi pour la gestion des données personnelles et du consentement. Pryv offre une base solide sur laquelle les entreprises construisent leur propre solution de santé numérique, afin de collecter, stocker, partager et utiliser légitimement les données personnelles.

SidekickHealth (Islande) est une entreprise nordique spécialisée dans les thérapies digitales qui soutient les personnes atteintes d’un large éventail de maladies chroniques. Cette aide peut revêtir différentes formes, telles que la surveillance à distance, l’adhésion au traitement et une formation spécifiquement adaptée à la maladie sous l’impulsion de l’IA et de la gamification. Cette approche se traduit par d’excellents taux de rétention et a permis une nette amélioration des résultats en matière de santé.

Uplyfe (Suisse) est un compagnon doté d’une IA qui assure un suivi médical. Il réagit au comportement de l’utilisateur en matière de nutrition et d’exercice et analyse ses symptômes pour l’aider à influencer sa santé d’une nouvelle manière.

Smart City & Technology #KICKSTARTERS20:

Animatico

Animatico (Suisse) crée des avatars interactifs pour une interaction fluide avec les appareils numériques.

FAAREN (Allemagne) permet à tous les concessionnaires automobiles de devenir des fournisseurs d’abonnement et de proposer leurs véhicules via le marché FAAREN aux clients finaux.

Greyparrot (Royaume-Uni) fournit un logiciel de reconnaissance des déchets basé sur l’IA pour surveiller et trier les matériaux recyclables à grande échelle.

HeatNeutral (Suisse) représente l’avenir d’une énergie thermique à zéro émission et climatiquement neutre. Cette startup produit les systèmes de chauffage les plus efficaces, rentables et évolutifs au monde pour les habitations et l’industrie qui utilisent des carburants neutres en CO2.

InstaDeep (Royaume-Uni) développe des produits d’IA et des solutions sur mesure pour les entreprises clientes. Cette startup se concentre sur des systèmes de prise de décision de nature à résoudre les problèmes existants dans un large éventail de secteurs. À cette fin, elle recourt à l’apprentissage automatique avancé, à l’apprentissage par renforcement et à l’apprentissage profond.

MOBBOT (Suisse) fournit un système d’impression 3D de béton destiné aux infrastructures durables.

Neustark (Suisse) développe une solution conteneurisée pour stocker le CO2 dans les matériaux de construction.

Peter Park System (Allemagne) transforme les parkings en centres de mobilité en fournissant aux opérateurs de parkings une reconnaissance automatique des plaques d’immatriculation, un logiciel basé sur le cloud et l’intégration d’applications de stationnement.

L’intrapreneuriat pousse les entreprises bien établies à générer une nouvelle croissance commerciale et crée un changement culturel durable

Outre les partenariats entre les startups et les organisations établies, Kickstart soutient la promotion de l’innovation dans les entreprises elles-mêmes. Neuf équipes d’intrapreneuriat, indépendantes au sein des entreprises, feront également partie de la cohorte 2020. Cette année, aux côtés de Swisscom, de La Mobilière et de Migros, de nouveaux partenaires ont été engagés avec leurs équipes internes, dont PostFinance, Holcim Suisse et Energie360°. « Sans innovation, il ne peut y avoir de croissance durable », explique Alice Dal Fuoco, responsable innovation chez PostFinance. « Pour soutenir la croissance de nos activités d’innovation, nous sommes ravis de collaborer avec des leaders de l’innovation externes tels que Kickstart. »

Intrapreneurship #KICKSTARTERS20:

#digitalreal (La Mobilière, FinTech & AssurTech) est une mesure de La Mobilière visant à sensibiliser le public aux cyber-risques.

Atendo (Holcim Suisse, Smart City & Technology) vise à éliminer le travail fastidieux et à créer une liaison numérique qui permet de récupérer en l’espace de quelques secondes seulement les documents d’appel d’offres et/ou des plans directeurs. L’entreprise offre ainsi un point de départ vers l’automatisation du processus d’offre.

Check&Connect (La Mobilière, FinTech & AssurTech) offre la possibilité aux PME d’évaluer facilement et à moindre coût la sécurité de leur propre infrastructure informatique. La startup leur fournit également un contact direct avec des experts ainsi que des services additionnels qui permettent aux PME de remédier aux faiblesses identifiées et de mettre en œuvre des mesures préventives.

