Vous avez des collaborateurs en chômage partiel ? Découvrez le dispositif exceptionnel FNE Formation. En savoir plus

Learn @ Home : nos webinars pour confinés

 

Période sans précédent, donc nouvelles méthodes de travail et nouveaux réflexes à adopter !

C’est pourquoi nous avons sorti Learn @ Home, une série de webinars pour tirer profit au mieux de cette période de confinement. À chaque épisode, l’un de nos partenaires de contenu nous fournit ses conseils et astuces pratiques pour être efficace depuis chez soi !

Learn @ Home Épisode 1 : Comment perpétuer les rituels de l’agilité à distance ? L’exemple du feedback

Webinar Learn at Home épisode 1

Avec Claudio Vandi, Directeur Pédagogique de Numa.

Numa est un des auteurs partenaires de Coorpacademy avec lequel nous avons co-édité les cours L’agilité en action et L’organisation apprenante. 

Dans nos environnements en pleine accélération et digitalisation, l’amélioration continue de nos pratiques de travail individuelles et collectives est clé. Et ce, d’autant plus que télétravail et management à distance se généralisent – à marche forcée avec les mesures de confinement liées au Covid-19. Comment dès lors réussir à perpétuer les bons rituels de management agile dans un contexte de travail à distance ?

Faites du feedback à distance un des piliers de l’agilité de votre entreprise !

Vous souhaitez en savoir plus sur la pratique du feedback à distance, avec Claudio Vandi, Directeur Pédagogique de Numa ? C’est par ici !

Learn @ Home Épisode 2 : Comment rester sain de corps et d’esprit en télétravail ? Techniques pour tous

Learn at home épisode 2 Yogist

Avec Anne-Charlotte Vuccino, Fondatrice de Yogist – Well at Work.

Plus digitalisés et sédentaires que jamais, traversant une période inédite, comment se préserver, rester sain de corps et d’esprit et garder son efficacité au travail ?

Anne-Charlotte Vuccino, fondatrice de Yogist et spécialiste de la prévention santé au travail, vous propose son expertise et ses conseils très concrets pour lutter contre la fatigue du télétravail. Elle est une des auteurs partenaires de Coorpacademy avec laquelle nous avons co-édité le cours Les 5 minutes Yogist® pour être Bien au Bureau.

Au programme de ce webinar :

  1. État des lieux sur le bien-être et la santé au travail, les missions de Yogist et Coorpacademy
  2. Démo live et exercices menés par Anne-Charlotte, fondatrice de Yogist
  3. Échanges conviviaux et questions en direct pour tous !

Douleurs de dos ? Yeux fatigués ? Suivez ce lien pour découvrir trois exercices pratiques pour rester sain de corps et d’esprit en télétravail, avec Anne-Charlotte Vuccino, Fondatrice de Yogist – Bien au bureau.

Learn @ Home Épisode 3 : Comment éviter les pièges du télétravail et en tirer le meilleur parti pour l’avenir ?

Learn at Home épisode 3 management

Avec Lomig Guillo, Rédacteur en chef de Management Magazine.

Pour le 3ème épisode de la série Learn At Home de Coorpacademy, Management Magazine vous propose un webinar sur les pièges du télétravail et son impact futur.

Télétravail ne veut pas dire travail solitaire, ou travail continu. Si les frontières se floutent entre vie pro et vie perso, si la distance physique est bien là, de nouveaux réflexes, de nouveaux équilibres personnels et collectifs sont à installer. Comment alors échapper aux pièges du télétravail et en tirer le meilleur parti pour l’avenir ?

Lomig Guillo, rédacteur en chef de Management fait le point sur les pratiques concrètes et les outils à mettre en place en termes d’organisation et de management (bienveillant !). Il détaille comment la culture d’entreprise et ses valeurs pourront être transformées de l’intérieur.

Oui, le télétravail amène son lot de pièges… Découvrez comment les éviter avec Lomig Guillo, Rédacteur en chef de Management Magazine, en cliquant ici !

Learn @ Home Épisode 4, le 15 mai…

Contactez-nous si vous êtes intéressés pour suivre la série Learn @ Home !

Pour la deuxième fois consécutive, Coorpacademy a été reconnue comme FrontRunner® des logiciels de Learning par l’équipe Gartner Digital Markets Research !

 

Pour la deuxième fois consécutive, Coorpacademy a été reconnue comme FrontRunner® (chef de file) des logiciels de Learning par l’équipe Gartner Digital Markets Research !

FrontRunners est un graphique pilotée à 100% par les données, publié dans Software Advice, qui aide les entreprises à identifier facilement les meilleurs logiciels du marché dans chaque catégories, selon les avis d’utilisateurs finaux sur 3 sites web différents : CapterraSoftware Advice et GetApp.

Coorpacademy recognized as a FrontRunner for the second time in a row

Comment FrontRunners fonctionne ?

Le programme de Software Advice FrontRunners examine les avis d’utilisateurs finaux sur des logiciels pour identifier les suites logicielles de Learning les mieux notées.

Pour être éligible au programme FrontRunner, un logiciel doit :

  • Avoir au moins 20 avis d’utilisateurs uniques dans les 24 derniers mois
  • Offrir les fonctionnalités principales de ce type de logiciel : suivi des parcours des apprenants et gestion de contenu de formation en ligne.