CliMate (Swisscom, Smart City & Technology) encourage les gens à adopter un mode de vie plus durable en fournissant une plateforme communautaire dédiée aux défis environnementaux.

lab360 (Energie 360°, Smart City & Technology) crée l’avenir de l’énergie hydrogène.

Ormera (PostFinance, Smart City & Technology) est une solution Meter-to-Cash basée sur la blockchain qui automatise l’ensemble du processus de facturation de l’énergie autoproduite.

Roady (Swisscom, Smart City & Technology) aide l’utilisateur à se diriger vers les endroits conformes à ses goûts, et donc susceptibles de lui plaire.

The Ginius Way

Way (Swisscom, Food & Retail Tech) donne à l’utilisateur le temps de se consacrer aux choses importantes de la vie en prenant en charge ses tâches quotidiennes et ses corvées.

WoWMi (Migros, Food & Retail Tech) – The Beauty Timeout – est une plateforme qui combine, dans un écosystème holistique, des soins de beauté et de bien-être personnalisés avec des options et des services complémentaires.

Kickstart est une spin-off d’Impact Hub Zurich,​ une communauté internationale d’entrepreneurs, de techniciens et de créatifs. La plateforme d’innovation en matière d’écosystème gère des programmes destinés aux startups, aux « intrapreneurs », aux PDG et aux organisations établies. Elle organise notamment une semaine de lancement en septembre et une collaboration de six semaines, du 30 septembre au 8 novembre, pendant laquelle les équipes internationales s’engageront en Suisse. Les sites retenus par Kickstart cette année sont l’espace d’innovation ​Kraftwerk à Zurich et Impact Hub Lausanne.

Pour aller plus loin, veuillez prendre contact avec :

Sasha Steinmann, Communication Manager

+41 77 529 63 26

[email protected]

www. kickstart-innovation.com

À propos de Kickstart

Kickstart est l’une des plus grandes plateformes d’innovation multi-entreprises en matière d’écosystème à capital zéro en Europe. Elle gère un programme d’expansion destiné aux startups à forte croissance dans le but d’accélérer l’innovation technologique de rupture (« deep tech ») en Suisse. Les technologies axées sur la science et l’ingénierie sont capables de résoudre les plus grands défis de l’humanité. Ces défis exigent une collaboration sans précédent entre des organisations établies et les entrepreneurs les plus audacieux. Kickstart s’engage à créer des ponts et à rassembler diverses organisations telles que des startups, des entreprises, des villes, des fondations et des universités.

Chaque année, Kickstart fait venir jusqu’à 100 entrepreneurs en Suisse pour collaborer avec des acteurs clés en vue de la validation de concepts, de projets pilotes et d’autres partenariats d’innovation. En outre, grâce au programme d’intrapreneuriat, Kickstart aide les entreprises établies à accélérer l’innovation interne.

Kickstart est une spin-off d’Impact Hub Zurich lancée en 2015 par digitalswitzerland. En 2020, Kickstart gère cinq marchés verticaux : EdTech & New Work, FinTech & InsurTech, Food & Retail Tech, HealthTech, Smart City & Technology. Elle met également en place un programme d’intrapreneuriat et des initiatives pour une économie circulaire en partenariat avec des organisations issues de tous les secteurs : AXA, Coop, Migros, Swisscom, La Mobilière, ETH Zurich, Ville de Zurich, fondation Gebert Rüf, Holcim Suisse, fondation MAVA, fondation Mercator Suisse, PostFinance, Mövenpick, New Work SE, Office fédéral de l’énergie suisse (OFEN), Credit Suisse, CSEM, Energie 360°, Empa NEST, Hôpital universitaire de Zurich, Panter, SATW, startups suisses spécialisées dans la santé, Roche, Growpal, Ringier, Wenger & Vieli AG, Google for Startups, Nespresso, Canton de Vaud, WECOCO et bien d’autres encore.

Les communautés sont l’avenir de l’entreprise !

 

Coorpacademy a co-édité avec makesense un cours en ligne sur la création de communautés en entreprise. Elles peuvent apporter beaucoup aux organisations : stimuler l’innovation, fidéliser les salariés, diffuser de nouvelles méthodes de travail…Lucie Chartouny, Community Builder chez makesense et co-initiatrice de la communauté des paumé·e·s nous livre dans cette interview son expérience de construction de communautés. Il semblerait que la révolution du collectif en entreprise n’ait pas fini de nous surprendre !

Q. : Commençons par une question facile, ou presque ! Qu’est-ce qu’une communauté pour l’entreprise ? Communauté et entreprise vont-elles si bien ensemble ?

En réalité, il n’y a pas une seule bonne définition, car ce mot est utilisé différemment selon les personnes, les contextes et les cultures. Dans notre quotidien, on concentre cette définition sur les personnes qui choisissent de se regrouper en communauté pour une raison particulière. Et plus précisément, sur les groupes de personnes unies par une vision commune – comme rendre les produits de leur entreprise plus durables – ou par leur situation – par exemple un groupe de jeunes entrepreneurs – qui œuvrent ensemble pour atteindre un objectif partagé.

En tout cas, je suis convaincue que la communauté est l’avenir de l’entreprise.

En tout cas, je suis convaincue que la communauté est l’avenir de l’entreprise, c’est-à-dire que l’avenir de l’entreprise se construira autour d’une approche de communautés. Le fait d’avoir un groupe de personnes qui a envie d’agir ensemble, de faire avancer des sujets, permet – et on l’a vu en temps de crise – d’être à la fois proactif, résilient, tout en ayant une approche décentralisée, et donc au final de gagner du temps et de trouver les solutions plus pertinentes et plus proches du terrain.
Après, les communautés en entreprise présentent de vraies différences. Certaines servent à engager, à connecter soit des salariés soit des parties prenantes, sur des thématiques données, par exemple environnementales, ou de RSE. D’autres sont au service de la diffusion et du partage des bonnes pratiques et des outils. Enfin, la dernière typologie qu’on voit sont des communautés d’innovation et de création au service d’un objectif stratégique ou de mission d’entreprise, l’intérêt de la communauté dans ce cadre est que les remontées de terrain qui permet d’innover différemment d’une approche classique.

Q. : Le développement des communautés serait aussi celui de la démocratie au sein de l’entreprise ?

Les communautés peuvent avoir un impact en termes de gouvernance, mais cela ne se fait pas du jour au lendemain, cela prend du temps de transformer les dynamiques et les modes d’engagement des salariés. Chez makesense, on est convaincu que les communautés sont des modes d’engagement citoyen qui sont complémentaires à l’existant.

Q. : As-tu créé la communauté des paumées avec cette volonté de nouvel d’engagement citoyen ?

J’ai co-initié la communauté des paumé·e·s avec deux collègues Aurore Le Bihan et Simon Drouard en 2018. On est partis de nos ressentis personnels et non pas d’une approche intellectuelle autour de l’engagement. Tous les trois avions eu des phases de transition professionnelle.

On se sentait perdus, paumés et personnellement, je ne savais pas avec qui partager mon questionnement et je ne comprenais pourquoi je trouvais si peu d’informations sur la quête de de sens au travail.

On se sentait perdus, paumés et personnellement, je ne savais pas avec qui partager mon questionnement et je ne comprenais pourquoi je trouvais si peu d’informations sur la quête de de sens au travail. En en discutant avec Simon et Aurore, et puisque chez makesense on aime faire les choses avec une approche collective, on a voulu essayer d’aider tous ceux qui comme nous qui se posent plus de questions qu’ils n’ont de réponses. On a donc lancé le premier événement de la communauté paumé·e·s pour tout simplement se retrouver, raconter pourquoi on se sent paumé et essayer de s’entraider. Aurore, fan de podcast de son côté, a donné la parole à des paumé·e·s, qui avaient avancé dans leur réflexion ou dans des projets intéressants. Aujourd’hui, on a près de 15 000 membres un peu partout en France et il y a eu des centaines d’événements pour la plupart initiés et organisés par des “super paumé·e·s”, environ 200 membres très engagés à Nantes, Montpellier, Lyon, etc. et qui se sont reconnus dans le manifeste.