Les logiciels qui répondent à ces deux critères et qui obtiennent les meilleurs scores en ergonomie, accessibilité et satisfaction de l’utilisateur deviennent des FrontRunners (chefs de file).

Nous sommes fiers chez Coorpacademy d’avoir été reconnus par nos apprenants comme l’un des meilleurs logiciels en termes de prise en main et de satisfaction de l’utilisateur final pour la deuxième fois consécutive. Cela récompense le travail effectué chez Coorpacademy pour offrir l’expérience utilisateur la plus engageante possible, et montre que les améliorations continues de notre plateforme sont toujours centrées sur l’apprenant.

Si le sujet vous intéresse, rendez-vous sur le site de Software Advice !

 

Coorpacademy lance l’offre Confinement : 24h chrono !

 

Comme 91%* des dirigeants vous souhaitez que vos salariés profitent du confinement pour se former en ligne ?

Toutes les formations présentielles étant annulées, Coorpacademy propose une offre clé en main pour continuer à former vos collaborateurs à distance pendant la crise liée au COVID-19. Découvrez notre solution et notre offre « 24h chrono » pendant cette période de télétravail ou de chômage partiel.

  1. Votre plateforme en 24h chrono sans besoin technique
  2. Une collection de 1500 cours dont les 100 formations micro-learning « Efficace à distance » inclues
  3. Analytics et App mobile dédiés

Exemple de ROI, 1 semaine après le lancement chez un leader de l’industrie des huiles de moteurVous souhaitez en savoir plus ? Contactez-nous

Coorpacademy va changer votre vision de la formation.

La façon de se former au sein des entreprises n’a finalement pas beaucoup évolué depuis 15 ans : longue, coûteuse, peu efficace et surtout ennuyeuse. Encore plus pendant la crise où toutes les formations présentielles sont annulées ou reportées,  Coorpacademy révolutionne la façon dont les collaborateurs peuvent se former.

Cette étude de McKinsey  rapporte que plus de 9 dirigeants sur 10 encouragent toutes les initiatives permettant de continuer de développer les compétences de leurs collaborateurs dans le contexte de confinement.

Managers can’t push the pause button on capability building, so the moment belongs to Digital Learning. Some tactics and strategies can help.

Vous regarderez le Digital Learning d’une façon radicalement nouvelle grâce à notre Learning Experience Platform souple, flexible et qui s’adapte aux besoins de chaque utilisateur :

– Efficacité pédagogique : les cours sont composés de vidéos conçues par des experts et de quiz permettant d’ancrer les connaissances.
– Flexibilité : les cours peuvent être consultés, interrompus et repris à tout moment, sur terminal fixe ou mobile, sans perte de la progression.
– Adaptation : chaque utilisateur peut définir son propre parcours d’apprentissage, librement et sans contraintes. L’intelligence artificielle lui poussera le bon cours, au bon moment.
– Collaboration : le social learning permet d’optimiser l’apprentissage entre pairs.

Ce sont des parcours de formations que vous connaissez, mais avec une expérience d’apprentissage en ligne comme vous ne l’avez encore jamais vue. Pendant cette crise qui touche toutes les entreprises et tous les individus, continuons sans cesse à encourager et faciliter le développement des compétences, notamment digitales et soft skills.

Enjoy Learning.

Quels sont les enjeux principaux autour de la data pour le 21 siècle ?

 

The Data Touch contribue à la réussite des entreprises en leur fournissant des résultats tangibles issus de l’exploitation de données Internet. The Data Touch propose également des formations data en entreprise pour accroitre les compétences des collaborateurs. Les produits et services offerts comprennent : la production de prototypes de machine learning visant à prédire des résultats centrés autour des objectifs de l’entreprise, la création d’une culture de la data au sein des entreprises, la mise en place d’initiatives data autour du comportement des consommateurs en ligne et des performances sur Internet en général.

The Data Touch a débuté un partenariat de co-édition de cours avec Coorpacademy. Deux cours sont d’ores et déjà disponibles sur les plateformes de formation digitale de Coorpacademy : Data, une méthodologie au service des entreprises, et L’art de la visualisation des données.

Nous avons eu la chance de poser nos questions à Penelope Bellegarde, la fondatrice de The Data Touch. L’interview est aussi disponible en anglais ici.

 

Pourquoi avez-vous fondé The Data Touch ?

 

J’ai fondé The Data Touch il y a 3 ans et demi à Londres pour relever trois défis principaux. Le premier défi est de réussir à créer de la valeur tangible issue des données Internet (ou digital data comme on dit en anglais). En effet, beaucoup (trop !) de data est collectée dans ce domaine et elle fait encore trop souvent l’objet de rapports chiffrés interminables par opposition à de la valeur réelle pour l’entreprise. Le deuxième défi est de briser les frontières qu’il existe entre les départements data et les directions d’entreprises. En effet, ces deux groupes de collaborateurs se parlent rarement et engager ce dialogue est pourtant vecteur de valeur pour l’entreprise. Lorsque les dirigeants connaîtront mieux l’art du possible avec la data ils auront envie de devenir eux aussi plus data driven ! Et lorsque les analystes comprendront mieux les objectifs de l’entreprise, leurs analyses seront d’autant plus percutantes et commenceront vraiment à influencer !