Q.: Faut-il que la raison d’être de la communauté soit très claire et affirmée, comme dans un manifeste, pour garantir le succès ?

C’est vrai que les membres de paumé·e·s partagent tous la conviction que la “paumitude” est une période utile saine, qui peut être vécue avec optimisme. Ce parti pris peut nous couper de personnes en grande souffrance, mais il faut être clair sur sa raison d’être.
La raison d’être des paumé·e·s, soit la quête de sens, est un sujet qui était déjà très actuel avec peu de propositions qui visaient à répondre à cette question, à part du coaching très individuel ou très développement perso, sans beaucoup d’offres où les choses se font en collectif. Je crois aussi que beaucoup de paumé·e·s se sont reconnus dans cette communauté parce que nous l’avons fait en s’amusant, en cherchant ce qui nous aurait fait rire à l’époque, comme le pastiche de Jacques Séguéla, en adoptant un ton qui se veut rigolo. Mais notre raison d’être qui se veut claire, et un manifeste, et des outils mis à disposition de tous, et le fait que cela ait été lancé dans d’autres régions de France que Paris, font que l’ensemble a marché !

Q.: À quel moment on peut parler de réussite d’un communauté ?

Cela peut paraître un peu bisounours, mais j’ai eu la sensation qu’on avait réussi quand, lors d’un événement avec les membres ambassadeurs les plus actifs, ces derniers ont raconté leur parcours et leur engagement au sein de paumé·e·s, et comment cela avait transformé leur vies, et comment la communauté les aidait. Ces témoignages forts m’ont fait prendre conscience que de très belles choses se passaient avec beaucoup de transformations personnelles. Par exemple, l’un d’entre eux a expliqué comment le fait d’organiser les événements lui avait permis de reprendre confiance en soi après son burn-out. En fait, les membres ont montré comment la communauté les avait transformés et que la somme des transformations individuelles peut faire changer les choses collectivement.

Q.: Si tu avais un conseil à donner pour réussir à construire une communauté, en dehors de celui de suivre le cours co-édité avec Coorpacademy, lequel serait-il ?

Lancer une communauté peut paraître assez vertigineux. Se dire “j’organise un événement et je pense que ce sujet est important, on y va”, il faut oser, surtout dans un contexte professionnel avec en plus les enjeux de carrière, de ce que vont penser ses collègues, son manager. C’est une vraie prise de risque. Mais, le truc est d’y aller pas à pas, de commencer par des petites choses, comme déjà organiser un café avec des collègues les plus bienveillants, avant de réserver l’amphi de l’entreprise !

Osez petit ! Et aussi, se lancer rapidement sans trop réfléchir et apprendre sur le tas.

Si j’avais un conseil à donner, je reprendrais celui que Gaëtan Maillet chez Décathlon avait donné lors d’une conférence sur la difficulté de faire vivre les communautés en entreprise : osez petit. Et aussi, se lancer rapidement sans trop réfléchir et apprendre sur le tas. C’est ce qu’on a fait pour les paumé·e·s, et c’était passionnant de voir le lancement d’une communauté de zéro à, aujourd’hui, des milliers de membres avec un grand niveau d’autonomie, où les “super paumé·e·s “jouent des rôles forts et portent les régions.

Q.: Il semble que la quête de sens, de soi, soit au coeur de la communauté des paumé·e·s. Est-ce selon toi un enjeu que les entreprises doivent porter ? D’après ton expérience auprès des organisations que tu as pu conseiller, quels sont les autres enjeux RH liés aux communautés dans les entreprises ?

Quand je suis arrivée il y a 4 ans chez makesense, la question de la quête de sens était moins à la mode, moins urgente et en entreprise, j’ai le sentiment qu’on ne voulait pas trop en entendre parler.

Déjà dire le mot communauté nous faisait passer pour des extraterrestres mais parler en plus d’une communauté orientée sur la quête de sens, c’était alerte rouge !

Déjà dire le mot communauté nous faisait passer pour des extraterrestres mais parler en plus d’une communauté orientée sur la quête de sens, c’était alerte rouge, avec la crainte que les collaborateurs finissent par démissionner ! Depuis fin 2019, j’ai vraiment le sentiment que cela a beaucoup évolué. Le mot communauté fait moins peur et en plus, on s’aperçoit de leur intérêt. Par exemple, on s’est rendu compte que dans une des communautés qu’on accompagne, certains de ses membres restent aujourd’hui dans cette entreprise grâce à la communauté, parce qu’ils rencontrent des personnes qu’ils ne rencontreraient pas autrement, ils apprennent plein de choses et ne s’ennuient pas. Les communautés peuvent devenir un vrai enjeu de rétention, de fidélisation des talents en entreprises. On a aussi pas mal de communautés autour du digital, pour des profils de data scientists, très demandés sur le marché du travail. Assez rapidement, ils peuvent s’ennuyer entreprises parce que leur métier est assez technique, peu compris, et avoir une communauté autour du digital leur permet de partager ce qui les anime à côté ou pendant le travail, de se stimuler les uns les autres pour continuer à apprendre jour après jour.
Ce qui est passionnant sur ce sujet de la fidélisation grâce aux communautés, c’est qu’on retrouve une quête de sens souvent liée à un engagement environnemental ou social de l’entreprise, à sa mission.

Aujourd’hui, la question du sens est complètement inévitable, les entreprises en sont conscientes.

Aujourd’hui, la question du sens est complètement inévitable, les entreprises en sont conscientes. Donc elles peuvent soit faire évoluer leurs communautés et leurs raisons d’être au départ pus liées à d’autres sujets, soit même créer des communautés autour de la collaboration, de la formation de leurs salariés pour les fidéliser.

Q.: Quel est le projet de communauté en entreprise que tu as accompagnée qui t’a le plus marqué ?

J’accompagne Ecowork, la communauté autour de la ville durable chez Vinci. C’est un exemple de communauté makesense pour moi très abouti. Au départ, nous organisions la plupart des événements, et petit à petit, on a autonomisé les membres. Aujourd’hui, ils sont eux-mêmes créateurs de méthodologies pour transformer leurs réponses à un appel d’offre et avoir le réflexe environnemental au bon moment. Ils sont eux-mêmes organisateurs d’after-work autour de l’économie circulaire ou sur d’autres thématiques. Il y a des programmes ambassadeurs assez poussés, des programmes de formation autour des sujets de environnementaux et cela permet petit à petit de faire basculer la vision de l’environnement au sein de Vinci.

Tous les salariés avec qui on travaille sont vraiment en demande.

Tous les salariés avec qui on travaille sont vraiment en demande. Ils sont aussi souvent très très engagés personnellement, avec une vraie volonté de mieux comprendre les enjeux environnementaux, et de transformer leurs métiers pour pouvoir être dans leur vie professionnelle ambassadeurs de l’écologie comme ils le sont dans leur vie personnelle. La communauté leur permet de reprendre le pouvoir sur une partie de leur quotidien en étant connectés aux bonnes personnes et en disposant des bonnes méthodologies de travail. Les nouvelles communautés sont beaucoup liées aux nouvelles méthodologies de travail. Chez Vinci, Ecowork a augmenté la collaboration entre leurs multiples filiales, entre les salariés et au service de l’environnement.

Merci Lucie, ce sujet des communautés est passionnant et infini !

Envie d’en savoir plus ? Découvrez le cours Comment construire une communauté de makesense sur les plateformes Coorpacademy.

 

Lucie Chartouny, Community builder chez makesense, est la co-initiatrice de la communauté des paumé.e.s, qui regroupe des milliers de millenials en quête de sens et de soi dans leur vie professionnelle notamment. Elle aide au quotidien les organisations à redonner du sens au projet collectif et les accompagne dans la construction et le développement de communautés en leur sein.
makesense
Créée en 2010, la communauté mondiale de makesense compte près de 100 antennes. Leur objectif est de mobiliser les gens - citoyens, entrepreneurs, organisations - afin qu'ils travaillent ensemble pour s'attaquer aux grands problèmes sociaux et environnementaux de notre temps. Ils s’appuient sur leur expérience de la croissance des communautés dans des cultures, des pays et des contextes différents pour élaborer des modèles et des formations visant à formaliser les meilleures pratiques dans ce domaine émergent. Au cours des six dernières années, ils ont formé et soutenu des dizaines d'organisations - des entreprises aux institutions mondiales en passant par les petites entreprises en démarrage - auprès de leurs communautés.