Enfin, le troisième défi à résoudre était « d’armer » les collaborateurs de l’entreprise (qui n’ont pas un profil technique) avec une culture de la data et des méthodologies efficaces et simples à mettre en place. Dans le monde digital, de plus en plus de campagnes personnalisées sont lancées et cela de plus en plus fréquemment. Les entreprises sont donc de plus en plus soucieuses de connaître le retour sur investissement de ces initiatives, ce qui se traduit par une demande croissante de résultats chiffrés. Et donc de plus en plus de personnes qui ne sont pas des analystes doivent monter en compétence dans le domaine data pour répondre à ces nouvelles attentes ! The Data Touch crée et délivre donc des programmes de formation pour les entreprises ainsi que pour les futurs cadres en École de Commerce.  

Quelles sont les raisons qui vous amènent à considérer la data comme la ressource la plus convoitée du 21ème siècle ?

 

Un des atouts principaux de la data c’est qu’elle peut fournir des réponses objectives et permet donc de créer un consensus au sein des entreprises, mais encore faut-il que les questions qu’on lui pose soient de bonnes questions qui seront source de valeur !

La data permet aussi d’appréhender des nouvelles tendances et nouveaux phénomènes que l’on n’aurait pas soupçonné par nous mêmes… Par exemple, les techniques de Machine Learning et en particulier celles de l’apprentissage non-supervisé comme le clustering permettent d’identifier des groupes distincts (de clients etc…) que nous n’aurions pas forcément soupçonné à “l’oeil nu”.  

La data permet également d’anticiper et de prévoir les comportements et donc d’apporter à l’entreprise un réel avantage concurrentiel.

Quels sont les critères qui font qu’un projet data soit un succès ? Ou, à l’inverse, un “gâchis” de temps et d’investissement ?

 

Comme nous l’expliquons dans le cours, il y a des éléments essentiels à garder à l’esprit si l’on veut réussir son projet data. Premièrement, commençons par nous poser une bonne question. En y répondant, serons-nous plus avancés et en mesure d’agir sur les recommandations ? Il ne faut pas hésiter à impliquer plusieurs acteurs de l’entreprise sur cette étape pour arriver à une question riche et précise à la fois. Ensuite, en fonction des questions identifiées, il faut se poser la question de savoir quelle data, parmi toutes celles qui sont disponibles seront de vrais indicateurs versus les données qui seront juste du « bruit ». Une fois l’analyse terminée, il faut la communiquer de façon efficace aux acteurs qui prendront les décisions. Il s’agit là d’un travail assez fin car il faut réussir à traduire des éléments parfois complexes en un langage simple et surtout en lien avec les objectifs de l’entreprise, sa stratégie, ses produits, ses clients…

Alors qu’il était sur toutes les lèvres, le terme de Big Data semble perdre de son importance… 

 

Oui c’est vrai ! Il est désormais remplacé par AI: Artificial Intelligence !

Ces buzzwords sont souvent une réponse à une rapide « poussée technologique » qui prétend tout révolutionner. Mais attention, juste parce que la technologie est avancée, ne signifie pas que la révolution va porter ses fruits dès lors que l’entreprise aura investi dans ces avancées technologiques… Encore faut-il comme nous l’avons abordé lors de la question précédente se focaliser sur ce qui est important.

Pourquoi Coorpacademy ? Comment s’est déroulé le processus de création de cours avec Coorpacademy ?

 

Comme l’une des raisons d’être de The Data Touch est de former un maximum d’acteurs de l’entreprise sur la data, être en mesure de délivrer de la formation à  un maximum d’individus en ligne à la demande est très séduisant. Lorsque j’ai été contactée par Coorpacademy pour un premier projet de collaboration, j’ai donc de suite dit oui !

Une collaboration très étroite s’en est suivie. Nous avons d’abord travaillé ensemble sur le choix des thèmes et le contenu autour de ces thèmes… Ensuite, il s’agissait de rédiger les scripts, les quizz et enfin la production des vidéos. Pour ma part, j’ai trouvé cette collaboration très efficace et agréable et ce malgré la distance géographique.

Pourquoi pensez-vous que la formation et l’apprentissage tout au long de la vie sont cruciaux pour les années à venir et pour faire face aux incertitudes du futur ?

 

Je pense qu’il y a de nombreux facteurs qui peuvent expliquer ce phénomène.

Tout d’abord, les avancées technologiques sont sources de nouveaux métiers, comme les data scientists par exemple. Si les concepts derrière ce métier existent depuis plusieurs décennies, il aura fallu attendre ces dernières années pour le rendre opérationnel grâce à la puissance grandissante des ordinateurs. 

Un autre facteur lié à la technologie est la propagation de la data dans tous les départements de l’entreprise, y compris dans les services qui traditionnellement n’avaient jamais ou très peu recours à la data au jour le jour. Les dirigeants d’entreprise exigent donc par défaut un minimum de connaissance data de la part de chaque acteur.

D’un point de vue sociologique, je pense aussi que nous avons la chance de vivre à une époque ou écouter ses envies professionnelles devient de plus en plus la norme, alors qu’il y a encore quelques années, c’était l’exception. Maintenant les gens hésitent beaucoup moins à se reconvertir !