Coorpacademy propose le catalogue de formation en ligne le plus complet et le plus qualitatif en Europe en signant un partenariat international avec OpenSesame, leader mondial du contenu de formation

 

OpenSesame, leader international du catalogue de contenus de formation en ligne, et Coorpacademy, startup EdTech qui déploie une plateforme d’apprentissage en ligne adaptée aux nouveaux usages des apprenants, signent un accord de partenariat de distribution. Alors que quasiment 100 % des formations présentielles prévues en 2020 ont été annulées ou décalées, continuer à investir dans la formation en ligne est un enjeu majeur en cette période incertaine. Cette nouvelle offre de formation exhaustive et premium permettra à chaque salarié de développer ses compétences et aux entreprises de mieux faire face à la crise.

Grâce à ce partenariat, les clients de Coorpacademy peuvent avoir accès au catalogue d’Open Sesame, la marketplace de contenus e-learning la plus complète au monde, avec plus de 20 000 cours disponibles. La raison d’être de ce partenariat est de pouvoir proposer aux apprenants des contenus répondant à l’intégralité de leurs besoins de formation. En complément du catalogue de Coorpacademy dédié aux soft skills, ils auront accès à des masterclasses, aux conférences TED@Work en exclusivité, à des cours sur des hard skills, mais aussi à des tutoriels Excel, des vidéos pour apprendre à coder ou des cours dédiés à la cybersécurité…

Arnauld Mitre, co-fondateur de Coorpacademy, l’explique :

« Depuis notre création, notre vision du learning s’appuie sur des contenus premium de grande qualité, et notre ambition a toujours été d’offrir à nos apprenants la meilleure expérience d’apprentissage possible. Aujourd’hui, nous continuons d’enrichir notre offre afin de proposer un des plus riches hub de contenu au monde, dont nos apprenants peuvent bénéficier dès maintenant ! Nous sommes donc extrêmement fiers d’annoncer ce partenariat avec OpenSesame, le leader mondial du contenu de formation en ligne avec plus de 20 000 modules dont la qualité et la diversité ont été reconnues et récompensées à de nombreuses reprises. ”

« Le catalogue complet de cours elearning d’OpenSesame est disponible dans plus de 18 langues et permet aux entreprises de former et « upskill » leurs compétences n’importe où et n’importe quand », a déclaré Tom Turnbull, Vice-Président des Partenariats chez OpenSesame. « Nous sommes ravis de nous associer à Coorpacademy et d’offrir des expériences d’apprentissage de haute qualité – que ce soit à la maison ou au travail – aux entreprises de la zone EMEA. »

À propos de Coorpacademy

Fondée en 2013, Coorpacademy est une startup européenne membre de l’association EdTech France, spécialisée dans les solutions d’apprentissage digitale innovantes et évolutives. Basée à Paris et à Lausanne au Swiss EdTech Collider de l’École Polytechnique Fédérale de Lausanne (EPFL) et à Londres, Coorpacademy est au cœur de la recherche sur les nouveaux modes d’apprentissage. Avec sa plateforme, Coorpacademy accompagne la transformation des entreprises en engageant leurs collaborateurs, partenaires et clients dans leur montée en compétences. Pour libérer ce désir et cette envie d’apprendre, Coorpacademy a développé une plateforme Saas propriétaire basée sur une ingénierie pédagogique innovante soutenue par les laboratoires d’innovation de l’EPFL et un contenu exclusif centré sur les soft skills. À la clé : un apprentissage plus ludique, flexible et collaboratif, centré sur l’apprenant.

À propos d’OpenSesame

OpenSesame aide les entreprises à développer les effectifs les plus productifs et admirés au monde. Avec le catalogue le plus complet de cours en ligne des plus grands éditeurs au monde, nous sommes là pour vous aider à chaque étape du processus, de la recherche de cours, à leur correspondance avec vos compétences de base, en les synchronisant avec votre LMS en passant par l’augmentation de l’utilisation et l’amélioration de vos programmes de formation et développement. Non seulement vous bénéficierez de la flexibilité de plusieurs options d’achat d’OpenSesame, mais vous le trouverez simple à utiliser et à administrer vos cours elearning.

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