Enfin, on se rend aussi de plus en plus compte des limites des systèmes d’éducation traditionnels qui ont pour beaucoup toujours privilégié les compétences techniques aux compétences qui relèvent plus de l’intelligence émotionnelle. Et faire preuve d’intelligence émotionnelle est un atout qui n’a pas de prix dans le monde de l’entreprise. Les gens s’en rendent compte de plus en plus et décident donc de se former à ces techniques. 

La nécessité de se former tout au long de la vie est donc un des grands bouleversements qui affecte le marché du travail depuis quelques années. Désormais, chaque individu est amené à avoir plusieurs métiers plus ou moins liés et c’est une chance formidable ! Mais cela exige évidemment des investissements réguliers dans de nouvelles formations et également de se remettre en question régulièrement. 

Être capable de se former en continu est crucial car cela nous force à nous adapter, nous réinventer et donc à rester compétitif !

D’un point de vue juridico-légal, l’histoire de la data, de sa collecte et de son utilisation a été entachée de scandales, notamment au niveau du respect de la vie privée… Pensez-vous que cette prise de conscience globale est une opportunité ou une menace pour l’utilisation des datas ?

 

Pour ma part, d’un point de vue éthique, je pense que plus de transparence était nécessaire. Les consommateurs ont le droit de mieux comprendre quelles données les concernant sont collectées et dans quels buts. Cependant, cette collecte dans bien des cas est source de valeur pour les consommateurs et il ne faut pas l’oublier non plus. Plus une entreprise connaît vos habitudes, plus elle saura vous faire des propositions personnalisées et intelligentes et vous fera gagner du temps. 

Maintenant d’un point de vue analytique, je reste optimiste quand à l’impact de la protection de la vie privée sur la collecte de données. En effet, je pense que rationaliser la data est une bonne chose. Aujourd’hui, on a accès à trop de données et on n’en fait pas grand-chose. Plus la data sera limitée, plus le domaine de l’analytique sera forcé de se poser des questions toujours plus pertinentes et aussi d’augmenter en créativité. Par exemple, si telle ou telle donnée n’est désormais plus disponible, avec quelle autre données similaire pourrons-nous la remplacer ? Etc… 

Qu’est ce qui vous passionne dans le monde de la data?

 

Beaucoup de choses ! Mais je dois dire que la diversité des compétences requises pour réussir avec la data sont tellement diverses que ce domaine ne cesse de me fasciner et de me stimuler par conséquent !

Vu depuis l’extérieur, on a toujours tendance à ne voir que l’aspect mathématique, statistique de la data. Mais la data est aussi un art ! En effet, comme nous l’expliquons dans le cours il est absolument crucial d’être en mesure de traduire ces découvertes chiffrées en un langage simple, tangible et centré sur la valeur que ces découvertes peuvent apporter à l’entreprise… Pas facile !

Il faut aussi savoir garder l’esprit ouvert. En effet, on a souvent trop tendance à vouloir utiliser la data pour confirmer une hypothèse qui nous tient à coeur plutôt que de laisser pleinement parler la data.

Enfin, il est bien évidemment utile de connaître tout un tas d’outils utiles pour la manipulation des données et là aussi, encore faut-il se former en continu. En effet, certains outils très puissants pour la manipulation de données sont relativement jeunes. Par exemple, Pandas, une librairie fondamentale pour la manipulation de données sur Python a été créée en 2008. Google Data Studio, l’outil de visualisation des données a été lancé par Google en 2016… 

Comment perpétuer les rituels de l’agilité à distance ? L’exemple du feedback


Nous partenaire de contenu Numa a organisé un webinar Vendredi 27 mar 2020 avec Coorpacademy, le premier épisode de la série de webinars Learn @ Home. Claudio Vandi, Directeur Pédagogique de Numa, nous a expliqué comment perpétuer les rituels de l’agilité à distance et pourquoi le feedback aide à maintenir le lien social avec ses collègues pendant cette période inédite de confinement et de travail à distance.

La série de webinars Learn @ Home a été lancée par Coorpacademy pour vous fournir conseils et astuces pour faire de cette période de confinement une période efficace professionnellement.

Retrouvez un récapitulatif du webinar dans cet article.  

Pourquoi le feedback ? Et pourquoi donner du feedback à distance ?

Le feedback n’est pas nouveau. Mais pourquoi en parle-t-on autant aujourd’hui ? Gallup, l’institut de recherche sur le management et sur le futur du travail qui publie régulièrement des études, a sorti récemment un livre appelé It’s the Manager, écrit par Jim Clifton et Jim Harter, et qui contient cette phrase sur le futur du management : 

« La priorité des leaders devrait être d’aider leurs managers à devenir des coachs : à commencer par des 1-1 réguliers [des réunions rapides, individuelles, hebdomadaires avec chaque membre de votre équipe] et un partage régulier de feedback. »

Cela fait partie des nouveaux outils du manager – ce n’est pas un nouveau type de management. Il y a des cas où être directif est plus utile, en donnant des consignes ou en aidant, par exemple, mais créer des moments réguliers de feedback devient de plus en plus important, notamment pour une question d’agilité. Avec la rapidité de transformation de nos business, de nos produits, de nos services, de nos métiers, une revue de performance annuelle ou bisannuelle ne suffit plus. Si l’on veut s’améliorer au rythme du travail et de ses évolutions rapides, le feedback est effectivement un outil très efficace pour progresser, au plus près des actions, n’importe quand il sera jugé nécessaire. 

Devant cette période inédite de confinement, et donc, pour la majorité des gens, de travail à distance, il existe effectivement quelques risques liés au télétravail. Au moins trois.

    1. Un certain relâchement, un esprit “je suis à la maison”. Si pour l’instant nous ne le vivons pas forcément, la période est intense, nous programmons tous nos outils pour télétravailler efficacement, nous reprenons contact avec tous nos collègues à distance, nous ré-organisons nos réunions, dans le long-terme, nous pouvons ressentir ce sentiment de relâchement, du « je ne suis pas au travail. »
    2. Une perte de contact avec son équipe et son entreprise, un sentiment d’isolement. On ne voit pas son équipe, on ne voit pas matériellement parlant son entreprise, il y a donc un sentiment d’isolement qui peut s’installer. Même si on échange, on ne le fait pas de manière aussi informelle et aussi fréquente qu’au bureau. 
    3. Une perte des échanges informels, nous ne voyons plus que les gens avec qui nous travaillons directement, et nous ne parlons plus que des aspects techniques du travail. Nous avons moins d’échanges opportunistes, occasionnels comme un bureau, et nous finissons par ne parler quasiment que des aspects techniques, de nos projets, sans le côté engageant des échanges informels avec tous ses collègues.

Alors, quelles solutions s’offrent au manager ? 

 

    1. Ritualiser davantage les points de contact. Si vous le faites déjà en temps normal, c’est d’autant plus important en période de télétravail pour tout le monde (check-ins, 1-1 hebdomadaires voire quotidiens, points d’équipe pour lancer et clôturer la semaine…). Cela peut être des échanges de 10 minutes, simplement pour savoir comment vont les personnes. Cela donne aussi du rythme à la semaine de travail, indépendamment du fait que nous soyons tout le temps à distance, et cela permet de maintenir l’engagement des collaborateurs.
    2. Humaniser les échanges. Introduire de l’émotion, de l’humour, de l’énergie, il faut un peu “surjouer” cette partie, même si ce n’est pas dans votre nature. Dites-vous qu’il y a au moins 30 % de ce que vous mettez comme énergie ou comme émotions qui va se perdre à cause de la distance. Il faut donc le faire à 130 % pour arriver aux 100 % recherchés. Indépendamment de votre nature, à distance, vous devez « surjouer » le contact humain. 
    3. Donner des feedback régulier pour maintenir l’engagement et l’attention à la performance. Et c’est cela dont nous allons parler plus précisément.  

Pourquoi ne donne-t-on pas de feedback ? Pourquoi n’est-ce pas naturel – alors que c’est extrêmement important – de donner du feedback tous les jours, tout le temps, à tous ses collègues, à ses managers ?

 

Allons voir du côté du livre The Feedback Imperative d’Anna Carroll qui, même s’il date de 2014, reste très pertinent. Ce livre identifie 4 profils qui ont des biais qui les empêche de donner du feedback à leurs équipes. 

    1. Le profil Analytique : il croit surtout à la data et voit le feedback comme une intrusion d’émotions dans le domaine professionnel. Nous sommes là pour travailler, nous ne sommes pas là pour parler des émotions des uns et des autres, j’ai déjà toute la data qu’il me faut pour piloter mon équipe, ce n’est pas en échangeant avec chacun que je vais améliorer la gestion de mon équipe – par exemple.
    2. Le profil Empathique : encourageant et aidant, il voit le feedback comme une souffrance pour celui qui le reçoit. Les personnes font déjà énormément d’efforts dans leur travail, ce sera une souffrance pour eux de revenir sur ce qu’ils ont fait de mal, et dans ce cas-là, on pense surtout au feedback comme feedback négatif.
    3. Le profil Efficace : aime la rapidité, est orienté résultat, et voit le feedback comme une perte de temps. Les personnes ne changeront pas, si elles n’ont pas compris maintenant elles ne comprendront pas plus tard, ce n’est pas la peine de perdre du temps à leur expliquer.
    4. Le profil Visionnaire : inspirant et visionnaire, il choisit d’interagir avec l’équipe plutôt qu’avec les individus. C’est quelqu’un de très fort pour engager les équipes, il a un discours impactant, il engage très bien les équipes, mais il est plus naturel pour lui d’interagir avec les équipes plutôt qu’avec les individus, et il ne prend pas ce temps pour engager les individus dans son équipe.

Il existe 3 types de feedback différents.

 

  1. Le feedback de Reconnaissance : “merci, bravo pour, je voulais te remercier pour ton travail…” Remercier quelqu’un, le féliciter pour une action accomplie, un projet réalisé. Vous pouvez le faire à chaud (tout de suite après une action) ou à froid (pour donner encore plus d’importance au fait que vous ayez remarqué l’action), en privé (avec une personne) ou en public (vous félicitez quelqu’un devant une équipe pour donner un côté exemplaire à vos mots, pour inspirer ou pour féliciter sur une action qui a rendu service à l’équipe). C’est le plus fréquent, c’est celui que vous devez faire à toute occasion utile.
  2. Le feedback de Développement : “tu pourrais t’améliorer sur ça, tu fais déjà ça bien mais tu pourrais t’améliorer sur cette autre chose.” Il est conseillé de le faire toujours à froid, peu de temps après les faits – ne laissez pas passer des mois et des mois, il faut le faire peu de temps après l’action, quelques heures ou quelques jours après avoir observé l’action pour vous laisser le temps d’observer le comportement de la personne et de bien le préparer. Ce feedback sera toujours fait en privé, jamais en public devant toute une équipe.
  3. Le feedback de Recadrage : “ça ne va pas du tout, je veux comprendre…” Jamais en public ! Soit pour une erreur répétée, soit pour une faute grave, c’est à la fois utile pour essayer de comprendre pourquoi la personne a fait ce qu’elle a fait, et aussi pour lui signifier le fait que c’est quelque chose d’inacceptable dans votre équipe. Ce feedback est fait à chaud, peu de temps après l’action observée, mais laissez-vous tout de même le temps de vous préparer.

3 différents types de feedback, mais une seule méthode à utiliser, simple à mémoriser : la méthode COIN. 

Context – Observations – Impact – Next Steps (COIN)

C’est une manière efficace de structurer le feedback, pour bien partager les messages. Quand vous donnez un feedback, vous devez toujours vous rappeler du contexte précis dans lequel l’action a eu lieu. C’est un moment précis que vous avez observé. Et vous parlez bien d’observations : c’est quelque chose de précis, que vous avez observé. Vous ne direz pas “j’ai eu le sentiment que…”, “je pense que tu as fait ça pour telle raison…” Mais plutôt : “j’ai observé quelque chose, je te le partage, je voudrais ton opinion là-dessus.” Ensuite, il est important d’expliquer les impacts : en quoi l’action dont vous parlez a eu des impacts positifs ou négatifs pour l’équipe, pour la personne, pour l’entreprise. Il est toujours très important de terminer par les next steps, pour aller plus loin, pour corriger, pour améliorer ou pour insister sur quelque chose qui marche déjà très bien.

Prenons quelques exemples avant de passer sur les spécificités du feedback à distance.

Pour le contexte, choisiriez-vous ?

A – “À chaque fois que tu présentes un projet…

B – “Pendant la présentation de mardi dernier…

La réponse A est vague quand la B est précise. Il faut préciser le contexte. La réponse A peut faire en sorte que la personne se sente attaquée, ou demande des exemples. Il est possible de donner des conseils généraux, mais tout en précisant bien le contexte : “Souvent, quand tu présentes un projet, comme mardi dernier par exemple…” Précis, factuel, ce contexte s’appuie sur une véritable observation. Il faut donner des exemples pour que la personne partage le même contexte que vous. 

Observation VS Interprétation 

A – “Tes réponses ont manqué de clarté

B – “Tu étais stressé(e)” 

La réponse B est une attaque, je projette sur toi une émotion, un sentiment, et est vraiment à éviter, c’est une accusation.

La réponse A est une opinion – même si légèrement plus adaptée. La personne pourrait rentrer dans un débat car l’élément n’est pas factuel.

Une observation factuelle et irréfutable serait plutôt : “À la fin de la réunion, les participants ont dit qu’ils ne savaient pas ce qui était attendu d’eux.” Probablement parce que les messages n’étaient pas clairs. Vous allez alors discuter de comment améliorer cela, car ce n’est pas une opinion.

Des exemples d’impacts, les conséquences. 

Pour un feedback de développement, cela peut être : “J’ai observé que les personnes ne savaient pas ce qui était attendu d’eux. Tu vas devoir refaire une réunion qui prendra deux semaines à être organisée, donc on va perdre du temps sur le projet. C’est pour cela que je te partage le feedback, car cette action génère un impact sur le projet.”

Pour un feedback de reconnaissance, il est très important d’être précis, factuel, afin d’éviter de faire de la motivation stérile. Si vous parlez de reconnaissance, dites à quelqu’un : “Bravo, cela nous a permis d’obtenir l’accord de partenariat qu’on recherchait depuis un mois. C’est pour cela que je te félicite, que je te remercie.” Soyez le plus possible précis, même lors d’un feedback de reconnaissance. 

Les next steps, avec quelques exemples. 

Pour un feedback de reconnaissance, “Serais-tu d’accord pour partager ton expérience au reste de l’équipe ? Parce que je trouve que c’est exemplaire, que les autres devraient s’inspirer de ça, c’est important que tu le fasses. 

Pour un feedback de développement, “Comment puis-je t’aider la prochaine fois ? Est-ce que tu vois des manières de t’améliorer sur ce point ?” 

Pour un feedback de recadrage, c’est un peu plus fermé : “Comment éviter que cela ne t’arrive à nouveau ?”

J’insiste sur l’importance de l’objectivité et de l’impact dans le feedback de reconnaissance aussi, pour éviter de donner des feedback de reconnaissance qui ont l’air faux. 

Maintenant, deux conseils avant de passer aux spécificités liées à la distance.

 

  1. Eviter le sandwich (une tranche de positif, une tranche de négatif, une tranche de positif). Même si cela vous simplifie la vie, cela noie le message. Un exemple serait : “Tout ira bien, ne sortez pas de chez vous, mais allez voter.” On ne sait plus quoi faire. Commencer par du positif et terminer par des pistes d’amélioration est bien, mais tout enrober dans du positif joue en la défaveur du message et vous en fait perdre le sens. 
  2. N’attendez pas qu’on vous demande le feedback. 87 % des Millennials considèrent les opportunités d’avancement et de développement professionnel comme importantes dans un travail mais seulement 15 % demandent des feedback réguliers”, selon l’étude How Millennials Want to Work and Live de Gallup. Ils ont envie d’avoir du feedback régulier mais très peu le demandent. À l’inverse, une très bonne pratique est de ne pas attendre qu’on vous donne un feedback pour le solliciter. C’est souvent très bien reçu, et vous met en lumière comme quelqu’un qui a envie de s’améliorer, qui est ouvert à la critique et aux conseils.

Comment fait-on tout ça à distance ?

 

Tout ce qui a été dit auparavant sur la structure du feedback reste valable. Cependant il existe des différences du fait qu’on ne soit pas ensemble et qu’on interagisse moins au quotidien, qu’on ne soit pas dans le même espace de travail.

Le premier risque est de perdre le contact humain. On ne voit pas comment l’autre se comporte après un feedback. Quand vous donnez un feedback, vous voulez aussi observer immédiatement après si la personne change de posture vis-à-vis de ce collègue, de ce client, vous voulez voir – à la fois pour vos encouragements ou pour vos conseils d’amélioration – si la personne a adapté son comportement.

Vous allez aussi avoir plus de mal à décrypter le langage non verbal (posture, crispation) mais aussi à communiquer non-verbalement. En donnant du feedback à distance, vous ne disposez pas de tous ces indices qui vous permettront d’ajuster vos messages.

Vous pouvez aussi être tentés d’utiliser les canaux les plus simples pour vous, et pas forcément les plus adaptés. Je peux m’en débarrasser par mail, par exemple, mais serait-ce le canal le plus efficace pour la personne ? Le risque est d’utiliser ce qui est pratique pour vous mais pas forcément utile pour l’autre.

Il y a aussi des opportunités : nous ne sommes pas intimidés par la présence de l’autre, nous ne partageons pas le même espace, nous ne nous sentons pas “enfermés” dans une salle, en particulier lors d’un feedback de recadrage ou de développement que la personne ne recevrait pas de manière positive, le fait de le faire à distance vous protège.

L’autre point positif est la possibilité d’être créatif sur le canal de communication à utiliser pour donner le feedback : visio, call, mail, message sur réseau social d’entreprise. Soyez créatifs sur l’usage des canaux !

Le feedback de développement à distance : quelques conseils

 

Le premier conseil est de le faire au maximum en visio-conférence, pour voir la réaction de l’autre.

Le deuxième, c’est d’éviter autant que possible les outils asynchrones : le réseau social d’entreprise, le mail, qui ne permettent par l’interaction – sauf si vous avez déjà une très bonne relation avec la personne. Autrement, privilégiez les outils qui vous permettent d’échanger. 

Le troisième, c’est d’utiliser les mails et les réseaux sociaux d’entreprise pour des messages post-feedback, des messages qui reprendraient le feedback, les messages principaux et qui proposeraient des actions constructives. Le tout pour ancrer le fond de votre propos et rappeler les actions à suivre.

Rappelez-vous que le feedback doit s’inscrire dans des rituels de management, par exemple lors de meetings d’alignement hebdomadaires. Le feedback ne doit pas tomber de nulle part. 

Le feedback de recadrage à distance : quelques conseils

 

Ce feedback doit obligatoirement être fait en synchrone, en visio. Il est important que vous vous parliez, que la personne entende vos mots, entende votre ton, que le message soit perçu comme véritablement important. 

Il faut aussi annoncer dès le début, tout de suite, que ce sera une discussion difficile. Vous pouvez commencer par : “On va avoir une conversation difficile et importante, je choisis de le faire maintenant plutôt que d’attendre de te voir car j’estime que cela ne peut pas attendre.” Cela vous libère et cela évite la tension, tout en permettant à l’autre personne de se préparer à écouter ce que vous avez à lui dire avant d’en discuter ensemble.

Il faut aussi être très clair sur les next steps pour que la discussion ne se termine pas par une gène qui serait amplifiée par la distance. Si vous faites un recadrage sans proposer d’autres pistes, vous lâchez l’autre personne dans le vide et cela met une mauvaise ambiance entre vous.

Le feedback de reconnaissance à distance : quelques conseils

 

C’est pour celui-ci que vous avez le plus de possibilités quant à l’utilisation de canaux différents en fonction du message. La visio est toujours bien, mais on peut s’autoriser d’autres canaux. 

Vous pouvez utiliser un message par écrit pour souligner un effort particulier, une réussite. L’écrit permet aussi d’être relu, pour de la motivation par exemple. Vous pouvez le faire au fil de l’eau, sur WhatsApp, sur Teams, sur Slack, par SMS… 

Vous pouvez aussi le faire par téléphone, de façon plus improvisée : “Je viens de voir ce que tu as fait sur tel projet et je tenais à te remercier de vive voix.” Utiliser la voix donne encore plus d’importance au message que vous souhaitez faire passer, même si non-obligatoire pour une feedback de reconnaissance. 

Soyez créatifs ! En particulier sur les moments d’envoi des messages, vous pouvez jouer sur les timings, et la distance favorise cela.

Vous pouvez le faire un matin ou un soir où la personne est un peu sous l’eau, pour l’encourager ; à des moments clés comme à la fin d’un projet, ou encore à la veille d’un départ en vacances…


Si vous voulez en savoir plus sur les rituels de l’agilité en entreprise, découvrez les cours de Numa co-édités avec Coorpacademy : L’organisation apprenante, et l’Agilité en action.

Pour (re)voir le replay du webinar, c’est ici !

Face au contexte que nous affrontons, une newsletter pour aider et se changer les idées. La newsletter Coorpacademy de Mars 2020

 

Découvrez notre newsletter de Mars 2020. Pour toujours rester au fait de l’actualité du Digital Learning, vous pouvez vous abonner ici ! (en bas de page).

Pour découvrir la version web, c’est ici !

Nous vous avons sélectionné ce mois-ci des thèmes particuliers, en rapport avec le contexte que nous affrontons. Une formation à partager auprès des personnels soignants, des cours pour être efficace à distance et rester zen, un webinar sur l’agilité à distance… Bonne lecture, et restez chez vous !

À la une !

Une formation pour les personnels hospitaliers

L’AP-HP, Assistance Publique – Hôpitaux de Paris, a fait appel à nous pour développer en urgence une formation en ligne destinée au personnel hospitalier pour accueillir et prendre en charge les patients atteints par le COVID-19 en réanimation.

Actuellement, deux parcours de formation sont proposés avec des vidéos en situation : le parcours « B.A-BA de la ventilation »  et le parcours « COVID-19 en réanimation ». Du contenu par spécialités (maternité, gériatrie, etc.) arrivera prochainement.

Déjà plus de 25 000 professionnels soignants se sont inscrits à cette formation en ligne. L’objectif est de pouvoir la diffuser auprès de 50000 personnes.

Si vous en connaissez autour de vous, n’hésitez pas à partager cette formation rapidement et massivement ! Disponible sur ordinateur et mobile, elle est ouverte à tous et bien sûr gratuite.

Nous espérons qu’elle sera utile à tous les soignants qui font face à l’épidémie que nous saluons et remercions pour leur travail.

À partager massivement auprès des professionnels soignants !

La playlist : « Efficace à distance »


Comment être efficace à distance ?

Les entreprises sont de plus en plus appelées à faire télétravailler leurs collaborateurs et, avec le confinement en cours, il est d’autant plus urgent de mettre en place rapidement des méthodes de travail à distance qui fonctionnent.

C’est pourquoi nous avons mis à disposition, sur toutes nos plateformes de formation, une playlist spéciale « Efficace à distance » qui regroupe l’essentiel pour bien télétravailler et passer en mode agile !

Vous y découvrirez comment structurer votre travail efficacement et bien gérer votre temps, des outils en ligne pour collaborer et communiquer à distance entre collègues, des nouvelles méthodes de travail agiles mais aussi des techniques simples pour rester zen, gérer vos propres émotions ainsi que celles des autres.

Plus au bureau ? Plus de problème !

Le webinar

Giving feedback remotely

Le webinar Learn @ Home, épisode 1 !

Numa vous a proposé un webinar sur l’Agilité à Distance, vendredi 27 mars de 14h30 à 15h00.

Dans nos environnements en pleine accélération et digitalisation, l’amélioration continue de nos pratiques de travail individuelles et collectives est clé. Et ce, d’autant plus que télétravail et management à distance se généralisent – à marche forcée avec le confinement actuel. Comment dès lors réussir à perpétuer les bons rituels de management agile dans un contexte de travail à distance ?

Découvrez le compte rendu du webinar dans cet article !

Perpétuer les rituels de l’agilité à distance : l’exemple du feedback.

Du côté de nos clients

From 'have to learn' to 'want to learn' at PwC France

De l’obligation à l’envie d’apprendre !

Apprendre fait du bien, permet de se changer les idées tout en développant ses compétences. Notre partenaire PwC France l’a bien compris : découvrez l’interview de Murielle Navarre, Directrice du Développement des Talents chez PwC France, qui nous explique comment Coorpacademy aide les collaborateurs de PwC à véritablement aimer apprendre tout en gardant la maîtrise sur leurs propres parcours de formation.

Envie d’apprendre !

Mise en lumière : le cours du mois !

Des techniques de relaxation à portée de clics

Des techniques de relaxation à portée de clics !

On parle de stress au travail quand une personne ressent un déséquilibre entre ce qu’on lui demande de faire dans le cadre professionnel et les ressources dont elle dispose pour y répondre.

Fort heureusement, des techniques existent pour y remédier. Avez-vous entendu parler de la communication non violente (CNV) ? Ou de la méthode de relaxation de Johannes Schultz ?

Dans ce cours co-édité avec DUNOD, découvrez informations, conseils et exercices pratiques pour mieux décompresser et ne plus stresser !

Un cours qui fait du bien !


Ou retrouvez la version web de cette newsletter de Mars 2020 !

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